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09/08/2024

Pourquoi donc ce fou rire de deux journalistes de télévision lors de la présentation de « La Phryge olympique » la mascotte des jeux olympiques 2024 à Paris


Ceci est la « Phryge olympique » tel est le nom de la mascotte des jeux olympiques 2024 à Paris


Ceci n'est pas* la « Phryge olympique »...

 


Un article limite, limite. J’espère que je ne vais pas me faire taper sur les doigts par mon hébergeur.

Une vieille vidéo, datant d’un an, trouvé, aujourd’hui, par Bibi[1][2], lors de ses voyages YouTubesque.

Mais toujours d’actualité, vu que les JO de Paris 2024 sont en train de se dérouler.

 

Trop drôle !

Mais, au fait, pourquoi rient-ils ces deux lascars ?

On se le demande.

Allez, Brigitte Lahaie comme joker.

LA vidéo (comme il est dit dedans "Ça se dégrade")...


2 journalistes BELGES ont un FOU rire devant la mascotte des JEUX OYMPIQUES de PARIS

Pour me faire pardonner, une vidéo révélantr quelles mascottes des jeux olympiques.

 

*"La Trahison des images" est un des tableaux les plus célèbres de René Magritte. Il représente une pipe, accompagnée de la légende suivante : « Ceci n’est pas une pipe. ».

Et, maintenant, la petite minute culturelle :

«Un peu de culture ne nuit pas, cela évite de mourir idiot».

A propos, pourquoi parlais-je de « bibi » ?

Pour deux raisons :

 - En 2017, en déplacement à Verdun dans la Meuse, le président de la République s'est exprimé sur la hausse de la taxation sur les carburants. «Le carburant, c'est pas bibi»[1].

 - En 2024, Emmanuel Macron, récidive. Il a enjoint mardi les hauts fonctionnaires à "simplifier plus vite" l'action publique et à être au rendez-vous, sur le terrain des "engagements" pris par l'exécutif, constatant qu'à la fin, "c'est bibi qui paye"[2].

Une origine qui nous replongerait au XVIIe siècle, selon Le Trésor de la langue française. À cette époque, «Bibi est le sobriquet d'un des membres de la Méduse, société épicurienne fondée à Marseille vers 1683.» Un siècle plus tard, en 1765, il désigne un «sobriquet du roi des Barbets (résistants niçois)» et un terme d'affection. C'est cette dernière définition que reprendra par exemple Flaubert en 1857 dans ses Correspondances pour qualifier un enfant. Le mot en effet serait une onomatopée redoublée d'origine enfantine «désignant une chose de petite taille».
Ce n'est qu'en 1878-1879 que le mot s'est transformé pour signifier dans le langage familier un synonyme du mot «moi».

 

[1] "Sinon c'est bibi qui paye": Macron somme les fonctionnaires de simplifier l'action de l'État

[2] «C'est pas bibi»: d'où vient la formule employée par Emmanuel Macron ?

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