01/08/2012
J’ai fais un rêve merveilleux
Le capteur de rêve empêche les mauvais rêves
Crédit Photo : www.culture-amerindiens.coml
Je demande un peu d’humour au second degré et un peu de tolérance pour les propos que je vais tenir. Je respecte infiniment les patients et je comprends très bien que, dans des moments difficiles, quand on est désespéré, l’on puisse croire aux miracles. Ce que je ne supporte pas, par contre, ce sont les gens malhonnêtes qui peuvent éventuellement profiter de la misère humaine. Pour mes propos, en contre partie, je demande que l’on tolère et respecte aussi mes idées.
J’ai fait un rêve merveilleux.
Je rêvais que j'entendais, aux informations, parler d'une ville miraculeuse, et j'imaginais tous ces malades sortant de l’église romane miraculeuse, guérissaient tous, je dis bien, tous, de leurs maladies pas graves, graves, voire mortelles.
Le médecin chargé d’établir les certificats de guérisons miraculeuses ne savait plus où donner de la tête (et du tampon).
Le réveil n’en fut que plus dur. Je racontais, à ma femme, mon rêve idyllique, dubitative elle me répondit : "tu n’a qu’a écouter les informations à la radio". Sitôt, dis, sitôt fait. Vous me croirez si vous voudrez, mais il n'y avait aucune information concernant la ville miraculeuse, même pas de son église romane sacrée.
En fait, le rève s'était transformé en cauchemar.
P. S. : Je tiens à rappeler, ici, la notion de Placebo et de Nocebo.
Un médicament Placebo et un médicament, sans principe actif qui « guérit » certaines maladie spontanément curables (à vaincre sans péril, on triomphe avec beaucoup de gloire). C’est pour cela que toutes les études sur les médicaments sont faites en double aveugle contre placebo.
Quand à l’effet Nocébo, on peut être dans le cas d’un médicament ayant un principe actif mais qui est mal toléré, soit avec un effet secondaire connu pour ce médicament, soit un autre effet secondaire sans aucun lien du tout avec la médication.
En définitive, tout cela est une affaire de croyance : ou on y croit, ou on n’y croit pas.
Ramona interprété par Saint Granier
Ramona - 1927
Chanson de L. Wolfe Gilbert traduite et adaptée en français par Saint-Granier, Jean Le Seyeux et Albert Willemetz. - Créée en 1927 par Saint-Granier.
Autres interprètes : Fred Gouin (la version la plus connue), Tino Rossi (en 1971 seulement), Jack Lantier, Mouloudji, Jean Raphaël, Patrick Bruel (2002).
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25/07/2012
A quoi pense-tu ? A la mort d’Henri IV
Parfois je suis pensif, quand ma mie s’en rend compte et qu’elle me dit à quoi tu songes ? Il m’arrive, parfois, de lui répondre, à la mort d’Henri IV.
Le 14 mai 1610, à Paris, le Roi Henri IV, le bon roi Henri qui démocratisa la poule au pot, alors en déplacement officiel (il va rendre visite à so ministre Sully), se retrouva bloqué dans une rue étroite de Paris, la rue de la ferronnerie. Soudain jaillit un homme avec un couteau, François Ravaillac, un fanatique catholique, et avant que les gardes du corps ne puissent intervenir, il poignarde le roi, en plein cœur.
Tout de suite le SAMU est appelée, une diligence est affrétée et se dirige à tout allure sur les lieux de l'assassinat, il est bloqué bien avant d’arriver sur site. Les barbiers continuent à pieds, mais à leur arrivée, ils ne peuvent que constater la mort du Roi Henri IV.
De quoi est mort le Roi Henri IV ?
D’une tamponnade cardiaque.
Le couteau a percé l’oreillette droite, le sang s’est répandu dans le péricarde, ce qui a comprimé le muscle cardiaque et causé la mort du Roi Henri.
Henri IV est enterré à la basilique Saint-Denis le 1er juillet 1610.
Il y a longtemps que ma mie sait de quoi est mort Henri IV.
Moi, je l’ai appris dans un livre : ces malades qui, nous gouvernent du Dr Pierre Rentchnick et de Pierre Accoce en 1978.
Un livre passionnant qui explique parfois comment la maladie peut influer sur les grands de ce monde, en les affaiblissants, et avoir un impact sur la chose publique, sur l’histoire. Par exemple à la conférence de Yalta, des trois hommes politiques présents, deux étaient gravement atteints, Churchill d’Hypertension, outre sa Maladie Bipolaire. Franklin D. Roosevelt avait fait un AVC (Accident Vasculaire Cérébral), suite à un Hypertension artérielle. Le seul qui soit en bonne santé était Staline. On comprend le retentissement que cela a put avoir.
22:54 Publié dans Anecdote, Culture, Histoire, Le mot du jour, Maladies des Hommes Célèbres, Médecine, Mots, Paris, Potins, Santé, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (2)
Les problèmes des Médicaments Génériques
Les médicaments sont découverts par l’industrie pharmaceutique parmi les créneaux les plus porteurs de maladies (HTA, Cholestérol, Diabète). Les médicaments sont affublés de deux noms : un nom commercial donné par le laboratoire, encore appelé princeps, et un nom DCI (Dénomination Commune Internationale).
Par exemple, DAFFALGAN 1g nom commercial et PARACETAMOL nom DCI. Le nom DCI est le nom du médicament générique (pas de chance le DAFALGAN n’est pas génériqué, même s’il existe du PARACETAMOL en vente en pharmacie).
Certains ont accusés les médicaments génériques d’une moins bonne efficacité, ce n’est pas tout à fait exact.
En fait, il y a deux problèmes pour les génériques :
- D’une part l’excipient (ce avec quoi est fait le comprimé, colorant, sulfites, ou la solution),
- D’autre part, et c’est la le point le plus important, c’est le fait que si la molécule est la même, le sel, lui, n’est pas forcément le même (un peu comme le chlorure de sodium, le sel de cuisine, et le chlorure de potassium, qui sale moins) d’où une variation d’efficacité entre les génériques et les princeps.
Cela a pour conséquences :
- L’excipient peut donner, lui, des réactions allergiques.
- La molécule générique, ou plutôt son sel, donne, lui, une diminution tolérée d’efficacité de 20%.
Se pose ensuite la question sur la forme et la couleur d’un comprimé, ce qui peut désarçonner une personne âgée. Il faut savoir qu’une règle en médecine dit : un homme jeune 3 signe 1 maladie, un homme âgé 3 signes, 3 maladies. Effectivement à 80 ans, il n’est pas rare d’être atteint de 3 pathologie, et comme il faut compter trois ligne par pathologie (une ligne sur l’ordonnance représente un médicament), une personne de 80 ans a des chances de se retrouver avec 3x3=9 médicament, on peut arrondir à 10. Le risque d’erreur de médicament est loin d’être nul.
On nous dit que le médicament générique fait faire des économies, certes, oui, mais combien ?
Le médicament représente 10 % des dépenses de santé, les médecins représentent eux aussi 10 % des dépenses de santé, il reste quand même 80 % restant. A qui revient cette part royale… Aux hôpitaux, aux CHU, qui sont, il ne faut pas l’oublier les plus gros employeurs d’une région. La santé coûte mais génère aussi. D’autre part, de par la nature de « l’objet traité », il n’y a pas de délocalisation possible.
Donc, le générique fait 30 % d’économie par rapport au princeps, mais il ne représente que… 10 % des dépenses de santé, alors que l’hôpital mange 80 % du budget santé.
21:57 Publié dans Actualité, Coup de gueule, Culture, Economie, Humour, La pensée du jour, Médecine, Mots, Politique, Potins, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
Vivaldi, l’été : accordéon et guitare
Dans le plus pur esprit baroque, une interprétation surprenante et efficace du final de l’été de Vivaldi.
Pourquoi parler d’esprit Baroque, car à mon avis qui dit baroque dit malice, liberté, humour et… mélange des genres
Bach a composé ses concertos pour violons en déclinant pour un violon deux violons, flûte violon et clavecin… car, à une époque de sa carrière, ne gagnant pas assez sa vie en tant que kapellmeister, il jouait devant le troquet avec ses copains, il faisait des bœuf, du Jazz avant le Jazz. Comme le nombre de partenaires changeait souvent on trouvait parfois un violon, une autre fois deux violon, avec ou sans flûte.
Ce petit texte se veut être de la "musicologie", terme un peu sérieux, pour la façon dont est abordé le sujet. L'important c'est de s'amuser, mo, ce type de "musicologie" m'amuse...
Pour ce qui est de cette interprétation, on aime ou on n'aime pas. Perso, je préfère cette interprétation de Vivaldi, à celle de certains orchestres baroque, avec des instruments d'époque, une interprétation trop parfaite, une interprétation morte, sans clin d'oeil ni malice.
P.S. : Le bass und continuo (notre batterie de maintenant qui donne le tempo) et qui, normalement, est assuré par le clavecin est joué, ici, par l'accordéon.
18:12 Publié dans Anecdote, Humour, La pensée du jour, Musique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
Scandale dans la famille
J’aime bien cette chanson des Surfs de 1965 (47 ans déjà !), car elle bouleverse notre conception du mariage qui est, fondamentalement, un contrat (cf. Le Code Civil : Art 212, Art 213, Art 214, Art 215, Art 220, Art 371-1) uniquement dans le but de préserver le patrimoine, surtout vis-à-vis des enfants.
C’est assez comique, dans cette chanson, de voir que c’est, juridiquement, le foutoir dans cette famille, les notaires n’aiment pas trop ce genre de situation, ça leur donne du travail supplémentaire.
Deux phrases, dans cette chanson, sont fondamentales, et me font, littéralement hurler de rire :
- « cette fille est ta sœur et ta mère ne le sait pas ».
- « ton père n’est pas ton père et ton père ne le sait pas »
Là, on aborde, visiblement les secret de familles.
Et là, cela devient beaucoup plus compliqué pour l’intéressé(e). On a tendance , maintenant à utiliser la psychoéducation.
00:29 Publié dans Anecdote, Culture, La pensée du jour, Musique, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
27/04/2012
Quand le débit de lait, le sahr dine à l’huile sur un pas de charleston.
Le débit de lait
Cela se faisait notoirement surtout pendant la deuxième guerre mondiale de couper le lait avec de l'eau (spécialité des BOF). Apparemment, les paroles seraient de Francis Blanche.
Une chanson difficile à chanter... quand aux nombreux jeux de mots.. Chapeau !
Sahr Rhabin Drhanat Duval
Encore Francis Blanche et Pierre Dacq inspiré du spectacle de divination de Myr et Myroska.
Pas de charleston
Sur une musique enivrante de jazz
18:22 Publié dans Culture, Danse, Humour, Loisirs, Musique, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
17/04/2012
Un enfant de trois ans qui a le bras rouge. Quelques considérations sur le métier de Médecin Généraliste d’une trentaine d’années de Médecine Praticienne
Pour ce qu'il en est de la Médecine générale, la dessinatrice et humoriste de BD, Claire Brétécher, a rendue célèbre la « Bobologie », à travers son personnage « Docteur Ventouse », « Spécialiste en Bobologie ». Bien plus tard, ce trait s’humour involontairement prémonitoire, se vérifia, puisque que l’Etat Français et le Conseil National de l’Ordre des médecins, reconnu, effectivement, le terme de « spécialiste en « médecine Générale » ce qui eut pour conséquence de passer le C de 22 € à 23 € soit une augmentation du C de 22 à 23 €, soit une augmentation de... 0,05 %. Je crois que les spécialiste, eu, n'ount pas eu d'aumentation, alors qu'ils ont 2 à 5 ans sde formation en plus, ils sont donc, euix de véritables Spécialistes, et je suis bien comptent d'avir à faira à eux plutô qu' au CHU, qui, parfois est mal coté par les revue "Le Point et le Nouvel Obs".
Il est de notoriété publique, que quand on n’est bon à tout, on est bon à rien. Pic de La Mirandole -,était multimillionnaire, de par ses parents, ce qui lui permis de beaucoup de voyager, bien qu’à l’époque Easy Get n’existait pas.
En effet, Pic de la Mirandole, a été la dernière personne à pouvoir posséder le savoir toute de son «époque, c’était aux au quinzième siècle, son fantasme : publier 500 Thèses. Cela lui joua des tours avec le Conseil Mondial de l’Ordre Catholique, le Vatican. En effet, ses théories n’étaient pas du tout du goût du pape et de son conseil d’administration, il n’y a pas plus conservateur que ce type d’institution
Pic de la Mirandole, eut "quelques soucis", avec le Pape Innocent VIII. Tout comme Galilée, qui renonça à sa thèse « astronomique », lui aussi,avec un autre PDG de l'Eglise, dont je me souviens plus le nom.
Ces deux intellectuels, sous la pression de l’Église, renoncèrent à leurs découvertes (enfin, politiquement).
L’Église Apostolique et Romaine, à toujours été en retard avec les découvertes scientifiques de l’époque. Cela perdure, encore, actuellement : « Femme, la pilule, tu ne prendras point ».
En effet le Médecin Généraliste est censé tout savoir, tout connaître.
Personnellement, en tant que « Spécialiste en Médecine Générale », j’estime qu’un « bon » MG est capable de connaitre, enfin d'avoir suffisamment entendu parler de 80 % des maladies% de toutes les spécialisées du savoir Médical, qui lui permet suffisamment pour faire un diagnostic. A mon humble avis, un « bons » spécialiste ne doit vraisemblablement, connaitre que 20% des connaissances médicales globales, mais il connaît 99 % des pathologies de sa spécialité. Chacun son métier.
Chaque MG, à un domaine de prédilection pour une Spécialité Médicale. Personnellement, c’est la Psychiatrie (qui m'a été plus que trés mal enseignée, un véritable scandale !). Par contre, je suis le "roi" de la bobologie : Les angines, les Sinusite, les vaccins. A moi, Les Gastro-entérites, qui sont parfois, des appendicites, ou, bien, plus grave, des Grossesses Extra Utérine.
il vaut mieux ne pas passer à côté des "pathologies vraies" sans les voir, cela sent l’erreur médicale et le procès se pointe à grand pas !
Ce qui fait la grande difficulté pour un MG, c’est de trier le bon grain de l’ivraie. Savoir discerner la Bobologie des pathologies sérieuses, nécessitant, parfois, l’Hospitalisation, ou, l’envoi vers le « Bon » spécialiste. Par exemple une consultation.
Ppour ce qui est de l'aspect économique, une angine est « Facturée » , à la sécu, (sans la TVA), 23 € chez le MG et 100€ aux Urgences Hospitalières ; la différence est de taille !
Il faut voir comment sont méprisés les MG, par les « News » internes hospitaliers.
En effet, comme je le disais plus haut, le métier de MG, n’est pas si facile que cela, il faut toujours être aux aguets, pour ne pas laisser passer une « vraie pathologie, ce qui peux, parfois avoir des conséquences grave, voire dramatique.
Un exemple :
C’était, il y a « quelques années, la mère d’un enfant de quatre ans, fait appel à, moi, car son gamin a « un bras rouge ».
J’arrive au domicile et, en examinant l’enfant, je diagnostique, de suite, une Lymphangite, il faut aller vite. Je dirige, tout naturellement, ce petit enfant, aux Urgences du CHU de « Grandville ».
J’écris donc une lettre à l’Interne des Urgences.
En réponse, pas de réponse, pas une lettre du CHU.
Pour plaisanter C’était peut la mère qui avait mis de rouge à lèvre sur le bras de son enfant (c’est ce
que l’on appelle un Syndrome de Münchhausen par procuration).
Le MG aime bien être, entre autre, être confirmé, ou infirmé, dans son diagnostic, pour da formation personnelle.
Ainsi va la vie, je fais de moins en moins de visites et n’écris, pratiquement plus, aux urgences du CHU.
Voila ce que l’on obtient en ne respectant les Médecins.
Eh bien, paradoxalement, cela me simplifie l’existence !
Par contre, j’aime mon métier, presque au dessus de tout, sauf, excepté, ma femme et mes enfants, ainsi que quelques amis d’enfance.
Au fait, quid des délais d'attente de Ophtalmos, Gynécos, Psychiatre, de 4mois à... 1 an !
Quid des déserts médicaux ?
Il ne faut pas oublier que la moyenne d'âge d'un MG est de... 50 ans !
Deux générations !
Quand on joue à l'apprenti sorcier (à ce propos, écoutez "l'apprenti sorcier" de Paul Dukas. La musique adoucis les moeurs, et fait oublier, un temps, les vrais problèmes).
Enfin, bientôt la retraite, je verrai certainement le délabrement, lent et inéluctable, de la médecine générale libérale avec l'apparition de la médecine à deux vitesse.
Un Pays à la médecine qu'il mérite, s'il veut le modèle Américain, il l'aura.
Vive les assurances privées, adieu la médecine "à papa".
Quand à l'Ostéopahtie payée entre 50 € et 100 €, non remboursées, ne fait elle pas partie, dans certainqs cas, de l'exercice illégal de la médecine, je veux, je le répète, parler des "Ostéos" non médecins.
Pour ce qui est de mon activité professionnelle :
Trente ans, déjà, Trente ans d'exercice professionnel,
Dieu que le temps passe vite !
Cela me rappelle l'Horloge.
Parole d'un poème de Charles Baudelaire,
interprété par Mylène Farmer.
15:20 Publié dans Anecdote, Blog, Coup de gueule, Culture, Film, Histoire de la Médecine, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Magie, Médecine, Mots, Musique, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (6)
01/03/2012
Les dépassements des honoraires médicaux vus du côté du médecin honnête
Je me permets de reprendre une vidéo que j’ai trouvée sur le site de Zigmund : « Le rhinocéros regarde la lune ».
On entend tellement de choses sur les dépassements d’honoraires, qu’en voyant cette vidéo, Je me suis dis que je ne pouvais pas laisser passer cela, et essayer, à mon modeste niveau, de diffuser l’information, un peu comme la diffusion d'un virus informatique.
Cette vidéo est impartiale et reste purement descriptive des faits, elle adopte, à la fois un raisonnement juridique et un raisonnement scientifique, pour ne pas dire économique.
En 1971, Alain Peyrefitte, diplomate, homme politique, plusieurs fois ministre et écrivain Français, effectua, dans le cadre d’une mission parlementaire, un voyage en Chine. En 1973, il écrivis un livre prémonitoire « quand la chine s’éveillera…Le monde tremblera ». Il écrit, 24 ans après, en 1997 : « La chine s’est éveillée ». Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Peyrefitte.
J’ai envie de dire, en parodie, que quand la population française s’éveillera, à propos de leurs médecins, il sera, peut-être, trop tard.
Il faut le dire : les « honoraires » médicaux sont des « deshonnoraires ».
Certes, nous avons de quoi à vivre, ne connaissons pas le chômage, il nous arrive, parfois, cependant, de tomber malade, une vraie maladie, une saloperie qui nous tiens éloigné « un certain temps » de notre stéthoscope, ce qui est plutôt fâcheux dans la tenue d’une clientèle libérale.
A ce propos, qui sait que le délai de carence, en cas d'arrêt maladie, (qui a été porté, pour le comun des mortels, récemment, de 3 à 4 jours) est, pour les médecins, de... TROIS MOIS !
Il faudrait que celui qui me lit, après avoir visionné cette vidéo, puisse me démontrer que les médecins « honnêtes » sont des nantis.
D’ailleurs, ces propos, peuvent, en grande partie, être exacts pour la majorité des professions para médicales.
Il est vrai que faire de l’Ostéopathie (je sais, l’exemple est peut-être mal choisi) entre 50 € à 100 € la séance, est une façon élégante de gagner son pain, surtout quand on n’est pas médecin (minimum 8 ans d’études), et comme ce n’est pas remboursé, sauf quelques séances par certaines mutuelles… Là, ce n’est plus du dépassement d’honoraire.
En Angleterre et en Allemagne, en équivalent euro, la consultation du généraliste est à… 60 €, 3 fois plus élevé (j’allais dire cher) qu’en France.
Pourquoi ?
Calez vous bien dans votre fauteuil, la séance va commencer (en espérant que ce ne soit pas la dernière séance si chère à Eddy Mitchell).
Et pourtant j'aime toujours autant mon métier, c'est un métier de détective (d'ailleurs Sir Arthur Conan Doyle, l'inventeur de Sherlock Holmes, le célèbre dédective, était Médecin, d'abord Généraliste puis Ophtalmologiste). Le métier de Médecin est un métier d'observation, de réflexion et d'investigation : chercher la panne et... comme le garagiste, si l'on trouve la panne, c'est de l'ordre du miracle (combien de voyages à Lourdes n'ais-je pas évité) ;-). C'est aussi, comme dans tous les métiers, un métier basé squr les connaissances, mais, là, les connaissances sont assez développées, d'où la durée des études.
Mais pour une pathologie "intéressante", combien de pathologie routinière. Il faut sans cesse être en éveil pour ne pas passer à côté d'une "vraie" pathologie (ne pas confondre Grippe et Pyélonéphrite, en période hivernale).
Outre l'aspect technique, c'est aussi un métier qui à trait à l'humain, mais quoi qu'on en pense les techniques de communication portent bien leur nom, ce sont, avant tout, des technique (qui ne sont pas enseignées aux généralistes, d'ailleurs).
Reste l'empathie...
Mais, si vous lisez bien les Blog médicaux, vous sentirez une certaine lassitude désabusée.
Il est vrai qu'avec l'expérience du métier, et surtout, de la vie, je ne me fais plus guère d'illusion sur l'espèce humaine.
Les gens bien se comptent sur les doigt de la main.
Allez, disons, 90 % de Salauds, 9 % de Gens Indifférents (au moins ils ne nuisent pas) et 1 % de Gens Exceptionnels, totalement désintéressés, à l'écoute des autres et prêt à les aider, le cas échéant. Ceci est, aussi, bien évidelmment, applicable au cops médical ; le Médecin, n'est, ni plus ni moins , qu'un homme. C'est pour cela qu'il y un Code de Déontologie, le Code Civil et le Code Pénal.
Les médecins pensent aux gens, les écoutent, les soignent.
Mais qui pense aux médecins ?
Qui les écoutent ?
Pour les personnes intéressées, un article, un peu ancien, de 2008, qui fait bien, de façon détaillée, le tour de la question :
http://urpsmla.org/IMG/pdf_Dep_d_hon___rapport_de_FC_avri...
00:51 Publié dans Actualité, Anecdote, Blog, Coup de gueule, Economie, Honte, Internet, Le mot du jour, Livre, Magie, Médecine, Mots, Politique, Potins, Santé, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (10)
24/02/2012
La traque d’une chanson
Source : www.richardlemay.com/
Cet été, j’entendais, souvent, une chanson à la radio, non, pas sur Internet, à la radio.
La première fois que je l’ai écoutée, je me suis dis, là, il y a, enfin, quelque chose de nouveau, cette mélodie, cette voix et à un moment donné ce petit passage yodleisant.
Une pure merveille.
Et puis, à chaque passage à la radio, l'échec : je n’arrivais pas à savoir qui était cette voix chaude et puissante qui chantait cette chanson si bien roulée.
Enfin, heureusement, cette chanteuse gagne doublement les Grammy Awards 2012, c'est à cette occasion là que j'appris enfin son nom… Adèle.
Ce n’est que sur YouTube que je réussi, finalement, à savoir le titre de cette chanson si énigmatique : « Rolling in the Deep ».
00:18 Publié dans Anecdote, Internet, Musique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (1)
08/02/2012
Tombe la neige
Une chanson de circonstance.
L'hiver est enfin arrivé.
Dans la grande ville la neige est tombée, le froid a suivi (-7, ce matin, je sais il y a pire) cette température est assez exceptionnelle "par chez nous". Par contre, la réactivité au niveau du taitement de la voirie a bien suivi, apparemment les erreurs passées ont portés leurs fruits.
Un seul inconvénient, avec la neige, le patient se fait rare et avec la baisse des températures, les pathologies aussi : le froid tue la vermine.
Vivement le dégel !
Bon courage à ceux qui sont dans de moins bonne conditions que moi.
17:11 Publié dans Actualité, Anecdote, La pensée du jour, Musique, Potins, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
14/11/2011
un étonnant tango burlesque
Un tango burelesque remarquablement interprété par Ginette Garcin
Ginette Garcin :
Ginette Garcin est une actrice et chanteuse française, née le 4 janvier 1928 à Marseille et morte le 10 juin 2010 à Nanterre.
Ginette Garcin, d'une vieille famille marseillaise, était « la fille des bains Garcin », la seconde plage marseillaise, après les Catalans. Elle chantait dans diverses fêtes régionales.
Dès les années 70, elle entame une carrière théâtrale et cinématographique sous la direction de Michel Audiard, Claude Lelouch, Jean Yanne, Yves Boisset ou Jean-Charles Tacchella1. En 1972, dans Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil de Jean Yanne, elle chante et danse un étonnant tango burlesque Dans les bras de Jésus.
Elle tourne ensuite dans Marc et Sophie pour la télévision.
Elle s'est éteinte le 10 juin 2010 à l'âge de 82 ans, des suites d'un cancer du colon dans un hôpital de Nanterre, où elle avait été admise après une « rechute foudroyante » (selon son agent), quelques jours après avoir tourné pour France 3 un ultime épisode de la série Famille d'accueil.
Extraits de Wikipédia : Ginette Garcin
13:46 Publié dans Anecdote, Humour, Loisirs, Musique, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
04/11/2011
Les corbeaux dans la ville
Dans la « Grande Ville » où j’habite, depuis quelques temps, un phénomène écologique (au sens biologique du terme) étonnant et inattendu s’est produit.
Outre, cela n’est pas récent, la colonisation ancienne par les pigeons (qui dégradent les belles pierres par leurs déjections et peuvent être porteur de l’Ornithose-Psittacose, une maladie transmissible à l’homme), l’invasion, à certaines périodes de l’année, quand il commence à faire froid, par une nuée d’étourneaux, les étourneaux étant attirés par la chaleur de la ville (pour une fois que la « Grande Ville » est chaleureuse), ce comportement des étourneaux est , ce que l'on appelle, en éthologie, un tropisme. Ces étourneaux créent une nuisance, inattendue, avec une importante la pollution, redoutable pour les voitures, due aux déjections de ces volatiles.
Est apparu, alors, la colonisation de la « Grande Ville » par des corbeaux, rajoutant, ainsi, par leur cris une ambiance macabre et renforçant, ainsi, l’aspect, inhumain, parfois, de la « Grande Ville ».
S’y sont rajoutés, l’acclimatation des merles qui farfouillent la terre de la « Grande Ville », eh oui, les oiseaux survivent, et même vivent, grâce aux espaces verts résistants encore à la pression des promoteurs, mais aussi au fait qu'ils n'ont aucun prédateurs.
Phénomène plus intéressant, sur la pelouse qui entoure la résidence où est situé mon cabinet, de nombreuses pies viennent becqueter (au sens non argotique du mot).
Les oiseaux s’adaptent particulièrement bien au biotope urbain.
Cela confirme bien les théories du naturaliste anglais Charles Darwin, au siècle dernier, la théorie de l'évolution et la sélection naturelle, publiées, dans son livre de 1859, "De l'origine des espèces".
Mais, commence à se poser, de facto, un problème préoccupant, le problème démographique des espèces aviaires urbaines.
Je ne vois plus qu’une seule et unique solution, pour résoudre ces problèmes de nuisances préoccupants… En tapant sur la démographie des volatiles urbains, pour cela...
Supprimer tout les espaces verts de la « Grande Ville ».
Sinon pourrait se réaliser, un jour, ce film prémonitoire :
Les Oiseaux (The Birds) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti sur les écrans américains en mars 1963. Il est inspiré d'une nouvelle de la romancière britannique Daphné du Maurier publiée en 1952.
15:18 Publié dans Anecdote, Cinéma, Culture, Ecologie, Histoire, La pensée du jour, Mots, Politique, Santé, Science, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (8)
12/10/2011
Cris de Femmes, la fin d’un amour
Ces deux chanson sur un amour finissant ont ceci de fascinant, c’est qu’à « quelques années » d’intervalles, le cri de désespoir est toujours le même, toujours aussi fort, c’est un cri viscéral qui sort des tripes.
Demain tu te marie - Patricia Carli - 1963
Un año de amor - Luz Casal - 1992
Par contre la vision de l’homme, dans cette chanson, « Désormais », d’Aznavour est, à mon avis, plus plate, bien que ce soit une chanson remarquable et remarquablement interprétée. Il y a comme une discordance entre les paroles et la musique et, de plus, on dirait que l’émotion est vécue de l’extérieur, alors que chez les femme le cri sort de l'intérieur (comportement masculin opposé au comportement féminin ?).
Désormais - Charles Aznavour - 1969
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05/09/2011
Symphonie inachevée
Parfois, l’exercice de la médecine réserve quelques surprises, laissant, parfois, un arrière goût amer.
Une jeune fille de 15 ans est amenée par sa mère pour une asthénie (fatigue) intense. Elle est suivie par un autre médecin. Vous lui faite passer un bilan biologique sanguin et urinaire plus que complet et préciser de revenir avec les résultats. Le bilan vous est envoyé par le labo et bingo la cause est évidente : C’est une MNI (Mononucléose Infectieuse). Depuis, pas de nouvelle.
Une patiente de 28 ans, enceinte, de son troisième enfant, vient vous voit car elle a mal sur le côté du dos et des brûlures en urinant ; cela sent la pyélonéphrite. Vous lui prescrivez un bilan sanguin et urinaire et un antibiotique compatible avec sa grossesse, tout en la prévenant qu’il pouvait y avoir une résistance à cet antibiotique, vous lui précisez donc que l’on se revoie dés qu’elle aura les résultats. Depuis, pas de nouvelle. Malheureusement la bactérie est résistante à antibiotique prescrit, il y en avait deux principaux prescriptibles et comme le choix est probabiliste, je suis tombé sur le mauvais.
J’imagine la tête des confrères voyant les analyse biologiques avec le diagnostic leur tombant tout rôti dans la gorge.
Qu’ais je ai pu dire ou faire pour que ces patientes ne reviennent pas me voir en consultation avec leurs analyses ?
Voila une question digne d’un groupe Balint*.
Et si, tout simplement, ces patientes portaient, elles aussi, une grosse part de responsabilité, quand un médecin vous dit de revenir, c’est impoli de ne pas le faire, point barre.
*Un groupe Balint est un groupe de médecins généralistes encadrée par un "superviseur", un psychiatre, discutant autour de la relation médecin malade, chaque médecin racontant une histoire frustrante, ce "cas clinique" étant décortiqué par l'assemblée et managé par le "superviseur.
La relation médecin malade est une chose, la psychiatrie en est une autre.
18:58 Publié dans Anecdote, Culture, Médecine, Musique, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
29/08/2011
Les corbeaux
Dans la rue de la Grande Ville où je réside, pendant les vacances, c’est le calme, on peut, enfin se garer, il y a tellement peu de voitures, comparé au reste de l’année.
Dans la rue de la Grande Ville où je réside, pendant les vacances, deux voisins ont dénoncées trois voitures qui n’ont pas bougées de plus de huit jours, comme le règlement l’impose.
Dans la rue de la Grande Ville où je réside, pendant les vacances, la fourrière est venue et a embarquée les susdits véhicules, en citant, malencontreusement, le nom des dénonciateurs aux riverains présents.
Dans la rue de la Grande Ville où je réside, pendant les vacances, bonjour l’ambiance.
On se croirait revenu au temps peu glorieux de la guerre de 40, avec ses collabos, son marché noir et ses résistants de la dernière heure*.
Dans la rue de la Grande Ville où je réside, pendant les vacances, quelle mouche a donc pu piquer ces deux zigotos, certainement pas le manque de place !
Alors quoi ?
Si vous avez une idée, je suis preneur.
*Sur ce sujet, le livre de Jean Dutourd : "Au bon beurre" sur la vie d'un BOF, pas un beau frère, un Beurre Oeuf Fromage, une des catégories sociales qui a gagnée le plus d'argent pendant la guerre de 40.
Un téléfilm a été réalisé en 1981 par Edouard Molinaro, d'après ce livre, avec Roger Hannin et Andréa Ferréol. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Au_bon_beurre).
20:08 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Histoire, Honte, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (7)
23/08/2011
Myr et Myroska
Myr et Myroska
Myr et Myroska est un couple de vedettes internationales du music-hall des années 1960.
Ils se sont produits avec un grand succès un peu partout dans le monde durant les années 1950 à 1970.
Leur numéro inspira à Pierre Dac son sketch fameux avec Francis Blanche : Le Sâr Rabindranath Duval (1957).
Myr et Miroska terminaient invariablement leur spectacle par la formule : « S’il n’y a pas de truc c’est formidable, mais s’il y a un truc, reconnaissez que c’est encore plus formidable. »
D’après Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Myr_et_Myroska
A leur retraite, ils se retirèrent dans leur maison à Castets en Dorthe, en Gironde, à 53 km au sud-est de Bordeaux.
Le spectacle est aujourd’hui repris par Edouard et Sarah.
Le SIXIEME SENS Show Fort Insolite Insolent par tabarin41
Il parait que l’enregistrement le plus célèbre du sketch de Pierre Dac et Francis Blanche eut lieu après un repas… bien arrosé.
Référence :
http://www.parano.be/bbs/propa/ESO/2010/624265.php
http://edouard.et.sarah.free.fr/myr.myroska.htm
http://culture-ruquier.over-blog.com/article-le-jeu-des-v...
http://edouard.et.sarah.free.fr/transmissionmedias.htm
22/08/2011
Fin de vacances
Tout a une fin, tout à l'heure, je reprends le travail avec une certaine impatience et une curiosité certaine : qui va être mon premier patient ?
Je trouve que ce clip du succès de Boney M, "Kalimba de Luna", de 1984 (déjà !) résume bien la fin des vacances.
"Boney M. est un groupe vocal jamaïco-antillais de disco-pop, créé et dirigé par le producteur allemand Frank Farian et qui fut actif de 1976 à 1985."
Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Boney_M.
00:13 Publié dans Actualité, Loisirs, Médecine, Musique, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
21/08/2011
La confiture
Pour conclure cette session culinaire, un petit entremet.
19:48 Publié dans Cuisine, Culture, Gastronomie, Humour, Loisirs, Musique, Poesie, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
20/08/2011
La pensée Microsoftienne du jour
Attention,
ceci est réservé a un individu bien précis qui perturbe
MON
Blog,
et
qui, n'en doutons pas, saura se reconnaitre.
Renaud reviens à la mode, actuellement, on entend beaucoup ses chansons à la radio, il parait qu'il a refait sa vie et vit au Canada.
Personnellement, j'aime bien cette chanson :
A bon entendeur salut !
23:24 Publié dans Blog, Coup de gueule, Honte, Humour, La pensée du jour, Loisirs, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
24/07/2011
Il y a une saison pour les vins
L’été venant, le vin rouge n’est plus au goût du jour.
La chaleur aidant, quoiqu’actuellement, de ce côté-là, nous ne sommes pas trop gâtés.
Donc, l’été, la chaleur aidant, fait augmenter la température du vin rouge, le résultat étant l’alcool qui envahit le palais, empêchant le plaisir escompté d’une agréable dégustation.
Il y a une saison pour le vin, l’été est en blanc ou en rosé, le rouge est à éviter sauf à le réfrigérer, par exemple avec un rafraichissoir, un tube en tuile mouillé d’eau, en ayant, au préalable pris le soin d’avoir rafraichi le vin.
L’été, le vin blanc, dans un seau à glace avec le bruit des glaçons dans l’eau et le tissus, pliè, posé sur le seau, tout ce décorum sur des fruits de mer, ou sur un poisson ; un rosé sur une paella, ou sur un grillade, des brochettes, des croustilles…
L’hiver, par contre permet toutes les fantaisies. Attention, cependant, à ne pas servir le vin blanc trop froid.
Oui, il y a bien une saison pour le vin.
00:04 Publié dans Actualité, Comfort, Cuisine, Fête, Gastronomie, Loisirs, Musique, Poesie, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (1)