Michel Jobard et le Beach art

Une œuvre de Michel Jobard (Pour agrandir, clic droit puis clic gauche, dans le menu déroulant sur "Ouvrir l'image dans un nouvel onglet"

Je suis à la plage.

Cela tombe bien car mes deux sites Internet du jour sont réservés au « Beach art ».

Allez, la petite page culturelle du jour. Oui, vous savez bien :

« Un peu de culture nuit pas, cela évite de mourir idiot ».

Qu’est-ce que le Beach art ?

Apparue à la fin des années 60 dans l’Ouest américain, cette tendance de l’Art Contemporain, avait pour objectif de faire sortir l’Art des galeries et musées. Se situant dans la nature, l’oeuvre devient accessible à tous. Le Beach Art ou sand art consiste à créer des œuvres éphémères sur le sable, le temps d’une marée basse.
Le matériel utilisé se compose de râteaux et il dessine soit à main levée soit à l’aide de compas. La plage se métamorphose durant 4 à 5 heures sous les yeux du public. De cette œuvre confiée à la nature, il ne restera que photographies ou vidéos pour immortaliser cette alliance de l’homme et de la nature.

En fait, rien n’a été inventé car, enfants, nous avons tous construit ces œuvres éphémères... Les châteaux de sable.

Il est vrai que le château de sable est une sculpture alors que, là, il s'agit de dessin.

Et il faut reconnaître, qu’à cette échelle, chapeau bas !

La page Internet du jour sur "Michel Jobard et le Beach art" est tiré du site "Bienvenue en Destination Vendée Grand Littoral" et est consacré à Michel Jobard.

Depuis 2011, il exprime son Art à grande échelle sur les plages qu’il a fréquentées depuis son enfance. Michel Jobard, 58 ans, originaire de Vendée, artiste autodidacte, vivant en rétro littoral à L’Aiguillon sur Vie. Beach Art, Installations land Art, mandalas végétaux sont les principales composantes de son mode d’expression artistique.

Page Internet sur Michel Jobard : "Michel Jobard et le Beach art".

Sans oublier : Le site Internet de Michel Jobard ICI.

Îlot de chaleur

Crédit Photo – Archives Personnelles (Clic gauche pour agrandir)

Photo prise sur la place centrale de la Grande Ville : « La Place de Hôtel de ville ».

Où l’on y voit un superbe îlot de chaleur[1] pas d’arbres[2], pas de fontaine.

Je précise que j’ai pris cette photo la veille de mon départ, pour quelques jours seulement, vers ma station balnéaire préférée. Pour profiter du bon air de la mer et d’un peu de fraîcheur.

C’est de celle-ci que j’ai posté mes deux derniers articles dédiés à la photo.

L'idée y est, mais il est à remarquer que cette photo aurait pu être plus belle. Pour cela j'aurai dû mettre mon smartphone beaucoup plus près du sol.

 

[1] Confer mon article du 16/07/2023 : « L’aménagement urbain pour lutter contre le réchauffement climatique : de nos jours versus l'ancien temps ».

[2] C’est vrai, j’oubliais, quand il y a des arbres, il faut ramasser les feuilles qui tombent. Un îlot de chaleur, c'est moins confortable... mais ça s'entretient plus facilement.

Concurrence déloyale

Crédit Photo – Archives personnelles (Clic gauche pour agrandir)

J’ai pris cette photo, avec mon fidèle smartphone, non loin de chez moi.

Où l’on y voit un appartement vendu par une autre agence qui est située en dessous d’icelui.

Disque dur externe (HDD), neuf, reconnu, mais en accès refusé

Clic droit  sur l'image puis clic gauche, dans le menu déroulant, sur "Ouvrir l'image dans un nouvel onglet"

 

Et soudain…

Mon HDD externe, neuf, me refuse son accès.

Non, ne riez pas !

Mais revenons-en à nos moutons, pardon, à mon HDD neuf.

Dans cet article, Je retrouve, là, des notions de mes débuts en informatique.

La première des manips consiste à sauvegarder les données contenues dans ce foutu HDD neuf.

Pour cela, une solution[1] : utiliser un OS Linux sur clé USB (Lubuntu[2], ma distribution préférée par sa légèreté, et dont j'installe de vieilles versions, sur mes vieux Ordis), en utilisant RUFUS après avoir téléchargé un ISO de Lubuntu). – Lubuntu démarrera (si le boot démarre sur la clé USB, sans installation, au redémarrage de l’Ordi, sans installation.

Créer sa clé USB Linux avec RUFUS (sur Windows)

Accessing boot menu on PC

Il est alors facile de rentrer (comme dans Windows) sur le bureau Windows pour récupérer mes dossiers et les transférer du HDD (sous Lubuntu) vers le Bureau Windows.

Une fois cela fait, je vérifie, et tente de réparer les erreurs de disque, grâce à la commande MS-DOS (un Outil Windows) CHKDSK X : /r (où X représente le disque en question et en respectant un espace entre X : et /r.

Mon disque étant, toujours, en accès refusé, et comme j’ai pu récupérer mes données, je formate celui-ci.

J’ai, enfin récupéré mon accès avec le SSD externe mais vide.

Il ne me reste plus qu’à transférer, sur le HDD, mes données récupérées sur le bureau.

Et, maintenant, pour vous récompenser de votre patience, la petite minute culturelle :

«Un peut de culture ne nuit pas, cela évite de mourir idiot».

Une petite chanson, qui date un peu, certes, mais qui est fort bien faite, ma fois. Une petite chanson bien ficelée, sur les déboires informatiques (cela va nous rajeunir, on est dans les années 1998 avec Windows 98). Une parodie de « Je n'suis pas bien portant » de Gaston Ouvrard, le célèbre comique troupier, (composée par Vincent Scotto avec des paroles d'Ouvrard et de Géo Koger).

 

[1] Au lieu d’utiliser EaseUS confer l’article fort bienfait (et à lire car il décrit mes étapes) : « Disque dur externe accès refusé windows 10/11 ».

[2] Dont je parle dans mon article du 30/04/2021 : « Lubuntu et netbook SAMSUNG NC110 ».