24/01/2012
Marché noir
J’ai bien peur que ceux qui lisent cet article, me taxent d’affreux raciste nationaliste ; j’aimerai avoir l’esprit de Desproges, ou les rimes de Brassens, pour pouvoir, éventuellement, répondre à ces gens « bien pensant ».
J’ai, dans ma clientèle, un patient blanc, pardon, un homme sans couleur, qui, célibataire, à cinquante ans, s’amouracha d’une jeune femme noire (pardon de couleur), grande et costaude, de vingt cinq ans, déjà mère de deux enfants d’une huitaine d’années.
Lors d’une réunion de famille, avec son frère et sa femme, elle lâcha un « on va vous manger » qui resta incompris.
Elle s’était soit disant mariée, avec un blanc dont elle s’était séparée (ses enfants, elle les avait eue en Afrique).
Vint le jour du mariage… En Afrique, à l’Ambassade de France (pourquoi ? Y aurait-il une raison juridique cachée) ?
Madame fit venir ses enfants en France ; cela tomait bien, car, Monsieur n’ayant pas d’enfant, et ne pouvant pas en avoir, avait enfin la possibilité de fonder une vraie famille.
D’abord, il reconnu les enfants de la mère et apporta, d’ailleurs, à ceux-ci la stabilité nécessaire au bon développement et à l’éducation enfantine ; Madame, n’ayant visiblement pas la fibre maternelle.
Puis, petit à petit, la situation du couple se dégrada. Madame buvait beaucoup de champagne, avec ses copines, puis elle dû boire avec un copain, car, résultat des courses, elle cocua son mari, une fois, deux fois et puis chez lui, où il vint, même, séjourner, à domicile, c’est quand même plus pratique.
Il faut dire qu’il arrivait à Madame de… battre Monsieur, celle-ci étant beaucoup plus grande et plus forte que Monsieur. Logiquement, Monsieur avait peur de Madame et de ses réac tions imprévisibles.
La situation s’envenima tellement, que vint le temps du divorce, avec, comme corollaire, le versement d’une pension alimentaire bien méritée.
In fine, mon patient versa une pension alimentaire à Madame, celle-ci lui laissant ses deux enfants. C’est lui qui, maintenant, les élève tout seul, tout le monde, (mon patient et ses deux enfants), tout le monde est, enfin, au calme.
Certes, il est vrai que Monsieur a un sens à sa vie en élevant ses enfants.
J’ai entendu parler, autour de moi, de cas similaire d’aventurières, adeptes de Rastignac, venues d’Afrique pour conquérir la France. Je ne veux pas dire que ce genre de situation est généralisée, il y a, parfois, des unions réussies, mais c’est l’exception qui confirme la règle.
Je ne porte pas de jugement, ce n’est pas mon métier. Je décris simplement les faits.
Non je ne suis pas raciste ni nationaliste.
Vous ne me croyez pas ?
Une autre de mes patientes vient me voir, pas bien du tout, elle déprime sec. Son mari l’a laissée tombée, elle et ses trois enfants, pour une jeune femme « de couleur » qui accoucha, d’ailleurs, d’un enfant dont le mari de ma patiente n’était, bien évidemment, pas le père, celui-ci reconnu l’enfant ; la mère est en attente de « ses papiers ».
Je n’ai absolument aucun commentaire à tirer, j’ai, d’ailleurs dans ma clientèle, un homme noir qui a fui son pays pour des raisons de sécurité dues à la guerre civile. Il est titulaire d’un Doctorat en Géographie, il vit en situation régulière, mais a un travail déclassé par rapport à son niveau d’étude… sa fille ainée est infirmière.
Alors que dire ? Es-ce un juste retour de l’esclavagisme et du « commerce triangulaire » dont les armateurs firent leur richesse et celle des ports de transit.
Peut on rattacher ça a « l’arnaque Africaine » qui, il y a peu, pourrissait les mails ?
Je pencherai plutôt pour la version Rastignac, des aventurières arrivistes sans scrupule.
Il y a bien des blanches (et des blancs) comme cela, après tout…
Comme quoi, dans la vie, il vaut mieux perdre sa naïveté d'enfant.
09:13 Publié dans Anecdote, Internet, La pensée du jour, Médecine, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (2)
23/01/2012
Quelques confessions "intimes" en réponse à un tag
Je réponds ainsi au tag de Lou. Par contre je ne fais le tag qu'au 3/4 car je ne sais vraiment pas qui contacter, enfin, c'est déjà pas mal.
Réponses aux questions :
Décris toi en 2 mots : curieux de tout et esprit farfelu (pas dans le métier).
Que nous dirais ta meilleure amie sur toi là maintenant : « Tu n’a pas changé » (air connu).
Un de tes meilleurs souvenirs : Mes rencontres avec ma seconde épouse (on n'habitait pas la même ville et on se voyait régulèrement).
Quelle est ta passion ou hobbies : La Médecine, la Micro Informatique (on s’en serait douté) mais aussi, la cuisine (faire la cuisine), la connaissance et la dégustation des vins. La marche dans la nature.
Quel est ton film préféré ? Et pourquoi : il n’y en a pas qu’un, ce n’est pas possible : Le bal des vampires de Roman Polanski, le dernier tango à Paris, Délivrance, le cinquième élément, vol au dessus d’un nid de coucou, le silence des agneaux, Blow up, les sept péchés capitaux, sans oublier… Emmanuelle et... Les temps modernes, le dsictateur de Charlie Chaplin, les films de Max Linder ; dans un autre registre, les tontons flingueurs, la grande vadrouille et le gendarme à saint tropez et j'en oublie...
Quel est ta série préférée ? Et pourquoi : Scènes de ménage, le couple de « vieux » (avec Gérard Hernandez, sa partenaire, Marion Game, est aussi décapante que lui) sont si jeunes et si imaginatifs dans leur « méchanceté » bon enfant.
Quel est ton plat préféré : L’entrecôte bordelaise à l’échalote et au sel gris de l'Île de Ré mouliné au moulin le tout cuit au barbecue. Une entrcôte de la Bazadaize, bien persillée et maturée (vieillie un peu gentiment dans la chambre froide du boucher pour qu’elle ait du goût) avec le gras bien sûr, accompagnée de frites maison et d’un bon Médoc.
Quel est ton pécher mignon : Inventer des histoires farfelues qui se tiennent, avec un fond de vérité et de véracité et avec une proposition vraie, le tout pour proposer trois solutions à une question à ma partenaire qui doit trouver la bonne. La plus part du temps je gagne. Je dois reconnaître que je suis assez imaginatif.
Quel est ta citation préférée : Malheureusement j’en ai trois « La médecine, c’est un métier, ça s’apprend », « On ne fait bien que ce que l’on fait souvent où alors il faut y passer du temps » (et comme le temps c’est de l’argent, ce n’est pas rentable) et la dernière, ma préférée : « Un peu de culture ne nuit pas, cela évite de mourir idiot… Et de passer pour un sot ».
Quel achat de rêve aimerais-tu faire et qui ne sera jamais possible : Un bel Ordi tout neuf avec un très bon processeur, je ne sais pas pourquoi, mais chaque fois que j’y songe, quelque chose m’empêche, j’jusqu’a présent de réaliser ce « petit » plaisir crapuleux.
Où seras-tu dans 10 ans : Peut être à la retraite, peut être pas… J’ai peur de m’emmerder.
Les questions auxquelles il faut répondre
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? : Médecin à ses heures et fondu de Micro Informatique, avant j’ai beaucoup étudié et beaucoup lu, sur le tard, de la « bonne « littérature. J’ai appris la Psychiatrie… dans les bouquins.. .J’ai un certain côté autodidacte.
Si je vous disais de faire un vœu ; lequel serait-il ? Que l’on arrête de ma pourrir la vie, dans la vie de tous les jours sous prétextent d’écologie et qu’on arrête d’entasser les habitant dans des mégalopoles, Paris n’est pas forcément un exemple à suivre.
Pouvez-vous vous décrire en quelques mots ? Simple, gentil, mais, quand on me fait un coup vache, je suis très rancunier ; je suis comme la mule du pape, je sais attendre : la vengeance est un plat qui se mange froid.
Merci de confesser une mauvaise action ou quelque chose dont vous n'êtes pas très fière : Euh, je suis parfait, je ne fais que des erreurs bien involontaires et comme «errare humanum est».
Quelle ville est pour vous la capitale de la mode ? Perpignan, car, selon Dali, la gare de perpignan est le centre du monde.
Quel créateur (créatrice) de mode vous inspire le plus ? Karl Lagerfeld – J’adore le personnage – son intelligence – et en plus, cerise sur le gâteau, c’est un très bon photographe.
Qui est votre "icône mode" ? : j’avoue humblement que je ne suis pas un spécialiste de la mode, mais pour en revenir à Blow Up, je pense à Mary Quant et à l’invention de la minijupe.
Quel est votre geste/rituel beauté du soir ? : C’est plutôt confort du soir : enfiler mon pyjama et mes sandales (je sais c'est pas rés érotique, mais c'est trés confortable après une dure journée de travail, heureusement mùa femme est pareille).
Votre tenue shopping c'est plutôt "legging+ tunique+ bottes", "boyfriend+ basic+ ballerines" ou autre ? : Pantalon Chemise Veston, en fait, assez souvent c’est ma femme qui m’achète mes vêtements, et je dois reconnaître qu'elle à bon goût, certainement plus que moi.
En semaine, préférez-vous porter un sac à main de petite taille ou un gros sac à main fourre tout ? Je porte toujours, tous les jours une sacoche en bandoulière, cela m’évite de passer mon temps à chercher mes affaires… ;-)
Je n'aime pas les doudounes ; et vous, quelle vêtement ou accessoires n'aimez-vous pas ? : J’aime être à l’aise dans mes vêtements, avec des vêtements « ergonomique » (çà, c’est bien une attitude de mec).
« Délivrance » : un film et... Une musique...
15:46 Publié dans Anecdote, Internet, Potins, Société, Web | Lien permanent | Commentaires (1)