29/10/2014
Retour des morts vivants
Une assez longue absence de mon blog. Pourquoi ?
Je reviens des morts vivants !
Croyant être victime d'une attaque virale, j'avertis illico mon hébergeur de cette situation préoccupante. La réaction qui s'imposait fut imminente ; suspension de mon blog.
Mais, hélas pour moi, je m'étais inquiété à tort ! J'étais, en quelque sorte pris à mon propre piège.
Mon blog fut alors suspendu, et, après vérification, Hautetfort vient juste de lever la suspension de mon blog juste aujourd'hui.
Je reviens des morts vivants, à la veille d'Halloween.
Espérons que Google dans sa magnanimité, rétablira, lui aussi,rapidement le lien vers mon blog.
Le Bal des Vampires - Bande Annonce Officielle
Roman Polanski
18:49 Publié dans Actualité, Anecdote, Blog, Film, Internet, Le site du jour, Magie, Musique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique, Voyage, Web | Lien permanent | Commentaires (16)
20/10/2014
La Veuve de Carpentras et l’Institut Esalen
Parfois, les consultations réservent des surprises étonnantes, pourvu que l’on ait une curiosité et une connaissance sortant un peu de l’ordinaire.
Personnellement, j’ai une connaissance autodidacte vis-à-vis de ce que l’on pourrait parler, me concernant, une « certaine » culture générale façon Docteur Sangsue ; le mot culture générale ne doit pas être pris au pied de la lette, il faut être modeste. J’ai une culture générale, à ma façon, autodidacte.
Dernièrement, cela m’a servi.
A un courtier dans la banque à la retraite, qui vendait des produits financiers lorsqu’il travaillait, je lui parlais, je ne sais pourquoi, de la veuve de Carpentras. Il ne connaissait pas. Pourtant, la définition dans Wikipédia est parlante : «Un client représentatif de l'ensemble de la clientèle d'une banque, qui lui vend sans difficulté des produits financiers ».
Dans le même ordre d’idée, je vois en consultation une Psychologue, et nous parlons de différentes Psychothérapies. Je lui cite, alors l’Ecole d’Esalen. Idem, elle ne connaissait pas. Pourtant, dans ce cas, Wikipédia est aussi parlant : « L'Institut Esalen est un centre d'éducation d'inspiration « New Age, berceau de la psychologie humaniste, fondée par Michael Murphy et Dick Price en 1962 ». C'est de cet institut qu'est sorti le fameux "Massage Californien" Inspiré du "Massage Indien" communément appelé Ayurvedique, son vrai nom étant Abhyanga. A la suite du mouvement Hippie, le voyage initiatique en Inde était de mise, même les Beatles le firent et Pandit Ravi Shankar interprète et compositeur compositeur de cithare, mondialement connu, fut leur maitre, à l'époque, ils introduisirent, d'ailleurs, la harpe indienne dans leur répertoire.
The Beatles - Norwegian Wood
Dans le domaines, de ce deux professionnels, il leur manque un peu de culture générale concernant leurs professions.
Voila à quoi aboutit le manque de curiosité.
11:08 Publié dans Anecdote, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Musique, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
15/10/2014
La langue Française est toute en nuances
Tout dernièrement, reviens à la consultation un patient que je ne vois plus depuis déjà pas mal de temps, logique, il m’a prévenu, à cette époque là, qu’il allait déménager car il divorçait.
Il vient avec son fils de douze ans.
Jusque là, me dirais vous rien que de très banal. Oui, mais…
Ce charmant garçon de douze ans est venu seul, oui, seul, c’est très rare voire exceptionnel, à cet âge là, et traduit, déjà une maturité exceptionnelle. La mère doit s’en occuper très bien pour aboutir à une si remarquable éducation.
Il consulte pour un certificat de « non contre-indication au sport ». Je lui demande s'il a le carnet de santé, naturellement, il ne l’a pas. C’est fort regrettable, lui retoquais-je, ta mère ne te l’a pas donné, cela m’étonne beaucoup d’elle. Cela me gêne beaucoup, car je crois qu’à ton âge il y a un rappel de vaccination.
Je vous l’amène ce soir ou demain. Je lui fais confiance, ce cher petit est si bien élevé que je lui délivre icelui certificat.
Aujourd’hui, rien, demain non plus, il ne revient pas. Pourtant, avec une si bonne éducation…
J'en reviens au tout début, son père m'amène donc son fils pour une pathologie dermatologique. Je lui annonce que je ne peux plus être le médecin traitant au motif que son fils ne soit pas revenu avec son carnet de santé.
Le père furieux me dis ces paroles étonnante « Vous êtres un enculé ». Pardonnez ce langage trivial.
Une analyse littéraire de ces propos peut-être intéressante. Le vous est respectueux, il aurait pu dire tu, le mot enculé étant, en quelque sorte, en opposition avec le vous. Mais cela traduit un certain âge chez ce patient, un jeune m’aurait dit certainement : « Tu es un enculé ».
La langue Française est pleine de nuances, c’est ce qui fait son charme et sa beauté.
09:56 Publié dans Anecdote, Citation, Coup de gueule, Histoire de la Médecine, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Musique, Politique, Potins, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
14/10/2014
Fliqué par Dame Sécu
J’ai, dans ma clientèle, une patiente en phase terminale de maladie d’Alzheimer.
Un jour, je reçois de Dame Sécu, une lettre m’annonçant que j’avais effectué, le même jour, deux visites, donc une en double facturation et ce… il y a six mois. Dame Sécu me réclamant pour cela le remboursement d’un indu pour une de cette visite en surfacturation. Elle me réclamait de me justifier sous soixante jours sinon elle me prélèverait directement le prix de la surfacturation, soit la somme énorme de… 33 € !
Révolté, j’envoyais, dès la réception de ce courrier, un mail incendiaire dans lequel je vidais ma colère sur ce courrier et ce que je n’avais vécu une telle démarche en trente ans de carrière et que, ce jour là, j’avais dû faire deux visites sans noter les heures sur la feuille de soin pour le remboursement.
Réponse de dame sécu me disant qu’elle étudiait mon dossier.
Ma mie, qui est juriste, me rassura me disant que je perdais mon temps avec ce mail incendiaire, et qu’un juriste ne voit que la finalité : se faire rembourser la somme.
Pour cela, elle me conseilla, tout simplement, de joindre aux pièces réclamées, une déclaration sur l’honneur comme quoi j’avais fait deux visites ce jour là.
Eh bien, vous me croirez si vous voulez, dans la semaine, je reçus un mail comme quoi le problème était réglé et qu’ils abandonnaient cette demande de surfacturation.
Comme quoi, juristes et médecins son complémentaires.
N. B. : Cette Patiente "bénéficie" d'un traitement par Héparine à Bas Pois Moléculaire qui doit revenir à environ 1000 € par mois. Je voulais l'enlever, mais comme je n'ai eu aucune directive en ce sens du service de Gériatrie, par "principe de précaution", je ne l'ai pas enlevé.
Bingo ! Je ne regrette pas.
09:55 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Economie, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
12/10/2014
L’éjaculation Rétrograde ou le pouvoir de vente des Laboratoires Médicaux
Sujet délicat pour ces messieurs.
Dans l'Adénome de la Prostate qui touche 50% des hommes de plus de 60 ans, il existe des médicaments qui ont pour but de permettre de retrouver une miction (faire pipi) pratiquement normale.
Ces médicaments s'appellent les alpha bloquants.
Ils peuvent avoir un effet secondaire rare, une Hypotension Orthostatique.
C'est pour éviter cela que les laboratoires, à la pointe du progrès, mais aussi un peu poussés par la générication, ont sorti des médicaments ayant une affinité plus grande aux récepteurs alpha du col vésical. Le dernier en date, l'UROREC* et SILODYYX (car il existe un comarketing) SILODOSINE DCI.
Mais ces médicaments ont un effet secondaire redoutable, l’éjaculation Rétrograde, et lla SILODOSINE dans 30% des cas. Le patient qui en est atteint n'a plus d'éjaculation. L'éjaculation, au lieu de sortir, se fait dans la vessie, c'est l’éjaculation rétrograde.
Celle-ci est très mal vécue par le patient est, aussi, parfois, par sa partenaire.
Il faut, alors, dans ce cas savoir revenir a la première molécule qui est sortie il y a quelque temps de cela et qui est génériquée maintenant, et donc plus présentée par les Labos, le XATRAL* ou ALFUZOSIME DCI qui ne présente cet effet secondaire que dans moins de... 1% des cas.
Comme quoi le progrès n'est pas toujours une bonne chose.
Quand à la pression des Laboratoires Pharmaceutiques...
14:56 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Histoire de la Médecine, Honte, Médecine, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)
09/10/2014
Divorce chez le Docteur Sangsue
Voilà, depuis quelque temps, déjà, il y avait de l’eau dans le gaz dans notre relation.
Depuis dix ans, il fallait bien que cela arrive un jour.
Une séparation devenait inévitable.
Il fallait que je prenne le taureau par les cornes et lui annoncer, car elle se fermait les yeux, de peur d’affronter la dure réalité en face.
Je pris mon courage à deux mains.
Courage, Docteur Sangsue, ne l’annonce pas brutalement, surtout ne dis pas : « Entre nous, c’est fini ».
Vas-y tout en finesse. Parle du bon vieux temps, de l’usure du temps. Que tu ne regrette rien. Que si c’était à refaire, tu le referais...
Non, non, rassurez-vous, tout va bien avec ma mie. Bien sûr, il y a des moments de « frictions ». Elle a si mauvais caractère, elle est, si chiante, parfois ! Mais c’est un amour… le reste du temps.
C’est d’une patiente dont je vous parle. J’ai décidé de me… séparer d’elle. Expression tellement plus humaine que de dire : « Celle là, je la vire ! ».
Elle devenait de plus en plus chiante.
16:46 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Histoire, Humour, La pensée du jour, Médecine, Potins, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (8)
04/10/2014
Le crachat et la fenêtre
"Jeune fille debout à la fenêtre" - Salvador Dali
Pourquoi ce titre, et surtout, cette association saugrenue.
La maison, en face de chez moi, est occupée par une personne âgée de 70 ans, cette personne devait avoir 10 ans dans les années 50, vous comprendrez, plus tard, pourquoi.
D'abord, dans un premier temps, je fus intrigué par le fait que, tous les matin, été mais, surtout, comme hiver, elle laissait, un long moment, ses fenêtres ouvertes.
Puis, il me revint en tête que, dans les années 50, la Tuberculose était un véritable fléau. Une maladie redoutable qui tuait très souvent, au point que l'on avait crée des Sanatoriums qui passaient pour traiter les malades atteints de cette pathologie, mais surtout, qui avait comme but, inavoué, d'isoler ces pestiférés, pour éviter la contamination de la population saine. Exactement, maintenant, comme pour le SIDA, où, certains, voulaient la création de "Sidatoriums", avec là, la vérité carrément dites.
A l'époque existait une théorie hygiéniste qui préconisait une vie saine, et qui conseillait aux gens, il faut bien quelque chose, même de l'ordre de l’irrationnel, pour conjurer le mauvais sort, d'ouvrir ses fenêtres, régulièrement, tous les jours.
[C'est, d'ailleurs, de l'hygiènisme qu'apparût, dans les années 50, le naturisme et le CHM-Montalivet, le Centre Hélio Marin de Montalivet en Gironde.
ce qui a été repris aux Etats Unis, dans les année 60 à Esalen, où sont nées, avec des séminaires, les thérapies nouvelles "New Age", dont des thérapies corporelles, en particulier, le massage californien.]
Pour en revenir aux fenêtres ouvertes, il est vrai que, maintenant, avec les isolations qui calfeutrent les maisons modernes , là, pour des raisons rationnelle, il était conseillé de le faire, au tout début de ce style de constructions, pour ventiler les maisons. On a fait des progrès depuis, entre autre, VMC, et cela n'est plus nécessaire.
Cette patiente était donc restée, vu son âge, dans ces préceptes là.
Dans les années 50, une loi avait été promulgué, à juste titre, cette fois, de cracher dans les lieux public. C'était, là, une mesure d'hygiène, scientifique et particulièrement sensée.
Cette loi existe toujours, mais n'est plus du tout mise en application par la jeune génération.
Ce qui est intéressant, dans cette l'histoire, et me facilite beaucoup la vie, dans mon exercice professionnel, c'est que, maintenant, les filles crachent autant que les garçons (elles fûmes aussi, hélas, maintenant, très tôt, comme les garçons).
Avant, il était très mal vu qu'une femme crache, comme il était très mal vu, à cette époque, qu'une femme fume dans la rue, seules pouvaient le faire les dames aux bouches peintes, les... prostituées.
Voila l'explication du comportement de cette femme et le lien entre la fenêtre et le crachat.
Ce post a été fait en deux jets :
En gras le premier jet du post.
[Entre crochets, le rajout du second jet].
Bien évidemment, la vidéo fait partie du premier jet.
[Source a voir impérativement pour les curieux. Attention, il y a un lien vers d'autres vidéos : http://lesmainsdubonheur.fr/video/video-histoire-du-natur...
09:56 Publié dans Anecdote, Art, Culture, Histoire de la Médecine, La pensée du jour, Loisirs, Médecine, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (25)
03/10/2014
Le Radiologue l'Ostéopathe et la confraternité
Crédit Photo : http://bypass59.skyrock.com/2308698079-Le-radiologue.html
Dernièrement, j'ai été amené à voir, un patient d'une trentaine d'année, père de deux enfants victime d'une agression dans une boite de nuit.
Il a été sauvagement agressé par quelqu'un qui lui a serré fortement le cou. Depuis trois semaines il souffrait de douleurs résiduelles assez importante dans la région concernée qui s'atténuaient lentement. A l'examen clinique, serrer, moyennement le cou. Rien.
Pour le rassurer, je lui fit passer une radio de l'os Hyoïde.
Mal m'en à pris, n'ayant, naturellement rien vu, le radiologue, pesant à un "truc" de l'ordre du Psycho somatique, au lieu de se contenter de son rôle descriptif, et de me le renvoyer, en toute confraternité, conseilla au patient d'aller chez un... Ostéopathe.
En voyant le patient qui m'amena la radio, et en lisant la conclusion du compte rendu du radiologue, je tirais un tête, je vous dis pas.
Car il avait, entre temps un Ostéopathe, qui, me dit-il, n'avais lui, aussi, jamais vu ça et qui tomba des nues.
En effet, ce sont les patients qui vont d'eux même consulter l'Ostéopathe, et non un médecin qui envoie à l'Ostéopathe.
Inutile de vous dire que ce radiologue fut, illico, rayé de la liste de mes correspondants.
Décidément, la confraternité se perd de nos jours.
06:18 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Histoire de la Médecine, La pensée du jour, Médecine, Santé, Société | Lien permanent | Commentaires (6)
01/10/2014
Lâcheté humaine
Source : http://cercledesconnaissances.blogspot.fr/2011/01/la-bibl...
Vous savez tous qu'une grève des professions libérales a eu lieu hier.
Il faut que vous sachiez, qu'au bon vieux temps, les médecins se réunissaient, "achetés" par les laboratoires pharmaceutiques, en soirées de Formations Médicale Continue (FMC), autour d'un spécialiste qui dispensait son savoir. Ces soirées se terminaient autour d'un repas de brasserie. Cela permettait de se rencontrer entre confrères et d'échanger, entre autre, la façon dont le ministère de la santé nous traitait.
Depuis la loi "anti cadeaux" plus rien, plus de réunion de confrères. Une Amicale des Médecins dans la banlieue de Grandville où j’exerce mes talents, fondit les plombs. Plus grave, elle avait instaurée un système d'aide financière en ces d'arrêt de maladie d'un confrère, car, il faut que vous sachiez qu'un médecin libéral ne touche ses indemnités journalières qu'à partir de... TROIS mois de cessation d'activité. Cette "Tontine" étant entièrement financée par les confrères de l'Amicale, les labos n'intervenant que pour les soirées.
Il faut diviser pour mieux régner.
Un confrère dont j'étais de venu ami, à l'époque de ces réunions, me téléphona, chez moi, pour savoir si je faisait grève.
Voila un coup de fil honnête et responsable.
Je lui répondis que, en quelque sorte, je ferait une demie grève. Ce que j'omis de lui dire, c'est que, comme je fait partie des rares médecins qui font des consultations Psy, ce jour là, j'avais deux rendez vous psys fixés de longue date. Je n'aime pas trop parler de ce genre de consultations, la psychiatrie ayant un enseignement nul lors du cursus des étudiants en médecine, et la psy, ayant, de ce fait, mauvaise réputation. Je me suis donc formé à cette spécialité dans les livres et validais cela en passant un "pompeux" diplôme universitaire de psychologie médicale. En effet, en début de carrière je me rendis compte, très rapidement, que 20 % de ma clientèle échappait à mon savoir médical, et que je ne savais pas traiter ce type de souffrance, c'était ces fameux malades psy.
Lors de cette grève, deux jours avant le biologiste, en personne qui dirige une des filiales d'un laboratoire d'analyse médicale, dont je tairait le nom, mais ayant des filiales dans plusieurs communes de Grandville, ce qui lui permettait permettant d'avoir une "certaine" sécurité financière, me téléphona, sous un prétexte fallacieux. en pleine consultation. Je le remerciais pour les "précieuses" informations qu'il me donnait pour une patiente qui avait une banale pyélonéphrite. En fait, il voulait savoir si je faisait grève.
Le jour de la grève, le matin, en pleine d'une de ces consultation psy, coup de fil d'un individu demandant un rendez vous ce jour, je lui répondis que je ne pouvait pas faisant demie grève. J'avais l'autre consultation psy cette près midi, j'ai du mal à dire non et il m'a eu. Je lui dit de passer rapidement, il me remercia chaleureusement, trop peut être.
A l'heure dite personne, bien sûr, c'était pour me piéger, lâchement. La patiente psy arrive, et je quitte mon cabinet, avec, cependant, une consultation plus longue que prévu. Je plie alors boutique.
Je ne suis ni croyant ni pratiquant, cependant, j'ai "bénéficié" d'une "bonne" éducation religieuse, avant de passer dans l'enseignement républicain où je terminai ma scolarité. Cette éducation religieuse m'appris le respect de l'autre, un peu trop, peut être.
Pour moi, la bible est le premier code civil, celle-ci régissant les règles de vie en société.
La lâcheté humaine est incommensurable.
Encore un qui respecte l'humain.
04:20 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Economie, Honte, La pensée du jour, Médecine, Politique, Santé, Société | Lien permanent | Commentaires (3)