25/12/2021
Bûche de Noël cuisine minceur
Dans mon article « Mémoire de la cuisine française - Michel Guérard » je parle de la nouvelle cuisine et plus précisément de Michel Guérard et de son concept de « cuisine minceur ».
Je dois reconnaître que la dernière bûche de Noël que j’ai dégusté hier s’adaptait parfaitement au concept de Michel Guèrard. D’abord elle était succulente, mais, comme particularité, le sœur de celles-ci était comme du baba au rhum (mais aromatisée au café) ce qui allégeait considérablement la bûche qui n’était que recouverte de crème au beurre.
Un régal.
19:53 Publié dans Anecdote, Cuisine, Culture, Gastronomie, La pensée du jour, Potins, Santé, Société, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
24/12/2021
Réveillon de Noël 2021 : Coq au vin rouge à la cocotte minute façon Docteur sangsue
8 personnes
Préparation : 25 min
Cuisson : 35 min
Ce soir, pour le réveillon de Noël, j’ai préparé, ce matin, un coq au vin à ma façon. Je vous livre ma recette.
Pourquoi "coq au vin rouge" car le coq peut, aussi, se cuisiner au vin blanc.
INGRÉDIENTS
• 2 kg de coq en morceaux
• 200 g de champignons en quartiers
• 100 g de lardons non fumés
• 1 bouteille (75 cl) de vin rouge corsé
• 2 cuillères à soupe de farine
• 2 gousses d'ail écrasé
• 1 grand verre de Cognac
• 2 cuillère. à soupe. d'huile
• 1 oignon haché
• 1 bouquet garni
• 5 branches de persil
• Sel fin et poivre du moulin
PRÉPARATION
Faites découper la bête par votre boucher
Dans l'autocuiseur, mettez l'huile et faites revenir les lardons.
Réservez.
Faites dorer l’oignon coupé en cube.
Réservez.
Faites dorer les morceaux de coq en les salant et poivrant.
Remettez les lardons et l’oignon dans la cocotte.
Singez avec la farine.
Faites chauffer le cognac dans une petite casserole, enflammez-le, et versez-le dans la cocotte puis remuez avec une grande cuillère en bois (pour ne pas se brûler).
Une fois les flemmes éteintes, versez le vin, rajoutez l’ail écrasé , le bouquet garni et le persil.
Fermez la cocotte minute et laissez cuire 30 minute dés rotation de la soupape. Baissez alors le feu au minimum (pour pas que la préparation crame au fond de la cocotte).
Au bout des 30 minutes, ouvrez la cocotte et versez les champignons.
Refermez la cocotte et laissez cuire, à nouveau, 5 minute dès rotation de la cocotte (toujours, en baissant le feu au minimum).
Une fois la cuisson terminée, ouvrez la cocotte et versez, dans une grande soupière, le contenu de la cocotte.
Servez bien chaud.
ACCOMPAGNEMENT
Légumes Pommes de terre vapeur, purée de pomme de terrer maison voire pâtes fraîches.
Vins : un vin rouge tannique et puissant de Bordeaux. Choisissez les grands crus comme un Saint-Emilion, un Médoc, un Moulis, un Listrac-Médoc
Il ne faut pas faire mariner la viande car cela la durcit. L’explication dans la vidéo de Thierry Marx.
Voici une vidéo, elle n’est pas parfaite, c’est, simplement, pour vous donner une idée.
Je vous souhaite un bon réveillon de Noël et plein de cadeaux sous le sapin, un vrai sapin.
20:23 Publié dans Actualité, Cuisine, Fête, Gastronomie, Loisirs, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
22/12/2021
Vacances de Noël 2021 : le vrai départ
Enfin le vrai départ !
16:31 Publié dans Fête, Loisirs, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce n'est pas Benjamin Franklin qui a inventé le paratonnerre
Václav Divíšek (Procopius Divisch) le vrai inventeur du paratonnerre
Le paratonnerre est un dispositif conçu afin d'« écouler à la terre le fluide électrique contenu dans le nuage orageux et ainsi empêcher la foudre de tomber ». Selon l'histoire officielle, il est inventé le 15 juin 1752 par Benjamin Franklin.
Il aurait fait cette découverte lors de la célèbre « expérience du cerf-volant de Franklin ».
Dans cette expérience Benjamin Franklin prouve la nature électrique des éclairs. Pour cela, il fait voler un cerf-volant durant un orage pour le faire frapper par la foudre. Cette expérience le rend célèbre et fait de lui, selon l'histoire officielle, l'inventeur du paratonnerre.
Mais c’est Jacques de Romas qui a décrit, dès 1752, avant que Franklin ne réalise son expérience, le processus à mettre en place en envoyant son « cerf-volant électrique » vers la nuée orageuse. De la corde (entourée d'un fil métallique) qui le retenait au sol, il obtient des étincelles de plus de dix pieds de long et d'impressionnantes détonations.
C'est par une fâcheuse erreur de l'académie des sciences de Bordeaux que l'invention ne lui a pas été attribuée, erreur reconnue et réparée par les rapports des 1er et 4 février 1764.
Benjamin Franklin n'a jamais reconnu publiquement l'antériorité des conclusions de Jacques de Romas, même après les preuves accablantes de l'Académie de Paris concernant la réclamation de Jacques de Romas en 1764.
Par contre, ni Benjamin Franklin ni Jacques de Romas, n’avaient songé que la connexion à la masse serait essentielle. Dès 1750, l'abbé tchèque Václav Divíšek (plus connu sous le nom de Procopius Divisch) suggère cette étape, et construit en 1754 un paratonnerre lié à la terre au moyen de chaînes en fer, le premier appareil de ce genre.
Finalement, c’est Václav Divíšek qui construit, en 1754, un paratonnerre lié à la terre au moyen de chaînes en fer, le premier appareil de ce genre.
Pour la postérité, c'est Benjamin Franklin qui restera l'inventeur du paratonnerre alors que c’est à Jacques de Romas que revient le mérite d’avoir inventé l’expérience de la capture des éclairs et c’est bien l'abbé Václav Prokop Diviš qui construit le premier paratonnerre.
Ce n’est, ni Benjamin Franklin, ni Jacques de Romas, mais bien l'abbé Václav Prokop Diviš le vrai inventeur du paratonnerre.
Maintenant que vous savez tout, vous pouvez être critique envers cette vidéo.
P. S. : Pour la petite histoire, comme je le conte dans mon article du 27/10/2007 : « L'histoire de l'heure d'été/hiver » c’est à Benjamin Franklin que l’on doit l’invention de l’heure d’été/hiver.
06:18 Publié dans Anecdote, Culture, Culture, Histoire, La pensée du jour, Potins, Science, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
21/12/2021
Le Caravage serait mort d’une septicémie à staphylocoque doré
Le Caravage
Le décès de Michelangelo Merisi, dit Le Caravage (1571–1610), célèbre peintre italien connu pour son traitement particulier de la lumière et des fonds sombres, serait mort d’une septicémie à staphylocoque doré. Telle est la conclusion d’une étude parue le 17 septembre 2018 dans la revue Lancet Infectious Diseases.
La mort du Caravage a fait l’objet de nombreuses recherches, jusqu’au jour où son corps fut retrouvé dans un ancien cimetière près de l’hôpital où il a succombé à Porte Ercole, en Toscane. Grâce à une coopération avec des anthropologues italiens et avec le microbiologiste Giuseppe Cornaglia, le Professeur Didier Raoult, directeur de l’Institut Hospitalier Universitaire (IHU)-Méditerranée Infection à Marseille à obtenu plusieurs dents prélevées sur le squelette du Caravage.
Les équipes du Pr Michel Darcourt et du Pr Didier Raoult de l’IHU ont alors extrait la pulpe dentaire des dents collectées. Et c’est en utilisant plusieurs techniques de biologie moléculaire qu’ils ont pu élucider la cause de la mort du Caravage.
La version courte :
La version longue :
P. S : Dans ce type même de démarche il est quelqu’un à connaître c’est Philippe Charlier qui est, à la fois, médecin légiste, anatomo-pathologiste, archéo-anthropologue et paléopathologiste. Il est possible de trouver pas mal vidéos de ses conférences et interventions sur YouTube ICI.
On peut rapprocher, aussi, le livre « Ces malades qui nous gouvernent » de Pierre Rentchnick et Pierre Accoce (une vidéo sur ce livre ICI*) ainsi que « Ces nouveaux malades qui nous gouvernent » ici en PDF.
*Canal-U est la vidéothèque numérique en ligne de l’enseignement supérieur, son site ICI.
11:23 Publié dans Culture, Histoire, Le site du jour, Maladies des Hommes Célèbres, Médecine, Santé, Science, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
20/12/2021
Feu de cheminée
Il fait froid, dehors.
Bien calé, dans mon fauteuil, sirotant mon apéro, caressé par la douce chaleur d'un feu de cheminée…
05:14 Publié dans Le mot du jour, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)