28/06/2018
Le cadeau à la maîtresse
Non, ne croyez pas qu'il s’agit d'un Monsieur qui offre une bagouse à sa Maîtresse.
Non, je veux parler du cadeau de fin d'année que les parents offrent à la maitresse de leur enfant pour la remercier de ses bons et loyaux services pour l'année écoulée.
En effet, on est en plein dans la remises de ces cadeaux.
Je fis mon primaire dans l'enseignement catholique, les Jésuites plus précisément, pour obvier, ensuite, dans un établissement public plus coté.
Or, il se trouve, qu'une année, un gamin de ma classe, d'origine espagnole, revint de son pays suite à des vacances. Les parents, empreints de bonnes intentions, offrirent, en plein milieu d'année, un cadeau à la maîtresse,.
Ceux-ci commirent une erreur fatale
Dans cet établissement réputé, mais, disons, rigoriste, ils laissèrent le cadeau plié dans le papier que l'on leur avait donné en Espagne, du... papier journal.
Devant toute la classe, cette maitresse, pratiquante mais au comportement pas catholique du tout, lui fit la remarque, devant toute la classe, que cela ne se faisait pas d'offrir un cadeau plié dans du papier journal.
D'abord, il n'y a que l'intention qui compte.
Et puis ces parents là n'appartenaient pas à la bonne classe catholique de cet établissement.
C'était des gens simples qui se saignaient aux quatre veines pour payer des études dans un établissement privé coté.
Cela, à l'époque, me choqua profondément, la preuve c'est que je m'en souviens encore aujourd'hui.
La honte que dû subir, devant toute la classe, cet élève méritant et gentil.
Mais il y a une morale dans cette histoire.
Ayant poursuivi mes études de médecine, j'appris, plus tard, qu'il était devenu...
Cardiologue.
Maitresse - Images* - 1987
*Images est un groupe français de musique new wave/synthpop qui a connu un grand succès entre 1986 et 1988.
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22/06/2018
Quand Culture et loisirs font grand bruit
Culture et loisirs sont intimement liés. Mais les loisirs, au niveau des masses populaires, excusez moi cela, ont tendance a faire disparaître la culture.
L'accès à la culture n'est, hélas, pas égalitaire pour tous.
Les loisirs sont, à mon avis, une façon élégante d'occuper le peuple en lui montrant, bien qu'on lui ponctionne son argent, que l'on s'occupe bien de lui et avec dévouement.
Cela est illustré par la citation latine "PANEM ET CIRCENSES" (pain et jeux de cirque) ce qui veux dire que, pour que la foule laisse tranquille les hommes politiques, il faut les divertir.
Ce fut hier la fête de la musique. Elle fit grand bruit tant au sens propre qu'au sens figuré.
Je plains les personnes habitant près de ces lieux festifs. Il n'ont pas dû dormir, beaucoup, de la nuit.
Certes, vous allez me dire :"cela leur fait de la distraction". Certes, mais cela ne vaux pas une bonne nuit tranquille avec un bon sommeil réparateur.
Habitez près d'un lieu comme cela et vous m'en direz des nouvelles.
J'habite près d'un collège et j'en sais quelque chose.
Je vais vous fournir une autre illustration de ces loisirs bruyants.
Quant je vais à mon petit super marché, je passe par une place. Tout les dimanches matin est planté un marché fort sympa. Il agréable et silencieux. Un véritable plaisir. On y trouve des poulets grillés à la broche, je vous dit pas !
Or, tout les samedi matin, pendant deux heures, dans un bruit assourdissant de 8 h à 10 h a lieu sur cette place, un cour, gratuit, de Zumba. Ce dernier samedi, il y avait, outre le moniteur, quatre filles, grassouillettes à souhait, remuaient leur popotin au bruit de cet assourdissant vacarme.
La mode, de nos jour, est de divertir le peuple, en faisant grand bruit dans la vie de quartier, quitte à déranger les pauvres résidents dans l'intérêt général.
Explosion d'une bombe nucléaire
17:34 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Culture, Danse, Ecologie, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Politique, Société, Sport, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (10)
18/06/2018
La dure vie du Boulanger d'antan
Pour faire suite à mon dernier article "La fournée" Je vais vous donner une illustration de la dure vie du Boulanger d'antan.
Cette scène célèbre de "La femme du boulanger" de Marcel Pagnol raconte le retour de la femme du boulanger suite à une "incartade" de celle-ci.
En effet, trouvant le métier de son mari trop dur l'obligeant à se lever aux aurores pour allumer son four et pétrissant sa pâte délaissant celle-ci. Hélas, elle faute et trompe ce malheureux.
Mais éprise de remord, elle rejoint, toute penaude, le domicile conjugal.
Celui-ci, magnanime, lui pardonne avec tendresse exprimant tout son amour.
Mais c'est sans compter avec le retour de Pomponette, la chatte du boulanger qui survient, malencontreusement, à ce moment précis.
Suit la scène mémorable du retour de Pomponette qui explicite, de façon très dure, le retour de la femme infidèle.
Je vous laisse regarder ce passage mémorable de "La femme du boulanger joué par cet acteur célèbre, Raimu.
La femme du boulanger (extrait) - Marcel Pagnol - 1938
19:04 Publié dans Anecdote, Cinéma, Film, Histoire, La pensée du jour, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (5)
17/06/2018
La fournée
Dans le temps, le boulanger d'antan, faisait une fournée le matin. Pour cela, il se levait tôt le matin, faisait chauffer son four pétrissait sa pâte en utilisant de la bonne farine et du levain qu'il faisait lui même.
Dans le temps, le métier de boulanger était un métier rude.
Dans le temps, le boulanger d'antan ne faisait qu'un type de pain.
Une boule à la belle croûte qui durait toute la semaine.
De notre temps, "l'artisan boulanger"* ne se lève plus tôt le matin mais il fait, cependant, plusieurs fournées par jour avec une foultitude de pains différents.
On se trouve ainsi avec tout le temps du pain chaud et l'embarras du choix.
Mais, en fait, du bon pain point.
Du pain qui se garde, point.
Ce préambule pour vous narrer quelque chose qui m'irrite profondément chez mon "Artisan Boulanger".
J'ai trouvé, chez lui, un pain potable, une boule bio que je prend tranchée pour pouvoir en faire mon petit déjeuner.
Je prend, régulièrement deux boules car je les congèles pour pouvoir avoir, toujours, du pain frais (comme dans le bon vieux temps, j'emballe le restant de mon pain dans un torchon pour pouvoir le garder).
Très souvent, comme je vous le disait, le pain est chaud tant est si bien qu'il ne peut être tranché ce qui m'oblige à revenir, chose qui me met, chaque fois, hors de moi.
On vit une époque formidable ou le progrès technique avec le pain surgelé, la farine industrielle permet de faire croire au pékin moyen que l'on est top en servant du pain frais à n'importe qu'elle heure du jour avec un choix de roi.
Quand à cet "Artisan Boulanger" quel confort de vie par rapport à son ancêtre, le Boulanger d'antan !
CHEVALIER ET LASPALÈS - Le Pain (Maître Boulanger)
*Je ne parle pas de cette profession, en voie de disparition, qu'est le vrai Boulanger.
15:12 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Histoire, Honte, Humour, La pensée du jour, Mots, Potins, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (10)
12/06/2018
La nouvelle Médecine
Cet article fait suite à un autre intitulé "Infarctus et covoiturage".
Désormais, mes notes médicales passent par des anecdotes touchant mes proches ou des gens que je connais de près ou de loin.
C'est peut-être cela qui explique la désaffection à l'égard de mon Blog.
Snif.
Mais revenons aux choses sérieuses.
Dernièrement, un de mes amis avait ses Gamma GT élevées.
Non, il n'abusait pas de la dive bouteille (d'autant que ses CDT étaient normales).
Mais, il était épileptique et était très bien équilibré par un médicament anticonvulsivant.
Il se trouve que ce médicament "lèche" le foie.
La question se posait de savoir si l'on pouvait poursuivre cette médication.
Le médecin spécialiste, le Neurologue en l'occurrence, soi dit en passant, sans passer par la case Médecin Référent fit une lettre au patient pour un Hépatologue de la Grande Ville.
Le patient voulant prendre rendez-vous téléphona dans le service et après le classique taper 1 ou 2 ou 3, se retrouva sur un répondeur lui donnant les heure d'ouverture du secrétariat.
A l'heure dite, enfin, la secrétaire lui dit qu'il fallait envoyer un mail enjoignant le scan de la lettre du Médecin.
Ce qu'il fit.
Au bout d'un certain temps, n'ayant aucune réponse, il demanda des nouvelles par mail.
On lui répondis qu'il allait recevoir une convocation pour un Fibroscan. Puis qu'il aurait une consultation avec l'Hépatologue.
Il passa donc son Fibroscan et au décours de cet examen, il lui fut dit que l'on enverrait les résultats à son Neurologue (quid du Référent, on ne lui demanda pas ses coordonnées).
On lui remettre une feuille avec le résultat incompréhensible de celui-ci, mais avec un gros chiffre mis en évidence.
Le patient de se précipiter, illico, sur Internet pour essayer de décrypter l'énigme.
Heureusement, le résultat n'était pas catastrophique, mais il fallait attendre la consultation de l'Hépatologue.
De consultation avec l'Hépatologue, point de nouvelle.
Puis un mois plus tard, coup de fil du secrétariat lui disant qu'il avait une convocation dans... CINQ mois !
Certes cela confirmait, s'il en était, le patient s'en doutait, de l'absence de gravité de la situation.
Mais...
C'est cela la nouvelle médecine.
Une Médecine plus rentable ?
Liée au sous effectif ?
En tout cas, une Médecine totalement inhumaine.
15:29 Publié dans Anecdote, Blog, Coup de gueule, Economie, Histoire de la Médecine, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Le site du jour, Médecine, Mots, Politique, Potins, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
07/06/2018
Salade de harengs fumés : harengs pomme à l'huile recette express façon Docteur Sangsue version 2.0
J'ai toujours aimé le poisson.
Pour la Petite histoire (préambule) :
D'ailleurs, je me suis toujours posé la question pourquoi, en argot, certains poissons ont une connotation tournant autour du même sujet. Hareng, Maquereau et Morue, même combat (allez donc voir dans le dictionnaire argotique pour ceux qui ne connaîtraient pas ces mots).
Note sur les versions 2.0 de mes recettes de cuisine :
Il m'arrive de réécrire mes recette car je me trompe, parfois, dans les proportions : c'est le cas dans la première version de cette recette intitulé, à l'époque : "Salade de harengs fumés : harengs pomme à l'huile façon Docteur Sangsue" où j'ai mis deux sachets de 200 g de harengs fumés alors qu'il n'en faut qu'un.
Il m'arrive, aussi, de me tromper, dans la recette elle même.
Je corrige tout cela dans cette version 2.0.
La recette (ambule) :
Ingrédients pour 4 personnes :
- 1 sachets de 200 g de harengs fumés doux
- 5 grosses pommes de terre
- 1 oignon
- Huile d’olive
- Poivre noir en poudre
- Quelques grains de poivre
Préparation :
Faire cuire les pommes de terre à la vapeur, dans une cocotte minute, pendant 20 à 30 minutes selon la grosseur.
Pendant ce temps, dans un grand saladier, versez les harengs coupés en tronçons de 4 cm, l’oignon coupé en lamelles, l’huile d’olive et les grains de poivre. Poivrez.
Remuez plusieurs fois le mélange de façon à faire cuire l’oignon avec l’huile d’olive et s’imprègne bien des saveurs du hareng.
Une fois les pommes de terre cuites, laissez refroidir pour qu'elles deviennent dures (et, cerise sur le gâteau, cela évitera de vous brûler les doigts), puis coupez celles-ci en gros morceaux et versez les, encore tièdes, dans le saladier (le fait que les pommes de terre aient refroidies évitera que les morceaux se transforment en purée) .
Mélangez l’appareil.
Rajoutez, si besoin est, de l’huile d’olive.
Poivrez.
Surtout ne salez pas, le hareng s’en charge amplement.
Dégustation :
Ce plat est apparenté à un plat de brasserie et peut être déguster tiède ou froid avec, soit un vin blanc sec (type Muscadet de Sèvre et Maine sur lie), soit, éventuellement, une bière blanche. Pour ce qui est de l'accord mets et bières, je vous renvoie à un article fort bien fait : "Quelle bière associée avec quel plat ?"
Vidéos (postambule) :
Maurice Chevalier - Prosper Yop la Boum - 1935
Reprise avec "Humour" dans une Pub destinée aux enfants de la génération 80. Je me pose, d'ailleurs, la question de savoir si les parents de l'époque (âgés de 45 ans soit deux générations) avaient pu saisir cette Pub au second degré.
Ce Prosper là a disparu de nos jours.
Pub prosper youpla boum - 1980
11:20 Publié dans Anecdote, Cuisine, Culture, Gastronomie, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Musique, Pub, Shopping, Société, Télévision, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
31/05/2018
Le remboursement des actes de décès par la Sécurité Sociale, quelques réflexions du Docteur Sangsue
Quand j'exerçai mon activité de Médecin Généraliste, il m'est arrivé de faire des constats de décès.
Je relate cette période de ma vie de Médecin Généraliste de quartier dans ses articles :
- De 2011 : "Médecin d'Etat Civil".
- Et de 2014 : "Médecin d’État Civil Adjoint à la Mairie".
A l'époque, je faisait deux type de constats de décès. Pour tout les constats de décès, que je les faisait en tant que Médecin d’État Civil.je percevait un émolument de la Mairie. Mais il m'arrivait, exceptionnellement, d'en faite à titre privé.
Mais pour ceux effectués à titre privé il en était tout autrement. Ceux-ci n'étaient pas remboursés par la Sécurité Sociale. En pleine nuit, c'était plutôt gênant.
Ne le sachant pas, le premier constat de décès que j'établis se déroula de la façon suivante :
Coup de fil de la Sécu : "La visite étais-elle pour le constat de décès ?". "Oui" répondis je. Réponse laconique de la Dame de la Sécu : "Alors vous ne serez pas payé".
Pour le prochain constat de décès de ce type, je mis au point la stratégie suivante : je demandai à la maison de retraite de faire passer le message à la famille ou à la famille elle même comme quoi j’étais passé avant le décès. Cette stratégie paya au sens propre comme au sens figuré.
Depuis, les choses ont bien changées.
Je n'en veux pour preuve le mail que j'ai reçus, tout récemment, du syndicat des Médecins Généraliste, la CSMF :
"Lorsqu'un médecin établit un certificat de décès au domicile d'un patient ou en EHPAD, il peut percevoir un forfait de 100 euros brut de la part de la Caisse... à condition de remplir certains critères bien trop restrictifs pour la CSMF".
Et même la CSMF en demande plus !
Jean Lassalle* - premier enterrement en tant que Maire
*maire de Lourdios-Ichère de 1977 à 2017 et député depuis 2002.
P.S. : Critères actuels de remboursement des actes de décès.
18:05 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Histoire de la Médecine, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Le site du jour, Médecine, Mots, Potins, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (9)
24/05/2018
Le drame de Kerdonis
Photo prise par moi lors de mon séjour à Belle Île
Cliquez pour dessus agrandir la photo.
Comme je vous l'ai dis, je viens tout juste de prendre quelques jours de repos à Belle Île.
Le séjour fut plus qu'agréable. J'ai pu visiter l'île dans son intégralité.
Je suis passé devant les trois phares de l'île.
En effet, à Belle île, il existe trois phares : Le phare des Poulains au nord ouest, à la pointe des Poulins le grand phare, le phare de Gouphar au sud-ouest et le phare de Kerdonis au sud est.
Je vais vous narrer un fait divers, qui s'est déroulé à Belle Île. Il fut connu, à l'époque, dans la France entière et même de façon internationale.
C'est dans la nuit du 18 au 19 avril 1911 que survint le drame de Kerdonis.
Il se déroula dans le phare de Kerdonis.
Le gardien du phare, Alexandre-Désiré Matelot, alors âgé de 51 ans, fut pris de violentes douleurs abdominales alors qu'il nettoyait la lentille du phare. Pour cela, il fallait pour bloquer, par sécurité, la rotation de la lampe, dévisser un boulon. Il ne put terminer son ouvrage, oublia de revisser le boulon et descendit, tant bien que mal, se coucher dans son lit.
En effet, la rotation de la lampe était assurée par un dispositif de poulie et de poids. Il fallait remonter un poids toute les trois heures.
A son retour, sa femme, Eugénie, le trouva blême, la douleur avait empirée.
Dans la soirée il était de plus en plus le mal empira encore tant est si bien qu'il expira, avant la fin du jour, à 7 h 45. Son décès fut, vraisemblablement, dû à une péritonite sur abcès appendiculaire liée à une appendicite aiguë.
Sa femme, la nuit tombante, alla allumer la lampe puis redescendis pour faire la toilette du corps. Quand soudain sa fille aînée lui dit alors : "maman la lampe ne tourne pas !".
Eugénie, sur ses cinq enfant, il ne lui restait que trois vivant au phare. Deux fille : une âgée de 14 ans, Marie, une de 10 ans, la petite Eugénie et un garçon de 13 ans, Charles.
Toute la nuit, neuf heures durant, à tour de rôle Eugénie et ses deux grands enfants firent tourner la lampe, à la main.*
Eugénie et ses trois enfants : Marie, Charles, Eugénie
C'est ainsi qu’eut lieu le drame de Kerdonis, où deux enfants empêchèrent, alors que la mer était déchainée, que des bateaux coulent sauvant ainsi la vie de nombreux marins.
Mais l'histoire n'est pas finie.
L'administration rechignai à lui verser la solde du salaire de son mari.
Agacé par un tel traitement, le percepteur de Belle-Ile décide d’adresser le 3 juin un courrier au quotidien parisien Le Figaro.
Celui-ci lance une souscription.
Son histoire passa, aussi, dans Le Temps et L'illustration. L'article de L'Illustration paîtra le 17 juin 1911 dans son numéro 3564.
Très rapidement Eugénie perçu la somme due par l'administration et une indemnitée.
Pour son courage et son héroïsme, Madame veuve Matelot, née Eugenie Bedex, reçue, même, la légion d'honneur et le Ministre des Travaux Publics lui remet la médaille d’or du ministre des Travaux publics, Postes et Télégraphes.
Mais surtout, Eugénie retrouve un nouveau poste au phare de Kernevel, à Lorient.
L’histoire du phare de Kerdonis montre bien le rôle joué par la presse, le quatrième pouvoir.
D’un évènement passé presque inaperçu, l’affaire du phare de Kerdonis a pris des proportions considérables. Au point de demeurer aujourd’hui un élément important de l’histoire de Belle-Île-en-Mer.
Le phare de Goulphar à Belle Île en Mer
*Depuis 1982, le phare est automatisé . Maintenant il est commandé à partir du phare de Goulfar.
12:16 Publié dans Anecdote, Culture, Loisirs, Photographie, Potins, Science, Société, Vidéo, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
20/05/2018
Nostalgie, vers une mort programmée des Blogs ?
Mon Blog connait une désaffection plus qu'alarmante.
Mon Blog est moribond.
Presque plus personne ne me lit.
Tant pis, c'est la vie.
Il est bien loin le temps ou les Blogs Médicaux étaient florissants et croulaient sous les commentaires.
Vive Facebook qui m'étouffe, qui me tue.
C'est ainsi, c'est la vie.
Ah, nostalgie du passé !
Il existe cependant, un différence notable entre les Blog et Face de book : Le texte personnel du Blogueur qui est remplacé par des photos, des vidéos ou des liens vers des vidéos ou des articles piqués ailleurs.
Je ne parles pas ici, naturellement, des sites Facebook. Je parle, uniquement, des comptes ouvert à titre personnel pour se faire des "amis".
Vive Face de Bouc...
Qui sera, un jour, détrôné par qui sait quoi.
Les Bodins - Face de Bouc pour les nuls
P.S. : Barack Obama est le 44e président des États-Unis.
20:56 Publié dans Anecdote, Blog, Coup de gueule, Honte, Humour, Internet, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (9)
08/05/2018
Le cerbère
J'adore enseigner à ma fille tout les mots nouveaux qui me vienne à l'esprit en fonction des circonstances.
Je fait cela pour qu'elle ait un minimum de culture générale.
L'autre jour, en emmenant ma fille à l'école, nous étions à la bourre. Je lui dit tout de go : "dépêchons nous sinon le cerbère nous empêchera de rentrer".
Elle est très, curieuse et poses de question sur tout. Naturellement, elle me questionna : "Qu'es que c'est un cerbère ?".
Moi de lui répliquer : "Le cerbère, est en rapport avec un animal de la mythologie grecque, elle connait le mot mythologie que je lui ait déjà enseigné. Le cerbère est un chien à trois tête qui garde la porte des enfers, tel un agent de sécurité, pour empêcher les morts de s'en échapper et les vivants voulant récupérer leur morts d'entrer".
En effet, je suis profondément surpris et choqué par le manque de vocabulaire des gens de la nouvelle génération.
Je suis profondément surpris et choqué par le manque de connaissance de l'étymologie. cela est liée au non enseignement de nos classique s : le latin et le grec.
L'étymologie est un savoir essentiel. Il permet d'écrire, sans faute, l'orthographe des mots.
Je ne demande pas un enseignement que j'ai connu et qui était trop long et fastidieux. Non, je demande seulement un enseignement des bases, très simples et suffisantes, qui permettent de connaitre l'étymologie.
La culture concerne, aussi, la mythologie qu'elle soit grecque ou latine. Je suis persuadé qu'un enseignement de ces belles histoires captiverai nos chères têtes blondes.
Elle me dit, alors, qu'elle avait vu cette histoire à la télé dans ses émissions pour enfants.
Surprenant non ?
Comme quoi, il y a des créatifs cultivés qui connaissent bien les classiques.
Le cerbère dans la mythologie Grecque.
Pour nous détendre après cette noirceur, une petite page musicale.
Niagara - Flammes De L'Enfer - 1989
P.S. Cynophile est un mot qui désigne ce qui a trait au chien.
13:47 Publié dans Anecdote, Culture, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Musique, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
27/04/2018
Le village musée
Il existait, autrefois, un charmant petit village de pêcheurs dont les maisons bénéficiaient de baux emphytéotiques (baux de très longue durée).
C'est un village où je venais, pendant mon enfance, aux vacances pratiquer la pêche aux étrilles.
J'adorais, ces soupes d'étrilles Bien plus délicieuses, souvenir d'enfances aidant, que les soupes de poissons.
Maintenant, adulte, j'aimais bien venir m'y ressourcer.
A la saison, il m'arrivait, même, d'y revenir taquiner les étrilles que j'adorai, maintenant, aussi,pour l'apéro accompagnées d'un bon verre de vin blanc sec.
Puis, d'un certain temps, pour des raisons personnelles, je n'y revins pas.
Quand j'y retournai, les choses avaient bien changées.
Le nombre de bateaux était de venu affolant.
Adieux pêche d'étrille, adieu soupes d’enfances, adieux apéros d'antan.
Quelque cabanes, même avaient été transformées en maisons secondaires. On voyait rouler des 4x4 et des voitures de prix.
Cela puait le fric.
Le peu de gens dans le temps, qui déambulait dans la rue principales, s'était transformée en un horde de promeneurs.
Bref, pour les visites, ce paisible village, s'était transformé en village musée.
Nino Ferrer : Le Sud - 1975
10:10 Publié dans Anecdote, Ecologie, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Politique, Potins, Voyage | Lien permanent | Commentaires (10)
23/04/2018
Infarctus et covoiturage
Il n'y a pas si longtemps de cela, un de mes meilleurs amis a fait un infarctus du myocarde.
Il a ressenti, chez lui, une douleur thoracique intense, en barre, irradiant vers le bras gauche. Bref un tableau clinique typique d'un infarctus du myocarde.
Pourtant, sur le coup, sidéré par l'émotion, il ne se posa pas la question de savoir ce qu'il pouvait bien lui arriver.
Sur ses entrefaites, sa femme rentre à la maison. Devant sa souffrance, elle appelle, tout naturellement, le SAMU.
Celui-ci lui envoi un médecin d'SOS Médecins.
Devant ce patient, il lui dit d'aller à l'hôpital cardiologique de la Grande Ville.
C'est tout.
Il n'appelle même pas les pompiers, ni même, au pire, une ambulance.
Voila donc sa femme qui l'amène au cardiologique.
Arrivé sur les lieu, l'interne le "dispute" d'avoir été conduit de cette façon là.
Un covoiturage pathétique.
09:38 Publié dans Anecdote, Honte, Médecine, Santé, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (11)
10/04/2018
Une côte de bœuf à 10 € le kilo ! Deuxième version d'un article perdu, par erreur de sauvegarde, sous Lubuntu
Cet article, je l'avais rédigé, au départ, sur mon Système d'exploitation Linux, la distribution Lubuntu.
Or, à l'époque, ne sachant pas sauvegarder sur Lubuntu (pour mon installation de Lubuntu, reportez vous à mon article : "Installation de Lubuntu 17.10.1 à la place d'Ubuntu sur le vieil ordi du Docteur Sangsue"), ce qui devait arriver arriva, Je perdis instantanément mon article rédigé avec toute mon attention.
Depuis, j'ai enfin compris comment sauvegarder, mais c'était trop tard pour cet article.
Je vais donc vous livrer une nouvelle version de cet article.
Dernièrement, dans un Hypermarché, mon regard fut attiré par une très belle côte de bœuf bien persillée à... 10 € le Kilo.
Un prix fabuleux quand on sait le prix d'un tel morceaux qui atteint allègrement les... 28 € le Kilo.
Il faut que vous sachiez qu'une viande persillée est une viande qui contient des "grains" de matière grasse qui se caractérise par de petites inclusions de points blanc.
Pourquoi un tel prix ?
Certainement parce que la côte était trop persillée.
Cela m'était déjà arrivé de trouver, en Hyper marchés, des côtes de bœuf à un tel prix.
Et leur qualité gustatives furent sublissimes.
Je l'achetait donc illico.
Naturellement, grillée au barbecue, comme d'ab, le résultat ne me déçus pas.
09:47 Publié dans Anecdote, Cuisine, Gastronomie, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Potins, Shopping, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
07/04/2018
Recevoir des SMS de Snapchat sans l'avoir demandé
Dernièrement, sur mon Windows phone, à cinq minutes d'intervalle, je reçois deux SMS laconiques :"Code Snapshat : xxxxxx. Bons Snaps ! Puis, au deuxième SMS, mon téléphone sonne.
Je tape alors sur Google les mots clé "je reçois des sms de snapchat".
Je tombais, alors, sur l'article suivant :
"Je reçois des SMS avec un code Snapchat sans l'avoir demandé".
Pile poil ce que je demandais.
La réponse est la suivante, je cite : "Oui, malheureusement, il arrive par moments que des gens se trompent de numéro de téléphone".
P. S/ : Snapchat est une application gratuite de partage de photos et de vidéos disponible sur plateformes mobiles iOS et Android de la société Snap Inc. (Wikipedia).
08:28 Publié dans Anecdote, Internet, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (0)
05/04/2018
La branche
La Branche - Photographie archive personnelle (cliquer sur l'image pour l'agrandir)
Haut de l'arbre - Photographie archives personnelles (cliquer sur l'image pour l'agrandir)
En préambule, je vais citer la première phrase d'un de mes anciens articles :
A l'époque, nous avions eu "quelques" soucis de construction concertant cette bâtisse.
Si le cœur vous en dit, je vous propose de lire les différents épisodes rocambolesques tous plus incroyables les uns des autres.
Or, tout dernièrement, en allant nous y retirer pour le pont Pascal, nous eûmes la peur de notre vie.
Une grosse branche était tombée tout prêt de la maison. Elle était tombée d'un pin jouxtant la maison.
En fait c'était une des deux branches au faîte du pin qui s'était cassée net décimant, en partie, celui là.
C'était des suite d'une énorme tempête.
C'est bien la première fois que je vois cela depuis que je viens dans cette région là.
La tempête a du être particulièrement violente.
Le réchauffement climatique n'est, hélas, pas un leurre.
Il s'en est fallu de peu qu'elle tombe sur la maison, ce qui aurait occasionné d'énormes dégâts.
Une chance énorme !
15:59 Publié dans Anecdote, Culture, Ecologie, Loisirs, Photographie, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
04/04/2018
La source Saint Hubert
La source Saint Hubert
Quand j'étais gamin, je passai toute mes vacances dans une station balnéaire très connue maintenant. Elle est très connue pour son spot de surf.
C'était une station balnéaire familiale totalement inconnue à l'époque.
Pour alimenter en eau la station, il y avait, sur un point haut de la ville, un château d'eau : le château d'eau Mathiot. Ce château d'eau était situé près de la maison de mes vacances.
L'eau du château d'eau était rempli par une source d'eau ferrugineuse car le sol était riche en alios* (concrétion de sable et de fer). Cette source, appelée source Saint Hubert**, était pompée tout les jours pour remplir le château d'eau.
Tous le soirs, Monsieur Corneille quittait Le "Tuc du Landais"[1], sa maison, et descendait, accompagné de son chien Flup, vers la source pour déclencher la pompe.
Pour cela, il y avait tout un rituel. Tout les soir, Monsieur Corneille et son chien Flup, descendait prendre un copieux apéritif festif, au chalet Jackie Riri, la "maisonnette" du grand père de mon ami d'enfance,, lui aussi en vacances, puis il allait déclencher la pompe qui marchait toute la nuit. Tous les matin, il venait l'arrêter.
Pour accéder à cette source, il y avait un petit chemin d'aiguilles de pin tassées qui serpentait, entre les pins, vers une cabane qui protégeait la machine.
J'adorai, avec mon ami d'enfance, emprunter ce sentier qui, chez nous, suscitait à chaque fois, par cette balade dans les pins, un léger sentiment d'aventure.
Depuis déjà bien longtemps, l’abri qui protégeait la pompe a été détruit et le château d'eau abattu.
Ce chemin persiste, oui il existe encore, je l'ai pris récemment.
L'eau ferrugineuse - Bourvil
[1] Tuc, en patois gascon, désigne une hauteur.
Références :
*Alios.
**Saint Hubert est, outre le Saint des chasseurs, le Saint des forestiers.
10:05 Publié dans Anecdote, Culture, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Science, Société, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
29/03/2018
Un peu de culture ne nuit pas
Maquignon
Pas plus tard que ce matin, j’ai été chez une dentiste.
alain vous confirmera l’intérêt indispensable de ce corps de métier.
J’en ai pris une près de chez moi.
En effet, j’avais été chez une de ses consœur recommandée par l’orthodontiste de ma fille.
Que de corps de métier dans le dentaire me direz-vous.
La vie est ainsi faite.
J’ai abandonné la première car elle était loin, ce n’était pas pratique du tout
D’autant plus que c’était un cheval. Vous comprendrez le sel que vous réserve ce mot de cheval plus loin dans mon article.
J’y allais pour me faire faire une gouttière car, figurez vous, je suis bruxomane : je grince des dents la nuit et pour me faire poser une résine sur une dent plus usée que les autres et sensible à la mastication.
Lors de la consultation elle me confirma que ma bruxomanie était la cause de l’usure prématurée de mes dents et que j’avais raison de me faire réaliser cette gouttière pour ralentir l’usure accélérée de mes dents.
Je lui racontait que l’usure de mes dents me faisait paraître plus vieux que mon âge.
"Pourquoi ?" me demandât elle.
Je lui rétorquai qu'autrefois, les maquignons datataint l’âge des chevaux en regardant l’usure de leurs dents.
"Ah bon, je ne savais pas".
Je ne lui en veux pas car je la sent compétente, elle explique remarquablement bien et répond à toute mes question (ce que je faisait systématiquement dans mon exercice professionnel). Et en plus elle est gentille.
Cependant, un peu de culture ne nuit pas.
Bourvil - A DADA (1958)*
*tiré du film Sérénade au Texas.
10:27 Publié dans Anecdote, Culture, Le mot du jour, Mots, Musique, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (10)
26/03/2018
Jean Rondeau
J'ai découvert jean Rondeau par accident en accompagnant ma fille à la bibliothèque.
La première des chose qu'elle fait, quand elle y arrive, c'est de se diriger, en parfaite gameuse, vers une salle où il y a un grand écran pour jouer aux jeux vidéos.
Or, la dernière fois, intrigué par des ordinateurs, je demandais si je pouvais m'en servir.
Il me fut répondu que l'on pouvait surfer sur le net moyennant un login et un mot de passe et en présentant ma carte de bibliothèque.
C'est ainsi qu'en surfant sur YouTube, je tombais sur un claveciniste virtuose Français, Jean Rondeau.
Jean Rondeau a fait ses études au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. Il fut l'élève de Blandine Verlet pendant plus de dix ans.
Il découvrit le clavecin en entendant une interprétation sur cet instrument à la radio alors qu'il avait cinq ans.
Il dépoussière le clavecin et le remet cet instrument au goût du jour avec ses cheveux au vent et sa barbe virile il donne à la musique une image décontractée.
Bref un claveciniste simple loin de l'image de l'interprète traditionnel guindé. Il rend attractif la musique ancienne.
Il n'hésite pas, lors d'enregistrements qui font l'objet de clips sur YouTube, à jouer dans un hangar devant un cyclomoteur, ou comme dans la vidéo ci-dessous, pied nu. Lors d'un interview il confia qu'il joua pied nu car "il faisait chaud".
Référence : Jean Rondeau
Jean Rondeau - Jean-Philippe Rameau - Les Sauvages
23:59 Publié dans Anecdote, Culture, Loisirs, Musique, Potins, Société, Vidéo, Web | Lien permanent | Commentaires (2)
Le passage secret
Quand j'étais gamin, mon père m'amenait dans une ruelle assez longue taillée dans la pierre entre plusieurs maison. Un petit caniveaux, sur le côté, permettait à l'eau de s'évacuer.
Un endroit magique, surprenant étonnant, de la grande ville.
Parfois, par temps chaud, une odeur rude me chatouillait les narines à tel point que je retenait ma respiration pour franchir le passage.
On se serait cru dans une ruelle à Venise.
Un jour, une étincelle jaillit dans mon cerveaux, et pensant à mon père, en passant près de cette ruelle, je dis à ma fille : "je vais t'emmener dans un passage secret, c'est mon père qui, à ton âge, me le fit découvrir".
C'était à mon tour de transmettre le flambeau pour cette ruelle magique.
Elle me demande maintenant, très souvent, en rentant, à la maison, quand on évite le tram bondé, de prendre ce passage secret.
C'est, pour moi, à chaque fois, un plaisir sans cesse renouvelé, d'emprunter, avec elle, ce passage secret.
Charles Trenet Le Jardin Extraordinaire* (1957) - Live 1967
11:05 Publié dans Anecdote, Le mot du jour, Loisirs, Magie, Musique, Poesie, Potins, Rève, Vidéo, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
22/03/2018
Le chien des villes et le chien des champs
Je suis en colère tout les jour quand je me promène dans les rues de la Grandeville.
Je suis en colère, offusqué, en rage, quand je vois, régulièrement, tous les jour, des "tas canins", des, excusez ma vulgarité, des merdes de chiens. Il n'y a pas un jour sans en trouver une nouvelle. Ce qui fait que l'on peut voir l'évolution de la merde de chien. La toute fraiche parfois écrasée et l'ancienne séchée.
Une véritable histoire naturelle de l'évolution dans le temps de la merde de chien.
"On" dit qu'il faut ramasser la crotte de son chien dans une poche sinon "on" s'expose à une amende. Faut-il, encore, que le maître indélicat soit pris sur le fait. Or on à affaire à des maître anonymes de la merde de chien qui, sans vergogne, laissent leur chien, allègrement, sur les trottoirs, soulager leur boyaux.
Quand on adopte un chien, il faut en assumer la responsabilité pleine et entière et aller j'usqu'au bout de ses devoirs.
Si au moins ces maîtres indélicats apprenait le caniveaux à leur cher petit (ou gros) toutou. Non, c'est trop leur demander cet acte citoyen rattrapant, un peu, au moins, leur faute ignoble de ne pas les ramasser leur ignoble immondice.
Ainsi se fait la différence entre le chien des ville et le chien des champs.
Le chien des champs affolé par la saleté de la ville rentrant, illico, après une courte visite, rejoindre la propreté de sa belle campagne.
Cousin de campagne (1936) - Walt Disney
10:57 Publié dans Anecdote, Honte, La pensée du jour, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)