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25/06/2015

Cuisse de dindonneau sur son lit d’échalote façon Docteur Sangsue

 

 

Je me suis inspiré, pour cette recette simple, de la cuisson de la dorade au four.

Ce plat a l'avantage d'être très économique.

Ingrédients pour 4 personnes :
 -1 cuisse de dindonneau de 1 Kg
 -2 gousses d’ail
 -4 échalotes
 -2 verres de vin blanc
 -1 pulvérisateur d’huile d’olive
 -1 fiole de citron liquide
 - Sel
 - Poivre


Préparation :
Sur la face chair, faites deux entailles profondes au couteau puis, sur la même face, deux entailles sur le pilon, de chaque côté de l’os.

Dans un bol, préparer un mélange poivre et sel que vous enfoncerez, deux fois, dans les entailles.

Coupez les deux gousses d’ail en deux, insérez les profondément dans les entailles jusqu' a a ce qu’elles disparaissent totalement.

Avec le reste de poivre et sel, saupoudrez la cuisse. Pulvérisez d'huile d'olive et de citron.

Napper le plat du vin et des échalotes ciselées puis déposez la cuisse, salez, poivrez, pulvérisez d’huile d’olive et de citron.

Retournez la cuisse coté peau salez, poivrez, pulvérisez d'huile d'olive et de citron.

Cuisson :
45 minutes au four.

Dégustation :
Avec des tagliatelles fraîches ou des pâtes. Napper avec le jus de cuisson sans oublier les échalotes.

En boissons : Je vous conseille un vin blanc sec, type Entre-deux-mer ou Muscadet-sèvre-et-maine.

Régalez vous.

23/06/2015

Un pâté halal


Il m’arrive, les soirs d’insomnie, de regarder des documentaires.

Comme je m’intéresse plus particulièrement à la cuisine, je regarde, avec attention, tout ceux ayant trait aux aliments et à leurs assemblages dans les différents mets industriels servis dans les étalages de nos supermarchés qui terminent dans notre assiette.

Ce type d’émissions, apprend à décrypter avec attention ce qui est caché derrière le produit, sa vraie composition derrière le nom ronflant de la belle étiquette.

Dernièrement, ma tendre et douce, ramena à la maison, un assortiment de petites boites de pâtés de canard de fort bon aloi.

Gustativement parlant, ce n’étêtait pas mauvais du tout.

Aussitôt, ma curiosité me taraudant, je me jetais derrière l’étiquette du joli canard.

Et là, surprise, certes il y avait du canard, mais vingt pour cent seulement, le reste étant composé de viande de porc, de foie de porc, de liant mais aussi, naturellement, du condiment l’accompagnant, peu certes.

Je comprends, maintenant, l’existence des boutiques et des magasins halal.