13/06/2014
La Camargue : ses chevaux et ses taureaux avec leurs gardians, les salins d'Aigues-Mortes. Sans oublier ses flamants roses - Blog en Repos pour cause de Vacances
Je vais être absent de mon Blog jusqu'au dimanche 22 juin.
Enfin ma première semaine de vacance !
je pars, avec deux couples d'amis. De quoi bien s'amuser et rapporter de bons souvenirs.
Cette année, je vais fractionner, chaque fois, mes vacances en deux ou trois périodes d'une semaine. J'hésite encore à prendre la dernière.
Cette première semaine sera réservée à la découverte d'une région qui m'est totalement inconnue, la Camargue.
Mon point de chute : le Grau du-Roi.
A très bientôt.
Bien évidemment, je me suis, un peu, documenté sur le Net.
Ma femme a des moyens, complémentaires, et, certainement, plus efficaces que les miens.Elle, elle prévoie, quand nous seront sur place. Disons que je suis dans la Théorie et, elle dans la Pratique.
La Théorie, cela ne nourrie pas, la Pratique, si !
La région
"La Camargue
Écosystème de la Camargue :
Cet écosystème présente une végétation principalement composée de salicornes et de plantes halophiles (c'est-à-dire des plantes qui supportent l'eau salée).
C'est également un domaine d'élevage de chevaux et de taureaux, de culture du riz et d'exploitation du sel (marais salants).
Cette faune et flore particulière a entrainé la création d'une réserve naturelle nationale sur 13 117 hectares (1927) et d'un parc naturel régional sur 30 000 hectares (1970).
Climat de la Camargue :
La Camargue, et ses principales villes, comme Arles est soumis au climat méditerranéen avec une longue période estivale, chaude et sèche, des hivers doux, un ensoleillement important et des précipitations irrégulières.
Cuisine
Saucisson d'Arles, Riz rouge de Camargue, Agriade saint-gilloise, Broufade, Fricot des barques, Gardianne, Taureau de Camargue, Catigot d'anguilles, Fougasse d'Aigues-Mortes, Tomme d'Arles, Sel de Camargue.
Le point de Chute
Le Grau-du-Roi
Le Grau-du-Roi, en occitan Lo Grau dau Rei, est une commune française située dans le département du Gard en région Languedoc-Roussillon.
Ses habitants sont appelés les Graulens et les Graulennes.
Géographie
Le Grau-du-Roi est situé au sud du département du Gard en limite de l'Hérault et de La Grande Motte, sa voisine à l'ouest. C'est l'unique commune maritime du département. Historiquement, le canton d'Aigues-Mortes a été obtenu en contrepartie du canton de Ganges (très riche à l'époque), suite à un échange avec l'Hérault par rapport au découpage initial des départements. Fondée par des immigrants italiens à la fin du XIXe siècle, dans une zone insalubre, entre mer et étangs. Jusqu'aux années 1920, son activité est entièrement tournée vers la pêche et plus récemment, le tourisme (avec Port Camargue).
Construite de part et d'autre d'un grau (brèche dans le cordon littoral ouverte naturellement vers 1570 au lieu-dit Gagne-Petit), entre l'embouchure du Vidourle et celle du Rhône, cette station offre 18 km de sable fin.
La commune est entourée d'étendues d'eau."
DOC :
- http://fr.wikipedia.org/wiki/Camargue
- http://fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Camargue
15:29 Publié dans Actualité, Blog, Fête, Loisirs, Potins, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (9)
06/06/2014
Docteur, comme vous étiez absent hier, je suis à cours de médicaments
"Docteur, je suis venu hier, mais vous n'étiez pas là", c'est par ces mots que commença la consultation.
Effectivement, avec tous les soucis que me causent la construction de cette fichue maison et avec tous les problème de finitions qui n'en finissent pas, avec un non respect tel des DTU et un permis de construire qui n'était pas valide, cela prenait des proportions telles que l'on en est arrivé à être obligé de prendre un avocat.
Si cela vous intéresse, c'est ICI.
Hier, j'étais avec un plaquiste pour voir s'il n'y avait pas une solution pour résoudre un problème dans satanée baraque. Sa réponse fut catégorique, c'était impossible. Et comme je n'ai pas le don d'ubiquité...
Hier, forcément, j'étais absent de mon cabinet.
Et, elle de ajouter : "J'avais pris mon dernier comprimé pour la tension avant hier soir et je n'ai pu le prendre hier".
Soyons clairs, devant cette légère pique, je ne culpabilise pas du tout, mais alors pas du tout.
Et ceci pour deux raisons :
- Le Pharmacien peut parfaitement avancer une boite de médicament au patient s'il arrive, malencontreusement, que celui-ci soit à court de munition.
- Il faut que vous sachiez, en plus, que, maintenant, les boites de médicaments, pour les traitements chroniques, comme l'hypertension, contiennent 90 comprimés. Le patient peut donc tenir trois mois, et a plus que largement le temps de pouvoir venir renouveler son ordonnance une à deux semaines avant la fin de l'échéance d'icelle et non... Le jour même !.
Quand au Médecin, il a une vie privée, lui aussi. Et quand, en plus, il lui arrive des emm...
La coupe est pleine !
Un peu de savoir vivre que diable !
Cela s'appelle le respect de l'autre.
18:41 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Santé, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (2)
05/06/2014
COMPOBAIE - Quand faire construire une maison devient un véritable cauchemar - Chapitre V
Avec le niveau rouge, la bulle n'est pas centrée : l’installation n'est pas à niveau
Dans cette maison maudite, Il m'arrivait un truc chiant, ou plutôt, pissant. Un truc répétitif, systématique et absolument insupportable.
Quand j'allais aux toilettes, l'abattant n'arrêtait pas de tomber au moment... propisse. Nous contactâmes l'entreprise du bâtiment qui nous renvoya sur le plombier. Après une visite sommaire, celui-ci me dit, texto "vous n'avez qu'à pisser assis". Ni convaincu ni content, de cette réponse peu professionnelle mais pour le moins originale, nous fîmes, au constructeur, un véritable harcèlement téléphonique avec menace de mise en demeure, si cela continuait par lettre recommandée. Au bout de... trois mois, enfin, nous réussîmes à avoir une réunion, sur place, dans les toilettes, pour constater le problème. Étaient présents, le fameux plombier humoriste, le commercial de la boite qui nous avais vendu le WC, et, nous mêmes.
Il s'avéra que le soucis venait d'un défaut du WC lui même. Il était gravement déformé, un défaut de cuisson de la céramique lors de sa fabrication.
Il fallait le changer.
Une fois de plus, qui avais raison ?
Mais, incidemment, comme entre le haut de la cuve et le bas des toilettes mettait en évidence que WC n'était pas appliqué au mur, il y avait un écart non négligeable avec le bas de la cloison, le commercial prit un niveau et nous annonça qu'il y avait un "défaut de planimétrie".
Cela voulait dire, en clair, que la cloison n'était pas droite, et, que, par conséquent, elle penchait.
Mon ami maçon le confirma.
L'erreur de planimétrie était de 1 cm/m alors que la D.T.U. ne tolérait que 0,25 mm/m !
Un peu conséquent comme erreur !
Mais l'histoire ne s'arrête pas là.
Ma femme, pris d'une idée soudaine, dit à mon copain : "Inspecte tout le mur pour voir". Et bien, vous me croirez si vous voulez, le défaut de planimétrie touchait TOUT le mur est de la façade est !
Ma femme et moi fîmes venir un plaquiste pour voir si c'était réparable. Il nous appris que les plaquistes alignaient le placo sur les huisseries, et, effectivement, celles-ci penchaient. Très rapidement il trouva la cause.
Le constructeur avait utilisé, pour la construction, un système particulier. Les ouvertures, portes, fenêtres, baies vitrées, pour des raisons de facilité et de gain de temps, étaient pré montés dans une sorte de gros encadrement en béton appelé COMBO BAIE qui étaient alors glissé dans le mur, comme une sorte de LEGO*. Le hic, c'est que le COMPOBAIE n'avait pas été posé verticalement, d'où des huisseries avec un défaut de planimétrie, défaut que reporta le plaquiste.
Verdict du plaquiste : réparation impossible.
Ma femme, qui est juriste, lui expliqua, alors, que pour préparer le travail de l'expert judiciaire (car l'affaire allait se terminer devant les tribunaux, c'était déjà décidé), il fallait présenter tous les devis de remise en l'état des différents corps de métier. C'est à dire :
- Un cuisiniste, pour démonter et remonter la cuisine.
- Un maçon, pour soulever la toiture, enlever le renforcement qui ceinturait le haut du mur, redresser les COMBO BAIES refaire lle ceinturage du mur et redérposer la atoiture.
- Un plaquiste, pour casser et refaire le placo.
- un peintre, pour repeindre les murs.
L'expert judiciaire transmettra, ensuite son rapport au juge, qui ne l'oublions pas, aura, aussi, dans son dossier, le litige du permis de construire avec le défaut d'implantation. Cela faisant, quand même, beaucoup de choses pour une entreprise du bâtiment. En général, les magistrats n'apprécient pas beaucoup ce type de fautes cumulée.
Mais...
Cependant, ma femme, en tant que juriste, m'expliqua qu'il ne fallait pas s'attendre à des miracles pour l'indemnisation. Pour une année vécue épouvantablement stressante, elle m'annonça un montant de, seulement, 20.000 €. Car, m'expliqua-t-elle, les magistrats sont plutôt du coté des entreprises que plutôt des plaignant, les entreprises générant des emplois. Vu le montant du prix de la maison, les fautes commises par l'entreprise et le Praetium Doloris c'était dérisoire.
Voila, mon histoire à rebondissement est, maintenant finie. Je sais, vous auriez bien aimé, encore, quelques autre épisodes croustillants. Mais non, il faut écrire le mot fin.
Enfin presque...
Car, ce n'est que seulement dans trois ans, si tout se passe bien, que tout sera terminé.
Une page de notre vie sera, alors, définitivement tournée.
"Quand le bâtiment va tout va !"*
Quand faire construire une maison devient un véritable cauchemar : Tous les épisodes
Chapitre I - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre II - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre III - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre IV - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/06/0...
Chapitre V - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/06/0...
15:20 Publié dans Anecdote, Bricolage, Coup de gueule, Ecologie, Honte, Humour, Le mot du jour, Mots, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (7)
03/06/2014
Impossibilité de renommer un fichier CON ou PRN avec Windows
Crédit Photo : Archives Personnelles.
Hébergeur d'Images : Zupimages : http://www.zupimages.net/
Une manip rigolote à faire sous Windows, on peut dire que c'est une manœuvre à la con, vous allez tout de suite comprendre.
Tout a débuté par le fait que j'ai essayé de renommer un fichier en PRN (le nom m'est passé comme cela par la tête, , un moment d'égarement, un grain de folie, allez donc savoir pourquoi), ce qui, à ma grande surprise, m'a été refusé par Windows, vous allez comprendre pourquoi.
Après une bonne et sérieuse recherche, un peu approfondie, mais pertinente, sur le Net, j'ai trouvé, enfin, la réponse à mon problème.
J'en profite donc pour vous proposer un petit jeu.
Essayez de renommer un fichier en CON ou en PRN.
Surprise !
Apparait une fenêtre avec le message d'erreur suivant : "le nom de périphérique spécifié n'est pas valide".
C'est une manœuvre quasi impossible, mais contournable cependant en bidouillant un peu, comme dab!
Elle est répertoriée sous le code d'erreur 1200 de Windows.
Références :
- Renommer un dossier en con, prn, nul, com1, com2, com3, com4, etc... (commentcamarche.net)
- Developer Network : Impossible d'utiliser des noms de périphériques dans des noms de fichiers.
- Codes d'erreur de Windows (commentcamarche.net).
14:53 Publié dans Anecdote, Humour, Informatique, Jeux, Loisirs, Magie, Mots, Photographie, Potins, Web | Lien permanent | Commentaires (3)
01/06/2014
Un Deux Trois
Crédit Photo : http://quinette.canalblog.com/
Je soigne un couple de patients qui sont à la CMU, mais rassurez vous, ils ne sont pas les seuls, de plus en plus de patient CMU ou pas, ont ce même comportement qui a le don de m'agacer profondément.
Le jeu consiste, lors d'une consultation "normale" à, brusquement, déraper, vers une deuxième consultation, voire une troisième, si ce n'est plus.
Pendant ce temps là, le patients qui, eux, respectent leur médecin, attendent dans la salle d'attente. Moi, je vois le temps passer, les questions défiler, et commence à fatiguer, il faut, plusieurs fois, modifier l'ordonnance.
Bref, la pagaille.
"Et puis vous n'oublierez pas, Docteur de me rajouter du VOLTARENE* en gel."
C'est tout simplement un manque de savoir vivre. Cela revient à ne pas respecter le Médecin.
Dernièrement, ce patient, qui a la CMU est atteint d'un Asthme et fume, ce qui est plus qu'incompatible. Il ne traite, en plus, même pas son asthme, il ne prend qu'un bronchodilatateur (un médicament qui dilate les bronches) alors que le traitement fondamental est un traitement anti inflammatoire par corticoïde inhalé (aspiré).
On sait, maintenant, que l'Asthme est une maladie inflammatoire des bronches, donc, logiquement, le seul traitement efficace pour un traitement efficace, , est un corticoïde inhalé au long cours, le bronchodilatateur n'a son seul intérêt que lors de la crise d'Asthme.
De toutes façon, ce patient, s'il voulait se soigner correctement, avec son Asthme, devrait commencer impérativement par arrêter de fumer.
La consultation faite (le renouvellement de sa VENTOLINE *, sans corticoïde inhalé et sans, bien sûr, arrêt du tabagisme), ce patient m'annonce qu'i vient juste de déménager. Et voila-t-il pas qu'il me demande si je peux lui dire pourquoi il à mal à la mâchoire.
Là, j'éclate ! Je lui explique pourquoi je ne supporte pas ce type de comportement . Je rajoute que j'ai constaté le même type de comportement chez sa femme qui, systématiquement, à chaque consultation faisait exactement la même chose.
Je lui demande si sa mâchoire craque, il me répond par l'affirmative, je lui explique alors que c'est, vraisemblablement, un problème concernant le ménisque de l'Articulation Temporo Mandibulaire et lui conseille d'aller voir un Dentiste.
Je conclus : "Bon, maintenant, la consultation est terminée."
Je le reconduis vers la sortie et, arrivé à la porte, je lui serre la main et rajoute : "Puis que, maintenant, vous avez déménagé, au revoir."
19:20 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, La pensée du jour, Médecine, Santé, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (6)
Une tornade s'abat sur la maison, défaut d'implantation, il faut redéposer un permis de construire - Quand faire construire une maison devient un véritable cauchemar - Chapitre IV
Crédit Photo : http://blogues.radio-canada.ca/science/
Enfin, mon ami maçon, allait, nous aider à faire le pavage de l'allée allant du portail à la porte du garage en pavés posés sur du sable étendu sur du géotextile. Une extension du pavage avait même été prévue pour longer un côté de la maison. Ce qui permettait d'entrer directement par la porte de la cuisine sans passes par la porte d'entrée.
Nous l'avions donc invité avec son épouse, et avec un couple d'ami, à déjeuner, à cette maison maudite, ce qui lui permettrait, en même temps, de prendre les métrés (les mesures).
Un peu plus tard, nous l'invitâmes, avec sa femme, un soir, à l'apéritif, pour visualiser les travaux sur le plan de masse de l'entrepreneur.
Surprise !
La maison avait été reculée de trois mètres, par cet entrepreneur, lors de sa construction.
Un défaut d'implantation de... trois mètres, rien que çà !.
Le permis de construire était IN-VA-LI-DE !
Le maire pouvait nous obliger à faire raser la maison pour non respect du permis de construire !
La série continue, là, les choses s'accélèrent bougrement, cela devient de plus en plus grave.
Mais, quelle idée baroque à pris ce constructeur de reculer la maison de trois mètres, d'abord sans demander notre avis, et surtout, sans respecter le permis de construire qu'il avait déposé en Mairie.
Du point de vue juridique c'est l'assureur (Assurance Dommage Ouvrage) du constructeur responsable qui paye l'indemnisation qui est très élevée, car, outre le prix de la démolition la maison, entre, en valeur le prix de reconstruction de la maison, et le versement, au propriétaire, de l'analogue d'un loyer, le temps de la reconstruction de la maison.
Dans ce cas d'école, l'assureur étant sûr de perdre, fait trainer les choses en longueur pour "faire travailler l'argent" qu'il ne donne pas au propriétaire pendant ce laps de temps. Ce petit jeu dure environ six ans. Par contre, la somme est plus que rondelette, les frais de justices sont bien évidemment à la charges de l'assurance et couvre les frais de l'avocat du propriétaire.
Mais, pour nous, la catastrophe, c'était, d'une part de devoir avancer les frais d'avocat et, d'autre part, pendant ce temps là, et de ne pas percevoir l'argent des locations pour couvrir les intérêts bancaires avec ceux-ci qui continuaient à tomber.
Tout cela pour un défaut d'implantation. Comme nous a dis un expert : "Des erreurs, dans ma vie, j'en ai vue, mais comme celle là jamais !"
La seule solution : redéposer un permis de construire, aller faire un pèlerinage à Lourdes et... Attendre (que le ciel ne nous tombe pas sur la tête).
Quand faire construire une maison devient un véritable cauchemar : Tous les épisodes
Chapitre I - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre II - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre III - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre IV - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/06/0...
Chapitre V - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/06/0...
17:32 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Honte, Humour, Le mot du jour, Mots, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (9)