19/04/2010
Il est interdit de prendre des risque de nos jours
En mai 68, période bénie où il était interdit d’interdire, fleurissait une formule : « sous les pavés la plage ».
« ON » pourrait s’amuser à transmuter cette citation en : sous le nuage de fumée la plage.
« ON » vis dans une société sécuritaire régie par le principe de précaution, déjà que « l’affaire » de la Grippe A ce n’était pas triste, mais là, paralyser tout un pan de l’économie, au niveau européen, pendant cinq jours, soit vraisemblablement quatre jours de trop (ON aurait dû faire des test avec des avions vides plus tôt). Au fait, où sont les Drones ? Réservés aux militaires ?.
« ON » ne prend plus de risque du tout, cela se voit au niveau artistique, dans le domaine de la chanson aucune vraie nouveauté, aucun son nouveau, ON préfère faire des compils des Années 20, pardon des Années 80.
Mais ce qui m’a fait bondir le plus, c’est cette présentatrice de France 5, ce soir, belle dans son corps et dans son petit bonheur de présenter sa petite émission, où le peuple français voit des gens dans un bocal discuter de leur petite vie riche d’argent mais vide de sens se goberger et rire entre eux, « ON » aurait envie de leur jeter des brioches (- Q’ ON t ils - Sire ils n’ont pas de pain - eh bien qu’ON leur donne de la brioche – Louis XVI)
Le comble du comble, c’est quant cette présentatrice toute prise dans le bonheur de son émission riait des gens bloqués à l’étranger sans se rendre compte de la mini catastrophe économique cachée derrière l’écran de fumée, due à la carence des gens qui nous gouvernent, sont-ils eux aussi, coupé de la réalité, du quotidien que vis le peuple.
Cette présentatrice, totalement à côté de la réalité, « ON » peut dire que c’est une sorte de Louis XVI en jupon.
Ah, j’oubliais, une de mes tantes disait : « ON » est un con…
22:48 Publié dans Coup de gueule | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : actualité, économie, société, argent
13/12/2009
Le plaisir à petit prix
Non, il ne s’agit pas de ce à quoi vous pensez !
J’ai découvert, par hasard, dans LA librairie de la Grande Ville, un live de Jean-Pierre Coffe : « Le plaisir à petit prix ».
Dernièrement Jean-Pierre Coffe a eu une communication pour le moins surprenante en sa publicité pour un Hard Discounter.
Cette reprise en livre de poche à 9,90 €, d’une vieille édition, est du pur Coffe 100% pur arabica.
Les règles, judicieuses, de Coffe à respecter :
« Acheter uniquement des produits de saison
Cuisiner le plus souvent possible
Ne jamais acheter de produits manufacturés que l’on pourrait réalise soi-même
Privilégier les produits de proximité pour des raisons économiques et écologiqus
Ne plus acheter à l’envie, mais à la nécessité ».
Un exemple édifiant : « Fini les carottes râpées industrielles… L’écart de prix entre une carotte fraiche râpée à la maison, et le même poids de carotte râpée et emballée par un industriel avec un conservateur, est de 633 %.
Les recettes que j’ai lu sont simples et très réalisable par un nul en cuisine.
Il y a des fois où je ne suis pas tout à fait d’accord, en particulier la « sauce au vin rouge » où Coffe ne fait pas blondir les échalotes, en faisant cela, on obtient une terrible « sauce marchant de vin ».
J’ai failli offrir ce livre, mais, égoïstement, je l’ai gardé pour moi.
12:07 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : gastronomie, noël, loisirs, économie
05/11/2009
Pub détourné de Windows 7
Une Pub détournée de celle de Microsoft concernant Windows 7
Une des Pub originales de Microsoft
12:34 Publié dans Pub | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pub, société, publicité, économie
25/10/2009
L'heure d'hiver
Je reprends ici une note que j'ai publiée dans mon blog le 27.10.2007 (eh oui, déjà).
L'histoire de l'heure d'été/hiver
Benjamin Franklin
Cette idée de l'heure d'été/hiver, date de 1784. Elle est de Benjamin Franklin et exposée de manière un peu fantaisiste sous forme de lettre envoyée par Franklin au Journal de Paris qui la publie le 26 avril 1784.
Il commence en décrivant la démonstration à laquelle il avait assisté la veille d'une nouvelle lampe à huile. Il relate la discussion qui s'en était suivie à propos du rapport huile consommée/lumière produite.
Le sujet en tête, il entre chez lui et s'endort vers 3-4 heures du matin. Un bruit le réveille vers 6 heures et il s'étonne d'une grande clarté dans sa chambre. Il pense d'abord à ces fameuses lampes éclairant sa chambre mais constate, en fait, que ce sont les rayons du Soleil levant qui pénètrent dans la pièce. La lecture d'un almanach lui confirme que le Soleil se lèvera encore de plus en plus tôt jusqu'à fin juin.
"Cet événement me fit penser à des choses plus importantes et plus sérieuses. Si je n'avais pas été éveillé si tôt le matin, j'aurais dormi six heures de plus à la lumière du Soleil, et, par contre, aurait passé six heures la nuit suivante à la lumière des chandelles."
Et il poursuit : " En partant du principe qu'il y a 100 000 familles à Paris et que ces familles consomment la nuit 1/2 livre de bougies et chandelles par jour... En estimant de 6 à 8 heures la durée moyenne entre l'heure de lever du soleil et la nôtre... il y a donc 7 heures par nuit pendant lesquelles nous brûlons des bougies, on en arrive au décompte suivant :
En six mois entre le 20 mars et le 20 septembre, il y a 183 nuits. 7 heures par nuit d'utilisation de bougie. La multiplication donne 1 281 heures. Ces 1 281 heures multipliées par 100 000 donnent 128 100 000.
Chaque bougie exige 1/2 livre de suif et de cire, soit un total de 64.050.000 livres. À un prix de trente sols par livre de suif et de cire on en arrive à 96.075.000 tournois de livre." Euh... un tournoi de livre, c'est combien d'euros ?
Bref, Franklin conclut par "...une immense somme que la ville de Paris pourrait sauver chaque année !"
Un rapport du Sénat dit en conclusion : Il ressort de l'ensemble de cette étude que les avantages annoncés ou attendus du changement semestriel de l'heure ne sont pas suffisamment importants pour compenser les inconvénients ressentis par les populations. En conséquence, la logique conduit à souhaiter l'abandon de ce dispositif artificiel et de revenir à un déroulement plus naturel du temps.
Pour la petite histoire, les parents de Benjamin Franklin tenaient un magasin d'artisan en bougies et savons, il n'y a qu'un pas pour penser que Benjamin Franklin nous fait économiser des bouts de chandelles.
00:18 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : culture, société, économie, actualité
29/09/2009
Quand le capitalisme productiviste devient capitalisme consumériste
Selon Benjamin Barber, professeur de sciences politiques à l’université de Maryland (États-Unis), nous sommes passés du capitalisme productiviste au capitalisme consumériste.
15:29 Publié dans Economie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : économie, société, consomation, argent
17/06/2009
Un médicament imprescriptible en Médecine Générale
Habituellement je n'aime pas taper sur la Visite Médicale, mais décidément, la faute à pas de chance, dans la série Visite Médicale, les erreurs de markéting, là la Visiteuse Médicale est tombée à pic.
ACLASTA*, là est le problème.
Pourquoi donner en pâture, aux Médecins Généralistes un tel médicament.
L’AMM, si je me trompe est l’Ostéoporose, mais elle stipule : « chez les patients à risque élevé de fractures, notamment chez les patients ayant eu une fracture de hanche récente secondaire à un traumatisme modéré ».
Outre cela, le « miracle » est qu’il s’administre en… perfusion Intra Veineuse, et qu’il n’y a qu’… une injection par… an.
A mon avis le passage obligé par la case Rhumatologue eut été plus sensé.
14:47 Publié dans Médecine | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : médecine, malade, maladie, santé, société, argent, économie
Une Visiteuse Médicale trop (peu) sûre d'elle
Je n'ai pas pour habitude de taper sur la visite médicale, j'ai tendance a penser que, si le praticien garde son esprit critique, outre l'aspect agréable de détente entre deux patient, il est possible, pour ce praticien de gratter quelques informations, rares, mais réelle parfois.
Je n'ai pas pour habitude de taper sur la visite médicale, mais là, trop c'est trop !
J'ai reçu, hier, une visiteuse médicale en pleine force de l'âge, je dirai "la quarantecinquaine", le décolleté légèrement avenant.
Jusque là, rien que du classique.
Ce qui est plus intéressant c'est qu'elle a donné comme "extension" à son labo le terme PSY, comme je me suis un peu formé à la PSY, cela me rend un peu plus critique que la moyenne.
Elle démarre sur les chapeau de roue sur son produit phare l'antidépresseur MACHIN* qui chasse la douleur, une MER VEI LLE !
Elle ne m'en laisse pas placer une.
A un moment timidement j'essaye de caser dans le monologue : "je commence a avoir maintenant une vue un peu holistique concernant l'aspect psychiatrique de l'anxiété et de la dépression..."
Elle de me répondre : "Je termine d'abord, vous me le direz après".
Pour ce qui est de communiquer, on va droit dans le mur.
Visiblement cette visiteuse n'est pas à son aise en Psychiatrie, elle est trop peu sûre d'elle.
Dommage pour l'antidépresseur antidouleur, la MER VEI LLE, tant pis pour le labo qui ne respecte pas le médecin généraliste.
J'ai toujours pensé que pour la visite médicale, et concernant la psychiatrie en particulier, les laboratoires ne devraient pas mettre n'importe qui.
09:16 Publié dans Médecine | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : médecine, malade, maladie, santé, société, économie, argent
08/04/2009
La rue des Trois Conils
Crédit Photo : Archives Personnelles
Tout est presque dis dans cette photo, homis une autre légende un peu leste, l'Hostellerie des trois Counils aurait été une hostellerie montante aux volets clos ; d'ailleurs si l'on se reporte au livre de Claude Duneton "La puce à l'oreille" on apprend que le verbe couniller...
De nos jours la rue des trois conils est toujours une rue passagère passante, mais point d'hostellerie de nos jours, les temps changent...
16:18 Publié dans Anecdote | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : histoire, économie, humour, photographie, photo, photos
20/03/2009
Economie du marché du marché de la musique - Loi Hadopi - Loi Internet - Téléchargement illégal - Téléchargement Internet
Bien que n'étant pas économiste, cette analyse du marché du "disque" par un professionnel de la musique me semble attrayante.
Comme quoi, une nouvelle technologie (Internet, téléchargement) pousse l'autre (disque, CD/DVD).
09:33 Publié dans Internet | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : internet, informatique, économie, argent, société
27/12/2008
Hooters Calendar
Hooters Girl
Hooters est une chaîne de restaurant américain dont le siège social se trouve à Atlanta, en Georgie. La clientèle visée est essentiellement masculine dans la mesure où le service est assuré en majorité par des jeunes femmes dont l'uniforme de travail est un mini short orange et un tee-shirt (ou débardeur) échancré à l'effigie de la chaîne.
Source : Wikipédia
Hooters édite ausi un calendrier en ligne : Hooters Calender
Cela n'est pas du goût de tout le monde
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21:08 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : gastronomie, cuisine, humour, société, économie, sexe, sexy
29/07/2008
Logiciel médical, rumeurs et Dossier Médical Personnel
Lettre reçue d'Imagine Editions entreprise qui développe mon logiciel Médical HelloDoc
Soulac, le 17 juillet 2008
Cher Docteur,
Comme vous le savez, le Dossier Médical Personnel (DMP) est en cours de déploiement dans la Région Aquitaine. Si vous souhaitez participer à cette expérimentation et y accéder par l'intermédiaire de votre logiciel HelloDOC, nous vous proposons de prendre contact avec nos équipes au 0820 xxx xxx ou par mail machin@truc.com et nous vous accompagnerons dans les modalités d'inscription.
...
Toutefois, nous avons été avertis par certains de vos confrères que des personnes mal intentionnées propageaient des rumeurs infondées sur la qualité de nos développements. Connaissant notre rigueur, nos capacité de développement et notre farouche indépendance vis à vis de tout groupe industriel, nous espérons que vous ne prêterez pas l'oreille à de telles pratiques et que vous nous renouvellerez votre confiance.
Soyez certain que HelloDOC continuera à tout mettre en oeuvre pour garder son indépendance et sa position de leader sur le marché français.
...
Cette lettre appelle plusieurs commentaires, commentaires qui n’engagent que moi :
1°) Le DMP n’est plus obligatoire, c’est tout dire, et tout est presque dit…
2°) Je n’ai jamais vraiment bien compris comment un tel dispositif pouvait fonctionner. En terme d'informatique on appelle çà une usine à gaz.
3°) Quand à la rumeur de l’incapacité pour HelloDOC de développer un logiciel DMPable, là je ne saisit pas tout.
4°) J’ai toujours fait confiance à HelloDOC.
5°) Disons, pour nous résumer que, pour moi, le DMP est superflu. Le reste est anecdotique.
19:08 Publié dans Médecine | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : médecine, malade, maladie, informatique, économie, santé, société
24/07/2008
Le prix du générique
Lettre reçu de l'AFSSAPS
Substitution des médicaments antiépileptiques dans l'épilepsie.
Dans cette lettre :
Il nous est rappelé que les génériques sont aussi efficaces dans l'épilepsie que les princeps.
Il nous est révélé que le stress peut être cause de crise d'épilepsie
il nous est demandé de discuter avec la patient de l'eventualité d'une substitution et de lui demander si ça le stresserait.
Dans cette écentualité, en cas de nécessité, il nous est rappellé que l'on peut prescrire le princeps et marquer "non substituable" sur l'ordonnance.
Moi, j'ai plus simple, ne pas rendre substituable les médicaments antiépileptiques.
Cela aurait évité bien du stress.
petit calcul mathématique :
- sachant qu'un générique pemet une économie de 30 % du prix du princeps
- sachant que le médicament représente 10 % du budjet de la santé
- quel est le poids du générique dans le budget de la santé ?
30/100 x 10/100 = 0,03 % !
J'ai dû me tromper quelque part...
18:50 Publié dans Médecine | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : médecine, malade, maladie, santé, économie, société
12/04/2008
Le Chateau Cos d'Estournel en travaux
Photo : archives personnelles
Pour des raisons de ravalement, le chateau de Cos d'Estounel, la Rolls des vignobles de Saint-Estèphe en Bordelais, avec sa célèbre pagode (adornée de l'échafaudage sur la photo) et sa non moins célèbre porte venant du palais de Zanzibar, est en travaux.
Pendant les travaux la vente continue !
Manifestement la crise des vins bordelais ne touche pas les grands chateaux.
Deux remarques in fine :
- Le chateau Cos d'Estournel est situé sur le petit village de Cos, près de celui de Saint Estèphe, d'où l'apellation.
- Ce n'est pas pour rien si le second vin de Cos d'Estournel s'appelle "Les pagodes de Cos".
A consommer avec modération. Quoique vu le prix... Il n'y a pas si longtemps, dix ans, il était aux environ de... 20 Euros la bouteille, soit 100 fois la mise. Qui dis mieux !
P.S. :
Château Cos d'Estournel 2005Saint-estèphe rouge
Le succès est franc, la réussite indiscutable : Cos d'Estournel 2005 est un géant du millésime. Issu d'une composition largement dominée par le Cabernet Sauvignon... Plus d'infos
Notation 1855 :
Notation Parker : 95-97 / 100
source http://www.1855.com/bordeaux
21:55 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blabla de fille, blaba de filles, photo, photos, photographie, voyage, économie