Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/06/2025

la vie des mouches en 300 mots : article rédigé par l’intelligence artificielle Perplexity

Ce type d’Intelligence Artificielle (Perplexity), est « un moteur de recherche conversationnel basé sur l’Intelligence Artificielle ». Perplexity est devenu un concurrent, direct, de Google, car cette IA conversationnelle, fait une synthèse de plusieurs sites glanés sur la toile et… Rédige l’article. Google ne faisant que chercher ces sites, laissant le soin, au lecteur, de faire le tri et la synthèse et… La rédaction. Quel temps gagné (Il n’y a plus qu’à … Contrôler) ! La révolution de l’IA me fait songer aux débuts de l’Informatique et des chamboulements qu’elle a provoqués.


Je republie cet article, sous un autre titre (le titre précédant, qui se voulait racoleur était : « la vie sexuelle des mouches en 300 mots », car comme je le précise dans mon « article du : « Suppression forcée d'un article effaçant l'autre », j’ai eu un « petit » gag dans la publication de cet article qui m’a effacé l’article précédant « Le concombre masqué ». Voici l’article qui devait passer :


Il fallait bien, un jour, que cela arrive. Il fallait bien, un jour, que j’utilise mon IA Perplexity, pour faire comme certains écoliers, lycéens, étudiants et... autres : pour rédiger un article dans son intégralité. Je me paye, aujourd’hui, ce luxe de laisser travailler, à ma place, Perplexity, pour vous démontrer l’efficacité de celle-ci. Seul le titre, que j’ai voulu racoleur, est de moi.

A toi, Perplexity.

« La vie sexuelle des mouches est d’une étonnante complexité, mêlant stratégies de séduction, compétition féroce et adaptations évolutives remarquables. Chez la mouche domestique (Musca domestica) comme chez d’autres espèces, la reproduction commence souvent par une phase de rivalité entre mâles, qui s’affrontent par des duels aériens, des postures intimidantes ou même des combats physiques pour gagner l’accès à une femelle. Chez certaines espèces, les mâles développent des adaptations anatomiques pour mieux saisir ou repousser leurs concurrents.

La séduction prend aussi des formes variées : chez la mouche du vinaigre (Drosophila melanogaster), le mâle exécute une danse nuptiale en vibrant des ailes pour séduire la femelle, qui choisit son partenaire selon la qualité de la prestation et des phéromones émises. D’autres espèces, comme les mouches empidides, offrent des cadeaux alimentaires à la femelle pour augmenter leurs chances de s’accoupler. Chez la mouche danseuse (Rhamphomyia longicauda), c’est la femelle qui parade, gonflant son abdomen d’air et exhibant des poils pour paraître plus désirable, inversant ainsi les rôles traditionnels de séduction.

L’accouplement, selon les espèces, dure de quelques minutes à plus d’une heure, le mâle restant parfois attaché à la femelle pour garantir la fertilisation. Certaines mouches, comme la mouche de l’olive, déposent un bouchon de protéines dans le tractus reproducteur de la femelle pour empêcher la concurrence spermatique. Les femelles pratiquent souvent la polyandrie, s’accouplant avec plusieurs mâles pour maximiser la diversité génétique de leur descendance.

Enfin, les femelles disposent d’une spermathèque, une structure où elles stockent les spermatozoïdes et choisissent le moment optimal pour la fécondation, selon les conditions environnementales. Chez les drosophiles, des études montrent même que l’éjaculation procure un plaisir mesurable, suggérant une dimension sensorielle à l’acte sexuel chez ces insectes. La sexualité des mouches, loin d’être triviale, révèle une diversité de comportements et d’adaptations fascinantes ».

Une vidéo non générée par IA, mais bien extraite de YouTube. BIZZZZ…