10/08/2016
Où va se nicher la malhonnêteté des gens
Je vous racontais, dans mon article : « Michel Morin », mon dégât des eaux
En fait, ce n’était pas la toiture mais c’était au niveau du chéneau que l’eau avait débordée, inondant le plafond.
Monsieur Michel Morin ayant bouché le tuyau d’évacuation des eaux de pluie, cela avait entrainé le débordement d’icelle dans le plafond.
Un plâtrier contacté ultérieurement nous précisa qu’il suffisait, tout simplement, d’attendre que le plâtre sèche. Il fallait attendre quinze jour pour cela.
Comme quoi, il ne faut jamais se précipiter, surtout quand on est décontenancé par un évènement pour le moins traumatisant et faire appel à un autre professionnel, idoine celui là.
Effectivement, le plafond sec, tout rentra dans l’ordre ad intégrum.
Le premier ouvrier, couvreur de son état, savait pertinemment ce qu’il nous racontait.
Où va se nicher, surtout maintenant, la malhonnêteté des gens.
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08/08/2016
Quand le Docteur Sangsue fait des sports de glisse
Dernièrement, j’ai fait de la glisse.
En d’autre temps cela m’aurait donné une sensation très agréable comme si je volais.
Cette fois-ci, cela a bien faillit se terminer mal.
J’ai failli choir.
Vu mon âge, je n’en suis pas encore à la fracture du col du fémur mais une chute sur mon postérieur avec une fracture du coccyx et sa douleur bien gênante, en position assise, calmée, cependant, par un rond de cuir * et **, m’eût bien gêné dans mon travail.
Dernièrement, j’ai fait l’acquisition, de superbes chaussures d’été en daim de couleurs crème, d’une marque célèbre pour son confort de marche et de sa capacité de ventilation pour limiter la transpiration, entre autre, source de mauvaises odeurs.
Habituellement, je privilégie la fonctionnalité bien avant l’esthétique.
Eh bien, dans ce cas là, je fus servi.
A la première pluie, je fis du surf et faillit tomber.
En regardant de plus près la semelle, je vis des picots dont la matière ne permettant qu’une faible adhérence à la pluie.
Cette fois ci, je me suis laissé avoir. L’esthétique ayant privilégiè, pour une fois, la fonctionnalité.
**Allusion au célèbre roman de Georges Courteline : « Messieurs les ronds de cuir ».
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03/08/2016
Les tongs et le Docteur sangsue
Naturellement, elle arrive en fin de consultation, ce dont j’ai particulièrement horreur.
Cette patiente, que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam vient consulter, en urgence, pour une filandreuse histoire d’IST (Infection Sexuellement Transmissible).
Elle se serait chopée, à la fois une infection à chlamydiae et une infection à Ureaplasma urealyticum. Toutes les deux auraient été traitées, il y a six mois, par un Médecin Généraliste de là où elle habite, la Réunion.
Un contrôle, il y a un mois, aurait montré, toujours là bas, une guérison de l’infection à chlamydiae mais pas de celle à Ureaplasma urealyticum.
Elle doit renter à la Réunion dans quinze jours.
Bref, une histoire filandreuse, car je lui dis d’aller consulter un Gynécologue à la Réunion, puisque, à la différence de la métropole où il faut compter six mois, la bas, un mois suffit.
Je lui prescris un bilan de recherche de Mycoplasme et chlamydiae et lui dit de montrer les résultats à un Gynécologue de la Réunion. Je la sens mécontente de ne pas la traiter. Moi de lui expliquer Qu’attendre un mois, dans ce cas, ne pose pas problème.
Par contre, je prescrit, aussi, une recherche de Ureaplasma urealyticum pour son partenaire.
La consultation terminée, je la fais ressortir par la salle d’attente où son ami l’attend.
En sortant, son copain s’entrave dans la marche avec sa tong, eh oui, en ville, maintenant, on va voir le médecin en tongs !
En fermant la porte, je lui coince le pied heureusement sans trop de bobo.
Lui de crier d'un ton très agressif « Merde, qu’elle saloperie » !
Certes, j’ai refermé la porte un peu trop rapidement, mais s’il n’était pas venu en tongs…
P.S. : Je regardais sur le Net et découvris que Ureaplasma urealyticum n'est pas toujours pathogène. Au gynécologue a décider de traiter s'il y a lieu.
09:34 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, Médecine, Santé, Société, Voyage | Lien permanent | Commentaires (8)
01/08/2016
Le restaurant prometteur
Pendant mes dernières vacances, comme je vous avais parlé dans mon article : « Vacances de juillet 2016 » d’un restaurant prometteur.
J’ai donc testé ce restaurant prometteur.
C’était un nouveau restaurant qui avait ouvert il y a six mois.
Cruelle déception.
Dans les critiques alléchantes de ce restaurant il était précisé de réserver. Or nous y arrivâmes sans réserver, et on nous accepta.
Le cadre était magnifique, une mignonne terrasse et superbement ombragée, certes minuscule, c’est là que l’on nous installa. Peu de tables étaient occupées.
Par contre, il y avait une grande salle totalement vide.
A mon avis, la réservation était purement à des fins publicitaires.
Le plus surprenant c’était qu’il y avait une carte plus que restreinte car réduite à sa plus simple expression. D’un autre côté, c’est plutôt bon signe, on est sûr que les produits sont frais et la cuisine faite maison, comme il était indiqué sur la pancarte à l’entrée du restaurant.
En apéritif, je pris une bière locale excellente. Cela augurait bien.
En entrée je pris six huitres du bassin d’Arcachon (Andernos) excellentes, servies très fraîches, laiteuse (j’aime, aussi les huitres comme cela) et il faut savoir que l’on est dans un mois sans R. Au moins ce ne sont pas des huitres triploïdes, huitres génétiquement modifiées, qui ne sont pas laiteuses quelque soit la saison.
Mais c’est ensuite que tout se gâta.
En plat principal : anneaux de seiches persillade. Une catastrophe. D’abord, pas d’odeur de persillade. Surprenant. Ensuite ce que l’on peut qualifier de persillade était presque caramélisé (cela ôte tout goût d’ail) et en plus je cherchais le persil. Cette « persillade » avait, dans sa composition, des échalotes (nouvelle cuisine avec persillade revisitée ?).
En accompagnement, sur la carte devaient être servies des pommes de terre au four.
La patronne précisa, cependant, qu’elle nous servirait une salade de pomme de terre, donc des pommes de terre bouillies en vinaigrette.
L’accompagnement était horrible. A la place de la vinaigrette, les pommes de terre étaient recouvertes d’une sauce infecte.
Je ne pris pas de dessert.
Cependant, ma femme pris une coupe de glaces. Celle-ci était purement succulente.
Cruelle déception.
Pour moi, ce qui est dans l’assiette est beaucoup plus important que le cadre.
Ce restaurant a, à mon avis, du soucis à se faire.
En tout cas, je n'y retournerais pas.
09:37 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Cuisine, Fête, Gastronomie, Honte, Potins, Shopping | Lien permanent | Commentaires (1)
25/07/2016
Je n’arrive plus à ouvrir les fichiers exécutables (fichiers exe). Problème avec Windows Installer
Après les problèmes avec mon gros Ordi dont je vous ai parlé dans mon article précédant, avant que Windows 7 redémarre, je décidais de réinstallais Windows XP, au propre, sur un ancien Ordi, un Pentium 4 de 2 Ghz avec 2 Go de RAM.
Après une installation normale, Je me retrouvais dans l’impossibilité d’installer la majorité de mes logiciels. En double cliquant sur l’icône du soft.
Jusqu'à ce qu’une installation avortée me révéla qu’il y avait un problème avec Windows Intaller.
Je me précipitais alors, avidement, sur les forums de discutions.
Sur plusieurs, je trouvais la même méthode pour réparer Windows Intaller.
Je vous la donne (ceci est valable pour Windows XP).
Démarrer menu Démarrer, puis Exécuter et saisissez :
msiexec /unreg (en respectant bien l’espace entre msiexec et unreg. Validez (cela désinstalle Windows Installer).
Ensuite, cliquez sur menu Démarrer, puis sur Exécuter et saisissez:
msiexec /regserver. Validez (cela réinstalle Windows Installer).
Voilà, vous avez restauré Windows Installer.
Cela a très bien marché pour moi.
Si cela ne fonctionne toujours pas, placez le CD-ROM de Windows XP dans votre lecteur et cliquez sur le menu Démarrer puis Exécuter et saisissez :
SFC /Scannow (en respectant bien l’espace entre SFC et Scannow.
Ceci doit réparer les fichiers systèmes de Windows XP.
08:53 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, Informatique, Loisirs, Mots, Potins, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
11/07/2016
Plus un chien est gros, plus il fait de grosses crottes
Dans mon lieu de vacances, je suis retourné là où j'allais dans le temps, une petite crique au cadre magnifique. Celle-ci est bien cachée, il faut connaître l'endroit. Dans les alentours, de vieilles maisons en bois déshabitées, ont été rachetée et remarquablement réhabilitées. Mais aussi, de nouvelles maisons ont été construites. La population locale a sensiblement augmentée. Le lac est fréquenté par les familles avec des enfants car il est moins dangereux que la mer. La surveillance des enfants étant assurée facilement pour les parents. De plus, le lac, sans les vagues permettent aux enfants de s'amuser tranquillement. En outre l'eau est plus chaude. Je suis effaré par le nombre de parents qui fument sur cette toute petite plage et qui jettent allègrement leurs mégots dans le sable. Celle-ci n'étant pas nettoyée devient un véritable dépotoir. La plage de la mer, elle, est ratissée, tous matins, par un tractopelle. Ainsi va la nature Humaine. Comme les chiens les plus gros qui font de plus grosses crottes, plus la population grossit, plus la saleté suit.
12:11 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Honte, La pensée du jour, Politique, Potins, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (12)
09/07/2016
La piscine
Là ou je passe mes vacances, si vous regardez sur cet outil fascinant qu'est Google Earth, vous seriez fasciné par le nombre de maisons qui sont dotées d'une piscine. Vu du satellite, dans un nouveau lotissement, tel une grappe de raisin, les maisons qui s'accrochent à la rafle, sont toutes dotées d'un rectangle bleu :une piscine. Pourtant, dans ce milieu paradisiaque se trouvent une mer de sable fin et un superbe étang tout ceci entouré d'une superbe forêt de pins. Mais les plages sont saturée de monde. Le lac un peu moins. La mer a une eau, certes, un peu froide et, bien que l'eau du lac le soit un peu moins, ceux qui possèdent une piscine, d'une part ne se mélangent pas avec le peuple et bénéficient, en outre, d'une eau bien plus chaude. Ce que l'on pourrait qualifier de luxe. Cela pourrait prêter, cependant, à sourire de voir dans un tel lieu naturel aussi extraordinaire autant de petits lieux artificiels. Ainsi va la nature humaine.
12:35 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Honte, La pensée du jour, Potins, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (4)
08/07/2016
La Pelouse
Là ou je passe mes vacances ne poussent, en majorité, que des pins. Je suis fasciné par les gens qui ont planté de magnifiques pelouse. Le sol ne s'y adapte pas forcément car sur ce sol ne poussent, entre autre, que des pins. Les aiguilles de pins qui tombent donnent un sol acide peu propice à la pousse d'une pelouse. Il faut donc, qu'à cet endroit, les pins soient abattus et que l'on ait amendé ce sol avec de la bonne terre. Mais cela ne suffit pas. Il faut aussi arroser à donf pour que la pelouse soit bien verte. Une hérésie dans un tel lieu de lande de Gascogne !
21:51 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
05/07/2016
Un restaurant poussiéreux
Quand j'étais jeune, pendant mes vacances d'été, j'allais souvent dans un restaurant. C'est là, pour le folklore, que j'ai dégusté ma première bière et ceci à la botte. Dans ce restaurant, nous étions une bande. Nous dégustions des fondues bourguignonnes arrosées d'un rosé de fort bon aloi, parfois avec excès, nous étions, alors, étudiants. A l'époque, la salle était bondée. Un brouhaha signait la vie du restaurant. Il me fut donné l'opportunité, bien plus tard, cette année, de passer, pendant mes vacance ci, devant ce restaurant. Extérieurement, le restaurant n'avait pas changé. Même le nom était resté le même. L'idée me prit d'y retourner. Pour y déguster ma fondue d'antan. et la faire découvrir à ma moitié Intérieurement la décoration, elle aussi, était comme dans le bon vieux temps. Mais cette idée loufoque se transforma, rapidement, en une véritable catastrophe. En effet, en pénétrant dans le restaurant, un sentiment bizarre m’envahis. Il me donna l'effet d'un restaurant poussiéreux. Le restaurant était presque vide. Deux couples de clients se battaient en duel. Point de brouhaha. Un silence sépulcral régnait dans les lieux. Le restaurant était mort. Le serveur, grand, maigre, au visage cadavérique et peu gracieux, nous présenta la carte. Point de fondue au menu. En apéritif, je pris le vin en direct selon mon habitude. Comme j'avais choisi un pavé de saumon avec des tagliatelles au pesto et ma moitié, un autre plat de poisson, je sélectionnai un bon Pessac Léognan que je connaissait bien. Pour débuter le repas, il nous amena des amuse gueules un peu nouvelles cuisine car servis dans des verrines. Pour ce qui est de la nouvelle cuisine, la suite me donna raison. Le plat me fut servi dans une assiette immense, rectangulaire, en porcelaine blanche ; le plat bien coloré à la décoration soignée, mais avec juste ce qu'il faut pour contenter la faim. Le dessert fut servi dans des verrines, comme il fallait s'y attendre. Définitivement, le charme était brisé. Il ne faut jamais revenir sur son passé.
14:07 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Cuisine, Gastronomie, Honte, La pensée du jour, Loisirs, Potins, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (6)
01/07/2016
Le Château
Par derrière chez moi, il y a un « château ». Enfin, une grande bâtisse des années 1800 ressemblant à un château d'antan.
Par derrière chez moi, il est arrivé bien des misères à ce pauvre château.
Au départ, le châtelain l’avait cédé, à son décès, au conseil général de l'époque, pour en faire un établissement scolaire.
Pendant longtemps, en effet, il hébergea un collège.
Mais, les années aidant, il fut cédé à un syndicat dont je tairai le nom.
Malheureusement deux circonstances vinrent aggraver sa peine.
D’abord un mouvement social qui entraina un profond mécontentement envers ce syndicat.
Mais, malencontreusement, aussi, une grève des éboueurs acheva son malheur.
Les poubelles débordèrent de façon cataclysmique. L'odeur dégagée devint pestilentielle. Bientôt les rats envahirent le navire.
Des mécontents mirent le feu aux poubelles accumulées et débordant devant le château.
Le feux se propageant au château l’endommagea sérieusement.
Pauvre châtelain, décidément tu dois te retourner dans ta tombe en voyant l’irrespect des hommes concernant ton château.
09:24 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Histoire, Honte, La pensée du jour, Musique, Politique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
27/06/2016
CMU malgré elle
J’ai, dans ma clientèle, une patiente de 25 ans chez qui, la dermatologue qu’elle a consultée récemment, lui a appris qu’elle avait la CMU (Couverture Maladie Universelle)*.
Elle n’a jamais été prévenue d’une telle situation.
Je vois cette patiente en consultation, elle me raconte cette anecdote.
Effectivement, en regardant la FSE (Feuille de Soin Électronique) je vois, qu’elle bénéficie bien de la CMU.
Elle me dit, alors, avoir fait une demandée de CMU il y a… onze mois.
Elle est restée sans nouvelle depuis.
Qu’elle réactivité de la part de la Sécurité Sociale.
Qu’elle efficacité dans la communication.
Mon brave monsieur, l’administration n’est plus ce qu’elle était.
*La CMU est une prestation sociale française permettant l'accès au soin à toute personne résidant en France qui n'a pas les moyens financiers pour cela.
09:43 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Economie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Potins, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)
22/06/2016
Faites du boucan
Hier, 21 juin, c’était la fête de la musique.
La fête de la musique est une idée fort intelligente inventée, il y a trente cinq ans, (trente cinq ans déjà !), en France, par Monsieur Jack Lang alors ministre de la culture.
Le but étant de célébrer l’été.
Cette fête se traduisant, dans les grandes villes, par des concerts disséminées un peu partout.
La veille de la fête de la musique, j’entendis un bruit de tam tam à cinq cent mètre d’un parc jusque là très calme parcouru par les joggeurs et peuplé par les oiseaux dont on endentait l’agréable gazouillis.
Et là, du boucan !
Ils répétaient pour la fête de la musique.
En effet, au milieu du parc, était implanté un barnum blanc.
Le pire, c’est que, même dans le tram, passait le bruit de tam tam.
Il ne manquait plus que les signaux de fumés pour rameuter le peuple.
Moralité, maintenant, pour la fête de la musique, faites du boucan, pas de la musique.
09:29 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Musique, Politique, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (15)
20/06/2016
Une prof de sport responsable
Collégien assis
Pas plus tard que ce matin, en prenant le tram, une horde de collégiens l’attendaient, eux aussi. Ils allaient rejoindre le stade pour suivre leur cour d’éducation physique.
A leur tète, une femme prof de sport dynamique.
Brutalement, celle-ci se dirige vers le mur d’une maison et dit d’un ton sec à trois collégiens : « ne vous asseyez pas sur les marches. Vous aimeriez que l’on s’assoie sur les vôtres ? »
Un acte citoyen pour une femme professeur d’éducation physique responsable.
11:44 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
10/06/2016
La retraite forcée du Docteur Sangsue
L’heure de la retraite approche.
J’adore mon métier, mais les conditions de l’exercice de la Médecine Générale Libérale deviennent, pour différentes raisons, de plus en plus difficiles à vivre.
Pour ces raisons, voyant, parfois, un certain découragement, ma femme décida de téléphoner à ma caisse de retraite, la CARMF (Caisse Autonome de Retraite des Médecins français), pour connaître les modalités à envisager lors du passage à la retraite.
A près ce coup de fil, pas de nouvelle, pas de courrier de plan de retraite.
A près deux mails à trois mois d’intervalle pas de nouvelle non plus.
Puis, brutalement, ce matin, je reçois un courrier de la CARMF.
Je me dis, dans mon fort intérieur, enfin les informations que j’ai demandées.
J’ouvre la lettre, et, oh stupéfaction ! Il m’est écrit dans ce courrier, qu’ils prennent en compte ma mise à la retraite à partir du 1° avril.
Non, ce n’est pas un poisson d’avril.
Il a fallut téléphoner pour corriger cette erreur.
Sinon, je me serai trouvé à la retraite bien malgré moi.
Il faut dire que cela aurait pu être tentant.
09:17 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Médecine, Santé, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
27/05/2016
Michel Morin
Dernièrement, il m’est arrive une tuile. Au sens propre et au sens figuré.
Vous aurez l’explication plus loin.
Dernièrement, j’ai eu le malheur de faire appel à un Michel Morin. Pour ceux qui ne connaîtraient pas ce nom, un homme à tout faire.
C’était pour nettoyer un petit toit.
Malheur m’en a pris !
Il m’affirma, que, pour cela, il suffisait d’employer un Kärcher*.
Malheureusement, il eut la mauvaise idée de monter sur le toit pour « arranger » quelques tuiles canal.
A la première pluie, naturellement un dimanche, le compteur disjoncta.
Forcément, il y avait une énorme gouttière au niveau d’un plafonier.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là.
Je remarquais, très rapidement qu’une canalisation d’évacuation était bouchée. Merci l’utilisation du Kärcher*.
Moralité : Je fus obligé de faire appel, en urgence, un dimanche, à un camion de débouchage en déboursant la coquette somme de 1000 €.
Et un dégât des eaux, fort heureusement pris en charge par l’assurance, de 2000 € (remaniage de la toiture, démolition, pose d’un nouveau plafond en placoplâtre et réfection de l’électricité, sans compter la peinture.
Ne faites jamais appel à un Michel Morin pour tout travaux sortant, un tant soi peu de l’ordinaire. Laisser lui, uniquement, des tâches très légères.
Sinon, il vous en cuirait.
11:25 Publié dans Anecdote, Comfort, Coup de gueule, Ecologie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Musique, Potins, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
19/05/2016
Le puits et le gruyère
Ceci pourrait fort bien être le sujet d’une fable de La Fontaine.
Grandville est une superbe ville du XVIII° siècle. C’est une ville magnifique aux vieilles pierres superbes.
Mais, pour cela, pour ces belles pierres, il fallut bien trouver la matière première : le calcaire tertiaire.
Il a fallu extraire ces pierres du sous sol.
Pour cela, il fallut faire des galeries, des carrières.
Et Grandville se trouve, maintenant, comme à Paris, avec des catacombes.
Ces carrières existent aux alentours proches, lointains et très lointains de Grandville.
Les banlieues de Grandville se retrouvent, ainsi, truffées de galeries, de carrières et de trous comme dans du gruyère.
Aux alentours lointains, certains furent, même, utilisés comme champignonnières pour faire pousser des champignons de Paris.
Sur ce gruyère, des habitations furent construites. Certains anciennes, d’autres récentes.
D’où l’intérêt du BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières qui recense toutes ces carrières.
Un jour, dans un lotissement, un habitant décida, sans autorisation, de construire un puits.
Que croyez vous qu’il arriva… Tout le lotissement s’affaissa et toutes les maisons se fissurèrent.
Mais il ne faut pas croire que les maisons anciennes sont à l’abri de ce phénomène Avec le ruissellement des eaux, le calcaire se dissout, les cavités s’agrandissent et les maisons se fissurent.
Moralité : petites causes grands effets.
11:22 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Histoire, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Paris, Politique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (5)
03/05/2016
Le Docteur Sangsue victime de la violation du principe de l'égalité devant la loi
"L’égalité devant la loi ou égalité en droit est le principe selon lequel tout individu doit être traité de la même façon par la loi (principe d’isonomie). Aucun individu ou groupe d'individus ne doit donc avoir de privilèges garantis par la loi". – Wikipédia.
Dans la résidence où je sévis depuis "quelques années" déjà, je suis victime d’une "violation du principe de l'égalité devant la loi".
Depuis mon installation, je bénéficiais, gratuitement, de la tonte de ma pelouse.
Puis une tempête déracina un certain nombre de me mes sapinettes.
Je continuai, comme mon voisin, de bénéficier, toujours, de cette tonte gratuite.
Sous la pression du conseil syndical, je replantai, moi-même, à mes frais, (je ma transformai, alors, en jardinier, portant deux arrosoirs pour planter mes sapinettes).
Puis les relations, avec le voisinage, se dégradant, je fus privé de la tonte gratuite.
Alors que le voisin, qui n’avait pas replanté sa haie, bénéficie toujours, à ce jour, de ce privilège.
Je suis donc victime, hélas, devant le nombre de mes opposants, d’une violation du principe de l'égalité de traitement.
Ainsi est faite la nature humaine.
10:51 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Culture, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Politique, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
02/05/2016
Mauvaise éducation
Il n’y a pas un jour, quand, en prenant le tram pour aller travailler.
Il n’y a pas un jour ou je trouve des jeunes mal élevés.
La bonne éducation, cela s’apprend.
Ces adolescents sont assis sur les marches des maisons ou bien, le must, carrément assis par terre fumant et écoutant de la musique « à fond la caisse ».
Bref, le summum de l’incorrection sur la voie publique.
Oui, excusez ce mot grossier, je vous le dis, je vire vieux con face à un tel comportement sans aucune tenue.
De mon temps…
09:16 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
27/04/2016
La date de péremption des médicaments et le Docteur Sangsue
Médicaments périmés, un geste à ne pas faire
Dernièrement, j’ai été faire l’emplette d’un médicament pour mon cabinet médical.
Il s’agit d’un médicament que j’utilise, en urgence, pour traiter la crise d’asthme.
Or, quelle ne fut pas ma surprise quand je regardais, par hasard, avec stupéfaction, la date de péremption de celui-ci.
05 – 2016 !
On croit rêver !
Heureusement, pour ce type de médicament, on peut l’utiliser au-delà de la date de péremption. Le médicament, s’il est conservé normalement, ne perd que peu d’activité avec le temps. A condition de ne pas abuser, bien sûr.
Je savais que les laboratoires travaillent en flux tendu au point que, assez souvent, il y a des ruptures de stock.
Là, quand même cela touche une gestion du stock pour le moins bizarre car touchant une pathologie fréquente.
Étonnant non ?
Pierre Desproges - La Minute nécessaire de monsieur Cyclopède.
09:12 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Honte, La pensée du jour, Médecine, Santé, Science, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (6)
18/04/2016
Depuis longtemps le Docteur Sangsue ne se fait plus guère d’allusions sur la reconnaissance de ses patients
Il y a longtemps que je ne me fait plus trop d’illusion sur la race humaine.
Il y a longtemps déjà que je ne me fais plus trop d’illusion sur la reconnaissance de mes patients envers les soins attentifs que je leur prodigue.
La race humaine est ainsi faite.
J’ai une théorie très schématique ,et qui vaut ce qu’elle vaut, en ce qui concerne la race humaine. Je classe cette race en trois catégories :
- Les salauds (1 % de la population), la racaille qui n’hésite pas a écraser l’autre ou a utiliser son prochain à des fins personnelles
- les indifférents (10 % de la population) qui nuisent car ils laissent tout faire y compris les pires saletés que l’Homme peut inventer.
- Les gens exceptionnels (1 %) de la population. Ce sont des gens dévoués et désintéressés qui n’hésitent pas à aider leurs prochains. C'est ce que j’appelle le Syndrome de Mère Teresa et de l'Abbé Pierre.
Comme je l’ai dit plus haut, cette classification est caricaturale et sujette à caution.
Une petite anecdote pour illustrer mes propos.
Dans la résidence où je sévis, il se trouve que, dans le temps, j’ai soigné une patiente de 55 ans pour un cancer du sein qui s’est métastasé aux os. Après des soins attentifs et pertinents, notamment l’administration de morphine pour traiter, efficacement, ses douleurs (les métastases osseuses ont la particularité d’être particulièrement douloureuses) celle-ci décéda.
Cette patiente avait une sœur, vieille fille.
Celle-ci hérita de son appartement et vint habiter dans MA résidence.
Au lieu de m’être reconnaissante des bons soins prodigués à sa sœur, celle-ci ne sut quoi inventer pour, excusez moi ce mot vulgaire, m’emmerder à chaque fois que cela lui était possible.
Cela étant aggravé par le fait que cela venait d’une vieille fille irascible.
Cela m’a, au moins, appris une chose : la Médecine n’est pas un sacerdoce. Fini de me dévouer. Je fais mon métier le peux que je peux, j’y prends plaisir, mais c’est tout. Bien sûr il y a des gens privilégiés, ils sont rares et se comptent sur les doigts de la main. Dans ce cas, il est normal que la relation dépasse la norme. Et, eux, sont les seuls à être reconnaissants. Ceux-ci bénéficient, de ma part, d’une attention toute particulière.
Aphorisme célèbre : « Fait du bien à Bertrand, il te le rendra en chiant ».
09:49 Publié dans Anecdote, Citation, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Médecine, Potins, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)