19/09/2015
La bière dodo
Grâce à Géovisite , je sais d'où l'on me lis.
Cela m'encourage à vous faire plaisir en vous divertissant, quand je sait que je suis lu en Norvège, en Russie, aux États Unis, et, bien sûr, en France.
En regardant Géovisite, je fus interpellé quand je vis sur mon écran d'ordinateur, une personne qui lisait mon blog depuis la Réunion.
Cela me fit songer à mon voyage à la Réunion, il y a quatre ans environ.
D'abord, le voyage, onze heure avec Air France.
Long, très long
Mais toujours émerveillé, lors des voyages en avion, par la terre vue de si haut, et des nuages survolés.
Sitôt arrivé à l'aéroport de Saint Denis de la Réunion, nous lavons loué la voiture qui nous permis de faire notre périple à la découverte de la Réunion.
Ce mode de tourisme est bien plus intelligent et bien plus instructif que tout les voyages organisés, même les mieux ficelés.
Une voiture que l'on ne trouve pas en France, c'était une voiture blanche, une Renault, je crois me souvenir, avec une particularité, un coffre allongé.
Notre premier point de chute Saint Denis, bien sûr.
Côte de porc et carrés de porc démesurés comme on ne les trouve pas en France.
Je me souviens, particulièrement, de la côte de porc avec l'os de la côte démesuré, mais, aussi, d'un carré de porc dantesque par sa grosseur.
Fabuleux pour moi, si intéressé par toute nouvelle découverte gastronomique.
Ce porc grillé, au barbecue, un vrai régal !
Deuxième point de chute, Saint pierre. Un ami d'un de voyage de fortune connaissait un habitant de Saint Pierre, qui nous invita et nous fit découvrir la sauce rougail de tomate, épicée à souhait grâce au piment oiseau.
Nous lui parlâmes de notre point de chute, Cilaos à la fin du repas. Lui et sa femme de nous jeter un drôle de regard. Nous comprîmes, plus tard, pourquoi, lorsque nous primes cette route épouvantable avec tous ses lacets, une véritable torture.
Nous arrivâmes à Cilaos épuisés, à la nuit tombante.
Cilaos bien connue par ses lentilles.
Tout au long de notre séjour, revins immanquablement une boisson originale la bourbon ou bière Dodo à l'étiquette bien particulère représentant un dodo souriant.
Une bière légère, s'adaptant bien au pays, surnommée en l'honneur d'un oiseau, originaire de l'île Maurice, aujourd’hui disparu, le dodo.
Le dodo aujourd'hui disparu car mangé par les autochtones.
Voilà comment je découvris cette bière légère en alcool, qui bien fraîche, s'adapte particulièrement bien au climat chaud de la Réunion.
Le dodo,
P.S. : Je m'aperçois que j'ai oublié d'évoquer, le volcan si célèbre de l'île, le Piton de la fournaise.
J'ai oublié, aussi, de mentionner la trans-dimitile, la course mythique qui traverse, depuis 1992, toute l'île.
21:34 Publié dans Anecdote, Cuisine, Culture, Ecologie, Gastronomie, Le mot du jour, Le site du jour, Loisirs, Mots, Potins, Société, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
16/09/2015
Un aspect méconnu de Guy Béart décédé aujourd'hui: l'ingénieur
Guy Béart, né Guy Béhart-Hasson (orthographié à l'origine Béhar-Hassan1) au Caire (Égypte)2 le 16 juillet 1930 et mort le 16 septembre 2015 à Garches (Hauts-de-Seine), est un auteur-compositeur-interprète français.
Parallèlement à ses études musicales, Guy béart a été reçu à l’École nationale des ponts et chaussées) il en est ressorti ingénieur et a dirigé, ainsi, la construction de ponts (le rêve de tout ingénieur pont).
Ce que j'aime dans sa chanson, "la vérité", c'est qu'elle décrit parfaitement bien le risque que peut prendre quelqu'un quand il dit la vérité.
Toute vérité n'est pas bonne à dire, c'est une litote.
Celui qui la dit risque sa vie* et **.
Mais cela est applicable, aussi, de façon différente, à la médecine. Il faut savoir tenir sa langue, le meilleur des mensonges étant le mensonge par omission.
D'ailleurs les Psychanalyste ne disent jamais la vérité à leur patient, il font en sorte que celui-ci trouve sa vérité par lui même.
En effet, en Médecine, si on dit la vérité à quelqu'un, sa première réaction sera la fuite.
*Confer : La censure de la thèse copernicienne (1616) concernant la thèse de Gallilée qui met en évidence que la terre tourne autour du soleil, contrairement à celle de Copernic qui enseigne que le soleil tourne autour de la terre
Taquiné par la réquisition, Gallilée fut prié d'aller enseigner ailleurs,
**Semmelweis qui découvre l’asepsie en se lavant les main (dans son cas en évitant la "fièvre puerpérale", qui n'est autre qu'un sepsis ou septicémie. Il fut rejeté par la communauté médicale. Rendu quasiment fou, lors d'une dissection il se piqua et mourut, lui même, de "fièvre puerpérale", un comble pour un obstétricien.
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08/09/2015
Le Docteur Sangsue est privé de ses produits favoris dans les rayons des super marchés
Quand je vais dans les grandes surfaces, assez souvent, brutalement, je ne puis acheter certains produits fétiches, puis ils réapparaissent aussi mystérieusement qu’ils ont disparus.
Trois exemples :
- Vinaigrette toute préparée : J’aime bien celle à l’huile d’olive et au vinaigre balsamique. Remplacé par des vinaigrettes aromatisées : Pfuit !
- Rouleaux pour papier ménager : re Pfuit !!!
- Gaspacho rouge à la tomate remplacée par gaspacho vert : re re pfuit !!!
Cela pourrait il venir d’une manque d’approvisionnement ? Mais on verrait l’affichette originale « JE REVIENS LE PRODUIT »
Je penserais plutôt, pour du forçage à la vente, et cela, dans le but, inavoué, de faire découvrir un nouveau produit.
Or il se trouve ne pas avoir aimé, gustativement parlant, pour l’instant, après les avoir goûtés, ces changements.
Encore les nouvelle commerciales de vente dont je parlais dans mon article : « Et soudain, une commerciale, pas commerçante, me raccroche au nez ».
Je n’ai jamais aimé me forcer, quand ce qui est d'être forcé...
Tant pis le produit.
« JE REVIENS, l’ACHETEUR ».
23:03 Publié dans Anecdote, Citation, Coup de gueule, Cuisine, Ecologie, Economie, Gastronomie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Musique, Potins, Science, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
07/09/2015
Mulet au four façon Docteur Sangsue
Le mulet, pas l'animal à quatre patte, je veux parler du poisson
Le mulet (également appelé mule, muge* ou meuille) est un poisson de la famille des Mugilidae, mais aussi des familles Cyprinidae, Lebiasinidae ou Polynemidae.
Il est péché en Manche, en Atlantique et en Mer du Nord
Le mulet est un poisson pas cher du tout.
Mais le mulet est un poisson qui n'est pas apprécié par tout le monde car il à, à sa charge, un gros inconvénient : un goût prononcé.
C'est pour cela, que ma tendre et douce ne l'aime pas.
J’essayai bien, pour lui plaire, de masquer le goût de ce poisson en utilisant des ingrédients forts pour réaliser ma recette, mais rien n'y fit, ma mie n’ y toucha que contrainte et forcée car il n'y avais rien d'autre à manger.
Il faut bien dire que, pour préparer ma recette, il m'avait fallu environ trois quart d'heure. Le plus long étant de lever les filets, car, si j'avais bien demandé au poissonnier d'écailler les mulets, j'avais totalement oublié ce "petit" détail. D'ailleurs, aurait-il voulu s'y prêter ?
Ingrédients pour quatre personnes :
- 2 beaux mulets
- 1/4 de litre de vin blanc sec de cuisine
- 1 citron
- 6 échalotes
- 2 citron
- Huile d'olive
- 4 branches de persil
- 2 branches de thym
- 2 feuilles de laurier
- Piment d'Espelette
- Sel fin
- Poivre du moulin
Préparation :
Dans un grand plat en pyrex, rectangulaire étalez les échalotes émincées, versez le vin blanc, disposez les feuilles de thym, les feuilles de laurier et les branches de persil.
Dans un bol mélangez l’huile d'olive avec le jus d'un citron et demi, salez avec le sel fin, poivrez avec le poivre du moulin, rajoutez le piment d'Espelette, mélangez bien, avec une fourchette, pour faire une émulsion.
A l'aide d'une grande cuillère versez un peu de la préparation sur les filets coté chair, étalez la avec la pulpe de l'index,
Répandez la préparation sur le vin blanc.
Disposez les mulets tête bêche.
Versez le reste de l'émulsion sur la peau des mulets.
Cuisson :
Faites cuire au four 10 minutes à 200°C.
Accompagnement :
- Des pommes de terres bouillies arrosées du jus de cuisson.
- Des pâtes fraiches arrosées du jus de cuisson.
Boissons :
- Classiquement, un vin blanc sec type Muscadet sur lie (un vin blanc sec légèrement pétillant).
- Et pourquoi pas, une bière blanche bien fraîche (personnellement, j'ai un faible pour l'Edelweiss).
*Aspects culturels : Au sens figuré, à Marseille, dans le langage parlé, le muge est synonyme de pénis.
13:38 Publié dans Cuisine, Culture, Ecologie, Gastronomie, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Science, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (1)
03/09/2015
L’évolution écologique de Grandville, sa mutation cosmopolite. Une analyse personnelle du Docteur Sangsue
De plus en plus, en se promenant, le « Grandvillien » est frappé par le nombre de langues qu’il lui arrive d’écouter.
En outre, y a, de façon d’une concomitante et dramatique, une disparition progressive de l’accent typique à Grandville et, pire, de la disparition totale de son patois local par la « New Génération ».
Grand ville devient, de plus en plus, une ville cosmopolite.
Ceci étant voulu, délibérément, par nos politiques.
Il est logique, alors, que Grandville, depuis peu classée au patrimoine mondial de l’humanité, devienne, de facto, une mégalopole.
Une mégalopole implique un entassement des « Grandvilliens ».
Cela implique, aussi, une « Pariniasisialisation » de Grand ville, avec tous ses inconvénients que cela représente pour les « Grandvilliens ». Plus de déplacements personnels en voiture au profit des déplacements en communs si inconfortables voire inhumains aux heures de pointe.
Le centre de Grandville devenant de plus en plus inabordable aux voitures.
Pire, il y a une volonté de faire disparaître de plus en plus le places de parking pour forcer le « Grandvillien » à avoir un garage où à vendre sa voiture.
Bref, la qualité de vie des « Grandvilliens »chutant de façon drastique, l’agressivité ne cesse de monter.
Plus la population s’accroit, plus la pollution augmente inexorablement
Ce phénomène illustre bien, pour moi, « l’écologie malthusienne ».
En économie, on parle de décroissance.
L’idéal , bien évidemment, si on s'en tient à cette théorie, serait une une décroissance de la population (comme en Chine qui est devenue, avec cette politique là, très rapidement la deuxième puissance économique mondiale.
Le malthusianisme, dont les détracteurs avancent comme argument le fait que l’homme s'adapte toujours aux changements écologiques
Mais la terre, elle, étant inextensible...
A moins de coloniser la mer, nous sommes bien mal partis.
P.S. : Il ne faut pas confondre l'écologie (science) avec l'écologie politique.
"L'écologie scientifique (oikos (maison, habitat) et logos (science)), est la science qui étudie les êtres vivants dans leur milieu et les interactions entre eux".
14:20 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Histoire, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Paris, Politique, Potins, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (6)
23/08/2015
La salade du jardin du Docteur Sangsue
j'ai la chance d'avoir un cour dans la maison où j'habite, certes ce n'est pas un jardin, mais il est fort agréable de manger de hors quand les beaux jours sont là.
Ma cour est cimentée tout naturellement et au milieu se trouve une petite rigole pour l'écoulement des eaux. De chaque côté de la rigole deux pans de ciment disposent d'une pente pour une bonne évacuation de l'eau.
Ce n'était pas le cas dans l'article que j'ai écrit, à propos de la construction de ma maison secondaire qui nous permet d'en profiter nous même et de la louer pour avoir une source complémentaire de revenus en complément de notre retraite.
On savait construire dans le temps, le maçon aimait le travail bienfait dans les règles de l'art, pourtant il n'y avait pas, à l'époque les DTU.
Un jour dans cette rigole je trouve trois pieds de pissenlit - .
Je décidais donc, sous les yeux ébahis et inquiet de ma mie, de les cueillir.
Cette salade s'appelle salade de barbarans.
Elle de me dire
"tu ne manger ça" !
Moi de lui répondre : "si, c'est merveilleux de pouvoir manger, en pleine ville, la salade du jardin ".
Elle fut délicieuse.
18:24 Publié dans Anecdote, Cuisine, Ecologie, Gastronomie, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Science, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
21/08/2015
Le crachat : aspect médical, écologique, sociétal et éducationnel
Cracher sur la voie publique n’est pas, seulement, un acte contre l’hygiène, c’est, aussi, un acte d’incivilité, un acte de non respect de l'environnement et un signe de mauvaise éducation.
Mais, paradoxalement, le fait de cracher, facilite le travail du médecin. L’étude sémiologique du crachat étant indispensable au bon déroulement d’une consultation médicale.
Ce matin, en prenant le tram pour aller à mon cabinet médical, je vis un monsieur, d’un certain âge, envoyer, avec vigueur, un crachat qui tomba, loin de lui, sur le trottoir.
Une méthode de cracher bien différente de celle que savent si bien faire les jeunes de maintenant. Ceux-ci envoyant, juste devant eux, un jet de salive. J’appelle cela le « crachat filé ».
Eh oui, il y a des modes dans le fait de cracher. Chaque génération se distinguant de l’autre.
L’interdiction de cracher, par terre, sur la voie publique date d’une loi du 22 mars 1942 et modifié en 1992 . La loi de 1942 fût promulguée en pleine épidémie de tuberculose.
Quant au crachat, tel le lama, dirigé vers autrui, il est évidemment considéré comme une agression et est donc condamnable. La victime étant en droit de porter plainte.
Si cracher n’est pas un acte citoyen, pour le médecin, ce n’est pas hygiénique. Cracher est, en outre, un signe de mauvaise éducation.
Autrefois, la bonne éducation voulait que les femmes ne crachent pas. Ce qui gainait, passablement, le médecin dans son exercice professionnel. Il est important, en effet, de savoir l’aspect sémiologique du crachat (abondant et coloré dans la Bronchite simple ou la surinfection de BPCO. Peu abondant, translucide et collant dans la crise d’Asthme).
Il est étonnant de constater que l’évolution de la société peut se voir dans ce qui peut paître insignifiant, le crachat.
Il est à noter, en effet, qu’avec l’évolution de la société, les femmes deviennent, vraiment, l’égale des hommes, car les jeunes lycéennes crachent, maintenant, comme leurs homologues masculins. Cela facilitera d’autant le travail du médecin, mais n’arrangera ni l’hygiène ni la citoyenneté ni la bonne éducation.
A ce propos, je vous rapporte, sur ce sujet, à un article précédant « Le crachat et la fenêtre ».
13:53 Publié dans Anecdote, Blog, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Le site du jour, Médecine, Mots, Politique, Potins, Santé, Science, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
13/08/2015
L’art d’accommoder les restes de nourriture, une interprétation écologique du Docteur Sangsue
Crédit Photo : http://www.babelio.com/
Dans trois de mes précedants articles, J’aborde ce sujet important et méconnu.
- Moules à la Bordelaise façon Docteur Sangsue.
- Moules aux pommes de terre rissolées façon Docteur Sangsue.
- Moules en salade et à la persillade : une recette du Docteur Sangsue.
Certes, il y avait des méthodes pour conserver les aliments (le séchage – la dessiccation, la salaison – le sel, le sucre – la confiserie et la stérilisation – la conserve inventée par Nicolas Appert).
De nos jours, pourtant dans cette vague écologique qui nous submerge, le « recyclage » des aliments ou l’art de d’accommoder les restes est souvent méconnu.
Autre fois, la nourriture était un bien précieux. Il n’était pas question de jeter les restes des aliments qui étaient, le plus souvent, celles du matin ou celles de la veille. En effet, si l’on ne jetait pas la nourriture par la fenêtre.
Il y avait très peu de moyen pour conserver les aliments.
Une révolution est apparue avec l’arrivée des glacières (une sorte de petit meuble avec un pain de glace comme réfrigération) celui de la livraison, à domicile, de gros pains de glaces par le glacier. Cela se faisait, de préférence, avec des véhicules hippomobiles. Il ne faut pas confondre ce glacier avec celui qui vend des glaces, l’été, en borts de mer.
Il existait des recettes, fort délicieuses, basées sur cet art.
L’art d’accommoder les restes.
Une démarche écologique, comme je le disais plu haut, bien avant la déferlante qui revient de nos jours à la mode.
Nos ancêtres faisant ainsi, sans le savoir, de « l’écologie » sauvage, raisonnée mais indispensable.
11:52 Publié dans Anecdote, Comfort, Cuisine, Culture, Ecologie, Economie, Gastronomie, Histoire, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Médecine, Mots, Potins, Santé, Science, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
Moules en salade et à la persillade : une recette du Docteur Sangsue
Cette recette permets d’accommoder les restes. Cette recette permet de recycler des restes de moules marinières.
Pour quatre personnes :
Ingrédients :
- 2 Kg de moules
- Vinaigrette
- Persil
- Une gousse d’ail
- Sel si nécessaire
- Poivre
Préparation :
Préparez les moules en marinière. Dans un fait tout, faites dorer dans l’huile d’olive trois échalotes et la gousse d’ail écrasée puis déglacez avec un grand verre de vin blanc sec. Rajoutez deux branches de persil. Faites ouvrir les moules.
Une fois que les moules sont ouvertes, filtrez les. Enlevez une coquille sur deux.
Dans la préparation, versez la vinaigrette (il en existe de toutes faites à l’huile d’olive et au vinaigre balsamique).
Goûtez et rajustez le sel si nécessaire, poivrez, rajoutez le persil et l’ail émincé.
Servez les moules froides avec des spaghettis ou des pâtes fraiches.
Dégustation :
Avec les mains et un bon blanc sec : Bordeaux ou Muscadet sur lie.
09:14 Publié dans Cuisine, Ecologie, Gastronomie, Loisirs, Potins | Lien permanent | Commentaires (0)
Elle est sale la salade
Crédit Photo : http://www.fermiers-fermieres.fr/.
Réflexion de ma fille de 6 ans et demi, dans un marché, lors de mes dernières vacances dans le Médoc : « Mais elle est sale la salade ! ».
Une pure illustration de que racontais dans un de mes articles.
Écologie, quand tu nous tiens.
08:55 Publié dans Anecdote, Cuisine, Ecologie, Economie, Gastronomie, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Santé, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
11/08/2015
Le site du jour : « Le patrimoine du Médoc »
17:56 Publié dans Blog, Cuisine, Ecologie, Economie, Fête, Gastronomie, Le site du jour, Loisirs, Shopping, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
Vous avez réservé ? Souvenirs de vacances bien triste cette année
Cabanes de pêcheurs authentiques d'antan.
Lors de ma dernière semaine de vacances, j’ai voulu préparer des gambas crues comme je vous l’avais dit. Pour cela, je me rendis à la ferme aquacole que j’avais découverte en son temps.
En arrivant sur les lieux, surprise, stationnait un bus. On se demande bien comment il avait pu arriver pour rouler sur l’étroite route qui menait à la ferme.
Juste devant la ferme, des gens, amassés, dégustaient des gambas en buvant un « verre » de blanc dans un gobelet en plastique. C’étaient, cela était inscrit en lettres flamboyantes sur le bus, un camping quatre étoiles qui les avaient amenés en villégiature.
Comparé à avant, cela devenait inquiétant.
La suite me donna raison.
Au comptoir, je demandais si je pouvais acheter des gambas. On me rétorqua : « avez-vous réservés » ?. Moi de dire non. La réponse fusa catégorique ment : « désolé mais nous n’en avons plus ».
Décidément, il y avait du changement, mais pas en bien cette fois.
Les campeurs venaient donc voir le lieu de culture, perdu au bout de cette route étroite, comme on visite un zoo.
Il faut dire que lors de ma dernière visite dans cette petite ville «au fin fond du Médoc», déjà, le village des pêcheurs n’avait plus de pêcheurs que de nom.
Les cabanes de pêcheurs étaient, désormais, occupées par des restaurants « couleur locale » et quelques artistes peintre.
L’aspect sauvage des lieux avait totalement disparu remplacé par une exploitation mercantile des lieux.
Autre chose dramatique, cette année, un centre commercial avait poussé non loin de ma maison de location. Fort pratique, s’il en est, mais qui, par voie de conséquence, avait fait fermer, aux alentours, la majorité des petits commerces.
Heureusement la fête au village conservait encore une certaine authenticité, avec ses cagouilles à la Bordelaise et ses cailles au raisin.
Ce fut bien là un aspect bien mitigé de mes vacances cette année.
Heureusement la mer n’avait pas changée, et, aussi, son sympathique restaurant en partie sur le sable avec sa vue magnifique sur l’estuaire.
En rentrant de vacances, en regardant la météo des plages, avec stupéfaction, je découvris, sur l’écran de ma télévision, le nom de petite cette ville perdue «au fin fond du Médoc»… Qui ne l’était plus!
L’office de tourisme avait bien joué sur ce coup. La campagne de presse était bien réussie.
Où faut-t-il donc aller, de nos jours, pour avoir un coin et authentique et sauvage ?
16:46 Publié dans Actualité, Anecdote, Blog, Coup de gueule, Cuisine, Ecologie, Economie, Fête, Gastronomie, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Shopping, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
30/07/2015
Blog en vacances août 2015
Phare de Cordouan
Mon blog est en vacances pour quelques jours.
Je suis de retour le 10 août.
Je passe mes vacances à l'extrême pointe du Médoc.
C'est un endroit que j'ai découvert il y a deux ans. J’y ai donc mes repaires.
Les points de vue sur la mer sont magnifiques, le phare de cordouan et l'estuaire de la Gironde sont majestueux. Pour peu que l'on s'enfonce vers l'estuaire en quittant la civilisation, on arrive dans des endroits sauvages, plats, désertiques, avec des tamaris au bord d'étroites routes.
J'avais déjà exploré ce coin il y a quelques années et avait été conquis par une « guinguette », en fait, un tout petit restaurant qui sert des plats typiques de la cuisine Bordelaise : anguilles persillades, escargots à la bordelaise et, en apéro, les « santés », comme on le dit ici, ces toutes petites crevettes blanches de l'estuaire. Le tout accompagné de son pichet de blanc sec. J’avais découvert cette guinguette tout à fait par hasard, elle était isolée, dans une grande étendue désertique au bord d’un canal vaseux quasiment sec au bout d’une de ces étroites route.
Il est prévu une nouvelle visite au Phare de cordouan et une autre intrusion à Soulac pour voir, encore, Notre Dame de la Fin des Terres*.
Au niveau programme culinaire : restaurant et fêtes de villages avec repas festifs. Je me suis prévu en cuisine personnelle : Deux basses côte, une à la Bordelaise, l'autre sauce marchand de vin - et Gambas en court bouillon, car il y a une ferme aquacole qui élève des gambas à quelques encablures de mon point de chute.
Heureusement, cette année, les poux ne sont pas du voyage.
Je pars cette après-midi.
A la rentrée.
Carrelets.
10:24 Publié dans Actualité, Cuisine, Ecologie, Gastronomie, Histoire, Loisirs, Mots, Potins, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
17/07/2015
Une salade bio
Crédit Photo : http://www.fermiers-fermieres.fr/
Il y a quelques jours, j’ai acheté, chez un marchand de primeurs, une salade, une batavia.
Cela changeait des salades toutes prêtes, sous plastiques, vendues en supermarchés.
Une vraie salade, bien verte, bien fraiche, bien dure.
Rentré chez moi, je la lavai.
Et, oh stupéfaction, je tombais sur…
Une loche !
Comme autrefois, au bon vieux temps.
Avant la vague écolo, pas besoin de produits bio.
A l’époque, tous les fruits et légumes étaient frais, succulents, sains et non trafiqués.
A l’époque, il était dans la norme, outre de la terre, de tomber, sur des loches.
Enfin une salade bio en ce monde de perdition.
11:18 Publié dans Anecdote, Cuisine, Ecologie, Gastronomie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Santé, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (13)
08/06/2015
Les pistes cyclables de Lacanau Océan, leur histoire, les lignes du Decauville et les chemins des muletiers
Crédit Photo : Lacanau Ocean.com
Quand j’avais sept ans, Je faisais, avec mon père, de longues ballades en foret, dans la Foret Domaniale de Lacanau, en rayonnant aux alentours de Lacanau Océan.
C’était, muni d’une carte d’état major dont le verso était, lui aussi, occupé par une carte différente rayée par de gros CANCELLED en diagonales (on manquait de papier dans l'après guerre) et d’une boussole marine, que nous partions à l’aventure.
Nous croisions et marchions sur d’étroites pistes cyclables en béton à l’ombre des pins, Il nous arrivait parfois, aussi, de traverser de larges pare-feux fatigants à franchir car larges et tout en sable pour éviter la propagation des incendies, quand nous marchions en plein soleil c’était une rude épreuve pour moi, jeune gamin. Heureusement, prévoyant, mon père était toujours muni d’une une gourde d’eau fraiche bien salvatrice.
Parfois, nous tombions sur des petites maisonnettes ou se pouvaient se réfugier les résiniers.
Une fois nous arrivâmes en pleine canicule sur un endroit désertique où tous les pins avaient été coupés. C’était normal, c'est ce que l'on appelle la coupe rase. Quant les pins atteignent une certaine maturité, ceux-ci sont coupés pour exploiter leur bois, puis dans un deuxième temps de permettre un reboisement.
Dans le lointain, on distinguait bien une piste cyclable avec, à ses côté, un essieu de train.
Mon père parla de Decauville sans entrer dans les d’étais, car il regardait la carte pour savoir où s’enfoncer dans la foret.
Je n’insistais pas dans mon questionnement.
Ce nom me fascinait.
Ce n’est plus tard que, grâce à Internet, je découvris qu’un Decauville est un train avec des rails d’écartement étroit servant dans l’exploitation d’une production locale, par exemple. La résine en l’occurrence.
Il me devenait donc évident de conclure que :
Les pistes cyclables de Lacanau Océan ont été construites sur les lignes du Decauville qui à l'époque ne servait qu'à transporter la résine obtenue par la technique du gemmage.
Tout au moins pour les grands axes, pour les autres, les chemins des muletiers, et, enfin, les pistes en crépins tassés (patois Landais désignant l'aiguille de pin) réservés aux résiniers.
D'ailleurs, une fois, à l'intersection de deux pistes cyclables, nous découvrîmes un fût en zinc tout taché de résine.
Que de souvenirs d’enfance sur ce simple mot !
Que de souvenirs d’enfances qui me ramènent à mon père et à ces aventures fabuleuses.
Mon histoire des pistes cyclables de Lacanau Océan vient du fait, qu'un jour, je recherchais, allez donc savoir pourquoi, ce mot, Decauville, sur le NET .
Decauville 1910
A lire aussi :
Souvenirs d'enfance canaulaise.
La naissance du surf à Lacanau-Océan.
10:19 Publié dans Anecdote, Culture, Ecologie, Histoire, Internet, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Science, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (15)
19/05/2015
Le pont du canal du Moutchic commune de Lacanau
Le pont de canal au Moutchic - Lacanau
Quand j’étais gosse, je passai sur une route qui longeait un tout petit pont Eiffel surplombant un canal, le canal de jonction (le craste Cabiron ou craste Louley) joignant le lac de Lacanau avec celui d’Hourtin-Carcan, en passant par l'étang du Cousseau et se jetant ensuite dans le Bassin d'Arcachon. Ce pont servait au passage du train Bordeaux Lacanau. Cette ligne fût crée en 1904*. Au début il y eut un arrêt au pont du canal.
Pour cela, sur les berges de ce pont fut construit, pour le confort des voyageurs, un Hôtel-restaurant. Dans un cadre idyllique, ombragé, sous les pins, avec vue sur le craste.
La ligne ferma. La dernière micheline y passa au le début des années 60.
J’ai toujours rêvé, un jour, d’y venir manger.
Des concours de pêches étaient régulièrement organisés au mois de juillet et au mois d’août. Ils avaient beaucoup de succès. On y péchait le gardon, le brochet le sandre et le poisson chat.
Mais arriva le temps, fin 68, où tout se dégrada. L’Hôtel-Restaurant ferma. Il résista debout avant d'être tagué et détruit en 2014.
Adieu le pont du canal.
De nos jours, le pont existe toujours, mais sert pour supporter, qu'elle déchéance, la piste cyclable qui longe la route Lacanau-Océan, Lacanau Médoc, pour continuer vers Bordeaux.
Moralité : Il faut réaliser ses fantasmes pendant qu’il en est encore temps.
10:31 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Cuisine, Ecologie, Fête, Gastronomie, Honte, Le mot du jour, Mots, Photographie | Lien permanent | Commentaires (7)
05/05/2015
Les deux sortes de VM (Visiteurs Médicaux) vus par le Docteur Sangsue
Avec un peu d’expérience et de maturité, il m’est arrivé de jauger l’intérêt que me portent les VM vis-à-vis des propos que je tiens.
Cela va peut-être vous surprendre, mais le VM, pour moi, ne représente pas que l’information sur le médicament, visite qui, soit dit en passant, s’est de plus en plus affiné au fil du temps. Maintenant la visite médicale est de très bon niveau, mais il faut savoir, parfois, souvent, derrière un langage scientifique, trier le bon grain de l’ivraie. Mais tout n’est pas à jeter, il existe des médicaments, j’allais dire des produits, remarquables.
Parfois le VM, ne représente pas, pour moi, uniquement, l’information médicale. Il représente, aussi, un contact humain authentique, ce qui me permet une pause entre deux patients, c’est ce que j’appelle la pause café.
Certain, mais c'est loin d'être la majorité, me font ce plaisir là, et je pense que c'est réciproque. Car tous les médecins ne sont pas faciles à traiter. Il y en a de désagréables. Et entre deux médecins, une petite pause café, cela réconforte.
Parfois, cela me surprend beaucoup, certains VM, me disent, à la fin de la visite : « merci de votre écoute ».
Je ne pourrais pas en dire autant de la majorité des VM avec je voudrais « prendre un café » entre deux patients, mais, avec qui, j’en suis privé.
On voit, alors, dans ce cas, un manque d’authenticité flagrant.
Cela me choque profondément pour des gens qui sont dans des métiers de communications.
Mais on sait bien que dans le milieu des Représentants de Commerce ce sont tous des requins.
P.P.S. : Dictionnaire Vidal.
16:07 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Histoire de la Médecine, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Livre, Médecine, Mots, Potins, Pub, Santé, Science, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
30/04/2015
Cela va être galère dans Grandville le premier mai
Cela va être galère dans Grandville le premier mai.
Hier, en attendant le tram à ma station habituelle pour aller travailler, mon œil fut attiré par une banderole formée de diodes rouges animées qui défilaient lentement. Insidieusement, elles annonçaient un scénario catastrophe.
Imaginez une métropole paralysée pendant un jour !
Et pourtant c’était ce qui était annoncé sur cette information déroulante funeste.
Pendant un jour, le premier mai, il n’y aurait ni tram ni bus dans Grandville.
Même pas de service minimum, rien.
Comment vont faire les Grandvilliens pour se déplacer ?
Et les touristes ? Car Grandville est une métropole axée sur le tourisme, de par sa ville en elle même que par le richesses de ses alentours
Et bien la Communauté Urbaine ne semblait pas s’en être préoccupée.
Il faut dire que, maintenant, les transports urbains ont étés concédés à une société privé, alors qu’avant, du temps où ceux-ci étaient gérés par la ville, un tel phénomène ne se serait jamais produit.
Cela va être galère, dans grand ville, le premier mai.
07:49 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Honte, La pensée du jour, Politique, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
29/04/2015
A propos du séisme au Népal, les aventures de Tintin au Tibet
Lors du séisme survenu au Népal, il fut montré à la télévision des scènes apocalyptiques.
De tous ces temples dévastés et des vêtements des habitants aux alentours, ainsi que des paysages des montagnes vues de loin, me firent immanquablement songer à l’album d’Hergé, «Tintin au Tibet».
Deux remarques à ce propos :
- Hergé travaillait, pour créer ses albums, d’après des documents photographiques précis et nombreux. Il n’est pas surprenant, alors, de retrouver les paysages et les vêtements que j’ai vu à la télé. Cependant, ce qui est surprenant, c’est de voir que les habits, montrés à la télé sont les mêmes que ceux de l’album de Tintin publié en 1960, soit cinquante cinq ans plus tard, cela fait deux générations quand même.
- je ne savais pas que le Népal était sur une zone sismique. Il est à noter, cependant qu’Hergé parle quand même, dans son album, d’une catastrophe, mais simplement aérienne, ou se trouve impliqué son ami chinois, Tchang.
Les tremblements de terres s’expliquent par la dérive des continents encore appelée tectonique des plaques.
La dérive des continents :
C’est en 1911 qu’Alfred Wegener (1880-1930), un géologue Allemand, publia sa théorie de la dérive des continents ou tectonique des plaques qui ne fut acceptée... qu'à la fin des années 60.
Deux continents en dérivant se frottent l’un sur l’autre, c’est ce qui crée une énergie colossale à l’origine des tremblements de terre et des tsunamis.
Cela explique aussi pourquoi lest tremblements de terre n’ont lieu que dans des endroits bien précis de la terre, ceux proches directement de ces régions de frottements, la limite entre les plaques tectoniques de la terre.
Une référence de mon blog :
Cul Ture : De la Théorie de Wegener ou la tectonique des plaques, la dérive des continents - tremblements de terres et raz de marée (tsunami).
Illustration :
Les évènements dramatiques n’empêchent pas un peu d'humour, on parler de dérision dans cette situation.
On voit bien l'évolution du rift Est-Afriquain (ici le sillon inter fessier). La corne de l'Afrique (ici sur la fesse droite) se détachera pour former une île.
11:04 Publié dans Actualité, Culture, Ecologie, Le mot du jour, Livre, Mots, Santé, Science, Société, Télévision, Vidéo, Voyage, Web | Lien permanent | Commentaires (13)
17/04/2015
Un vilain petit singe
Abdallah le vilain petit gosse de Tintin au pays se l'or noir.
Crédit Photo : http://salem.blog.24heures.ch/archive/2008/07/index.html
Tous les jours, en allant et venant de mon Cabinet Médical, je passe dans une rue qui, visiblement se rajeunit.
Les ancien propriétaires décédant sont remplacés par de nouveaux arrivants.
Ainsi défilent les générations, une poussant l'autre vers l’abime funeste.
Ainsi va la vie.
Je voyais le rajeunissement de la population aux travaux des maisons, les échafaudages en étant le témoin.
Gros travaux de rénovation et ravalement des façades.
Les gros travaux me laissait un peu perplexe avec l’abatage systématique des cloisons dans ces magnifiques maisons du XIX° siècle*.
Le ravalement, par contre, donnait un effet spectaculaire mettant en valeur les belles pierres de Grandville. Spectacle qui, tout les jours, me ravissait lors de mes déambulations pédestres.
Une de ces maisons était située à côté d'un collège.
Un après-midi ensoleillée, je vis une dame se retourner vers la maison en question. Intrigué, je me fis pareil, et vis un gamin d'une quinzaine d'années niché au plus haut de l'échafaudage de la maison en ravalement. Celui-ci était encouragé avec les hurlements de ses copains de classe.
Les enfants ont toujours eu le gout du risque, mais, il n'est pas impossible que les parents ont, de nos jours, un peu lâché du lest vis à vis de leur protection, mais, aussi, et surtout, vis à vis de leur éducation.
A cette phrase, on passe pour des vieux cons et d'affreux fachos.
*P.S. : Ces maisons là étant dans un site protégé mais pas dans un cite classé.
12:09 Publié dans Actualité, Anecdote, Art, Culture, Ecologie, Histoire, La pensée du jour, Loisirs, Mots, Potins, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (8)