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26/08/2025

Quelle longueur ne pas dépasser pour analyser un document par Perplexity et à combien de pages Word cela correspond t-il

 

Nombre de mots : ~720
Catégorie : Article de longueur moyenne (600 à 800 mots)
Temps de lecture estimé : 3 à 4 minutes
Résumé : L’article explore l’usage de Perplexity, ses limites (≈3000 mots en version gratuite), les équivalences en pages Word (6 pages), et dresse un parallèle avec d’autres IAs. L’auteur souligne l’utilité de ces outils dans la recherche d’informations et invite à réfléchir à leur potentiel.

 

Aujourd’hui, je vais aborder un sujet qui prend de plus en plus de place dans ma vie quotidienne, à un point tel que je dois le modérer pour qu’il n’interfère pas avec ma vie familiale...

Comme vous le savez, depuis déjà pas mal de temps, j’expérimente une Intelligence Artificielle, Perplexity (l'essayer, c'est l'adopter) pour ne pas la nommer. Au fil du temps, je me pose donc de plus en plus de questions sur la meilleure façon de l'exploiter.

Cet article ne m’a demandé aucun effort rédactionnel, car il a été réalisé par mon IA.

Mon seul mérite : l’originalité des questions.

Les chiffres donnés sont ceux concernant l'année 2025.

1°) Combien de mots ne faut-il pas dépasser :

« Dans la version gratuite de Perplexity AI, la limite technique précise en termes de nombre de mots (ou tokens*) que le modèle peut traiter en une seule analyse n'est pas spécifiquement détaillée publiquement. Cependant, il est connu que la version gratuite utilise principalement des modèles basés sur GPT-3.5, qui ont une fenêtre contextuelle d'environ 4 096 tokens. En moyenne, cela correspond à environ 3 000 mots maximum analysables en une seule requête.

Pour comparaison, la version Pro étend cette capacité à une fenêtre contextuelle allant jusqu'à 32 000 tokens, soit environ 24 000 à 32 000 mots par requête.

Ainsi, en version gratuite, Perplexity peut analyser environ 3 000 mots dans le contexte d'une seule requête, ce qui reste adapté à la majorité des usages courants. Au-delà, il faudra segmenter les textes ou passer à la version Pro pour gérer des documents beaucoup plus volumineux ».

2°) Combien de pages Word peuvent être générées :

En ce qui concerne Perplexity et dans sa version gratuite :

« En format Word classique, avec police taille 12 et interligne simple, on compte en moyenne entre 450 et 500 mots par page.

Pour un document Word typique (police taille 12, interligne simple), on peut estimer qu'environ 3000 mots correspondent à 6 pages. Avec un interligne double, cela peut monter à environ 12 pages.

Mais cela varie énormément selon la mise en page (marges, police, taille, etc.).

Les modèles modernes (ex. GPT‑4 Turbo ou Claude 3.5) gèrent des contextes de 100k tokens et plus, soit plus de 50 000 mots ».

3°) En résumé :

Là, c’est ma plume qui rédige (je suis épuisé…).

Ce résumé ne concerne que Perplexity en version gratuite, Chaque IA a ses propres caractéristiques.

 - Il est recommandé de ne pas dépasser environ 3000 mots.

 - Ce qui correspond à environ 6 pages Word.

J’espère que ce type d’article réveillera la bête qui sommeille en vous et qui rêve d’utiliser les intelligences artificielles.

Plus sérieusement, une petite vidéo géniale par sa simplicité qui nous donne une classification des différents types d’IA :


Les Différents types d'IA - Épisode 3 - Prof Express

 

*Dans le domaine de l'intelligence artificielle, un "token" est une unité fondamentale de données. Il peut représenter un mot, une partie de mot ou même un caractère individuel dans le traitement du langage naturel. Les modèles d'IA utilisent des tokens pour analyser et générer du texte.

Référence :

 - Perplexity

 - Qu’est-ce qu’un token en IA ?

P. S. :

Pour continuer dans la facilité, j’ai posé à Perplexity cette question perfide :

« Comment fonctionne Perplexity ».

Sa réponse :

« Perplexity fonctionne comme un moteur de recherche conversationnel utilisant des modèles de langage avancés (GPT-4, Claude, etc.). Il comprend la requête en contexte, recherche des informations en temps réel sur internet via un robot explorateur, synthétise et fournit des réponses claires et sourcées. Ses concurrents, comme ChatGPT ou Google Bard, proposent aussi un dialogue intelligent, mais Perplexity se distingue par son accès instantané aux données à jour, ses citations des sources et son suivi contextuel conversationnel ».

Voilà qui a le mérite d’être clair. Enfin, presque.

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