15/01/2014
Un générique dur à avaler
Un de mes patients, lors d’une consultation pour renouvellement d’ordonnance, me raconte qu’il a un problème avec un médicament générique.
Il a du mal à l’avaler.
Cela tombe mal, car il a d’autres médicaments à ingurgiter, et, eux passent très bien.
Comme c’était un gros comprimé plat, il eut l’idée de le couper en quatre, car, heureusement, il se coupait facilement.
Je ne suis pas contre les génériques, mais là, par contre, la coupe, si j'ose dire, est pleine.
Car le princeps (le produit d’origine) s’avale très bien, lui.
GLUP'S !
16:09 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Economie, Histoire de la Médecine, Honte, La pensée du jour, Médecine, Potins, Santé, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
j'avale les génériques comme les autres (méthode Coué et non Cauet comme dirait une certaine blonde), sauf une saleté qu'on m'a refilée un jour à la place su Spasfon Lyoc.
J'ai pas réussi à le faire fondre, mais ça a marché : j'étais tellement occupée à déglutir que j'ai oublié le mal à l'estomac !
Écrit par : Artémis | 15/01/2014
@ Artémis - Parfois le générique est rétif !
Cela me rappelle les suppositoires de la Pharmacie Sanchez* qui étaient parfumés soit au café, soit à la vanille, soit à la fraise, à la convenance du patient et de ses goûts. A l'époque les génériques n'existaient pas, on n'imagine pas ce que cela donnerait : des suppositoires au bout carré et non aromatisés.
Pitoyable !
*Pierre Dacq
A propos :
http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2012/09/15/le-pouls-de-la-verole.html
Écrit par : Dr Sangsue | 16/01/2014
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