Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

03/11/2015

Le médicament a perdu son brevet

 

 

Je viens juste de recevoir une lettre d’un laboratoire stipulant que l’une de ses spécialités avait perdu son brevet d’exploitation.

Il faut dire que je n’ai jamais prescrit ce médicament car c’était un produit assez récent.

J’avais, en outre, à ma disposition, dans la même classe thérapeutique, d’autres médicaments, l’un en première intention, l’autre en deuxième intention, qui étaient, eux, beaucoup plus anciens et que je maitrisai bien, ceux-ci, en outre, n’avaient pas ces effets secondaires.

Je me suis fixé comme règle de ne jamais prescrire un médicament récent, laissant essuyer les plâtres à mes confrères.

Pour illustrer cela, reportez-vous à mon article : "Mes expérimentations Médicamenteuses" où je cite le cas d'un antibiotique qui, lancé dans l'indication du traitement des bronchites simples, provoqua des brûlures au second degré.

Cette conduite médicamenteuse illustre bien, s’il en était, l’expression : « prudence est mère de sûreté ».

Les commentaires sont fermés.