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05/05/2010

La blonde qui dérange mise à pied

Lu sur 20minutes.fr

 

Les écrits de la «blonde qui dérange» heurtent son employeur

Créé le 04.05.10 à 18h45
Mis à jour le 04.05.10 à 19h06 |
Page d'accueil des chroniques de «La blonde qui dérange», sur Le Post
Page d'accueil des chroniques de «La blonde qui dérange»,
sur Le Post/DR

INTERNET - Peut-on parler de sa vie au boulot, même de manière fictive, sur une page web ou son blog perso? Un nouveau cas pose la question...

Sur sa page web, «La blonde qui dérange», elle use d’un humour décapant et une certaine autodérision pour raconter son quotidien, ses réactions (décalées) à l’actu, au travers de dialogues (réels ou fictifs)… Et elle y parle parfois de son job.

Mise à pied

Seulement voilà: les récits de Jessi, 31 ans, une des blogueuses invitées les plus en vue sur Le Post (filiale du Monde), avec parfois jusque 50.000 lecteurs, a eu l’heur de ne pas plaire à son employeur. Qui l’a mise à pied le 21 avril, apprenait-on lundi, comme elle le relate dans cet article publié la semaine dernière, sous forme d’un dialogue avec sa copine Doucette, elle raconte – cette fois avec un réalisme affiché – sa mise à pied et sa convocation à un entretien préalable 8 jours après. Son directeur doit lui faire part de sa décision définitive d’ici un mois.

En cause: son patron aurait été averti par quelqu’un de son entourage professionnel de la tenue de ce blog, qui permettait d’identifier ses collègues, et son lieu de travail. Car dans la vraie vie, elle est réceptionniste de nuit dans un hôtel d’une grande chaîne...

16/11/2009

La responsabilité juridique du blogueur

Crédit Photo : http://www.doyouknowralph.com/__pictomosUserFiles__/backg...

 

L’absence de culture juridique est un mal fort répandu dans nos sociétés.

Heureusement, il y a des juristes, des professionnels du droit, qui essayent d’apporter leurs connaissances juridiques à ceux qui veulent bien se donner la peine de les écouter.

Or, comme toute activité humaine, écrire et gérer un blog, gérer des flux RSS comporte des risques juridiques susceptibles de mettre en jeu notamment la responsabilité pénale du blogueur.

Cela peut aller de la violation de la propriété intellectuelle à des propos pouvant être soit diffamatoires soit injurieux.

Un article fort bien fait de Maître Eolas dans son Blog « Journal d’un avocat » nous met en garde.

Dans son article « Blogueurs et Responsabilité Reloaded », Maître Eolas précise que « les faits les plus souvent invoqués (à l’encontre des blogueurs) sont l’injure et la diffamation ».

Il nous rappelle ensuite que « la diffamation et l'injure sont punies d'amendes pouvant aller jusqu'à 12 000 euros. » comme le prévoit la loi du 29 juillet1881 sur la liberté de la presse.

Je vous livre quelques définitions données dans cette loi :

1 - La diffamation publique est définie par la loi sur le Liberté de la Presse du 29 juillet 1881 en son article 29 alinéa 1 :
"Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation.
La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l’identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés."


2 - L’injure publique est définie par l’article 29 alinéa 2 de la loi sur la Liberté de la presse :
« Toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait est une injure. »


Si vous publiez un blog ou gérez des flux RSS, afin de ne pas faire de bêtises, je vous recommande donc cet article de Maître Eolas « Blogueurs et Responsabilité Reloaded »


Docteur Leech Original text by Sangsue...


Références :

http://www.maitre-eolas.fr/post/2008/03/24/905-blogueurs-...
http://www.e-juristes.org/L-injure-et-la-diffamation

et un fichir PDF trés bien fait

http://www.foruminternet.org/ddn/telechargements/guide_bl...

15/11/2009

Un nouveau blog est né

Le Docteur Sangsue a le plaisir de vous annoncer la naissance d'un nouveau blog :

 

Docteur Leech

22:29 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blog

25/09/2009

Blog à cours d'imagination

 

je pars en long week-end pour essayer de me ressourcer.

15/02/2009

Dix bloggueuses posent nues

Trouvé sur www.paperblog.fr

 

Le lien ICI.

 

Dix bloggueuses ont acceptées de poser nues, photographiées par Sandrine Sauveur, pour une affiche intitulée « le bal des blogueuses » détourné de l'affiche du film de Maïwenn : Le Bal des actrices.

 

L’affiche :

 

Le Bal des blogueuses : 10 blogueuses posent nues

 

Le "making of" (la vidéo de la prise de vue) :

 

11/11/2008

Pub Ikéa

Trouvé sur le Blog Carpet Airways

 

 

Photobucket

11:23 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : humour, pub, internet, blog

07/11/2008

L’arrêt Blanco

Photobucket

Serge Blanco : www.francerugby.fr/

 

En 1873, un ancêtre du célèbre rugbyman Serge Blanco, rugbyman lui-même, fit un arrêt remarquable : connu sous l’expression mémorable d’arrêt Blanco.

NON, c’est trop beau pour être vrai !

Blanco (Homonymie) Arrêt Blanco, rendu le 8 février 1873 par le Tribunal des conflits, est considéré comme le fondement du droit administratif français. Source : Wikipédia.

Trouvé et pompé littéralement, cluster par cluster, sur le Blog de Maître Eolas : « Journal d’un avocat ».

 

 

Photobucket

Wagonnet : www.rail.lu/

 

Arrêt Blanco.

Le 3 novembre 1871, une fillette insouciante du haut de ses cinq ans et demi, et totalement ignorante que le destin du droit l'a marquée de son sceau, marche dans les rues de Bordeaux. Mais le malheur va frapper la petite Agnès Blanco, sous forme d'un wagon de la manufacture des tabacs de Bordeaux, poussé sans prudence par Henri Bertrand, Pierre Monet et Jean Vignerie, employés de cette manufacture. Le wagon va renverser Agnès et lui passer sur la cuisse, qui devra être amputée. Le père d'Agnès va assigner en justice devant le tribunal judiciaire les trois employés et l'Etat, en la personne du préfet de la Gironde, Adolphe Jean. Le tribunal se déclare compétent, et le préfet de la Gironde, partie au procès et qui avait soulevé cette incompétence, prend un arrêté de conflit, que diable, on n'est jamais mieux servi que par soi même.

Le 8 février 1873, le tribunal des conflits, avec la voix de départage du Garde des Sceaux Jules Dufaure pour rompre l'égalité, va donner compétence au juge administratif…

C'est l'arrêt Blanco.

Le droit administratif est né, il est majeur, et indépendant du droit privé, son père naturel. Désormais, il ne s'agit plus seulement de juger de la légalité des actes de l'administration, mais aussi de condamner l'Etat pour les dommages que cause son action. L'Etat devient responsable.

Aujourd'hui encore, le droit administratif fait partie de la branche du droit public, séparée du droit privé. Les juristes se divisent eux même, en imitation, entre publicistes et privatistes.

Les publicistes étudient et enseignent la Constitution, le droit international public (droit des relations entre Etats), mais plus prosaïquement aussi les contrats administratifs, les marchés publics, l'urbanisme, le droit fiscal, le droit de l'environnement, entre autres. Bref tous les droits où une des parties au moins est l'Etat au sens le plus large. Les privatistes quant à eux se consacrent aux droits où l'Etat n'est pas en cause : droit des contrats, droit du travail, droit de la famille, droit des successions, droit commercial...

La pédagogie de Maître Eolas rend le Droit intelligible, compréhensible, voire… intéressant.

 

Je ne saurais trop vous conseiller de lire le post de Maître Eolas « Blogueurs et Responsabilité Reloaded ». Qui pourrais vous éviter quelque « petits » ennuis lors de vos rédactions bloguesques.

02/08/2008

Propriété "artistique"

Lu sur 20minutes.fr

 

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Morandini: son nouveau site people est mort-né

L'animateur d'Europe 1 Jean-Marc Morandini, le 5 septembre 2006 à Paris

Jacques Demarthon AFP/Archives ¦ L'animateur d'Europe 1 Jean-Marc Morandini, le 5 septembre 2006 à Paris

 
A peine lancé, le nouveau site people de Jean-Marc Morandini fait déjà polémique. Des photos volées à des agences qui ont pignon sur rue, quelques lignes de textes en dessous, ScoopPeople.fr a présenté pendant quelques jours un profil peu glorieux. Avant de mystérieusement fermer.

C'est «Low-blogging», un internaute qui connaît bien l'industrie du people, qui a repéré par hasard ce site fin juillet en cliquant sur une publicité. Le blogueur reconnaît tout de suite des séries de photos copyrightées manifestement volées, et intrigué, il cherche à en savoir plus sur le propriétaire du site.

«On ne peut pas le fermer puisqu'il n'était pas ouvert»

En fouinant un peu, il découvre que c'est Jean-Marc Morandini qui édite le site, via la société The People Family. Faisant jouer ses contacts, «Low-blogging» met au courant les agences photos lésées. Et, surprise, le lendemain, ScoopPeople.fr a disparu. «Ouverture en septembre 2008, patience...», indique dorénavant la homepage. Mais les articles (sans photo) restent disponibles sur cet aggrégateur de flux.

Contacté par 20minutes.fr, Morandini dément que le site ait été fermé: «On ne peut pas le fermer puisqu'il n'était pas ouvert. Le site était en phase de test pour quelques jours, il ouvrira vraiment début septembre. Je ne m'occuperai pas directement de l'éditorial, je ne suis qu'actionnaire.»

Une phase de test très médiatique

Curieuse phase de test: le site bénéficie déjà d'une belle promotion… sur le blog de Jean-Marc Morandini et sur le site de Télé 7 jours, média partenaire du présentateur télé. «Tout ce que les stars vous cachent est sur ScoopPeople.fr», peut-on lire au début de certaines vidéos hébergées sur ces sites. «C'est une erreur, tout le monde peut se tromper», nous rétorque Morandini pour justifier cette promotion.

L'agence photo Abaca Presse, qui s'est fait emprunter une photo par ScoopPeople.fr, dit «ne pas être au courant de l'ouverture de ce site». Le problème du vol de photos est cependant bien réel: «Sur Internet, de nombreux sites pillent nos photos. Mais quand vous les appelez, vous vous rendez compte que ce sont souvent des mômes qui ne connaissent rien aux droits photos. Ils volent des photos comme ils regardent une vidéo sur YouTube», explique Bruno Cassajus d'Abaca.

La mauvaise réputation de Morandini

Si les cas d'emprunts illégaux de photos sont légion, l'affaire prend de l'ampleur sur Internet car Jean-Marc Morandini n'est pas un «môme» et connaît bien les ficelles du métier. Ses antécédents ne plaident pas pour lui. Le présentateur télé s'est fait épingler à de nombreuses reprises pour des news récupérées sur d'autres sites, professionnels ou non, sans citation de l'auteur original. C'est la mésaventure qui est arrivée récemment à blogiphone.fr.


Vincent Glad


20Minutes.fr, éditions du 01/08/2008 - 17h39

dernière mise à jour : 01/08/2008 - 21h30

 

La bogueuse la plus célèbre de Cuba

Yoani Sanchez

 

 

Lu sur : CotéBlog

 

Yoani Sanchez,la blogueuse la plus célèbre de Cuba

      En avril 2007 est crée le blog Generation Y par une jeune femme de 32 ans. Yoani Sanchez retrace dans son journal en ligne la vie d’une mère ordinaire à Cuba. La cubaine parle alors de la génération née à Cuba dans les années 1970 et 1980 qui est une génération qui a appris à se taire et ce du fait du régime communiste en place sur l’île.

Yoani Sanchez évoque une vie où règne le mensonge, mais elle décrit aussi le peuple comme assomé par les slogans révolutionnaires. Ce blog est alors une réflexion sur la façon dont le régime castriste traite ses propres citoyens . Malgré tout, la jeune diplômée en philosophie se déclare comme apolitique. Désignée comme "l'une des personnes les plus influentes du monde" par le classement du magazine Times , l’auteur ne trouve qu’une explication au succès de son blog. Il permet de donner la parole aux individus qui , dans le régime Castriste est nié au profit de la notion de peuple.

Surprise mais surtout contente du succès de ses écrits dans la blogosphère, Yoani Sanchez a déclaré ne pas vouloir se limiter à son blog personnel. C’est pourquoi, elle a crée un site internet d’hébergement de blogs pour que les cubains puissent s’exprimer comme de vrais citoyens. Dans la mesure où ceux-ci ne peuvent pas donner leur opinion librement dans le monde réel, la blogosphère, elle, peut le leur permettre.
 
 

Par lucie
Le jeudi 19 juin 2008