23/09/2010
Les raisons économiques du déclin de l'Europe vue par un économiste Chinois
15:33 Publié dans Actualité, Culture, Ecologie, Economie, Politique, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)
09/08/2010
Le droit de l'enfant, de nos jours, a évolué
09:04 Publié dans Actualité, Anecdote, BD, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Histoire, Honte, Humour, Informatique, Internet, Le site du jour, Médecine, Politique, Shopping, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (3)
18/07/2010
L’Abeille de Fieuzal : Second vin de Château Fieuzal
Dans la saga le vin du dimanche, cette semaine : Château l'Abeille de Fieuzal Rouge.
Situé au cœur du berceau historique des vins de Bordeaux, le vignoble du Château de Fieuzal s’étend sur l’une des plus belles croupes graveleuses de l’appellation Pessac-Léognan. Ce cru ancien appartient aux fleurons de la région viticole des Graves, dont les sols du même nom sont particulièrement favorables à la production de grands vins. Réputé pour ses vins blancs, Château de Fieuzal est aussi reconnu pour l’excellence de son second vin rouge l’Abeille de Fieuzal.
Les différents cépages assemblés pour le Fieuzal Rouge sont : Merlot, Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon et Petit-Verdot.
Un rapport qualité prix intérssant (trouvé quand même à 14 €).
J'étais un peu en froid avec Fieuzal depuis quelques temps, je ne le trouvais plus assez intéressant en qualité, mais j'avoue avoir craqué pour cette Abeille de FieuzalRouge 2007.
Ma dégustation :
Jolie bouteille au design classique (une grande mode en Bordelais est de faire des étiquettes relookées new desing.
Bouchon en liège (quand même) mais de qualité moyenne (normal pour un second vin), on a pleuré sur la parafine.
Robe : Assez belle couleurs, mais la robe n'est pas trés foncée à mon goût.
Odeur : Légère
Au goût : moyen et léger ce vin n'est pas trés "gras". Je suis déçu.
Conclusion : Ce vin ne vaut pas les 14 € ! C'est loin de valoir un Pontacq Montplaisir à 12 € ! A éviter !
Je suis de plus en plus en froid avec Fieuzal ! Et qu'on ne me dise pas que 2007 est une mauvaise année, même s'il semble qu'elle ne soit pas terrible, ceci n'explique pas cela, les oenologues ont les compétences pour transformer une mauvaise année en année moyenne.
Référence : http://www.bordeauxplus.fr/
11:31 Publié dans Art, Culture, Economie, Fête, Gastronomie, Honte, Internet, Loisirs, Médecine, Shopping, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
29/09/2009
Quand le capitalisme productiviste devient capitalisme consumériste
Selon Benjamin Barber, professeur de sciences politiques à l’université de Maryland (États-Unis), nous sommes passés du capitalisme productiviste au capitalisme consumériste.
15:29 Publié dans Economie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : économie, société, consomation, argent
30/10/2007
La courbe de Laffer

Dans la série l'économie c'est compliqué :
Un extrait d'un article de Wikipédia
La courbe de Laffer est une modélisation économique développée par des économistes de l'offre, en particulier Arthur Laffer, basée sur l'idée que la relation positive entre croissance du taux d'imposition et croissance des recettes de l'État s'inverse lorsque le taux d'imposition devient trop élevé.
Lorsque les prélèvements obligatoires sont déjà élevés, une augmentation de l’impôt conduirait alors à une baisse des recettes de l'État, parce que les agents économiques sur-taxés seraient incités à moins travailler (cela ne vaut plus la peine de travailler si les revenus issus du travail sont trop faibles).
Historique de l'idée
L'idée que « trop d'impôt tue l'impôt » est ancienne : des économistes libéraux anciens avaient en leur temps déjà mené une réflexion sur ce phénomène, comme Adam Smith qui suggérait le phénomène en écrivant : « L'impôt peut entraver l'industrie du peuple et le détourner de s'adonner à certaines branches de commerce ou de travail » ; et surtout Jean-Baptiste Say qui concluait « qu'un impôt exagéré détruit la base sur laquelle il porte» (principe à la base de politiques anti-alcoolique ou anti-tabagique : on impose de fortes taxes dans le but revendiqué de réduire la consommation) .
Mais il revient à l'économiste américain Arthur Laffer, à la fin des années 1970, d'avoir tenté de théoriser ce qu'il nommait « l'allergie fiscale », et de l'avoir popularisée (au point d'être évoquée dans le débat et les choix politiques), à l'aide de la courbe qui porte son nom.
23:45 Publié dans Economie | Lien permanent | Commentaires (2)