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03/06/2016

Mignon de porc à la bière et aux brocolis

Ingrédients pour quatre personnes :

- 1 mignon de porc de 800 g
- 1 petit bol d'oignons surgelés
- 1 brocoli
- Une demie canette de bière
- Huile de Tournesol
- Sel
- Poivre

Préparation :

Dans une cocote minute, faites dorer à feu vif le mignon de porc dans de l'huile de tournesol. Réservez.

Puis faites revenir l'oignon en déglaçant le fond de la cocotte.

Déglacez l'oignon avec la moitié d'une canette de bière.

Remettez le mignon de porc.

A l'étage au dessus de la cocotte minute, disposez le brocoli coupé pour le faire cuire à la vapeur.

Refermez la cocotte minute et faites cuire dix huit minutes à partir du moment ou tourne le "bidochon".

Dégustation:

A servir avec une bière ambrée.

02/06/2016

Château Bel Air Haut-Médoc Cru Bourgeois

 


Le domaine Château Bel Air est rattaché au groupe « Domaines Henri Martin ».

En lisière de Saint-Julien Beychevelle, en bordure de la Gironde, c'est à Cussac que se situe le Château Bel Air. Ce cru bourgeois Haut-Médoc a été acquis par la famille Martin en 1980.

Les vendanges sont manuelles et la vinification est conduite par la même équipe que celle des châteaux Gloria et Saint-Pierre (deux crus réputés de Saint Julien).

La superficie est de 34 hectares. Le Vignoble a une moyenne d’âge de 30 ans. L’Encépagement est fait de 75% Cabernet Sauvignon, 23% Merlot, 2% Cabernet Franc. Les vendanges sont manuelles. Les cuves sont en inox avec thermo-régulation. La vinification est traditionnelle avec macération finale longue. L’élevage est fait en fûts de chêne pendant 12 mois. Les barriques sont renouvelées à 25% tous les ans.

Le château Bel Air possède une robe très élégante, d'une couleur pourpre intense. C‘est un vin qui a du corps avec des tannins bien extraits. Il est assez long en bouche.

Un excellent vin pour 12 €.

Idéal sur une entrecôte bordelaise.

 

Site Internet : Chateau Bel Air

31/05/2016

La rue aux volets clos

 

 
Dans la rue où j'habite, depuis pas mal de temps, déjà, un phénomène étrange s'est produit.

Dans la rue où j'habite, pratiquement tous les volets sont clos.

Cela donne une impression étrange et macabre, une impression de rue morte.

Comment en est on arrivé là ?

Avant, tous les volets était ouverts. La rue était joyeuse, souriante et pleine de vie.

Quelle tristesse désormais.

Cela est-il la traduction de la morosité de notre société actuelle ?

Allez donc savoir.

Quoi qu'il en soit, quand je rentre chez moi, un malaise s'empare de moi.

30/05/2016

Une fausse appendicite, mais une vraie souffrance morale

 


Coup de téléphone en pleine consultation : « Quand pourrais-je vous amener mon fils ? »

La consultation étant libre, je lui réponds qu’il pouvait passer quand il le voudrait.

Rrivé en consultation, e père m’expose le motif de leur présence.

Son fils, depuis une semaine, se plaint de maux de tête, mais, surtout,de douleurs abdominales.

La première des choses à faire, en l’espèce, c’est d’éliminer une appendicite.

Ce qui fut fait : pas de douleur à la palpation de la fosse iliaque droite, pas de douleur à la levée de la jambe droite et pas de douleur impulsive à la toux dans la fosse iliaque droite.

Il restait, alors, l’hypothèse la plus probable : le « Stress ». S’ouvre la porte d’une maladie psycho somatique. Ou plutôt, dans ce cas, d’un mal être.

Mot difficile à cerner surtout chez un patient que l’on voit pour la première fois.

Dans ce genre de situation, en prenant de l’âge, je deviens de plus en plus prudent dans mes propos. J’aborde le sujet en marchant sur des œufs. Je demande si il n’y a pas de fatiges de situation stressante, pas de surcroit de travail, de façon à ce que le patient n’ai pas l’impression qu’on lui saute dessus.

Cependant, dans ce cas, ce ne fut pas trop difficile. L’enfant de treize ans me dit qu’effectivement, il était stressé sans trop savoir me dire pourquoi.

Le père me dit que, dernièrement, avec sa femme, l’adolescent avait pu discuter. J’appris par la même occasion que les parents étaient divorcés.

Je parlais, alors, de savoir si une consultation spécialisée pouvait être envisagée, sans en dire plus cependant.

Cela ne fut pas rejeté, ni par le père ni par l’adolescent.

Une autre question : les reverrais-je ?

Certainement pas.

Mais j’espère ne pas les avoir bloqués dans la démarche d’aller consulter un péso-psychiatre.