05/09/2025
Modifications dans la rédaction du Blog du Docteur sangsue : Le chapô

Capture d’écran – Pour agrandir, triple clic gauche sur l’image
Nombre de mots : ~950 mots
Catégorie : Article de longueur moyenne (700 à 1200 mots)
Temps de lecture estimé : 4 à 5 minutes
Résumé : L’auteur introduit une nouveauté dans son blog : un chapô en début d’article, généré par son IA, qui indique nombre de mots, catégorie, temps de lecture et résumé. En bonus, il partage des ressources culturelles : une vidéo du CEA sur l’histoire de l’IA, deux autres sur le rôle des GPU et des gamers, tout en citant la concurrence de Nvidia et de Huawei, puis établit un parallèle historique entre innovations de loisir ayant eu un impact majeur, citant les GPU pour l’IA et les revenus des Beatles ayant permis la découverte du scanner médical.
Vous avez peut-être remarqué un petit changement dans la rédaction de mes articles de Blog. En effet, maintenant, en début d’article, je signale, concernant celui-ci, le nombre de mots, la catégorie selon le nombre de mots[1], le temps de lecture estimé et un résumé succinct.
Tout cela m’étant fournie par une requête que j’effectue auprès de mon IA Perplexity (l’essayer, c’est l’adopter !).
Cela donne pour mon article du 28/08/2025 : « Voyage à Londres - Deuxième jour – Camden - Sur les traces d’Amy Winehouse » :
Nombre de mots : ~1400 mots
catégorie : Article de longueur moyenne à longue (de 1000 à 2000 mots)
Temps de lecture estimé : 6 à 7 minutes
Résumé : L’article propose une immersion dans le quartier alternatif et musical de Camden Town à Londres. Entre marchés animés, ambiance punk et street art, l’auteur mêle anecdotes personnelles et histoire culturelle, avec un fort attachement à Amy Winehouse, icône locale. Un portrait vivant d’un quartier vivant et incontournable.
Il ne me reste plus qu’à trouver les noms ou les expressions correspondant à ma demande.
Je me tourne donc vers mon IA Perplexity qui me répond :
« Le meilleur terme pour désigner la partie placée au début d'un article de blog qui présente des informations telles que le nombre de mots, la catégorie de longueur, le temps de lecture estimé, et un résumé succinct est généralement appelé un "chapô"[2] (ou "chapeau"). Le chapô est une pratique courante dans la rédaction web pour capter l'attention et aider à gérer les attentes du lecteur en termes de durée de lecture et de sujet, tout en optimisant l'expérience utilisateur et le SEO ».
Pour rester dans le domaine de l'IA, je vous propose une vidéo du CEA fort bien faite, comme toutes les vidéos du CEA, sur l’histoire de l’IA.
Histoire des sciences - L’histoire de l’intelligence artificielle (IA) – CEA
Ce qui suit est un bonus.
« Un peu de culture ne nuit pas, cela évite de mourir idiot… Et de passer pour un sot ».
En ce qui concerne l’histoire de l’IA, les gamers ont testé et influencé l’IA dans les jeux vidéo, aidant à améliorer les comportements adaptatifs des PNJ (Personnages Non Joueurs). Les GPU (Graphics Processing Unit), une puce informatique disposée sur la carte graphique, conçus pour gérer les graphismes complexes, ont permis des calculs parallèles rapides, nécessaires pour entraîner efficacement les modèles d’IA, accélérant ainsi leur développement spectaculaire.
Voici deux vidéos que j’ai trouvées en rapport avec les cartes graphiques et le développement de l’IA.
Cela m’a fait penser à une autre situation historique où une innovation dans un domaine de loisirs (parfois caractérisés comme superflu) a eu des retombées majeures dans un domaine que l’on peut qualifier de sérieux.
En effet, c’est un peu ce qui s’est passé avec la recherche et la découverte du scanner en médecine. Celui-ci a été rendu possible grâce à l’argent qu’ont rapporté les Beatles à EMI (leur maison de disques).
Nvidia, des jeux vidéo à l’intelligence artificielle - Les Echos
Mais la Chine vient jouer les perturbateurs. Où, comment Huawei défie Nvidia avec sa puce d’IA Ascend 920C[3]. Cette vidéo est plutôt réservée aux connaisseurs, mais si le cœur vous en dit...
Huawei, le cauchemar chinois de Nvidia
[1] Voilà, à titre purement indicatif, les catégories selon le nombre de mots que m'a donné Perplexity selon différentes sources récentes et aussi concernant les blogs :
• Articles courts : moins de 300 à 500 mots (idéal pour billet d’humeur, brève, ou opinion rapide)
• Articles moyens : environ 400 à 800 mots (format fréquent pour articles classiques d’information ou mise à jour)
• Articles standards : entre 750 et 1500 mots (considérés comme longueur classique et idéale pour articles de fond ou SEO classique)
• Articles longs : 1500 à 3000 mots, voire plus (guides, dossiers approfondis, contenus SEO très performants)
En moyenne, un article de blog se situe souvent entre 400 et 1500 mots, selon son type et son objectif. Pour un bon référencement SEO, dépasser 1000 mots est fréquemment recommandé.
Après une requète sur Perplexity il s'avère que mes articles sont de longueur moyenne, autour de 500 mots. Ce format correspond plutôt à un billet personnel mêlant témoignage et réflexion, qu'à un article long et approfondi de vulgarisation médicale.
Ils proposent un contenu accessible, avec un ton direct et intime, centré sur l'expérience vécue et les impressions du médecin. Ce type d'article se situe ainsi entre le billet personnel et l'article informatif, étant plus court que des contenus médicaux plus techniques ou éducatifs.
[2] Le chapeau (souvent écrit chapô dans le milieu de la presse) est un texte généralement court, présenté en plus gros et/ou en caractères gras, précédant le corps d'un article de presse et dont le but est d'en encourager la lecture, par exemple en résumant le message.
[3] Huawei a déjà une réponse au Nvidia H20, Trump va-t-il perdre la bataille des semi-conducteurs ?
10:43 Publié dans Anecdote, Culture, Culture, Economie, Histoire de l'informatique, Informatique, Informatique Médicale, La pensée du jour, Loisirs, Mots, Potins, Shopping, Société, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
02/09/2025
Toners compatibles Brother non reconnus dus à la mise à jour du firmware de mon imprimante laser couleur Brother DCP-L3550CDW - La solution, désactiver le firmware de l'imprimante

Nombre de mots : ~1020
Catégorie : article de longueur moyenne-haute (600–1 200 mots)
Temps de lecture estimé : 4 à 5 minutes
Résumé : À travers une mésaventure avec son imprimante Brother DCP-L3550CDW, soudain incapable de reconnaître des toners compatibles après une mise à jour du micrologiciel de cette imprimante, l’auteur met en lumière une pratique controversée des fabricants : le blocage planifié. En faisant le parallèle avec l’affaire Richard Stallman et le logiciel libre, l’article rappelle que derrière de simples cartouches d’encre se cache un enjeu plus vaste de liberté numérique. Une solution pratique est proposée : désactiver les mises à jour automatiques du firmware, afin de garder le contrôle sur son imprimante et ses choix de consommables.
Ce texte illustre fort à propos l’adage : « petites causes, grands effets ».
Dernièrement, j’ai eu une désagréable aventure avec mon imprimante laser couleur Brother DCP-L3550CDW, mes «toners compatibles Brother FranceToner», ne furent plus reconnus par celle-ci. Mes toners compatibles n’étaient plus... compatibles.
Cette histoire me fit penser inexorablement à la mésaventure que vécut en 1980 Richard Stallman avec son imprimant Xerox.
Où, comment l'histoire de l'informatique s'invite dans les débats.
« Un peu de culture ne nuit pas, cela évite de mourir idiot… Et de passer pour un sot ».
1°) Les déboires de Richard Stallman dans l’impossibilité de modifier le code du pilote de son imprimante Xerox, naissance du projet GNU et du logiciel libre :
Dans les années 1980, Richard Stallman (connu aussi sous les initiales rms), alors programmeur au prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT), utilisait une imprimante Xerox régulièrement sujette aux bourrages papier. Souhaitant améliorer son fonctionnement, il demanda le code source du pilote à l’entreprise Xerox. Or, Xerox lui refusa l’accès à ce code propriétaire, ce qui l’empêcha d’apporter les modifications nécessaires.
Cette impossibilité de corriger et d’améliorer le pilote, alors que c’était une pratique courante entre chercheurs, le pousse à réfléchir aux dangers du logiciel propriétaire et à la perte de la liberté de modification et de partage. Cet événement déclenche la création du projet GNU en 1983, puis de la Free Software Foundation, posant ainsi les bases du mouvement du logiciel libre.
2°) Mes déboires avec mon imprimante laser couleur Brother DCP-L3550CDW :
Dernièrement, j’ai eu une désagréable aventure avec mon imprimante laser couleur Brother DCP-L3550CDW.
Cela faisait deux ans que j’avais acheté une imprimante laser couleur Brother DCP-L3550CDW. J’en étais particulièrement satisfait jusqu’au jour où un « petit » problème survint.
Brutalement, les « toners compatibles Brother FranceToner », ne furent plus... reconnus.
Alors qu’avec les « toners originaux Brother » tout marchait comme sur des roulettes.
Il m’a fallu un peu de temps pour trouver la cause. La réponse me fut fournie par mon IA Perplexity (l’essayer, c’est l’adopter).
La cause : C’était la mise à jour du micrologiciel* de Brother qui m’empêchait d’utiliser les toners compatibles France Toner qui devenaient, alors... « incompatibles ».
Il est bien évident que cette pratique discutable touche d'autres fabricants d'imprimantes dont je tairai les noms.
La solution logique pour l’avenir, si je voulais continuer à utiliser des toners compatibles, était de désactiver la MAJ (Mise à Jour) du firmware de ma Brother.
Perplexity m’indiqua comment faire.
3°) Comment désactiver la MAJ du micrologiciel :
Pour désactiver la mise à jour automatique du firmware sur une imprimante Brother DCP-L3550CDW, il faut généralement passer par le menu de l'imprimante ou le logiciel Brother Utilities. Voici les étapes types recommandées :
- En utilisant le menu de l'imprimante :
• Sur le panneau de contrôle de l'imprimante, accédez aux Paramètres ou au menu de Configuration.
• Cherchez une section liée aux Mises à jour ou Mise à jour automatique du micrologiciel.
• Sélectionnez Désactivé, Arrêt, ou une option équivalente pour empêcher l'imprimante de rechercher et installer automatiquement les mises à jour du firmware.
• Confirmez ou validez les modifications.
- En utilisant le logiciel Brother Utilities :
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En utilisant votre ordinateur relié à l'imprimante, on peut également essayer de désactiver les mises à jour automatiques via l'application Brother Utilities :
• Ouvrez Brother Utilities sur votre ordinateur.
• Sélectionnez votre modèle d'imprimante.
• Allez dans les paramètres ou outils liés à la mise à jour.
• Désactivez la mise à jour automatique du firmware.
- En utilisant le logiciel Glary Utilities :

Pour agrandir, double clic sur la capture d’écran
Pour les heureux utilisateurs du logiciel d'Optimisation, nettoyage et maintenance des PC Glary Utilities, aller dans le Gestionnaire de démarrage/Applications Services et déactiver "extensions et notifications d'imprimante".
Mais la MAJ du micrologiciel de Brother peut être perverse :
Il arrive, très souvent, c'est mon cas, que l'imprimante vous demande ponctuellement (pour moi, c'est... Régulièrement) de faire des mises à jour, même si l'option automatique est désactivée dans l'imprimante Et dans le logiciel ; il faudra alors, à chaque fois, refuser ces mises à jour... Et de ne pas oublier de prévenir son entourage de ne pas cliquer sur "Mettre à jour maintenant" !
Pour agrandir, double clic gauche sur l'image
En résumé, la désactivation se fait via le menu de l'imprimante ou le logiciel Brother Utilities, en cherchant l’option "mise à jour automatique du firmware" et en la mettant sur « désactivé ».
4°) Mais, au fait, qu’est-ce qu’une cartouche compatible ? Explication en vidéo :
Une vidéo, où, comment Richard Stallman invente le logiciel libre.
Petite précision, dans cette vidéo, on apprend que rms travaillait au sein du laboratoire d’intelligence artificielle du prestigieux MIT (eh oui déjà l’intelligence artificielle et on est, on est en... 1970 !).
* Le firmware est le « système d’exploitation » de ton imprimante – un logiciel qui détermine son fonctionnement. Les fabricants comme HP, Canon ou Epson publient régulièrement de nouvelles versions, souvent sous prétexte «d’améliorations de sécurité», «de corrections de bugs» ou «d’optimisation de la qualité d’impression». Cela semble anodin – mais ce ne l’est pas toujours.
Le problème : les mises à jour peuvent bloquer les cartouches compatibles. Certaines mises à jour contiennent des mécanismes ciblés qui excluent les cartouches compatibles ou recyclées. Elles sont alors affichées comme « non reconnues » ou « vides » – même si elles fonctionnent parfaitement.
Cela touche particulièrement les utilisateurs qui choisissent des alternatives à prix réduit aux cartouches originales. Sans avertissement ni consentement, ces cartouches sont rendues inutilisables – un exemple typique de « blocage planifié ».
Références :
- Mises à jour du firmware – un blocage secret pour les cartouches compatibles ?
- Le secret des mises à jour du micrologiciel des imprimantes
10:04 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Culture, Culture, Economie, Histoire de l'informatique, Honte, Informatique, Informatique Médicale, La pensée du jour, Mots, Potins, Shopping, Société, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)



