31/03/2016
Château Carbonnieux, pessac-léognan, grand cru classé de graves
Château Carbonnieux blanc
Pour rester dans le domaine œnologique et suite à mon précédant article : Le vin de la semaine : Château «Larose trintaudon», je vous propose, cette fois, un vin prestigieux, le château Carbonnieux.
Le château Carbonnieux est situé près de Léognan, en plein cœur de l'appellation Pessac-Léognan dans le vignoble des Graves.
C'est un cru de grande renommée parmi les crus classés des Graves.
Ce sont les moines bénédictins qui lui ont assuré une notoriété solide en vinifiant déjà un rouge typé puis un blanc sec, clair comme de l'eau de roche, la fameuse "eau minérale de Carbonnieux" très appréciée du Sultan de Constantinople.
Cette appellation "eau minérale de Carbonnieux"était un très bon argument de vente, il était fort pratique et permettait, aux personness qui ne pouvaient consommer de l'alcool, d'avoir un très bon prétexte de pouvoir consommer le château carbonnieux.
Le Carbonnieux blanc est plus prestigieux que le Carbonnieux rouge.
Le Carbonnieux blanc est un vin cher, entre 25 et 30 €, mais quand on aime, on ne compte pas !
Il faut reconnaître, cependant, que pour un grand cru classé, ce n'est pas excessif. Les grand crus classés peuvent atteindre les 100€. Le plus cher étant château Pétrus, un pomerol, qui, du fait de la petite superficie de son vignoble, atteint, allégrement, les... 1500€ !
18:09 Publié dans Anecdote, Cuisine, Culture, Gastronomie, Loisirs, Potins, Shopping, Vidéo, Voyage | Lien permanent | Commentaires (6)
Le vin de la semaine : Château «Larose trintaudon»
Cette semaine, pour rendre homage à Jean-pierre Coffe, récemment disparu, confer mon article précédant : « Hommage à Jean-Pierre Coffe », je vous propose un vin, comme il l’aurait aimé.
C’est un excellent vin avec un remarquable rapport qualité prix.
Il s’agit d’un Haut-Médoc, c'est un Cru Bourgeois : le château « Larose Trindaudon ».
Ce vin est Issu, depuis 1999, des principes de la viticulture responsable et durable. C’est le premier vignoble européen à obtenir ce niveau de reconnaissance.
Le château Larose trintaudon est implanté, sur des graves de l’ère tertiaire et quaternaire, entre les communes de Saint-Julien-de-Beychevelle et de Pauillac, de Moulis et de Margaux.
C’est un vin bien extrait avec une robe rouge intense et avec des saveurs de fruits rouges. Il est assez long en bouche.
Il possède un excellent rapport qualité prix avec un prix moyen aux alentours de 12 €.
Caractéristiques techniques :
- Origine :
Bordeaux (Saint-Laurent du Médoc/France).
- Température de service :
18°C
- Garde :
5 à 12 ans.
- Terroir :
- 190 hectares de vignes.
- Sols : Graves fines, sables de graves et argilo calcaire.
- Densité de plantation : 100% à 6 600 pieds par hectare.
- L’âge moyen des vignes est de 28 ans.
- Encépagement :
-60% Cabernet Sauvignon qui offre de la structure, des parfums et du fruit.
-40% de Merlot* qui offre de la rondeur et du gras.
Site web : « château La rose trintodon ».
*Le Merlot est le premier cépage à mûrir. Il est très sucré, ce qui en fait un raisin très apprécié des merles, d'où son nom.
10:29 Publié dans Cuisine, Culture, Ecologie, Gastronomie, Le site du jour, Loisirs, Mots, Shopping, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (3)
30/03/2016
Hommage à Jean-Pierre Coffe
"Jean-Pierre Coffe était un animateur de radio et de télévision, critique gastronomique, écrivain, cuisinier et comédien français, né le 24 mars 1938 à Lunéville et mort le 29 mars 2016, à l'âge de 78 ans, à Lanneray". Source Wikipédia.
C'était un remarquable défenseur de la cuisine authentique Française. Il défendait les produits frais, locaux et de saison privilégiant les petits producteurs et les commerces de proximité.
Un autre de ses conseils : Cuisiner des plats simples , des plats maison, plutôt que de consommer des plats industriels.
Il préconisait de cuisiner les restes du repas précédant, comme on le faisait dans l’ancien temps, pour ne pas gaspiller la nourriture, c’est l’art d‘utiliser les restes.
J’ai d’ailleurs écrit des articles sur ce sujet, voir mon article de 2015 : « L’art d’accommoder les restes de nourriture, une interprétation écologique du Docteur Sangsue » .
Il se battait, avec véhémence, contre la malbouffe.
Il écrivit plusieurs livres, notamment des livres de cuisines où il se fixait comme but d'atteindre des pris très abordables.
Dans cette même problématique, il s'associa, démarche fort décriée à l'époque, à Leader Price, une enseigne de hard-discount française.
Il était connu pour ses coup de gueules, son leitmotiv : "c'est de la merde", sa verve et ses tenues excentriques.
En 1976, il ouvrit un restaurant "La ciboulette", rue Saint-honoré, puis Le Modeste où se pressait le tout Paris. Mais il fit faillite, escroqué par un homme d’affaires Libanais.
Il raconte, dans cette vidéo, avec sa truculence habituelle, quelques anecdotes croustillantes concernant cette période.
Jean-Pierre Coffe avait réalisé une série de 52 émissions pour enfants appelées "Comment c'est fait ?".
Ces émissions étaient de véritables cours "d'histoire naturelle" comme on le disait, il y a bien longtemps, dans les écoles primaires.
Chaque émission, cerise sur le gâteau, se terminait, toujours, par une recette de cuisine très simple à réaliser et à la portée des enfants.
En hommage à ce personnage hors du commun, je vous invite à voir une vidéo où, avec sa verve habituelle, il pousse un cri d'alarme en ce qui concerne nos enfants.
Deux vidéos de son émission pour les enfants : "Comment c'est fait ?". La première sur le chocolat.
La seconde sur le sel.
Site Web officiel de Jean-Pierre Coffe : Jean-pierre Coffe.
13:05 Publié dans Actualité, Coup de gueule, Cuisine, Economie, Gastronomie, Histoire, La pensée du jour, Le site du jour, Livre, Potins, Santé, Science, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
Les effets inattendus des téléphones portables
En marchant dans les rues, je fus surpris, au début, de voir des gens parler tout seul, à haute voix.
A chaque fois, je me demandais : « Mais qu’ont donc tout ces gens à parler fort dans la rue ».
Ils son devenus fous.
Il faut être fou pour parler tout seul, à haute voix, dans la rue.
Après un court moment de réflexion, chaque fois, la réponse tombait.
En les voyant avec des écouteurs dans les oreilles je comprenais vite.
Bon dieux mais c’est bien sûr, ils sont en communication téléphonique avec leur portable.
Avant, on ne voyait pas ce type de comportement.
C’est comique de voir les effets inattendus par l’utilisation des technologies modernes.
09:12 Publié dans Anecdote, Ecologie, Humour, La pensée du jour, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
28/03/2016
Le marronnier
Le marronnier, marronnier commun, marronnier d'Inde ou marronnier blanc (Aesculus hippocastanum L.) est un arbre de la famille des Hippocastanaceae.
Le marronnier est très répandu dans les parcs publics et le long des avenues.
Le fruit du marronnier d'inde, le marron d'inde, n'est pas comestible, contrairement à ce que l'on pourrait croire en évoquant cette délicieuse friandise de Noël qu'est le marron glacé. En fait, les marron glacés sont réalisé avec des châtaignes.
Pour l'anecdote, il existe une vertu méconnue du marron. Une une recette de bonne femme nous dit que le marron soulage les douleurs de l'arthrose.
Eh bien non, aujourd'hui, je ne vous parlerai pas de cet arbre, mais d'un autre marronnier, une autre signification méconnue de ce mot: le marronnier en terme journalistique.
Le marronnier, en terme journalistique, désigne un événement qui revient tout les ans à la même époque.
C'est pain béni pour les journalistes.
Le marronnier journalistique, est un article qui couvre un évènement de peu d'intérêt récurrent, tout les ans, à la même période, et qui permet, à peu de frais, d'écrire un article facile, mais, aussi, de boucher un trou dans un journal.
L'origine du marronnier journalistique vient du fait que "tous les ans, aux premiers jours du printemps, un marronnier rose fleurissait sur la tombe des Gardes suisses tués lors de la journée du 10 août 1792, dans les jardins des Tuileries à Paris ; et tous les ans un article paraissait dans la presse pour s'en faire l'écho". Wikipédia.
Pour illustrer mon propos de ce jour, je vais évoquer, un marronnier de mise : le passage à l'heure d'été.
Pour cela, je vous renvoi à mon article de 2007 : "L'histoire de l'heure d'été/hiver".
15:22 Publié dans Actualité, Anecdote, Cuisine, Culture, Ecologie, Gastronomie, Le mot du jour, Mots, Potins, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (5)
26/03/2016
California Girls - The Beach Boys
Pour fêter l'heure d'été et dans la lignée de mon article précédant: " La pépite : Le poids des mots, le choc des photos. A propos de la surveillance des plages de Lacanau Océan", un superbe morceaux, un morceaux mythique de Surf Music (surf pop vocale), une pépite de 1965, les Beatch Boys interprétant "California Girls".
10:28 Publié dans Culture, Loisirs, Musique, Société, Sport, Vidéo, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
25/03/2016
Comment le Docteur Sangsue écrit un article sur son Blog
Comme je vous le disais dans mon article précédent : "Est ce la mort annoncée des blogs ? Le blues du Docteur Sangsue”, je ne sais si les Blogs souffrent, aussi, de la désaffection pour la lecture au profit d’articles courts et faciles à lire, car sans efforts.
Je vais vous livrer, aujourd’hui, un secret : comment j’écris un article sur mon Blog.
Tout abord, l’inspiration. L’angoisse de la page blanche ? Pas vraiment, je crains surtout de savoir si j’aurais assez à raconter, si l’article sera assez long.
En effet, il faut qu’un article soit suffisamment étoffé, mais pas trop. Si l'article est trop long, cela lassera le lecteur.
J’ai étalonné mes articles sur une à deux pages Word, grand maximum.
Une fois le texte rédigé, vient la recherche de l’illustration.
Je recherche l’image en tête d’article sur Google image. Il me faut, parfois, rechercher avec attention. Cela peut me demander un peu de temps pour trouver une image qui colle bien au texte. D’autant qu’il me faut trouver une image qui ne sera pas retirée de mon Blog, car protégée par son auteur.
Si cela est possible, en plus, la recherche d’une illustration vidéo et ou musicale est un must pour mon article.
Je tire cette vidéo uniquement sur YouTube, seul site, qui me permet d’intégrer les vidéos sur mon Blog.
Après une relecture de l’article sur Word et les corrections indispensables, je fais un copier coller de mon article sur un fichier texte.
Puis j’insère celui-ci dans Hautetfort.
Il m’est, encore, indispensable de corriger, une fois de plus, ma prose pour ôter le sous lignage rouge de Hautetfort signalant les erreurs restantes, outil fort utile ma fois.
Il ne me suffit plus qu’à mettre en ligne mon article pour soumette mes divagations scriptiques à votre sagacité.
Très souvent, plus tard, en relisant mes articles, il m'arrive, pour les améliorer, d'apporter des modifications.
Vous savez tout, maintenant, sur les coulisses de la rédaction des articles que je dépose sur mon Blog.
BEETHOVEN : Bagatelle N°59 " Lettre à Elise"
11:02 Publié dans Anecdote, Internet, Loisirs, Musique, Potins, Vidéo, Web | Lien permanent | Commentaires (0)
24/03/2016
Est ce la mort annoncée des blogs ? Le blues du Docteur Sangsue
Je constate, progressivement, mais inexorablement, une certaine désaffection en ce qui concerne les Blogs.
Cela est-il dû à l’apparition de Facebook et autres Twitter ?
je ne sais si les Blogs souffrent, aussi, de cette désaffection pour la lecture au profit d’articles courts et faciles à lire, car demandant peu d'efforts.
En effet, j’ai connu la brillante époque de la naissance puis de la croissance exponentielle de la catégorie de Blog où je me situais : « Les Blogs Médicaux ».
Mon Blog était atypique avec, certes des articles médicaux, mais des articles totalement étrangers comme une rubrique gastronomique ou des hautes considérations sur la vie de tous les jours. Où, parfois, des articles farfelus et un peu déjantés.
Puis Progressivement, après, cependant, une longue période de suivi intense, les commentaires se raréfient.
Dans la foulée mon hébergeur, Hautetfort, cessa de tenir les statistiques de mon Blog me faisant perdre, ainsi, mes repères. Cela accentua le phénomène.
Puis les Blogs Médicaux perdirent de leur prégnance A tel point que certains Blogs fermèrent leur porte ou bien faillirent le faire. Je vous renvoie à mon article de 2014 : "Je vous annonce la mort d'un Blog".
Heureusement, j’ai un petit outil que j’ai installé sur mon Blog : « Géovisite » qui me permet de localiser mes lecteurs partout dans le monde.
Sans cela, je me sentirais bien isolé, et je pense que j’aurais cessé toute activité bloguesque.
Les temps deviennent durs pour le modeste blogueur que je suis.
Une certaine lassitude, parfois, m’envahis.
Dans ce contexte morose, je me pose, parfois, la question : et si l’inspiration ne venait plus ?
Nous verrons bien.
Advienne que pourra.
11:27 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Histoire de l'informatique, Informatique, Informatique Médicale, Internet, La pensée du jour, Loisirs, Médecine, Potins, Santé, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (4)
23/03/2016
Je ne peux plus accéder à la page web de mon Blog – Problème résolu – Avast en est la cause
Depuis quelques jours, je ne peux accéder, depuis l’ordinateur de mon cabinet, alors que j’y arrive très bien depuis mon domicile, à la page web de mon Blog : Docteur Sangsue.
Cela est survenu après la mise à jour de mon antivirus Avast.
Or il se trouve qu’avec mon abonnement pour la télétransmission sécurisée, il m’est fourni dans le pack, un antivirus beaucoup plus performant qu’Avast gratuit qui laisse filtrer énormément de chose.
Je téléphone donc au RSS (Réseau Santé Social) qui, dans son pack gère ma télétransmission sécurisée et ma ligne téléphonique qui, cerise sur le gâteau, dans le forfait, comprend les appels gratuit sur les téléphones mobiles pour résoudre ce problème.
La Hot Line me désinstalle Avast et, dans la foulée, m’installe leur antivirus « ESET », et, oh miracle, j’accède à nouveau à la page web de mon blog.
C’était bien Avast qui m’empêchait d’accéder à la page web de mon Blog !
Résultat de l’opération, je me retrouve avec ma panne résolue et un antivirus bien plus performant.
Elle n’est pas belle la vie ?
12:05 Publié dans Anecdote, Informatique, Informatique Médicale, Internet, Le site du jour, Médecine, Potins, Shopping, Web | Lien permanent | Commentaires (9)
22/03/2016
Un patient négligeant : une bombe à retardement
Dans ma patientèle, je soigne, depuis longtemps, un patient un peu particulier.
Il est particulier en ce sens que, ayant un cholestérol élevé et ayant des effets secondaires lié aux statines (douleurs musculaires) il refusa tout autre traitement.
Va donc pour l’abstention thérapeutique, le cholestérol ne pétant pas le feu de façon dramatique.
Je le revois, de temps en temps, pour contrôler ses PSA (marqueur du cancer de la prostate).
Il y a un an, je découvris, lors du bilan, une clairance de la créatinine (marqueur de la fonction rénale) limite pour son âge.
Cette année, la clairance a encore un peu baissée.
Tout naturellement, sans autre exploration, pour gagner du temps, je l’adresse à mon correspondant Néphrologue.
Celui-ci, lors de l’échographie, découvre une prostate bien augmentée de volume (à ce propos, les PSA augmentaient régulièrement pour être suffisamment importante de façon à ce qu’il soit assidu pour la consultation de l’Urologue).
L’échographie met, même, en évidence, une « vessie de lutte », la vessie commençant à forcer contre l’obstacle crée par le volume de l’adénome prostatique.
La diminution de sa fonction rénale était bien due à son adénome prostatique qui empêchait l’élimination de son urine, d’où le retentissement sur le rein.
Je reçu bien le courrier du Néphrologue me précisant que le patient, tôt ou tard devait se faire opérer de son adénome bien qu’il soit, visiblement très réticent à pareille intervention.
Mais, du patient, point de nouvelle.
Autant celui-ci allait consultait l’Urologue pour un éventuel cancer bien hypothétique, autant il ne voulait pas le consulter pour son adénome (tumeur bénigne) qui risquait de lui bousiller ses reins.
Désolant.
Que faire.
A mon avis, ne pas trop le relancer, sinon il se heurterait, et il partirait dans la nature, le remède étant pire que le mal.
Attendre ? Oui, mais jusqu’à quand ?
Espérons qu’il ne tardera pas trop.
Si cela dure un an de plus, cela risque de devenir bien problématique.
10:58 Publié dans Anecdote, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Santé, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
18/03/2016
Couscous au poulet fast cooking façon docteur sangsue
Le fast cooking, de cette recette, vient du fait de l'utilisation de légumes surgelés "spécial couscous".
Le couscous a été importé en France suite à la fin de la guerre d'Algérie. Il fut ramené par les "pieds noirs" rapatriés d'Algérie ou du Maroc ; tout comme la cuisine vietnamienne fut ramenée en France lors de la guerre d’Indochine.
Ingrédients pour quatre personnes :
- 2 cuisses de poulet coupées en deux
- 1 poche de 500 g de légumes surgelé "spécial couscous"
- 1 boite de 250 g de tomates pelées
- 1 Kg de semoule grain moyen
- 1 cuillère à soupe de ras el hanout
- 1 l d'eau
- Beurre
- Harissa
Préparation :
Dans une cocotte minute faites revenir dans de l'huile d'olive les cuisses de poulet, à feu vif, jusqu’à ce quelles soient dorées.
Rajouter un oignon émincé et deux gousses d'ail et une boite de 250 g de tomates pelées avec le jus (le secret de la recette est le mélange des saveurs de la tomate avec celui du ras el hanout).
Rajouter une cuillère à soupe de ras el hanout.
Versez 1 litre d'eau, les légumes. Fermer la cocotte.
Laisser cuire 30 mn.
Ouvrir la cocotte, sortir tout. Versez 75 cl d'eau mettre la semoule dans le panier vapeur après l'avoir mouillé avec 1 verre d'eau dans un plat pour la faire gonfler.
Faire cuire la semoule 5 mn.
Sortir la semoule, l'étaler dans un plat, mettez deux beaux morceaux de beurre et malaxerez à la main.
Dégustation :
Disposez dans une assiette creuse un morceaux de poulet, de la semoule et les légumes.
Préparer la sauce piquante en diluant la harissa dans le bouillon.
Mouiller la semoule et versez la sauce piquante.
Il ne vous reste plus qu'à vous régaler.
A déguster avec un rosé bien frais : un Guérrouane ou un Boulaouane ou un bon rosé de Provence.
19:48 Publié dans Cuisine, Culture, Gastronomie, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Shopping, Société, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
Sirène
09:28 Publié dans Loisirs, Photographie, Voyage | Lien permanent | Commentaires (2)
16/03/2016
Ce qui a bien faillit être la mort du Blog du Docteur Sangsue
Cela fait bien, maintenant, une dizaine de jours, treize jours pour être plus précis, que je n'ai scribouillé sur mon Blog.
Pourquoi une si longue absence ?
Parce que j'ai bien failli passer l'arme à gauche.
Oui, j'ai, vraiment, failli tout simplement claquer.
Tout simplement mourir de ma bêtise, voire de ma connerie tout simplement.
Il suffit de se reporter à mon article précédant : "Une colique tenace".
Eh bien non ! Ce n'était pas une sévère Gastro Entérite Aiguë (GEA), mais bien d'une appendicite abcédée dont il s'agissait.
Une appendicite négligée par un Médecin, un comble !
Pour les connaisseurs, au bilan sanguin j'avais une CRP à 350 (normale < 5) les globules blancs à 13700 (normale = 6000)
Au Scanner : "appendicite aigüe avec une collection en cours dans de formation et un épanchement du douglas".
Dans les suite la malchance se poursuit : A près un deuxième Scanner (et de deux) "lâchage de suture compliqué de deux abcès dans la fosse iliaque droite et pelvienne" heureusement drainés par échographie radioguidée.
A la pose du drain, j'entendis un crac quand le frocard franchit le péritoine, alors, une odeur putride envahis instantanément la pièce. Le drain retira, aussitôt, un tiers de litre d'un liquide rougeâtre.
Ainsi, je me retrouvais avec trois fil à la patte : une perfusion, une sonde urinaire et un drain.
Sur ce coup là, j'ai été lamentable, j'aurais pu me... T U E R !
Les troubles, ma fameuse Gastro Entérite, ont commencés le jeudi dans l'après-midi et je ne me décidais d'aller aux urgences du C.H.U que le... samedi à minuit, alors qu'en toute logique, devant la persistance de la douleur, j'aurais dû me faire hospitaliser le vendredi matin. Ce qu'aurait fait tout médecin tant soit peu raisonnable.
Il faut dire, à ma décharge, qu'il s'agissait d'une appendicite rétro cæcale, celles les plus difficiles à diagnostiquer, car les plus vicieuse. Elles ne donnent que des douleurs "modérées" et un peu atypiques, comparées aux formes normales qui, elles, donnent des douleurs violentes dans la F.I.D (Fosse Iliaque Droite).
Résultat des courses DIX jours d'hospitalisation, avec des douleurs atroces cotées, parfois, à dix, sur l'échelle EVA, pour une appendicite négligée. Pour traiter ces douleurs, j'étais devenu une véritable usine à médicaments ! De nos jours, correctement diagnostiquée et traitée, le traitement se traduit par un à deux jours d'hospitalisation. Une appendicectomie sous Céliochirurgie, et ce, qui plus est, sans souffrance particulièrement notable.
Inutile de vous dire que pour ce qui est de manger, l'appétit n'y était plus du tout.
Un seul mot pour qualifier tout ce qui précède :
L. A M.E. N T.A.B.L.E !
Pour les plus curieux (les professionnels... Ou autres), de très belles images de scanner abdomino-pelvien :
Scanner - Appendicite - Complications
Cœliochirurgie
10:02 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Maladies des Hommes Célèbres, Médecine, Mots, Potins, Santé, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (6)
04/03/2016
Une colique tenace
Hier, retenu par un "client de dernière minute", je dis client et pas patient car, en plus, il était "embêtant".
Ce patient, tout naturellement, me mit en retard pour déjeuner chez moi.
Comme je n'avais rien à croûter, je me dirigeais, en vitesse, vers le petit supermarché de quartier, et achetais du gruyère et une baguette de pain (une "serpentine", pain pas trop mauvais).
Renté chez moi, vu l'heure, je me jetais avidement sur la bouffe que je dévorais en un clin d'œil, puis repartis à mon cabinet.
Peu de temps après, une douleur épouvantable envahis mon ventre.
Cela perturba quelque peu ma consultation. mais quand on consulte, en étant concentré, la douleur disparait.
Rentré chez moi la douleur devint tenace et presque insupportable.
Je me bourrais d'antalgique pallier I (PARACETAMOL), puis pallié II (IXPRIM) sans oublier un antispasmodique que j'avais sous la main (TRIMEBUTINE). Mais ce fut sans résultat.
Je ne suis pas particulièrement hypocondriaque, comme ma tendre et douce, qui me proposa d'aller aux Urgence. Démarche totalement inutile.
Ce n'est que dans la nuit, que le doute m'envahis. Et si c'était une appendicite ? Mais cela n'y ressemblait pas trop, mais le doute...
En fait l'hypothèse la plus probable était une gastro entérite cognée, d'ailleurs la suite me donna raison.
Enfin, la démarche rigoureuse me fit prendre un antalgique fort intéressant et, qui plus est, a une action anti inflammatoire : le KETOPROFENE.
Une demi heure plus tard, la douleur céda et je pus, enfin, m'endormir.
Le pouvoir des médicaments judicieusement utilisés.
Moralité : il est parfois difficile de se soigner soi même.
09:44 Publié dans Anecdote, Bricolage, Honte, La pensée du jour, Médecine, Mots, Musique, Potins, Santé, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (2)
03/03/2016
Salade de harengs fumés : harengs pomme à l'huile façon Docteur Sangsue
Ingrédients pour 4 personnes :
- 6 grosses pommes de terre : cuisson cocotte minute 35 minutes
- 1 oignon
- Poivre du moulin
- Huile d’olive
- 2 sachets de 250 g de harengs fumés doux
Préparation :
Faire cuire les pommes de terre à la vapeur, dans une cocotte minute, prendant 35 minutes.
Pendant ce temps, dans un grand saladier, versez les harengs coupés en morceaux de 4 cm sur 4 cm, l’oignon coupé en lamelles et l’huile d’olive.Poivrez.
Remuez plusieurs fois le mélange de façon à ce que l’oignon commence à cuire à l’huile d’olive et s’imprègne bien des saveurs du hareng.
Une fois les pommes de terre cuites, coupez celles-ci en gros morceaux et versez les bien chaudes dans le saladier.
Mélangez l’appareil.
Rajoutez, si besoin est, de l’huile d’olive.
Surtout ne salez pas, le hareng s’en charge amplement.
Dégustation :
Ce plat est à déguster chaud avec, soit un vin blanc sec ou une bière blonde. Les deux servis très froid de façon à faire une opposition chaud-froid du meilleur goût.
13:53 Publié dans Cuisine, Gastronomie, Loisirs, Shopping, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (2)