16/05/2016
La fraise de ville et la fraise des bois
Il est commun de voir, dans les grandes villes, pousser des plantes, principalement au pied des murs des maisons.
A tel point qu'à Grandville, il est de mode, maintenant, de faire un trou devant les maisons aux propriétaires qui sont volontaires pour faire pousser quelques plantes.
On voit, ainsi, fleurir, parfois, des roses trémière qui sont, plutôt, il faut bien le dire, l'apanage de la Charente-Maritime.
On voit ainsi, outre quelques plantes sauvages, que je ne connais point, des trèfles et une, comestible, enfin comestible, plutôt point avec la pollution et... des chiens qui font leurs petits besoins, une salade, le pissenlit.
Oui, une plante comestible dans les rues de Grandville !
Dernièrement, en me promenant dans les rues de Grandville, mon regard fut attiré par une note rouge au milieu de vert.
De plus près, une surprise m'attendis...
Non pas des fraises des bois, mais des fraises des villes.
P.S. Mon article me fait songer à un autre de 2011 : "Les corbeaux dans la ville".
Dans cet article, j'évoquais le peuplement des oiseaux dans Grandville.
17:48 Publié dans Anecdote, Ecologie, La pensée du jour, Potins, Science, Société, Voyage | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
et maintenant tu ramènes ta fraise ?
Écrit par : alain | 17/05/2016
@alain - C'est un peu vrai ;-). Mais ce que je dis n'est pas du toc, c'est authentique.
Écrit par : Dr Sangsue | 17/05/2016
Du pisenlit? J'en ai pleins dans mon jardin. Cela pousse comme la mauvaise herbe!
Bonne journée
Écrit par : Chantal | 17/05/2016
@Chantal - Tu as entièrement raison. Le pissenlit pousse comme du chiendent ;-).
ceci-dit, j'aime bien, en salade, le pissenlit des champs.
Écrit par : Dr Sangsue | 18/05/2016
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