06/07/2008
La petite histoire du Mojito
Le mojito est un cocktail à base de rhum, de citron vert et de menthe, né à Cuba dans les années 1910.
Origine
Le règne de la mafia cubaine entre 1910 et 1920 a permis de raffiner le rhum. En 1946, « La Bodeguita del Medio » a popularisé le mojito, dont le nom est un amalgame de mojadito (mouillé) et de mojo (sauce culinaire cubaine voulant aussi dire « charme » en Afrique du sud). Nom bien trouvé pour une boisson qui se veut séduisante et tropicale. Peu de temps après, les Cubains le préparèrent partout et au milieu des années 20 le mojito était devenu la boisson nationale de Cuba.
Anecdote
Il a été rendu populaire par l'écrivain américain Ernest Hemingway, qui en était un grand consommateur.
[Ernest Hemingway était atteint d'un Trouble Bipolaire et dans ce type de maladie l'anxiété est présente, l'alcool peut être une solution pour calmer les angoisses, c'est ce que faisait Hemigway. Hemigway s'est suicidé, des suites de sa maladie, lors d'un épisode mélancolique. (l'alcool en chronique, en plus, est source de dépression). C'est grâce au Trouble Bipolaire d'Ernest Hemingway que le mojito fut démocratisé. - Note personnelle]
Dans tous les bars de Cuba le Mojito est préparé exclusivement avec de la Hierba Buena, c'est à dire de la menthe poivrée (Mentha x piperita).
Article remanié d'aprés Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mojito
11:46 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : malade, maladie, médecine, gastronomie, histoire, littérature
Tendrons de veau grillés avec son jeté de piment d'espelette
Disposez les tendrons de veau sur un grill réversible salez poivrez et saupoudrez de piment d'espelette.
Quand la première face est cuite, retournez le grill, salez poivrez et soupoudrez a nouveau de piment d'espelette.
Attention, il ne faut pas que les tendrons de veaux soient trop cuits, sinon ils perdraient de leur moelleux. Un truc de rôtisseurs, quand la viande ressue sortez la du feu.
Bon appétit.
00:55 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : gastronomie, cuisine, voyage, vacances
11/12/2007
Bloc de Foie Gras mi-cuit maison en semi-conserve et rosé à la coupe du Docteur Ventouse
Cest bientôt Noël, aussi ais-je décidé de vous transmettre, pour cette occasion, ma recette de Foie Gras.
- un joint (non pas celui-là), je dis un joint en caoutchouc. Il en existe deux types. Schématiquement un simple, orange et un super, résistant aux matières grasses, rouge. Personnellement j'utilise l'orange et je n'ai jamais été déçu. Attention, ne vous trompez pas de diamètre il faut un joint "ouverture 110" faisant 111 mm de diamètre.
- une cocotte minute de 10 litres, vous pourrez alors faire deux Foie Gras d'un coup. Si elle est plus petite, vous ne pourrez mettre qu'un seul bocal, mais celui-ci ne rentrera pas debout, vous pourrez toujours le coucher. L'avantage de la stérilisation, pardon l'appertisation, à la cocotte minute, c'est que l'on stérilise à 140° (au lieu de 100° au stérilisateur) ce qui diminue par deux le temps de "cuisson" et respecte plus les qualité organoleptiques.
- un grand saladier en verre
- du sel
- du poivre en moulin
- une planche en bois
- un rouleau de salopin
- zut, j'oubliais le Foie Gras. Prenez, dans un bon super ou Hypermarché, un Foie Gras de 500 grammes environ sous plastique et sous vide, réservez le au réfrigérateur.
Le Foie Gras se compose de deux morceaux de lobes de Foie Gras agglomérés. Il a alors une belle couleur beige ivoire à jaune ocré selon l'alimentation de l'animal. Il doit être ferme au toucher. Il se conserve environ 7 jour au réfrigérateur.
Le Foie Gras classe A est celui qu'il vous faut. Il est sans tache et ferme au touché. Il est utiliser pour la fabrication du Bloc de Foie Gras entier, la roulade ou pour être poêlé.
Nous allons réaliser un Bloc de Foie Gras, Foie Gras Cuit ou Mi-Cuit. Il sera présenté dans un bocal de verre et se conservera jusqu'à six mois, mais au réfrigérateur (c'est de la demi-conserve).
Préparation du Foie Gras :
Ouvrez la poche en plastique contenant le Foie Gras avec des ciseaux de cuisine. Ne touchez pas au Foie Gras, ne le "dénervez" (en fait les voies biliaires) surtout pas. Les Foie Gras sont trés bien préparés de nos jour et il est rare qu'il y ait des traces de bile. C'est un produit trés fragile et vous ne ferez que bousiller la "capsule de Glisson", le Foie Gras ayant son enveloppe protectrice abimée, perdra beaucoup plus de graisse, c'est dommage car cela nuira à la palatabilité du Foie Gras.
Prenez un "grand" saladier en verre, remplissez le d'eau chaude mais pas trop, le but étant de ramolir le Foie Gras, pas de le faire cuire. Salez l'eau avec du sel fin, une bonne cuillère à soupe bien pleine à la Maïté. Goutez. Il faut que ce soit bien salé mais, attention, pas trop.
déposez délicatement le Foie Gras dans l'eau chaude salée.
De temps en temps, retournez le précautionneusement.
Qand le Foie Gras est mou, retirez-le.
Déposez-le alors sur deux morceaux de salopin non séparés et en double couche.
Salez et moulinez le poivre sur les deux faces (comme pour un beefsteack).
Déposer avec délicatesse le Foie Gras dans le Bocal que vous aurez bien nettoyé au préalable.
Mettez environ 5 cm d'eau FROIDE dans la cocotte minute - ATTENTION AU CHOC THERMIQUE qui peux vous faire éclater le bocal. mettre le ou les deux bocaux dans la cocotte minute. Vous pouvez, si vous le souhaitez entourer un bocal avec un torchon (comme nos grand-mères) pour éviter les chocs, personnellement je ne le fais plus, mais on a alors un bonne odeur de propre ressemblant un à une odeur de lessive, ma fois fort agréable.
Le Foie Gras, dans l'idéal devrait être préparé 1 mois avant Noël, je ne le fais jamais.
Il peut se garder six mois au réfrigérateur (testez le vide quand même).
Dans l'assiette, il est de bon ton de saupoudrer d'une petite pincée de gros sel de Guérande, de Noirmoutier ou de l'Ile de Ré (cela fait saliver et le sel est un excellent exhausteur de goût).
Vins d'accompagnement :
20:25 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : gastronomie, cuisine, noël
10/10/2007
Entrecôte Bordelaise aux échalotes et sauce marchand façon Docteur Sagsue
Pour l'entrecôte, prendre chez le boucher, une belle côte à l'os pour deux personnes prévoir 800 g à 1 Kg, on mange bien en Bordelais, et surtout, un plat pareil ne supporte pas d'entrée.
Préparer une belle braise (peu importe sarments de vignes ou charbon de bois
Hachez menu les échalotes (on trouve dans le commerce de très bons hachoirs mécaniques dits Tap-tap).
Déposer l'entrecôte (la côte) sur le grill du barbecue préalablement chauffé et nettoyé avec du papier, la saler avec du gros sel gris de l'île de Ré, de Guérande ou de Noirmoutier. La poivrer avec du poivre du moulin.
Laisser croûter la côte, la retourner.
Saler poivrer et étaler les échalotes.
L'entrecôte se sert bien saignante, la semelle de botte ne se sert pas en Bordelais !
Variante, l'entrecôte marchand de vin ou maître de chais : Dans une casserole faites revenir les échalotes avec du beurre, faites dorer, alors, seulement quand c'est bien doré, déglacer au vin rouge. Ne pas mettre lors de la cuisson d’échalote sur la côte, et servir la côte en étalant le marchand de vin dessus.
L'entrecôte Bordelaise aux échalotes sauce marchand de vin, se sert avec des pommes de terres frites coupées en gros cubes salées au gros sel gris et poivrées au moulin.
Une autre variante : Les frites sont aventureusement remplacées par des pommes de terres en robe des champs (utiliser une feuille d'aluminium) coupées en deux et nappées de sauce ciboulette.
et se déguste classiquement avec un Médoc (Château Les Grands Chènes) ou un Haut-Médoc, un Graves peut très bien faire l'affaire (Château Tour Léognan) voire un Saint Emilion (Château Fontbrauge).
Bonne dégustation !
19:35 Publié dans Cuisine, Gastronomie, Le mot du jour, Loisirs, Mots | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : voyage, passion, détente, gastronomie, cuisine
Magret de canard poellé
Prendre un beau magret.
Faire chauffer une poelle.
Poser le magret dans la poelle chaude coté peau.
Saller avec du gros sel de Guérande, poivrer (moulu gros) avec un moulin à poivre.
Vider, de temps en temps, le gras du canard dans un bol.
Quand le sang ressue, retourner le magret côté chair.
Saler poivrer l'autre face.
Quand le magret ressue, il est cuit.
La cuisson, pour un fois, 10 mn côté peau, 5 mn côté chair.
Le magret se sert tranché en lamelles avec des pâtes fraiches.
Et un un bon vin rouge du type Château Tour Léognan, ou un Château Les Grands Chènes.
Bon appétit.
13:35 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : gastronomie, cuisine
Carpaccio de noix de Saint-Jacques marinées à l'aneth et aux baies roses
Couper en lamelles fines, avec un bon couteau bien affuté, les noix de saint-Jacques.
Disposez-les dans des assiètes.
presser un citon, verser un filet d'huile d'olive, puis saler poivrer et diposer l'aneth ciselé sur chaque assiète, rajouter les baies roses.
Mettre au réfigérateur, minimum une demi-heure.
Sevir avec un bon vin blanc sec, frappé, mais non glacé. Un Bordeaux Blanc Pessac Léognan, Château Tour Léognan (second vin du Château Carbonnieux).
Bonne dégustation.
12:50 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gastronomie, cuisine
07/10/2007
Poulet rôti aux piments d'Espelette et ses petits légumes
C'est une variante du carré de porc aux piments d'Espelette et ses petits légumes.
Hormi la grippe du poulet, le poulet vecte peu de maladies.
Dans un grand plat en "pyrex" déposer le poulet.
Le saler le poivrer y compris l'intérieur, le remplir d'un oigon coupé en lamelles.
Couper des pommes de terres en petits cube après les avoir épluchées et les disposer autour du poulet.
Répandre sur les pommes de terre des oignons coupés en lamelles.
Ceci fait, saupoudrer le piment d'Espellete sur le poulet et les oignons.
Au four, mettre le tout et attendre la cuisson.
Le poulet, s'il doit être cuit, ne doit pas l'être trop, sinon il est sec.
Bon appétit !
15:45 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gastronomie, cuisine
04/10/2007
La jonchée
Un dessert succulent de Charente Maritime
16:00 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : gastronomie, cuisine, voyage, passion, détente
03/10/2007
Carré de porc aux piments d'Espelette et ses petits légumes
Le porc est un animal dont la chair n'est pas chère, mais qui a la particularité de pouvoir transmettre une maladie parasitaire : la Trichinose. C'est pour cela qu'il est prohibé par certaines religions et cause des préceptes alimentaires casher et Halal.
Préparer le carré de porc en le perçant (4 à 6 fois) de la pointe d'un couteau.
Mettre du sel du poivre dans les "boutonnières".
Introduire une gousse (ou une demi gousse) d'ail dans chaque trou.
Saler poivrer le carré sur ses quatres faces puis saupoudrer de même avec le piment d'Espelette.
Dans un grand plat en "pyrex" déposer le carré de porc.
Couper des pommes de terres en cube après les avoir épluchées et les disposer autour du carré.
Ceci fait, saupoudrer, aussi, le piment d'Espellete sur les pommes de terre.
Couper des tomates en quartiers et les ajouter sur les pommes de terre.
Répandre sur les tomates des oignons coupés en tranches.
Au four, mettre le tout et attendre longtemps la cuisson.
Le porc doit être cuit mais pas sec.
Bon appétit !
00:40 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gastronomie, cuisine