06/11/2014
Le vieux con
C'est l'histoire d'un mec qui rentre, un soir fatigué après une journée de travail. Il vient juste de sortir d'un embouteillage quand, soudain, un vélo surgit lors de la nuit...
On le sait, de nos jour, le vélo, c'est écologique. Et, surtout, ça arrange le politique et permet d'entasser, ainsi, la populace, en réglant à peu de frais les problèmes de circulations.
C'est la démocratie participative, enfin, là, c'est de manipulation politique qu'il s'agit. Le politique fait croire que pour le réchauffement climatique, alors qu'un climat se fait sur 500 à 1000 ans !!! Là le prétexte écologique a bon dos.
J'ai toujours dis que nous étions trop nombreux. Dans les villes, à force de nous entasser, un jour on finira par se taper sur la gueule.
Pour ce qui est de l'écoloqie, plus on est nombreux, plus on, excusez ce terme trivial, on chie, donc plus on pollue. La solution est évidente : le Malthusianisme raisonné.
Revenons a notre voiture et à notre vélo.
Le conducteur de vélo est une conductrice d'une vingtaine d'année. Le conducteur de la voiture excédé lui fait vertement remarquer qu'il a failli la culbuter, car elle n'a pas de signalisation lumineuse : ni lumières, ni gilet réfléchissant, et, qu'en plus, elle ne porte pas de casque.
Voila t-il pas que le chauffeur se fit, à son tour,remettre à sa place.
Celui-ci se senti, alors, devenir un vieux con.
Ce vieux con, cher lecteur, c'est moi, votre bon Docteur Sangsue.
Cette anecdote m'est arrivée pas plus tard que ce soir.
La moralité de cette histoire est que, de nos jours,... il n'y a plus de morale.
23:59 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Honte, La pensée du jour, Politique, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (6)
03/11/2014
Merci pour la pièce
Cliquez sur la carte
Par ce bel été indien.
qui se prolonge de façon inespéré, un de mes patient de 68 ans, en profita pour amener son petit fils se balader sur l'avenue.
de grand ville.
Sa prostate le travaillant, il dit a son garçonnet, tu voit petit, pour pisser en ville, il faut payer : "l'argent n'a pas d'odeur", c'est un certain Monsieur Vespasien qui était un grand chef Romain, un Empereur, qui a tenu ces propos il y a très longtemps de cela, il a , ainsi inventé les vespasiennes. Il fit des toilette publique payantes, un impôt qui utilisait un besoin naturel obligatoire, pisser. Pour te montrer comment faire, je vais t'inviter à boire un sirop. Ça te dit gredin.
Le gredin était ravi de l'aubaine qui lui était offerte. Il ne comprenait pas trop ce que lui disait son grand père, mais la perspective de boire un sirop de fraise bien frais, par cette température caniculaire, en plein mois de septembre, après une marche harassante, était inespéré. A chacun son plaisir ; lui d'étancher sa soif, son grand père d'épancher sa vessie.
De toute les façon, le grand père lui aurait offert un rafraichissement. Il adorait ce gamin.
Or donc, ils s'assoient à la table d'un bar, une table un peu sale. Un serveur peu gracieux s'approche. Le grand père passe commande mais le serveur ne nettoie pas la table. Le grand père lui en fait gentiment la remarque celui-ci s'exécute de mauvaise grâce.
Avant de partir, le grand père de laisser une petite pièce, une piécette : 10 cent d'euros. Le gamin de dire "dis grand père que fais-tu"
"Ben tu vois, je laisse la pièce. Et tu vois plus la prestation est bonne enfin, je veux dire le service est bon plus la pièce st grosse. Plus le serveur est mauvais, comme ce monsieur, plus la pièce sera petite".
Sur ces entrefaites, Ils se lèvent et vont soulager leurs vessies, enfin, surtout le grand père.
En partant, le serveur leur dit tout haut "Merci pour la pièce".
Le grand père de répondre illico "Merci pour le service".
Le garçonnet n'était pas peu fier de son grand père qui avait cloué le bec à ce vilain monsieur.
00:41 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Histoire, Humour, Le mot du jour, Mots, Musique, Politique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)
27/09/2014
La naissance du surf à Lacanau-Océan : la vraie histoire vécue par le Docteur Sangsue
La naissance du Surf est apparue, à Lacanau-Océan, dans les années 1960.
J'ai déjà abordé l'histoire de Lacanau Océan dans un article précédant.
J’ai vécu l'arrivée de ce sport nouveau en France. Celui-ci a été introduit par Joël de Rosnay et Arnaud de Rosnay, à Biarritz. Ceux-ci l'ont ramenés d’Hawaï.
Je l’ai vécu personnellement avec un ami d’enfance qui avait ramené de Biarritz un surf Barland, le seul shapeur à l'époque. C’est en regardant Monsieur Maugard, que nous apprîmes à maitriser le maniement de la planche de surf et le fartage à la paraffine, à l’époque la paraffine qu'utilisaient nos grand mères pour recouvrir la confiture dans les pots pour que celle-ci se conserve bien.
C’est Je Docteur Francis Maugard (cet article de Wikipédia, a été écrit par votre serviteur le Docteur Sangsue) qui l’a ramené, lors de vacances à Biarritz, à Lacanau-Océan, alors station balnéaire familiale totalement inconnue.
C’est en regardant pratiquer Monsieur Maugard, que nous apprîmes, en balbutiant, le Surf.
Bien sûr, ce Surf là n’avait pas grand chose à voir avec les Surfeurs de maintenant qui rigoleraient de notre « technique » débutante, quoique...
A l'époque point de leash. une invention Française de Georges Hennebutte. Celui-ci apparaitra bien plus tard à Lacanau bien que son utilisation soit contesté par certains. Nous allions rattraper, à la nage, les « planches fuyantes » (runaway boards)
Mais c’était, déjà, la glisse, une sensation purement jouissive, en accord parfait avec le cadre magnifique de la Côte Aquitaine dont la plage nous appartenait à nous tout seuls.
Des Écolos avant l'heure, mais des authentiques, ceux là, nous étions.
Oui, déjà, nous "montions sur la planche", comme me l'a demandé ma mie, ce qui m'a profondément vexé, vous vous en doutez.
Le rêve !
La plage était à nous, pour nous tout seul, au Sud. De temps en temps, un double bang, celui des Mirages IV du Centre d'Essai des Landes (C.E.L.) qui passaient le mur du son. Le C.E.L. comprenait un des deux Phares d'Hourtin.
Puis le premier décollage de l'Alouette II de la Protection Civile dans les années 70.
Depuis, la station a décollée dans les années 80, après, je m’en souviens, le passage du Tour de France en 1976, ce qui fut redoutablement efficace, pour lancer cette station qui ne demandait rien à personne, mais qui avait tant à offrir.
Ce fut le début de la mort du Surf pour nous, d’autant plus que les études nous prîmes une grande partie de notre temps, et que nos centres d’intérêt s'éloignèrent de ce « Loisir » fabuleux à l’époque.
La planche fut vendue.
Lacanau-Océan devenant, très rapidement, un « Spot » à la mode, fort prisé des professionnels débutants, pour devenir celui des professionnels aguéris et célèbre : Le Lacanau Pro, maintenant Soöruz Lacanau Pro se déroulant fin août.
En fait, un Spot, un peu moins réputé, à mon avis, que celui de Biarritz, à cause de ses vagues, parfois, défaillantes.
Ainsi va la vie.
Depuis, Lacanau-Océan est devenue une station balnéaire à la mode, impraticable pour moi, trop de monde l'été.
Adieu la nature…
En aparté, pour ceux qui sont intéressés par le Surf, je vous conseille de lire How to Surf.
Pour la petite histoire, c'est à Lacanau-Océan, en réalité au Moutchic, que passe le 45° parallèle.
Un lien vers la surf music, pour connaître et écouter les groupes de cette musique de glisse à cette époque.
Un aperçu de ce style de musique sur YouTube ICI.
The Surfaris - Wipe Out -1962
The Ventures ~ Walk Don't Run
Beach Boys - Surfin' Usa - 1963
The Pharos - Pintor - Del-Fi - Surf
Kazi Aniruddha "Mafe Karo"
THE TORMENTOS - Il Diavolo In Corpo
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05/06/2014
COMPOBAIE - Quand faire construire une maison devient un véritable cauchemar - Chapitre V
Avec le niveau rouge, la bulle n'est pas centrée : l’installation n'est pas à niveau
Dans cette maison maudite, Il m'arrivait un truc chiant, ou plutôt, pissant. Un truc répétitif, systématique et absolument insupportable.
Quand j'allais aux toilettes, l'abattant n'arrêtait pas de tomber au moment... propisse. Nous contactâmes l'entreprise du bâtiment qui nous renvoya sur le plombier. Après une visite sommaire, celui-ci me dit, texto "vous n'avez qu'à pisser assis". Ni convaincu ni content, de cette réponse peu professionnelle mais pour le moins originale, nous fîmes, au constructeur, un véritable harcèlement téléphonique avec menace de mise en demeure, si cela continuait par lettre recommandée. Au bout de... trois mois, enfin, nous réussîmes à avoir une réunion, sur place, dans les toilettes, pour constater le problème. Étaient présents, le fameux plombier humoriste, le commercial de la boite qui nous avais vendu le WC, et, nous mêmes.
Il s'avéra que le soucis venait d'un défaut du WC lui même. Il était gravement déformé, un défaut de cuisson de la céramique lors de sa fabrication.
Il fallait le changer.
Une fois de plus, qui avais raison ?
Mais, incidemment, comme entre le haut de la cuve et le bas des toilettes mettait en évidence que WC n'était pas appliqué au mur, il y avait un écart non négligeable avec le bas de la cloison, le commercial prit un niveau et nous annonça qu'il y avait un "défaut de planimétrie".
Cela voulait dire, en clair, que la cloison n'était pas droite, et, que, par conséquent, elle penchait.
Mon ami maçon le confirma.
L'erreur de planimétrie était de 1 cm/m alors que la D.T.U. ne tolérait que 0,25 mm/m !
Un peu conséquent comme erreur !
Mais l'histoire ne s'arrête pas là.
Ma femme, pris d'une idée soudaine, dit à mon copain : "Inspecte tout le mur pour voir". Et bien, vous me croirez si vous voulez, le défaut de planimétrie touchait TOUT le mur est de la façade est !
Ma femme et moi fîmes venir un plaquiste pour voir si c'était réparable. Il nous appris que les plaquistes alignaient le placo sur les huisseries, et, effectivement, celles-ci penchaient. Très rapidement il trouva la cause.
Le constructeur avait utilisé, pour la construction, un système particulier. Les ouvertures, portes, fenêtres, baies vitrées, pour des raisons de facilité et de gain de temps, étaient pré montés dans une sorte de gros encadrement en béton appelé COMBO BAIE qui étaient alors glissé dans le mur, comme une sorte de LEGO*. Le hic, c'est que le COMPOBAIE n'avait pas été posé verticalement, d'où des huisseries avec un défaut de planimétrie, défaut que reporta le plaquiste.
Verdict du plaquiste : réparation impossible.
Ma femme, qui est juriste, lui expliqua, alors, que pour préparer le travail de l'expert judiciaire (car l'affaire allait se terminer devant les tribunaux, c'était déjà décidé), il fallait présenter tous les devis de remise en l'état des différents corps de métier. C'est à dire :
- Un cuisiniste, pour démonter et remonter la cuisine.
- Un maçon, pour soulever la toiture, enlever le renforcement qui ceinturait le haut du mur, redresser les COMBO BAIES refaire lle ceinturage du mur et redérposer la atoiture.
- Un plaquiste, pour casser et refaire le placo.
- un peintre, pour repeindre les murs.
L'expert judiciaire transmettra, ensuite son rapport au juge, qui ne l'oublions pas, aura, aussi, dans son dossier, le litige du permis de construire avec le défaut d'implantation. Cela faisant, quand même, beaucoup de choses pour une entreprise du bâtiment. En général, les magistrats n'apprécient pas beaucoup ce type de fautes cumulée.
Mais...
Cependant, ma femme, en tant que juriste, m'expliqua qu'il ne fallait pas s'attendre à des miracles pour l'indemnisation. Pour une année vécue épouvantablement stressante, elle m'annonça un montant de, seulement, 20.000 €. Car, m'expliqua-t-elle, les magistrats sont plutôt du coté des entreprises que plutôt des plaignant, les entreprises générant des emplois. Vu le montant du prix de la maison, les fautes commises par l'entreprise et le Praetium Doloris c'était dérisoire.
Voila, mon histoire à rebondissement est, maintenant finie. Je sais, vous auriez bien aimé, encore, quelques autre épisodes croustillants. Mais non, il faut écrire le mot fin.
Enfin presque...
Car, ce n'est que seulement dans trois ans, si tout se passe bien, que tout sera terminé.
Une page de notre vie sera, alors, définitivement tournée.
"Quand le bâtiment va tout va !"*
Quand faire construire une maison devient un véritable cauchemar : Tous les épisodes
Chapitre I - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre II - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre III - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre IV - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/06/0...
Chapitre V - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/06/0...
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01/06/2014
Une tornade s'abat sur la maison, défaut d'implantation, il faut redéposer un permis de construire - Quand faire construire une maison devient un véritable cauchemar - Chapitre IV
Crédit Photo : http://blogues.radio-canada.ca/science/
Enfin, mon ami maçon, allait, nous aider à faire le pavage de l'allée allant du portail à la porte du garage en pavés posés sur du sable étendu sur du géotextile. Une extension du pavage avait même été prévue pour longer un côté de la maison. Ce qui permettait d'entrer directement par la porte de la cuisine sans passes par la porte d'entrée.
Nous l'avions donc invité avec son épouse, et avec un couple d'ami, à déjeuner, à cette maison maudite, ce qui lui permettrait, en même temps, de prendre les métrés (les mesures).
Un peu plus tard, nous l'invitâmes, avec sa femme, un soir, à l'apéritif, pour visualiser les travaux sur le plan de masse de l'entrepreneur.
Surprise !
La maison avait été reculée de trois mètres, par cet entrepreneur, lors de sa construction.
Un défaut d'implantation de... trois mètres, rien que çà !.
Le permis de construire était IN-VA-LI-DE !
Le maire pouvait nous obliger à faire raser la maison pour non respect du permis de construire !
La série continue, là, les choses s'accélèrent bougrement, cela devient de plus en plus grave.
Mais, quelle idée baroque à pris ce constructeur de reculer la maison de trois mètres, d'abord sans demander notre avis, et surtout, sans respecter le permis de construire qu'il avait déposé en Mairie.
Du point de vue juridique c'est l'assureur (Assurance Dommage Ouvrage) du constructeur responsable qui paye l'indemnisation qui est très élevée, car, outre le prix de la démolition la maison, entre, en valeur le prix de reconstruction de la maison, et le versement, au propriétaire, de l'analogue d'un loyer, le temps de la reconstruction de la maison.
Dans ce cas d'école, l'assureur étant sûr de perdre, fait trainer les choses en longueur pour "faire travailler l'argent" qu'il ne donne pas au propriétaire pendant ce laps de temps. Ce petit jeu dure environ six ans. Par contre, la somme est plus que rondelette, les frais de justices sont bien évidemment à la charges de l'assurance et couvre les frais de l'avocat du propriétaire.
Mais, pour nous, la catastrophe, c'était, d'une part de devoir avancer les frais d'avocat et, d'autre part, pendant ce temps là, et de ne pas percevoir l'argent des locations pour couvrir les intérêts bancaires avec ceux-ci qui continuaient à tomber.
Tout cela pour un défaut d'implantation. Comme nous a dis un expert : "Des erreurs, dans ma vie, j'en ai vue, mais comme celle là jamais !"
La seule solution : redéposer un permis de construire, aller faire un pèlerinage à Lourdes et... Attendre (que le ciel ne nous tombe pas sur la tête).
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17:32 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Honte, Humour, Le mot du jour, Mots, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (9)
27/05/2014
La salle de bain, la baignoire - Quand faire construire une maison devient un véritable un véritable cauchemar - Chapitre III
Crédit Photo : http://bspi.e-monsite.com/
Après l'incident de la terrasse, deux autres incidents survinrent, quand on aime on ne compte pas.
D'abord un doute sérieux sur un non respect sur une D.T.U. concernant la hauteur de pose du SPEC (Systèmes de Protection à l'Eau sous Carrelage), une sorte de peinture isolante que l'on pose sur le placo avant de coller le carrelage pour éviter les infiltration d'eaux, un très gros doute que souleva mon copain maçon, réponse évasive du constructeur "on a tout fait dans les règles (mais dans les D.T.U. ?). Lire ICI et LA (pour les plus courageux férus de D.T.U.).
Ma femme et moi inaugurâmes, enfin, la baignoire et là, oh surprise ! Il y avait des remontées capillaires dans le carrelage recouvrant la baignoire (l'eau rentrait dans les carrelages qui étaient coupés): le carrelage avait un défaut. C'était la faute du carreleur qui aurait du vérifié le produit posé, c'était donc de sa responsabilité d'avoir posé un mauvais produit.
Savais vous ce qu'il nous répondis : "On ne prend pas de douche dans une baignoire". Je n'ai pas eu la présence d'esprit de lui répliquer que s'il était plus facile de prendre une douche dans une baignoire, il était beaucoup plus difficile de prendre un bain dans une douche !
J'ai conté cela dans un ancien post "La douche et la baignoire".
Trop fort ! Cet artisan n'est pas un Plombier, c'est un Humoriste !
Non seulement, il est en faute et de mauvaise foi et, en plus il se permet de se payer notre tête en faisant de l'humour de bas de gamme.
Si cette anecdote est, pour le moins, croustillante, l'histoire de la Maison n'est pas finie pour autant. Un drame va survenir bientôt.
A suive...
Quand faire construire une maison devient un véritable cauchemar : Tous les épisodes
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15:18 Publié dans Anecdote, Comfort, Coup de gueule, Ecologie, Honte, Humour, Le mot du jour, Mots, Potins, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (6)
24/05/2014
Quand faire construire une maison devient un véritable un véritable cauchemar - Chapitre II - Le début de perte de confiance : la terrasse
Crédit Photo : http://www.pichon-paysagiste.com/
Dans mon malheur, j'ai une chance inespérée, celle d'avoir un ami artisan maçon qui dans la passé a été chef de chantier, mais pour des gros chantiers. Il est retraité depuis peu. C'est un vrai ami, la main sur le cœur, un copain quoi, un vrai. C'est un homme d'une intelligence et d'une curiosité hors norme qui était enseignant au C.F.A. (Centre de Formation d'Apprentis) et qui siège toujours au T.A.S.S. (Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale), de plus sa femme, qui est toujours en activité, est économiste en Travaux Public. Inutile de dire, que lui et sa femme, à eux deux, ils les connaissent les D.T.U.
La maison poussait comme un champignon, nous ne savions pas encore que c'était plutôt dans l'espèce vénéneuse.
La maison était finie , et lors d'une visite, nous observâmes la terrasse. De suite, je vis tiquer mon ami maçon : "Il n'y a pas assez de pente" me dit-il.
Il fit le tour de la maison et, sur le trottoir, c'était la même chose, pas assez de pente : en cas de pluie, l'eau ne s'écoulerait pas.
Tout simplement : NON respect de la D.T.U. !
Merci mon copain.
Il fallut batailler ferme, mais... ils démolirent la terrasse et le trottoir pour les reconstruire dans le respect de la D.T.U.
Inutile de dire que la confiance dan le constructeur fut, alors, plus que sérieusement compromise.
Mais, ce n'était qu'un début.
Quand faire construire une maison devient un véritable cauchemar : Tous les épisodes
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23/05/2014
Quand faire construire une maison devient un véritable un véritable cauchemar - Chapitre I - Les D.T.U. (Document technique unifié)
Crédit Photo : http://www.batirama.com/
Je vais commencer à vous conter les "petites" mésaventures qui me sont arrivées dernièrement. Celles-ci ont durées... UN AN !
Avec ma moitié, nous avons eu l'opportunité de faire construire une maison secondaire en vue de location saisonnière en prévision de la retraite, eh oui, le temps passe vite !
Pourquoi une maison saisonnière ? Il y a plusieurs avantages à cela et ils ne sont pas négligeables. Il y a une différence de taille entre une location saisonnière et une location normale. D'abord pas de maintient dans les lieux, ensuite pas d'impayés, les clients payent avant la prestation, ensuite, il ya la possibilité d'adapter librement le prix de la location en tenant compte, bien évidement, de la concurrence.
Il me faut, pour commencer cette narration, aborder quelques notions techniques, un peu rébarbatives certes, mais capitales pour bien comprendre le déroulement des évènements, la notion de D.T.U., traduction de ce sigle barbare : "Document technique unifié".
Les D.T.U. sont des règles bien établies pour la construction des bâtiments "dans les règles de l'art".
Les D.T.U. ont été élaborées progressivement, surtout a partir des assurances, en fonctions des déclarations de sinistres et en analysant leur causes par les experts. Dans les chantiers publics, il en va de façon similaire. Ainsi la malfaçon dans la construction sert à comprendre la cause et à ne plus faire la même erreur.
Les D.T.U. tiennent, en premier lieu, de l'évolution des progrès dans es matériaux, par exemple le placo a remplacé le plâtre, le plaquiste chasse le plâtrier qui est devenu un métier en voie de disparition.
"Un DTU peut se composer des documents suivants :
• Le cahier des clauses techniques (CCT) qui définit les conditions à respecter dans le choix et la mise en œuvre des matériaux ;
• Le cahier des clauses spéciales (CCS) qui accompagne le CCT et définit les limites des prestations et obligations envers les autres corps de métier ;
• Les règles de calcul pour le dimensionnement des ouvrages.
Les D.T.U. sont constamment mis à jour en tenant compte, bien sûr de l'évolution des matériaux, mais aussi des déclarations de sinistres aux assurances avec intervention des professionnels du bâtiments pour prévenir les dommages.
Les DTU ne sont pas disponibles librement sur l'internet, sauf exceptions en passant, éventuellement pas des forums, mais sont vendus par le CSTB et l'AFNOR dont les boutiques sont indiquées ci-après :
• Boutique du CSTB
• Boutique de l'AFNOR"
Source Wikipedia.
Il ne faut surtout pas oublier une notion fondamentale, c'est que les D.T.U. sont appelées à évoluer continuellement, et ce, de façon inexorable. Cela oblige les constructeurs et les artisans à se tenir au courant, constamment, de l'évolution de la construction des bâtiments pour construire "dans les règles de l'art" en tenant compte, bien entendu des D.T.U. en vigueur au moment de la construction.
Les D.T.U. ont, en retour, un bénéfice, non négligeable, pour le futur propriétaire : une meilleure sécurité, une meilleure solidité et un meilleur confort de la construction.
Voilà, en préambule, qui, je le reconnais, est un peu abscons, explique fondamentalement le début de mes déconvenues avec mon constructeur.
Celui-ci, en effet, pris une totale liberté avec ces fameuses D.T.U., on peut dire qu'il ne les a pratiquement, dans un grand nombre de cas, pas appliquées.
Certainement par incompétence due à une ignorance totale de l'évolution des D.T.U.
Il travaillait, comme on le dit si bien, à "l'ancienne".
Quand faire construire une maison devient un véritable cauchemar : Tous les épisodes
Chapitre I - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre II - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre III - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre IV - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/06/0...
Chapitre V - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/06/0...
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22/05/2014
Le CONTRE-COUPS de l'ABBÉ PERDRIGEON
Je me souviens, qu'un jour, un cousin de mon ex belle famille, qui était Pharmacien me parla d'un remède miracle contre les contusions : Le contre-coups de l'Abbé PERDRIGEON.
Il est même référencé dans le VIDAL !
C'était il y a de cela un certains nombres d'années, disons... une trentaine d'années, oui, déjà, une trentaine d'années !
Dernièrement, allez donc savoir pourquoi, le nom de ce médicament me revins en mémoire.
Après une brève recherche sur le Net, je tombais directement sur le site du médicament.
Ce qui m'a le plus marqué sur le bandeau du site, c'est cette phrase "De générations en générations".
C'est exactement ça.
Cette phrase résume tout.
14:40 Publié dans Anecdote, Ecologie, Histoire de la Médecine, Le mot du jour, Le site du jour, Médecine, Potins, Santé, Shopping, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (8)
12/03/2014
Le garage
Crédit Photo : http://www.monamenagementjardin.fr/
Dans ma rue, il y a trois garages, ce qui est énorme pour une rue de Grandville ; Sans compter quatre places handicapées. Cela deviens difficile, pour le riverain lambda, d’arriver à stationner.
Le soir cela devient quasiment stressant car il faut chercher fortune dans tout le quartier.
Les possesseurs de garages ont une façon étrange, mais fort pratique, de les utiliser.
Certes, ils se garent, mais pas à l'intérieur, ce qui libèrerait au moins quelques places.
Ils se garent, certes, mais devant leur garage, ce qui est, vraiment, fort pratique pour eux.
Mais un garage retint particulièrement mon attention. Hier quatre à cinq personnes étaient en grande discussion dans ce garage mystérieux. Ce qui me permis de voir que s’il était occupé, ce n’était pas par une voiture, mais par des caisses en cartons et meublé par une table.
Eh oui, ce sont les élections municipales qui se préparent ! C'est la dernière ligne droite !
C’est là que se prépare la distribution des tracts du Parti.
Une utilisation pour le moins originale concernant un garage.
11:28 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Honte, Humour, La pensée du jour, Politique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (18)
23/02/2014
Vers un recul du morpion
Depuis déjà quelques temps, on assiste à un phénomène bizarre, il y a une épidémie manifeste de la Pédiculose du cuir chevelu (Pédiculose) et une régression spectaculaire de la Pédiculose du pubis (Phtiriase).
Pour mémoire, il existe trois formes de Pédiculose : la Pédiculose du cuir chevelu, la Pédiculose corporelle et la Pédiculose pubienne.
Un petit rappel sur la l'étiologie, la biologie et la pathologie de la Pédiculose et de la Phtiriase me semble indispensable. Cela permet, entre autre, de développer une conduite thérapeutique efficace.
La Pédiculose
"Le pou de tête de l'être humain (Pediculus humanus capitis) est l'agent de la pédiculose du cuir chevelu, il s'installe le plus souvent dans les cheveux et vit de 6 à 8 semaines. Les femelles ont une importante capacité de reproduction, pondant 4 à 10 œufs (ou lentes) par jour pendant 3 à 4 semaines, solidement fixé à la base d'un cheveu ou d'un poil. Après 7 à 10 jours, le pou sort de la lente sous forme de larve, qui deviendra adulte en moins de 15 jours. Le pou gêne son hôte par les démangeaisons qu'il occasionne. Les poux se disséminent par contact entre individus, par exemple au contact de la chevelure d'un autre enfant au cours d'un jeu ou d'une bagarre, ou lors d'échanges d'habits, cache-nez, bonnets ou casquettes.
À la différence des puces, les poux ne sautent pas. Ils ne volent pas non plus. Ils ne se qu'en rampant ou via des vêtements ou cheveux infestés."
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9diculose_du_cuir_chev...
La Phtiriase
"Le pou du pubis (Phtirus pubis) ou morpion est la cause de la phtiriase.
Il se rencontre dans les régions pubienne et périanale. Ce pou se transmet en général par contact sexuel.
Le pou du pubis se trouve dans les poils pubiens et parfois dans les aisselles. Les piqûres du morpion, provoquent de petites lésions bleuâtres et un prurit exacerbé la nuit.
Comme le pou de tête, la femelle pose des lentes sur la base des poils. Les adultes ne peuvent pas survivre plus de 24 heures hors contact avec l'homme, et les lentes pas plus de huit jours."
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pou_du_pubis
Pourquoi ce phénomène de régression du Phirius Pubis et du développement du Pédiculus Humanum Capitis.
Il est de mode, depuis, déjà, quelque temps, que les femmes (et les hommes) se rasent les poils pubiens. Cela paraît tout bête mais l'explication se trouve dans ce phénomène de société.
Par contre, comme on ne se rase pas le cuir chevelu, il ne faut pas s'étonner que la pédiculose, elle, se développe. Phénomène étonnant, les filles sont plus atteintes que les garçons. C'est parce qu'elle ont les cheveux long ce qui, en plus, ne facilite pas le traitement. C'est pour cela, entre autre, que dans le milieu militaire, le cheveux court est de rigueur, sans oublier l'aspect pratique pour les manœuvres.
Une petite histoire, pour la route. C'était il y a quelques années, déjà, je soignais un couple un peu bizarre, monsieur, comme on dit, beau garçon, madame un peu froide. Monsieur faisait des voyages d'affaires. Un jour, madame m'appelle à neuf heures du soir (non vous ne rêvez pas !) : "Venez vite, mon mari a attrapé de petites bêtes". J'arrive sur les lieux. Il s'agissait de morpions. Madame et moi, pour mieux le voir en miment un sur un miroir, aucun doute, un morpion ! Alors madame de me demander comment on peut attraper ça, moi de répondre : "Oh vous savez ça va ça viens", puis, dans la foulée de prescrire le traitement morpionicide.
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15/11/2013
Halte au lapinisme
Crédit Photo : http://jeuxsoc.fr/jeann
Je me permets de répondre à deux commentaires concernant mon dernier post "La palombe et le sanglier".
Ces deux commentaires m'ont procuré énormément de plaisir à les lire.
Je pars du principe que les divergences d'opinions peuvent être rudes mais doivent être constructives et, surtout, permettent de passer d'agréables moments.
Merci Artémis pour tes précisions juridique pour le moins... "précises". Cela caractérise bien la démarche juridique quasi scientifique (en fait, l'application d'une logique scientifique) bien que le droit touche les sciences humaine.
Laurence, je ne voudrais pas me fâcher avec toi, j'ai parfois un parler maladroit et un certain manque de culture, voire un manque certain, ma culture, hélas est autodidacte et présente donc des trous à l'emporte pièce parfois d'une profondeur déconcertante.
Je suis, cependant, un adorateur, et un admirateur, de la vie en général et du génie déployé par Dame nature pour arriver à faire vivre en harmonie des espèces hostiles entre elles (l'Homme en est une racaille par son savoir, son pouvoir et, surtout, son intérêt).
Mais je pense connaître un peu la Biologie, c'est elle, c'est mon amour pour elle, qui m'a amené à faire de la Médecine.
Merci Laurence de m'avoir appris ce mot agrainage, je le répète, maque de culture. Je connaissais le mot élevage indispensable pour le lâcher de faisans qui est effectivement une façon pour le mois "particulière" de chasser. Ce lâcher me fait songer au sketch des inconnus sur "la chasse à la Galinette cendrée", qui donne une image des chasseurs un peu "space".
Effectivement, il ne faut pas confondre torchons et serviette, mais cela me semble un peu surprenant de nourrir une espèce nuisible en voie d'explosion, sans que la chasse suive.
J'ai omis, dans mon "articulet", un point essentiel de l'écologie, l’Écologie juridique. Pour moi, elle est aussi sérieuse et importante que l’Écologie scientifique. Elle est très importante car, dans la mesure du possible, hormis les pression des lobby politiques locaux généraux mais aussi de la mouvance des associations écologistes et des partis écologistes officiels ou rattachés pour la "bonne" cause. Tout cela étant chapeauté par le "Gouvernement européen", l’Écologie juridique essaye d'empêcher des débordements trop importants.
Le "Gouvernement" européen a des directives qui ont, parfois des effets surprenants et comiques.
Il m'arrive, parfois, d'avoir, dans mon cabinet médical feutré, des consultations franchement marrante. Je soigne une patiente, juriste à la DDE, elle s'occupe de ce qu'il reste à l’État, c'est à dire pratiquement plus grand chose, elle s'occupe des routes et des autoroutes. Je dis le peu qu'il reste car pratiquement tout a été concédé à des grands groupes privés (attention à l'augmentation du prix des péages et quid de l'entretien) naturellement, toute l'infrastructure à été effectuée par l’État Français.
Cette patiente me raconta qu'une petite grenouille protégée dévia considérablement le tracé d'une autoroute, sous la pression d'une association écologiste grâce à une directive européenne. Bon, je sais, il est nécessaire de préserver cette espèce, mais pour les habitants d'un village ou d'une partie d'une ville, on ne s'embarrasse, sans aucun scrupule, d'une telle considération.
Autre fait plus comique, elle me raconta, un jour béni, qu'elle s'occupait d'un contentieux avec des lapins.
-Des lapins !
lui dis-je estomaqué. Avec elle je m'attendais, désormais, à tout. Je m'attendais à la voir convoquer dans son bureau Jeannot lapin avec son béret en paille et sa carotte au bec. Que nenni, c'était une horde de lapins qui, non chassés au furet par son administration, proliféraient de façon dramatique.
Ils n'avaient pas besoin d'agrainage , ils se servaient dans les champs voisins au grand dam des agriculteurs qui assignèrent l'administration. Ma juriste géra donc la famille nombreuse Jeannot lapin ou plutôt ses générations florissantes.
Faute de maintient de la population "Lapinienne", ma patiente a perdue face aux avocats de la partie adverse, et son administration fut condamnée à verser (nous indirectement) une somme rondelette aux agriculteurs "dégrainés".
Halte au lapinisme, pourquoi ce titre ?
Il est de très mauvais goût de préconiser, de nos jours, une quelconque théorie ayant trait au Malthusianisme écologique.
Cependant, il n'y a qu'à ce souvenir de la politique nataliste des années 50 qui retarda de façon importante l'arrivée de la pilule et de ce sacrilège, pour certains, que fut l'avortement (hélas, entre de maux, il faut choisir le moindre) ce qui eut, quelque peu, des effets délétères.
Une théorie contre celle du Malthusianisme pur dit que l'homme s'adapte à tout changement important dans sa croissance démographique (l'utilisation de la culture intensive permettant de nourrir la population). Dans les années 50, pour améliorer la qualité de vie et détruire les taudis puis dans les années 60, face au rapatriement et à l'afflux important des "pieds noirs" (un flux d'immigration expérimental massif mal vécu par certains "bons" Français, vis à vis, pourtant, de leur compatriote) C'est suite aux idées et aux travaux expérimentaux de cet architecte de génie, Le Corbusier, que l'on entassa les gens dans des habitations en hauteur ce qui permis d'augmenter de façon drastique le "taux d'habitant / m²"... Et la création des citées si communes de nos jours.
Tout cela en déformant allégrement l'esprit de Le Corbusier qui œuvrait pour le bien être des habitants.
Je n'en veux pour preuve la surprise que provoque la visite de la cité Frugès, à Pessac, près de Bordeaux. Le Corbusier était un visionnaire (ses baies vitrées illuminent le séjour), certes ses terrasses (importées des pays du Maghreb) furent discutable dans une région avec trois mois d'été et beaucoup de pluie. Le Corbusier avait, aussi, un côté humaniste ses appartements étaient des lieux de vies dans cette cité (qui était ouvrière, au départ) pas mal de ces appartements sont toujours habitées de nos jours.
Ces citées sont quasi invivables pour leurs habitants ! Certaines en voie de rénovation, la plus part en voie de démolition.
Une chose est certaine la terre n'est pas extensible, on peu construire encore sur la mer, mais le taux de déjections humaine (pipi caca) est quasi constant pour un individu et ce quelque soit sa race, et puis tôt ou tard, les homme se taperont dessus faute d'espace et de qualité de vie suffisante.
Face à Malthus décrié, il y a Darwin qui est plus tendance.
Attention cependant, si l'on applique la théorie de Darwin, à ne pas tomber de l'arbre où l'on est niché tout en haut.
C'est vrai, on est bien loin de la palombe, mais assez proche, cependant, de Jeannot lapin.
Cependant, si j'avais intitulé ma "fable" "Le lapin et le sanglier", il n'y aurait eu aucun charme, aucune originalité et nous n'aurions pas le plaisir de débattre ainsi.
Laurence, j'aime beaucoup te lire, j'espère que tu continuera à venir sur mon blog mais j'espère, surtout, ne pas t'avoir choqué par mes propos parfois, un peu, décousus.
In fine, ATTENTION, DANGER !
"Plus un chien est grand, plus il fait de grosses crottes". (Proverbe Chinois).
Je veux dire par là que la cause du réchauffement climatique est, avant tout, lié à la surpopulation...
Plus on est nombreux plus on émet de gaz à effet de serre...
Et paf, la planète !
15:36 Publié dans Actualité, Anecdote, Blog, Culture, Ecologie, Economie, Histoire, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Musique, Politique, Potins, Santé, Science, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (13)
28/10/2013
La palombe et le sanglier
Palombière - Crédit Photo : Wikipédia
Il est d'actualité de discuter longuement sur le massacre des animaux sauvages par ces sanguinaires chasseurs avides de carnages et de tableaux de chasses bien garnis.
Le Sud-ouest vit, actuellement, un moment intense, la migration des palombes. C’est un moment social et festif important. C'est un peu, pour le paloumayre (le chasseur de palombe), l'équivalent de la fête de Noël.
La chasse à la palombe est une occasion de se rencontrer, de construire une palombière qui servira, outre à chasser, mais aussi à faire ripaille permettant ainsi de cuisiner la célèbre entrecôte bordelaise, tout en dégustant un bon vin de la région. La chasse, c’est aussi une culture, n’en déplaise à certain. Je tiens à préciser que je ne suis pas chasseur, que j’adore la nature et je sais pertinemment ce qu’est la vraie ÉCOLOGIE SCIENTIFIQUE.
Oui, je vous vois venir, vous allez me dire : "votre chasseur va rayer de la terre la race des palombes".
Attendez et lisez la suite.
Il y a actuellement une invasion de... SANGLIERS sur la côte Aquitaine, cette magnifique côte d'Argent, faute de... battues en nombre suffisant.
Original non !
Des gens bien intentionnés ont bien essayés de distribuer, au coin des bois, des préservatifs* à Dame Sanglier mais ce fut sans effet.
Sans battue point d'espoir.
Mais alors. Pourquoi ce paradoxe ?
Mais oui, les animaux se reproduisent et n’ont pas la pilule et, sans prédateurs, c’est la redoutable prolifération.
C’est le cas de notre cher sanglier errant dans les forêts. C’est aussi le cas des étourneaux qui envahissent nos villes et les souillent de fientes. Quand il est bien nourri de raisin l'étourneau est fort bon en salmis. Sans prédateurs, ne restent plus que les battues, c’est à dire les vilains chasseurs deviennent nos sauveurs.
Le seul problème c’est que le chasseur devient une denrée rare, en effet, la relève n’est plus assurée
En faisant un prélèvement raisonné, on maintiendrait un équilibre démographique.
Cet équilibre démographique est essentiel pour avoir un bon équilibre écologique et une vie en bonne harmonie entre les différentes espèces animales. Il n’y a qu’à se promener dans la forêt quand les sangliers ont ravagés le sol car, trop nombreux, ils sont en manque de nourriture, c'est un véritable carnage.
L'homme est le premier à pâtir de cette situation.
Arrêtons de rêver.
Revenons dans la réalité.
Il est absolument indispensable de réguler intelligemment les naissances des animaux sauvages en France.
Quelle solution contre le dégât des étourneaux... par TVSud
Impressionnant !
* Je ne peux résister à vous renvoyer à la célèbre Désencyclopédie qui est toujours très bien documentée.
23:55 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Fête, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (33)
22/10/2013
Le vieux réveil
Crédit Photo : http://www.momentanementdisponible.com/
J'ai le bonheur d'avoir en ma possession un vieux réveil digital qui a comme caractéristique particulière d'avoir été acquis par ma belle mère lors d'un achat de vêtement par correspondance. Un beau cadeau. Un cadeau utile et... résistant puisqu'il a passé l'épreuve du temps. Il est toujours là… quarante ans plus tard. Enfin...
C'est d'abord ma femme qui, le volant à sa mère, se l'est appropriée, puis moi, à mon tour.
Dernièrement, après plusieurs chutes multiples sans aucunes conséquences fâcheuses apparentes, il se bloqua.
J'en fus fort contrit.
Je le débranchais et le mis dans un coin.
Puis dans un sursaut d'espoir, dans un dernier acte désespéré pour sauver ce fidèle serviteur, je le rebranchais et lui donnait une claque sur le dos, et bien, vous me croirez si vous voulez...
Il reparti !
Pour clôturer ce petit post sur ce vieux réveil, je vais vous faire partager un bref morceaux d'un musicien qui fait partie de mon panel de mes auteurs préférés, François Couperin. Le choix de ce morceau n'est pas innocent, le réveil-matin.
11:23 Publié dans Anecdote, Bricolage, Culture, Ecologie, Humour, Magie, Musique, Poesie, Potins, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (14)
29/07/2013
Quand mesquin rime avec radin
J'ai, dans ma patientèle, joli mot pour éviter d'employer le vilain mot de clientèle par trop rattaché à l'argent : qui dit client, dit argent. Comme s'il ne fallait pas de l'argent pour gagner sa vie et nourrir sa famille
J'ai, dans ma patientèle, un jeune couple, la trentaine avec une paire de jumelles (munies de la courroie et de l'étui*) qui s'ai fait bâtir une maison. Vint la partie cruciale, la délimitation de la propriété, la clôture. Une clôture mitoyenne, forcément. Un des voisins, un couple d'ingénieurs, plus âgés et, gagnant bien sa vie, répondit... aux abonnés absents, pour un devis de clôture se montant à 2000 € TTC. C'est mon jeune couple qui dû supporter le coût de la clôture dans sa totalité, eux qui ne roulent pas sur l'or.
Détail émouvant, nos cher voisins Cloturophobiques, élèvent deux poules pour la production familiale des œufs mais, aussi, en bon écolos, pour recycler les détritus biodégradables "bouffables" par nos amis gallinacées.
Elle est pas belle la vie !
* Pierre Dacq : Le Sar Rabin Dranath Duval.
Pierre Dac - Le Fakir Rabindranath Duval par AtouTJohnny
"Enregistré en 1964 par Europe N°1 lors de l'émission " Musicorama " le célébrissime sketch de Francis Blanche et Pierre Dac, le Sar Rabin Dranath Duval a surement bénéficié de l'état d'ébriété avancé des deux compère qui venaient de faire un mémorable repas. Il reste un grand classique du genre".
http://cinquantaine.actifforum.com/t3232-le-sar-rabin-dra...
Le sketch de Pierre Dac et Francis Blanche est directement inspiré d'un spectacle de télépathie, un spectacle de cabaret, celui de Myr et Myroska créé dans les années 40. Ce couple produisit leur spectacle jusqu'en 1980. ils terminaient toujours leur prestation par la phrase suivante : " S’il n’y a pas de truc c’est formidable, mais s’il y a un truc, reconnaissez que c’est encore plus formidable".
http://fr.wikipedia.org/wiki/Myr_et_Myroska
Référence Bibliographique : http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2011/08/2...
07:40 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Honte, La pensée du jour, Loisirs, Magie, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
23/06/2013
La politesse tu apprendras
La politesse n'a pas d'âge, ou plutôt, le manque de politesse. Exemples vécus.
Les vieux cons :
Dernièrement votre serviteur, pour se détendre, car il en avait grandement besoin, se rendit dans un restaurant, calme, demi saison, ambiance feutrée, comme je les aime.
Le repas s'annonçait bien.
En apéritif, le vin, en direct : La Tour Léognan Blanc, bien.
L'entrée arrive, quand soudain, à la table à côté, une vieille se met à crier. Moi de me retourner. Elle crie dans son portable : "Allo Dédé... !"
Les Jeunes Cons :
Je marchais, il y a peu, tranquillement sur le trottoir, en face de moi, moi, le vieux con, trois nanas, se dirigeais vers moi visiblement sans avoir l'intention de me laisser passer, moi itou, de continuer mon chemin et de bousculer une des trois donzelles et de me fendre d'un superbe "pardon".
20:17 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Potins, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (21)
03/06/2013
Les rues de Grandville ne sont pas sûres
Les rues de Grandville, ou plutôt ses trottoirs, ne sont pas sûrs du tout.
Monsieur Du Chien, s’en allait, ce matin, à la quête de son pain,
En sortant de la boulangerie, du haut de ses quatre vingt ans, Monsieur Du Chien chuta sur une crotte de chien.
Les clients du boulangers le relevèrent, appelèrent les pompiers qui l’amenèrent aux Urgences du CHU de Grandville. Il y fut diagnostiqué une fracture du col du fémur.
Heureusement, grâce aux progrés de la ghirurgie, monsieur Du Chien pouvait encore se déplacer correctement, mais il lui restait, cependant, une légère boiterie. Il portera celle-ci jusqu’à la fin de sa vie.
Les rues de Grand ville ne sont plus sûres.
09:33 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Médecine, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (11)
18/05/2013
Petites causes grands effets
Pour faire suite à mon post, voici deux petites histoires illustrant bien le dossier
J’ai, dans ma patientèle, une patiente qui est conseillé juridique la DDE, qui m’a raconté ces anecdotes.
Les lapins
Voici l’intérêt de faire des battues. Pendant deux ans, il ne fut pas organisé de battues pour contrôler le lapinisme le long d’une route de campagne, les lapins prolifèrent tellement, que, n’ayant plus rien à manger, se mirent à s’attaquer aux champs de blé voisins. Les agriculteurs, face au dommage subi, se retournèrent sur le service juridique de la DDE.
La DDE, se trouva obligée de dédommager ces agriculteurs, pour le fait de ne pas avoir organisée de battue.
Pour ce qui est de l’écologie, il y a quelques règles à respecter : savoir maitriser un bon équilibre écologique des populations, sinon, les problèmes surviennent assez rapidement.
La fosse
Plantons le décor. Une aire de repos sur une route nationale. Des toilettes publiques gratuites. Jusque là tout va bien. Les autoroutes étant payantes, les entreprises de transport demandèrent à leurs chauffeurs de n’utiliser que les routes nationales et ce pour raison d’économie. Cela ne fut pas prévu à la construction de la fosse, celle-ci avait une capacité prévue pour les voitures et pas pour les camions.
Le résultat ne se fit pas attendre
La fosse fut vite saturée.
Et...
Les emmerdes de commencer.
Tout cela peut être appliqué au niveau de la population de la terre. Cela se rapproche de la théorie de la décroissance démographique, bien que celle-ci soit décriée par certains.
12:52 Publié dans Anecdote, Ecologie, La pensée du jour, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (23)
17/05/2013
Une rencontre imprévue
Hier, en rejoignant mes pénates, quelque chose trottait furtivement sur le trottoir pour disparaitre aussitôt, un petit animal gris, ou plutôt noir.
C'était un rat !
Cela faisait désordre, un rat dans la banlieue attenante à grandville.
Cela faisait bien longtemps que je n'avais côtoyé ce genre d'animal du joli nom scientifique, Rattus rattus.
Il faut dire, qu'avec le mouvement écologique, il ne faut pas erradiquer un animal en voie de disparition. Il faut se poser la question, le rat est-il un animal protégé.
Autre exemple, dans la forêt, à deux portée de voiture, prolifère des sangliers, qui dévorent tout, vas y que je te retourne la terre avec son groin, vas y que, met "rat finné ratien", les racines ce qui n'est pas très bon pour les arbustes convoités.
Des battues sont organisées, mais de façon peu nombreuses. C'est vrai, quand le soleil est couché, qu'il est touchant de voir passer dame sanglier suivi de sa ribambelle de marcassins. Certes les sangliers ne sont pas des lapins, mais, en l'espèce, le résultat est le même.
10:49 Publié dans Anecdote, Ecologie, Société | Lien permanent | Commentaires (3)
19/11/2012
La question du jour : Ecolo ou pas écolo ?
J’ai une fâcheuse tendance à associer un bon comportement social avec un bon comportement écologique.
Un exemple. Ce matin,
« Je m'baladais sur l'avenue
Le cœur ouvert à l'inconnu
J'avais envie de dire bonjour
À n'importe qui
N'importe qui ce fut toi
Je t'ai dit n'importe quoi
Il suffisait de te parler
Pour t'apprivoiser. »
Aux Champs Elysée (Joe Dassin)
Ce fut Toi, une mini cooper 4x4, comme on sait si bien les faire, de nos jour.
Non, je n’affabule pas : une mini cooper 4x4, un signe ostentatoire de richesse et de… culot
En effet, la conductrice (qui dit mini cooper, dit femme), mais un homme eu pu faire tout aussi bien (ou mal, à vous de juger) dans un autre véhicule (un gros 4x4, évidement).
Madame remonte la rue, en sens interdit, obligeant une autre voiture à s'arrêter.
Vous le croirez si vous voulez, Madame rentre, sans aucun complexe, ni merci, dans le jardin de sa maison.
C’est manifestement un comportement anti social.
Peut-on le qualifier, aussi, de comportement anti écologique ?
« L'écologie, entendue au sens large, désigne le domaine de réflexion qui prend pour objet l'étude des interactions, et de leurs conséquences, entre individus (pris isolément et/ou en groupe constitué) et milieu biotique et abiotique qui les entoure et dont ils font eux-mêmes partie ; les conséquences sont celles qui affectent le milieu, mais aussi, en retour, les individus eux-mêmes. »
Wikipédia - http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cologie
Alors, on en revient à la question du jour : un comportement anti social est-il anti écologiste ?
A vous de jouer.
Question subsidiaire : La ville sest-elle une biocénose* ?
LE CONCEPT "BIOTOPE CITY"
LA VILLE COMME NATURE. Réflexions sur un avenir urbain
Elisabeth Wertmann : Biotope City - was heisst das ?
Helga Fassbinder: Le concept Biotope-City – la ville comme nature - est un concept englobant, plus étendu que les concepts de la ville durable (au sens de développement durable) et de la ville verte.
Source : http://www.biotope-city.net/article/le-concept-biotope-ci...
* En écologie, une biocénose (ou biocœnose) est l'ensemble des êtres vivants coexistant dans un espace défini (le biotope).
Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bioc%C3%A9nose
Cette vidéo peut peut-être fair avancer le Schmiblick.
09:48 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Musique, Politique, Santé, Science, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (35)