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17/11/2023

Et soudain… Mon dernier Ordi ne démarre plus… Résolu !

 

Cet article pourrait faire partie d’une série : « Mes déboires informatique ».


Dans mon article du 27/08/2021 : « Mon nouveau Joujou ! », je raconte mon dernier Ordi.

Or, ce soir, impossible de le démarrer !

Aucun bruit de ventilo, aucun bip, rien, nada !

Avec l’autre Ordi de mon bureau (d’où l’intérêt d’avoir plusieurs Ordi), je démarre, sur Google, une session à la recherche d’une éventuelle solution.

Après quelques clics de souris décevants, je tombe, enfin, sur cet article :

Mon ordinateur ne démarre plus – que faire ?[1].

Et j’y lis, dans le chapitre : « Checker la carte mère si votre ordinateur ne démarre plus » où il est écris :

« Après l’alimentation électrique, la carte mère est très souvent la cause d’un ordinateur qui ne démarre plus.
Dans un tel cas, vous pouvez procéder au nettoyage de la carte mère. En effet, la poussière est l’ennemi numéro 1 des cartes électroniques. Les débris (aussi fins soient-ils) peuvent endommager la carte mère en créant des mauvais contacts. Afin de redémarrer votre ordinateur, le nettoyage de la carte mère peut être une solution. Dans ce cas, utilisez un spalter et un souffleur d’air sec. Pour les PC portables, le nettoyage complet nécessite bien souvent de démonter l’ordinateur. Ne tentez pas cette opération si vous n’avez pas des notions de base en informatique. Cela risquerait d’endommager davantage votre appareil ».

Après tout, pourquoi ne pas essayer.

J’éventre la bête, je commence la césarienne en prenant des risques calculé. Surtout ne pas toucher, ni au moindre fil, ni au moindre câble, et, surtout pas au moindre branchement.

Ouh là ! Elle est bien pleine et il y a pas mal de poussière.

En fait, ce n’est pas un Ordinateur, mais, bien, une Ordinatrice et… Et elle est… enceinte de 8 mois bien tassés. Le fait qu’il y ait peut de place peut, peut-être, expliquer le blocage par la poussière qui, si elle est importante, n’est pas, fondamentalement, catastrophique ; et surtout pas comme dans la photo en début d’article.


L’intérieur de l’Ordinatrice enceinte après sa toilette intime (Double clic gauche pour agrandir)

Muni de ma bombe à air comprimé, je pulvérise, partout où je le peux, l’intérieur de la bestiole, mais j’ai, quand même, du mal à voir la carte mère dans son entier.

Je referme l’engin et rebranche tout les fils : clavier, souris, câble HDMI de l’écran, câble Ethernet RJ45, le disque dur externe, le HUB, sans oublier… le câble d’alimentation.

Et…

Miracle, mon ordi démarre.

Merci Gogol[2].

Je viens, grâce à toi, de résoudre un problème qui ne m’est pas familier : le hardware (le matos). Ma spécialité c’est plutôt le software (les logiciels et les OS (Operating System) = Systèmes d’Exploitation).

Une vidéo explicite (où j'y ai appris l'utilisation étonnante du WD-40 en micro-informatique) :


Le GUIDE ULTIME pour NETTOYER SON PC (poussière, saleté) - ON N’EST PAS DES IENCLI[3]

 

P. S. :

Cet article pourrait-être fini, mais ce n’est pas le cas. Avant de remettre Madame l’Ordinatrice dans son lit, je vérifie si elle… s’allume (bon je sais, c’est un peu trivial). Eh bien non. Je fais, alors, la première manip à faire dans ce cas : vérifier le câble d’alim… Eh bien oui, en re-tirant Madame (encore trivial, mais là, vraiment, de mauvais gout[4], je vous l’accorde), il s’était sorti. Une fois rebranchée, Madame s’allume enfin. Je la replace, alors, précautionneusement dans son lit.

[1] Mon ordinateur ne démarre plus – que faire ?

[2] Soit dit en passant, le mot Gogol (ou Googol) désigne un entier naturel. C’est la première petite note culturelle du jour : « Un peu de culture ne nuit pas, cela évite de mourir idiot ».

[3] « iencli » n'est autre que le verlan de « client », le consommateur de drogue, celui qui achète. Confer l’Article : « Entre clichés et mépris de classe, que cache l'expression « rap de iencli » ».

[4] Le goût s’écrit également gout. C’est la seconde petite note culturelle du jour : « Un peu de culture ne nuit pas, cela évite de mourir idiot ».

15/11/2023

Deux bricolages avec une colle Epoxy-Bi composants

 


Dernièrement, il m’est arrivé deux incidents :

Le premier :

Un bac de mon congélateur s’est retrouvé coincé dans le congélateur. En essayant de le sortir, en force, je l’ai « cassé ».


Réparation du bac de congélateur avec une colle Epoxy-Bi composants (Double clic gauche pour agrandir)

Le second :

J’étais dans le tram, un jour de pluie et j’ai, malencontreusement, fait tomber icelui. Lors de sa chute il s’est cassé.


Réparation du parapluie avec une colle Epoxy-Bi composants (Double clic gauche pour agrandir)

La réparation :

Dans les deux cas, pour les réparations, même combat :

Colle Epoxy-Bi composants

Voili voilou, et le tour est joué !

 

P. S. :

Je ne suis pas, à mon grand désespoir, un grand bricoleur. Je ne suis pas un grand bricoleur, mais je suis assez inventif ; c’est, toute modestie mise à part, ce qui me permet de pondre mes articles dans mon Blog. Je suis, donc, un grand utilisateur de ce type de colle. En effet, il m’est arrivé de réparer :

 - Le serpentin d’un vieux chauffe eau avec une colle Epoxy-Bi composants métallique.

 - Un pot d’échappement en collant, avec une colle Epoxy-Bi composants, un « patch » en carton recouvert de plusieurs couches de peinture noire.

 - Colle Epoxy-Bi composants pour réparer, en 1998 (ça date !) un port de mon premier ordinateur, un ordinateur portable, dont j’avais cassé la fixation en plastique que j’avais cassé en faisant, ce qu’il ne faut jamais faire : forcer.

Références :

La petite note culturelle : "Un peu de culture ne nuit pas, cela évite de mourir idiot".

 - Polyépoxyde

 - Araldite

13/11/2023

Le restaurant

 

Dernièrement, je me suis assis, avec ma moitie, dans un restaurant qui venait d’ouvrir.

C’est en passant devant en voiture que l’envie me vint de m’y attabler.

En effet, la façade payait de mine.

Le jour fatidique, le menu semblait correct quoique un peu cher, y compris les vins le premier : 24 €.

En entrée, mon choix un carpaccio de poisson.

Mais première cata : le serveur nous tutoie. Bien que pas bégueule, je n’ai jamais été habitué à un tel traitement.

La suite me donna raison.

Le vin choisi, dénommé "l’apéritif du patron", se révéla plus que fruité, légèrement sucré il faisait penser a un vin limite blanc doux. J’avais fait un mauvais choix.

Mais le couperai tomba.

Mon carpaccio de poisson se révéla trop acide sensation renforcée par des échalotes émincée et beaucoup trop grande quantité.

Quand au plat (poisson - crème - shiitaké), même combat.

Non, désolé, nous n’’y retournerons pas.

D’autant plus que note de 80 € à deux n’était pas, mais pas du tout, pour la prestation assurée.

Cette vidéo humoristique, extraite du film l'Aile ou la Cuisse, est une vengeance personnelle (comme à la fin de la vidéo, avec De Funès et l'interrupteur) pour ce temps perdu et cet argent gâché.

 

Moralités : 

La petite minute culturelle : "Un peu de culture ne nuit pas, cela évite de mourir idiot".

 - Il ne faut pas se fier aux apparences.

 - Mais d’un autre côté : qui ne tente rien n’a rien.