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02/06/2012

Le papier d’Arménie




Dernièrement, dans une quincaillerie "new style", j’ai découvert quelque chose dont j’avais entendu parler, il y a longtemps, le Papier d’Arménie.

C’est une feuille que l’on laisse se consumer et qui dégage des vapeurs désinfectantes et avec une délicate odeur de benjoin.


On doit cette invention au Docteur Auguste Ponsot, qui avait remarqué que les Arméniens faisaient bruler du benjoin pour désinfecter et parfumer leur intérieur. Il eu l’idée d’utiliser la résine de benjoin dans une feuille de papier.

Le papier d’Arménie était né.

Le papier d’Arménie, en outre est «écologique par rapport aux bombes odoriférantes ; il ne contient pas de gaz propulseur et dégage très peu de benzène et de formaldéhyde comparé à l’encens.

Alors, à vous d’utiliser le papier d’Arménie.


Pour survivre, les quincailleries qui restent, ont été obligées de se mettre au goût du jour et de présenter, à la vente, des produits que l’on ne trouvait pas, autre fois, dans ce commerce : des sacs, des foulards, de bijoux de pacotille, mais il reste, aussi encore les produits classiques des quincailleries d’antan. On y trouve, aussi, et surtout le conseil judicieux, avenant et personnalisé, avec, en plus, un contact chaleureux. On ne trouve pas cela dans les grandes surfaces généralistes type Auchan, Carrefour etc…

Je ne sais pourquoi j'ai toujours aimé flanner dans les quincailleries.

 

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