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04/10/2015

Les secrets Pour qu'un poisson soit succulent





Dans un de mes article précédent, je donne la recette de la "Daurade au four sur son lit d'oignons façon Docteur Sangsue".




Je vais vous donner, aujourd'hui, la méthode de pour faire déguster, à ses invités, un poisson succulent.



D'abord, avant tout, le choix du poisson. Il est évident qu'il faut acheter un poisson extrêmement frais (œil bombés et bien transparents).

Pourquoi, souvent, les poissons ne sont pas appréciés ?

Cela est lié, d'abord, à la cuisson. Celle-ci-ci de doit pas être trop longue. Cela évitera de servir une chair trop sèche.

Autrefois, la cuisine était plus ou moins empirique.

Puis Hervé This https://fr.wikipedia.org/wiki/Herv%C3%A9_This  - - créateur de la physico-chimie de la cuisine, plus connu comme étant à l'origine de la cuisine moléculaire donne un abord carrément scientifique de la cuisine.

Celui-ci a démontré que si l'on protège une chair à cuire en l'enduisant d'un corps gras, celle-ci garde plus facilement son eau en l'empêchant de s'évaporer, et, de se fait, donne une chair plus onctueuse.

Il existe quatre façon de cuire le poisson :

 - au four.
 - au barbecue ou à la plancha.
 - En papillote.
 - Au micro onde.

Seule la première nécessite une protection du poisson en le badigeonnant par un corps gras.

Pour ce qui est de l'utilisation des condiments, seul le sel doit être utilisé en le servant. Un très bon poisson devant être dégusté nature. Tout autre condiment parasitant la dégustation.

Pour la même raison, en accompagnement, il vaut mieux le servir avec un un aliment le le plus neutre possible.

Pour ce qui est du vin, un vin blanc. qui ne doit pas être top acide comparé aux vins très secs utilisés pour la dégustation des fruits de mer.

On dégustera ce poisson avec des vins plus délicats, plus arrondis, comme, par exemple, un Graves blanc .

Voilà, à mon avis, la meilleure façon de faire déguster un poisson de façon parfaite.

La nature humaine, le point de vue du Docteur Sangsue




Dans un de mes articles précédents : "Parfois, n’explique pas au malade tu fera" , un de mes lecteur assidu, alain pour ne pas le citer, m'a fait une remarque pertinente.

Je le cite : "aurais tu perdu la foi ?".

Oui et non. Oui, mais d'une façon tout à fait différente.

Ce qui est sûr, c'est que j'aime toujours autant mon métier.

C'est étrange, mais c'est avec la littérature que je vais appréhender ma conception de l'exercice de la médecine.

On aborde souvent ce métier avec une grande part de dévouement qui est entretenu par la littérature, pas forcément de bonne qualité, je veux parler d'A.J. Cronin, un auteur écossais , qui a écris un de ses livre les plus connus : "les clés du royaume". Dans ce livre, Cronin décris un monde idéaliste de la médecine et pas du tout réaliste.

Quand on a pris goût au style de Maupassant et de Céline, et de John Irving pour ne pas les citer, on devient très exigeant vis à vis des écrivains.

Il y a un type de littérature, tout à fait à part qui ne se pique pas de style, le roman policier. Il faut citer Conan Doyle,  un auteur lui aussi écossais, qui, avec son personnage de Sherlock Holmes, décrit de façon prémonitoire, la police scientifique.

Cet auteur, donne à son personnage une capacité de description très fine des événements et des humain, c'est une sorte de profileur.

Ce qui est fascinant, c'est que son don d'observation est la démarche que doit avoir tout médecin, la démarche sémiologique.

Conan Doyle n'abordait pas le métier de médecin comme une profession de dévouement.

N'oublions pas que Conan Doyle était médecin.

Son abord vis à vis de l'humain, s’approche furieusement de celle de Maupassant qui décris sans pitié la vraie nature humaine.

Un vrai écrivain avec un style à part, John Irving,  a un abord plus humain et très réaliste du médecin. Notamment dans son livre, pas forcément le plus connu, "l’œuvre de dieu la part du diable" -.

C'est maintenant, comme cela que je conçoit mon métier avec une certaine froideur vis à vis de l'espèce humaine.

L'espèce humaine ne respectant plus ni le médecin ni le savoir qu'il représente. A la limite, le médecin pourrait être respecté, en ce monde matérialiste par ce qu'il gagne, mais, ce n'est pas malheureusement pas le cas, comme le croient à tort, la majorité des gens. Sauf bien sûr chez quelques médecins, notamment les médecin pratiquant les médecines douces pouvant se permettre des dépassements d'honoraires.

Il ne faut pas s'attendre que le médecin n'est plus envie de se "dévouer" pour ce types de gens.

Pour ce qui est de l'espèce humaine ma conception se résume en peu de chose.

Pour moi, 90 % sont des nuisibles profiteurs et sans scrupules, 10 % sont des indifférents qui, eux, nuisent par leur inaction laissant faire des situations à risque et 1 % sont des gens exceptionnels entièrement désintéressés et aidant les autres.

C'est en ce sens qu'alain parle certainement de perte de foi ?