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18/04/2020

La Mouna

 

Aujourd'hui, je vais vous parler de la mouna.

Un petit clin d'œil à a un de mes fidèle lecteur alain.

J'ai des antécédents pieds-noirs espagnols dans la famille de ma femme et, bien qu'originaire du Maroc, cette famille, revenue en France, cuisine, pour Pâques, la traditionnelle mouna.

La mona, ou mouna, est une brioche en forme de dôme ou de couronne de la cuisine pied-noir et algérienne, originaire d'Oranie (en Algérie) et particulièrement d'Oran, qui est traditionnellement confectionnée pour les fêtes de Pâques.

Cette brioche vient tout droit d’Espagne et plus précisément de la province de Valence et d’Alicante. Lors de l’immigration en Algérie, les espagnols décidèrent de perpétuer leur coutume de Pâques dans tous les coins d’Oranie et le lundi de Pâques fut appelé « le jour de la Mona ». La mona est devenue mouna afin de devenir un pu plus « française » et perdit donc son accent espagnol.

Les premiers oranais, se réunissaient à Pâques sur la montagne avoisinant le Fort Lamoune et la dégustait après avoir mangé un bon riz à l'espagnole au poulet.

C'est pour cela que la Mouna tient son nom du fort Lamoune.

Cette tradition de la mouna du lundi de Pâques fut ramenée en France par les pieds-noirs espagnols.

Référence :

 

"Mouna oranaise, brioche de pâques".

"Oran jadis fort Lamoune et la mouna".

16/04/2020

Effets secondaires du confinement

 

L'humour de cette image peut paraître choquant vu la situation que nous vivons actuellement.

Cependant...

"On peut rire de tout mais pas avec tout le monde" (Pierre Desproges) à lire ICI.

15/04/2020

Piste cyclable contre arrêt de bus

 

Dans la Grande ville, en face d'un lycée, était implanté, à un endroit stratégique, un arrête de bus bien pratique.

Avec la grande mode écolo de la grande vague des vélos, fut installé une piste cyclable matérialisée par une bordure en béton.

Il faut dire que le prétexte écologique est un bon moyen pour éliminer les voitures hors des villes.

C'est peut-être bien pour les vélos mais cela complique quelques peu, parfois, la vie du piéton comme nous allons voir plus loin.

L'arrêt de bus fut donc définitivement mis hors service. mais il restait, cependant, l’abri qui ne servait plus à rien.

Disparition, à cet endroit, d'un arrêt bien pratique pour le piéton.

Celui-ci devant se déplacer, sans aucune indication du prochain arrêt qui, lui, se trouvait, désormais, à plus de cinq cent mètres.

Le vélo gagna, définitivement, sur le transport en commun.

Tant pis pour le piéton.