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01/07/2012

Reconnaissance vocale



Je suis l'heureux possesseur d'un Smartphone, un STARADDICT*.

Le système d'exploitation de ce merveilleux engin, un petit ordinateur en soi, s’appelle Androïd, il est conçu par Google. Androïd est un logiciel libre.

Dernièrement, par accident, je découvris, sur cet engin, le pouvoir magique de la reconnaissance vocale.

Fascinant, purement fascinant !

Au lieu de passer son temps à taper, effacer, retaper, effacer, retaper pour faire peu de texte alors qu’en quelques secondes, quelques mots prononcés c'est fait. Magique, non ?

Au niveau historique, les premiers travaux efficaces sur la reconnaissance de la parole datent de 1952. Ce système électronique a été développé par Davis, Biddulph et Balashek aux laboratoires Bell Labs. Durant les années 1970 avec les travaux de Jelinek chez IBM (1972-1993). La société Threshold Technologies fut la première à commercialiser, en 1972, un système de reconnaissance d'une capacité de 32 mots, le VIP100. Wikipedia.

Dans le temps, j’avais essayé LE Logiciel de reconnaissance vocale : Dragon Naturally Speaking*. Il s’intègre automatiquement dans Word. Il fallait, cependant, lire un assez long texte pour que le traitement vocal soit efficace, quand à l’intégrer à mon Logiciel Médical, il fallait payer pour l’interface logicielle. J’ai laissé tomber.

Par contre, j’ai été littéralement scotché par l’efficacité de la reconnaissance vocale de mon Smartphone STARADDICT*.


 

P.S. : Il existe maintenant une version 10 de DRAGON NATURALLY SPEAKING*, qui a dû bien améliorer les choses.

Quelque petites considérations basiques et anecdotiques sur l’art de déguster les vins





Lors de mon voyage en corse, j’ai été un peu déstabilisé par le vin.  Il n’y a pas de secret, pout boire du bon vin, il faut y mettre un peu le prix. Il faut compter entre 10 et 15 €. Je reconnais assez bien les vins prés de Grandville. Ces vins sont assemblées c'est-à-dire multi cépages. En corse, tout comme en Bourgogne, les vins sont mono cépages.

Par conte, j'ai eu la possibilité de déguster, et d'acheter deux bouteilles d'un trés bon vin blanc "vieilles vignes".

Cela est l'aspect logique de la façon d'aborder le vin on pourrait presque dire la façon scientifique de déguster le vin.

Mais dans certains restaurants existent une pratique magique d'une sorte de dégustation pseudo « Vignale ».

Dans un restaurant au cadre rustique le serveur nous fit un baratin magique sur le vin en carafe qu'il nous servait il nous dit pour l'instant n'y touchait pas attendait le premier plat. Puis il rajouta vous verrait ainsi évoluer le vin tout au long du repas. Cela n'est pas entièrement cependant au milieu du repas ce garçon œnologue remplis à ras bord la carafe à moitié vide comment voulez-vous sentir l'évolution de maturation du faire grâce à son oxydation si l'on vous reverse un vin neuf. Mauvais point pour ce garçon et son restaurant. On n'a pas le droit de mentir aux clients.

Dans le même or d'idée, je suis retourné, récemment, dans un restaurant qui a la particularité de ne donne pas la culbute de 3 fois le prix du vin, le vin et tant servi presque à prix coûtant, quoique…

En règle générale, pour ce qui est de la température, le vin blanc se déguste entre six et huit degrés. Le rouge lui se déguste plus haut entre 16 et 18 degrés.

En choisissant mon vin je tombais sur un thermomètre qui marquait, allégrement, 25degrés.

Le vin, tout comme la cuisine et la médecine, c’est logique, pas besoin de magie pour faire rêver le consommateur.