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17/11/2022

No bra, un phénomène qui prend beaucoup d’ampleur

Animation et « No bra » (GIF rajouté en 2° lecture)

Thélotisme et « No bra »


Pour changer du sérieux de mon article précédant, voici un article plus léger.

Un sujet limite, limite.

Depuis déjà plus de deux mois, je regarde d’un œil amusé et, je dois l’avouer, un peu… coquin.

Un nombre important de jeunes femmes déambulent dans les rues de la Grande Ville sans… soutien gorges. Ceci mettant en évidence, outre une « certaine » animation (1 GIF rajouté en deuxième lecture), assez souvent, une propriété de la poitrine : le thélotisme.

Le long été indien qu'à connu la Grande Ville à joué, pour beaucoup, au succès du No bra.

Mais d’où peut bien venir cet engouement soudain pour un tel comportement ?

Boostée par les confinements lors de la pandémie de Covid-19, la tendance dite du « No Bra », qui laisse au placard le soutien-gorge, a gardé ses adeptes. Au point que l’Hexagone est le pays où l’on compte le plus de femmes qui n’en portent pas par rapport à ses voisins européens.

Il faut noter que ce phénomène n’est pas récent. Mais, actuellement, dans la Grande Ville, il prend beaucoup d’ampleur.

Mais avec l’arrivée de l’hiver (et du froid), nul ne sait si ce mouvement va perdurer.

Quid du printemps prochain ?

Un micro-trott.


Pour ou contre le sans soutif ?

Une étude sociologique « poussée » du « No bra ». Une vidéo de 25 minutes.


Le No bra : liberté ou phénomène de mode ?

 

Références :

 - No bra

 - Journée mondiale sans soutien-gorge : 6% des Françaises n'en portent plus du tout

 - Elles ont abandonné le soutien-gorge : les Françaises à l’avant-garde du «no bra»

 - Thélotisme

16/11/2022

Pourquoi y a-t-il une pénurie de médecins en France?

Je précise mon cursus :

1972 - Reçu collé (j’ai la moyenne mais suis collé par le numérus clausus).

1973 - Redouble et est reçu en 2° année.

1981 - Installation en libéral (Médecine Générale).

2017 - Retraite (36 ans de bons et loyaux services).

Ces dates collent à cette vidéo très récente (elle date d’octobre 2022) et fort bien faite du journal « Le Monde », qui explique , avec pertinence, la cause des « Déserts Médicaux ».

On y voit l’analyse prospective catastrophique appliquée par les politiques avec la création du numérus clausus en 1971. 

Pire que le numérus clausus, l’instauration, en 1988, du MICA (Mesure d’Incitation à la Cessation d’Activité) départ à la retraite pour les médecins avant l’âge de 65 ans, non citée dans la vidéo, complétant encore, la diminution du nombre des médecins.

J’ai vécu ce MICA après 8 ans d’installation (en 1988), par le départ en retraite, avec un « petit » pécule, d’un confrère de la commune ou j’exerçais.

Pourquoi ces mesures ?

Elles datent du premier choc pétrolier en 1979.

L’hypothèse, fallacieuse, exploitée disait que, moins il y a de médecins, moins il y a de prescriptions médicales !

C’était, en plus, sans compter le vieillissement de la population (papy boom) qui accroit le nombre des consultations médicales.

P. S. : Ce sujet est abordé dans un article récent sur le Blog Médical ami, Le Rhinocéros Regarde la Lune, sous le titre « Gros foutage(s) de gueule » notamment sous l’angle d’inciter les médecin à l’âge de la retraite de continuer leur activité.

Nota : Il n’est pas dit, dans cette vidéo, le nombre, non négligeable, d’étudiants (médecins, kinés) faisant leur cursus en Espagne.

 

Références :

 - Numerus Clausus : histoire d'une réforme dévoyée puis contre-productive

 - MICA

- Rejoindre un cursus de médecine en Espagne : mode d’emploi

15/11/2022

Dans la Série « Mes articles en vidéo » - L’histoire du Meccano en vidéo

 

Aujourd’hui l’histoire du Meccano en vidéo.

 

Référence :

 - Meccano