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21/11/2021

Le port USB : une histoire de chasse de mes débuts avec un ordinateur ou ma première confrontation avec le hardware

Mon lecteur ZIP Ioméga : Nostalgie !


Un "petit" sujet qui traite de l'histoire de l'informatique.

Je tiens à préciser, tout d’abord, que le hardware (le matériel informatique) n’est pas mon fort, contrairement à mon fidèle lecteur alain, je préfère, et de loin le software (les logiciels).

Tout commence en 1999 avec Windows 98 SE.

A cette époque fut mis en place la télétransmission pour dématérialiser les FSP (Feuille de Soin Papier) de la Sécurité Sociale.

Pour la télétransmission, il fallait (et il faut toujours) :

- Un ordinateur (il est vrai que l’on peut télétransmettre sans ordinateur avec, seulement, un lecteur de télétransmission). J'achetais donc un PC avec Windows 98. Actuellement la répartition du marché des Systèmes d'Exploitation (OS) est la suivante : Windows représente 88 % du parc des PC contre 8 % pour macOS et 2 % pour Linux (qui, étant un logiciel libre, est gratuit). Eh oui, il existe une solution médicale sous Linux !

 - Un logiciel Médical agréé.

 - Un lecteur bifente  de carte vitale (SESAM-Vitale) et (CPS).

Et...

 - Une connexion internet. A l’époque une connexion bas débit RTC, point de box, point de haut débit avec l'ADSL, point de très haut débit avec la fibre optique, point de 400 Mbits, comme chez moi actuellement, mais un modem V.90 (avec son bruit si caractéristique* lors de sa connexion), une ligne téléphonique (fil de cuivre)  et un débit de 56 Kbits ! On imagine le temps de chargement, sur le Web, d'une simple image (qui était moins grande que maintenant).

J’ai donc débuté en Informatique avec Windows 98 et le Logiciel Médical HelloDoc qui, pour la petite histoire était implanté, au départ, à Vensac et son célèbre moulin, puis à Soulac-sur-Mer et qui, d’ailleurs, a été racheté, par la suite, en 2014, par CompuGroupMedical (CGM).

Ma motivation d’acquisition de ce Logiciel Médical résidait dan le fait qu’outre la télétransmission, il assurait un dossier patient dématérialisé, un traitement de texte, pour les lettres aux correspondants, la rédaction des bilans para clinique (Biologie, Radiologie) Et surtout des ordonnance avec une interface pour le logiciel du VIDAL, qui, d’ailleurs devient payant très rapidement (alors que le VIDAL papier restait gratuit car fourni par les Laboratoires Médicaux). Le VIDAL papier a, d'ailleurs, arrêté sa publication en 2020.

Après ce long préambule, j’en reviens à mon premier ordinateur.

Mon premier ordinateur fut un ordinateur portable, un ACER.

J’achetais, aussi un lecteur ZIP Ioméga car cela permettait de stocker 100 Mo de données ! (comparé à une disquette de 1,44 Mo de l'époque  y a pas photo), avec, en plus, la possibilité de compresser ces données. A l'époque, le logiciel HelloDoc tenait en 3 disquette (4 Mo) on est loin du logiciel Windows 10 qui nécessite une clé USB de 8 Go !

Sitôt acheté, sitôt branché sur le seul port USB de mon ordinateur.

Déception, il ne s’allume pas !

J’ai galéré pendant un bon bout de temps pour trouver la solution.

Elle était toute bête : Il suffisait d’aller dans le BIOS et d’activer, tout simplement, ce foutu port USB.

Une vidéo sur le débarquement d'un ordinateur dans la famille : du vécu !

A propos de la hotline, celle-ci a été profondément modifiée avec la prise en main à distance des ordinateurs.

Allez, pour la route, deux vidéo qui faisait beaucoup rire, à l’époque, sur les démêlés avec l’informatique. On notera le changement, par rapport à maintenant, du matériel informatique de l’époque notamment la taille des écrans (les écrans LCD de maintenant remplacèrent les énormes écrans cathodique de l’époque encore appelés CRT).

 

*A écouter dans l’article de Wikipédia sur le modem. Cela ne me rajeuni pas !

Référence :
 - ZIP Ioméga

20/11/2021

Le tram de Saragosse

Crédit Photo Archives Personnelles – (Double clic gauche pour agrandir)


J’ai pris cette photo devant l’entrée de l’hôtel Oriente où j’ai résidé le temps de mon séjour à Saragosse.

L'alimentation du "Tranvía de Zaragoza" se fait par ligne aérienne mais entre la Plaza de Paraiso et Murallas, dans le centre historique de la ville, l'alimentation est assurée par batteries d'accumulateurs leur charge étant effectuée lors du freinage des rames par récupération du courant et par connexion au réseau électrique lors des arrêts.

19/11/2021

Un nouveau commerce à la mode : Le magasin de cannabis

Crédit Photo - Archives Personnelles (Double clic gauche pour agrandir)


Vu dans une rue piétonne de la Grande Ville.

Les magasins de cannabis sont en pleine vogue, maintenant.

Allez, pour la route, une recette de cuisine avec du CBD, une recette de brownie à l'huile de CBD :

18/11/2021

Farmacia del Pilar en Zaragoza

Crédit Photo – Archives Personnelles (Double clic gauche pour agrandir)


Cette pharmacie vieillotte est située au 40 Calle Alfonso I, rue dont je parle dans mon article "Calle Alfonso I".

Mon dieu, qu’est ce que j’ai pu, en prescrire de la Lysopaïne (Lizipaina) du temps où c’était remboursé !

Il faut bien dire que sucer un bonbon est efficace dans le mal de gorge. Mais...

Si la majorité des angines sont virales, il ne faut pas passer à côté d'une angine bactérienne à Streptocoque β-hémolytique du groupe A (SGA) (risque de RAA* avec une possible atteinte des valves cardiaque) ce qui nécessite un traitement antibiotique (amoxicilline).

Pour cela, outre la clinique (fièvre >38° C, ganglions, augmentation des amygdales) le médecin dispose d’un test rapide : le TROD angine, mais je me pose, quand même, la question de la fiabilité de ce test.


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*Aphorisme médical bien connu des médecins : "Le streptocoque lèche les articulations mais mords le cœur".

17/11/2021

Les oiseaux dans la ville : la pie et les étourneaux classés nuisibles en Gironde

 

Comme tous les ans les étourneaux sansonnets sont de retour dans la Grande Ville.

Comme tous les ans je suis fasciné par le même spectacle, un spectacle son et lumière.

Je m’explique :

Derrière ma maison se situe un collège. Dans la cour de ce collège se trouve un grand arbre touffu avec des feuilles virant vers le rouge, l’automne est, déjà, bien avancé.

Tous les jours, à la même heure, cinq heures tapant, un bruit assourdissant sort de cet arbre qui est entouré de nappes d’étourneaux quittant et retournant vers cet arbre.

A ce propos...

Lu dans Sud Ouest en ligne du 09/07/2021 : "Gironde : la pie et les étourneaux officiellement classés « nuisibles »".

Ce n’est pas sans rappeler deux de mes anciens articles (cela va me permettre de me reposer un peu) :

 - 04/11/2011 : "Les corbeaux dans la ville".

 - 24/04/2017 : "Le vautour".

Une solution originale et efficace de lutte contre les étourneaux :

16/11/2021

La Casa de Santiago Ramón y Cajal en Zaragoza

Crédit Photo – Archives Personnelles (Double clic gauche pour agrandir)


Lors de mon séjour à Saragosse, alors que j’étais dans la file d’attente pour rentrer dans la Chocolatería Lalmolda cf mon atricle du 28/10/2021 - « La Chocolatería Lalmolda à Saragosse », je remarquais une plaque, celle de ma photo.

J’y appris que Santiago Ramón y Cajal à vécu à Saragosse au numéro 13 de la calle Méndez Núñez.

Santiago Ramón y Cajal (1852 à Petilla de Aragón - 17 octobre 1934 à Madrid,) est un histologiste et neuroscientifique espagnol, colauréat du prix Nobel de physiologie ou médecine en 1906 avec Camillo Golgi.

En utilisant, pour l'étude des cellules nerveuses, la technique de coloration de Golgi, il mit en évidence que les neurones étaient des entités cellulaires séparées par de fins espaces (que Sherrington nommera « synapses »), et non les fibres d'un réseau ininterrompu. Il est considéré comme l'un des pères des neurosciences.

Ramon y Cajal devait être un enfant HPI et hyperactif (TDAH) en effet, c’était un enfant curieux et à l’esprit vif, fasciné par les phénomènes de la nature. Parmi les traits de sa personnalité, on peut citer la gêne que lui supposaient les relations sociales et les rapports cordiaux avec les adultes, en outre, comme il devait s’ennuyer à l'école, il avait un très mauvais comportement. Cajal a dû être transféré de nombreuses écoles parce que les enseignants ne pouvaient pas le contrôler. Il a été arrêté à l'âge de 11 ans après avoir détruit la porte de la cour d'un voisin avec un canon qu'il a fabriqué. C’est pour cela qu’il il fit un apprentissage d'abord de coiffeur, puis de cordonnier.

Cajal voulait devenir peintre, mais son père le força en lui faisant étudier la médecine. 

Pour la petite histoire Ramon y Cajal à fut un pionnier du culturisme en Espagne.

Santiago Ramon y Cajal culturiste

Une vidéo où l’on apprend la passion de Cajal pour la photographie. Cela semble logique pour quelqu'un qui aime la peinture.

Une autre vidéo sur Golgi et Cajal.

 

Références :
 - « Casa de Santiago Ramón y Cajal »
 - « Santiago Ramón y Cajal »
 - « Ramón y Cajal, pionero del culturismo español »
 - « Le fondateur de Neuroscience voulait être un artiste, pas un médecin »

 - « Una historia de Santiago Ramón y Cajal, un niño hiperactivo »

15/11/2021

Un nouveau type de SPA : Le SPA à la bière

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Lu dans 20 Minutes (en ligne) cet article du 13/11/2021 : « Strasbourg : D’une bière, deux coups… Un nouveau spa à la bière ouvre bientôt ses portes au pays des cigognes »

Un extrait :

« La bière qui mousse, tout le monde connaît. Mais la bière qui masse ? Lors d’un voyage à Prague en 2016, alors qu’ils étaient encore étudiants, Naomie Crawshaw et Paul Fruh ont découvert ce concept dont ils n’avaient jamais entendu parler jusqu’alors : un spa à la bière. De retour de la capitale tchèque, les deux Alsaciens poursuivent leurs études à l’école de management de Strasbourg. Avec une idée : celle d’importer le concept dans leur région d’origine ».

Ce concept existait déjà !

En effet, je cite Wikipédia :

« On lit souvent que Cléopâtre, reine d'Égypte antique, prenait des bains de lait d'ânesse pour entretenir sa beauté et la jeunesse de sa peau. La légende dit qu'il ne fallait pas moins de 700 ânesses pour lui fournir la quantité de lait nécessaire à ses bains quotidiens. Aucun historien ne mentionne ce fait qui apparaît en 1858 dans une notice du médecin Adrien Baraniecki, destinée à valoriser l’utilisation des bains de petit-lait.

Pline l'Ancien, décrivant les vertus pour la peau de ce bain, reprend ce mythe à propos de Poppée (v. 30-65), seconde épouse de l’empereur romain Néron : « On croit que le lait d'ânesse efface les rides du visage, rend la peau plus délicate et en entretient la blancheur. On sait que certaines femmes s'en fomentent le visage sept cents fois par jour, observant scrupuleusement ce nombre. Poppée, femme de l'empereur Néron, mit le lait d'ânesse à la mode; elle s'en faisait même des bains et pour cela elle avait des troupeaux d'ânesses qui la suivaient dans ses voyages.

Diane de Poitiers ou Pauline Bonaparte auraient également eu recours au lait d'ânesse pour des soins de peau ».

Comme je le dis souvent, l’histoire est un éternel recommencement. D’où l’intérêt de connaître l’histoire, ce qui permet, parfois de prédire l’avenir de certains évènement.

Et, je me cite : « Un peu de culture ne nuit pas ».

Le bain au lait d’ânesse de Cléopâtre – Film Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre

 

Référence :

 - Lait d’ânesse

 - Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre


Et…

 - 09/07/2013 : « Pour s'amuser, un brin de culture ne nuit pas »

 - 29/03/2018 : « Un peu de culture ne nuit pas »

 - 17/09/2018 : « Le clavicorde et le pianoforte »