13/01/2011
Un directeur de prison suspendu pour avoir accordé des faveurs à une détenue qui lui avait accordée ses faveurs
Une sirène (en grec ancien Σειρήν / Seirến), est une créature mythologique hybride : mi-femme et mi-oiseau (tradition antique) ou mi-femme et mi-poisson (tradition médiévale).
Source Wikipédia.
Lu sur lefigaro.fr :
"Le directeur de la maison d'arrêt pour femmes de Versailles a été mis en examen pour avoir fait bénéficier d'un traitement de faveur une jeune femme condamnée dans l'affaire du «gang des barbares», en échange de relations sexuelles.
Elle avait attiré le jeune Ilan Halimi pour le faire séquestrer, torturer puis assassiner par le «gang des barbares». Emma aura sans doute fait perdre à F.G., directeur de la maison d'arrêt pour femmes de Versailles, sa place au sein de l'Administration pénitentiaire. En cause : la relation «amoureuse» qu'ils ont entretenue pendant plusieurs mois, en échange d'un traitement de faveur mis au jour suite aux témoignages de plusieurs codétenues de la prison."
Quand la passion fait perdre la raison...
Après tout, ce directeur de prison à quelques circonstances atténuantes...
Qu'il soit "puni", qu'il soit déplacé, de préférence en tant que directeur de prison pour homme, mais qu'on fiche la paix à ce pauvre homme, il a suffisament de soucis comme cela.
Comparé à des personnages qui détournent sciemment des deniers publics...
Un peu d'humanité, que diable.
A propos, à quand cette histoire sur grand écran. Comme quoi, le malheur des uns peut faire le bonheur des autres
15:29 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, La pensée du jour, Potins, Société | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
comment un directeur peu avoir des sentiment pour cette personne qui m aime déjà a 17 ans était une pourriture!!quel cadeaux 9 ans de prison ses 20 ans ,car sans elle le jeune homme ne serai pas mort !!!quand au directeur des belle filles il y en a beaucoup de libre !et pas de la pourriture comme celle la !!! cécile bata.....
Écrit par : BATAILLé | 15/01/2011
bien que le coeur est ses raisons que la raison ignore! un directeur de prison doit pouvoir retenir ses pulsions. ici il ne s'agit que d'un chef qui a voulu jouir de son autorité en se versant dans des activités malsaines et de sûrcroit avec une mineur qui déjà appartenait à la classe rejeté de la société et devait avant toute chose payer sa dette à cette dernière. cette homme tout aussi vereux que vicieux n'a aujourd'hui que ce qu'il mérite.... Martin Ondo.
Écrit par : Ondo | 12/02/2011
Ondo - ERARE HUMANUM EST PERSEVERARE DIABOLICUM.
Écrit par : Dr Sangsue | 13/02/2011
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