06/10/2010
Dyspraxie, un médecin ne peux diagnostiquer que ce qu'il connaît
J’ai vu ce gamin de treize ans de façons épisodiques.
Disons que la mère pourrait être atteinte d’un Etat de Stress Post Traumatique, ou quelque chose dans ce style.
La dernière fois que j’ai vu ce gamin pour des problèmes d’adaptation, je l’ai envoyé à un pédopsychiatre.
La mère et l’adolescent reviennent me consulter. La mère de me dire qu’après trois moi de suivi psychiatrique, rien de concret ne s’est passé.
Une voisine, confrontée certainement au même problème, lui parle, alors, de dyspraxie.
La mère, qui est infirmière, vient me voir avec deux livres sur le sujet, et il faut bien le dire que cela y ressemble bougrement.
Je fais donc une lettre pour un neuropédiatre du CHU de la grande ville.
Attendre et voir.
Conclusion, on ne peut diagnostiquer que ce que l’on connaît et il faut aussi écouter ses patient, car ils ont, parfois, le bon diagnostic.
20:11 Publié dans Anecdote, La pensée du jour, Médecine, Santé | Lien permanent | Commentaires (0)
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