03/11/2016
Danger public
Dernièrement, j’ai été amené à circuler sur une route nationale.
Ce jour là la, visibilité était fortement réduite à cause d’un épais brouillard, un brouillard à couper au couteau.
Il était 9 h 30, quand, soudain, je vis apparaître, devant moi, sur le bas côté de la route, une sorte de tracteur.
Que faisait cet engin par un temps pareil ?
Vous ne devinerez jamais ce que c’était.
Un engin de travaux public en train de débroussailler le bas côté de la route !
Si tôt le matin, en automne et par un épais brouillard.
Quel est l’abruti qui a eu cet acte inconscient et dangereux ?
15:11 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Honte, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (6)
11/07/2016
Plus un chien est gros, plus il fait de grosses crottes
Dans mon lieu de vacances, je suis retourné là où j'allais dans le temps, une petite crique au cadre magnifique. Celle-ci est bien cachée, il faut connaître l'endroit. Dans les alentours, de vieilles maisons en bois déshabitées, ont été rachetée et remarquablement réhabilitées. Mais aussi, de nouvelles maisons ont été construites. La population locale a sensiblement augmentée. Le lac est fréquenté par les familles avec des enfants car il est moins dangereux que la mer. La surveillance des enfants étant assurée facilement pour les parents. De plus, le lac, sans les vagues permettent aux enfants de s'amuser tranquillement. En outre l'eau est plus chaude. Je suis effaré par le nombre de parents qui fument sur cette toute petite plage et qui jettent allègrement leurs mégots dans le sable. Celle-ci n'étant pas nettoyée devient un véritable dépotoir. La plage de la mer, elle, est ratissée, tous matins, par un tractopelle. Ainsi va la nature Humaine. Comme les chiens les plus gros qui font de plus grosses crottes, plus la population grossit, plus la saleté suit.
12:11 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Honte, La pensée du jour, Politique, Potins, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (12)
09/07/2016
La piscine
Là ou je passe mes vacances, si vous regardez sur cet outil fascinant qu'est Google Earth, vous seriez fasciné par le nombre de maisons qui sont dotées d'une piscine. Vu du satellite, dans un nouveau lotissement, tel une grappe de raisin, les maisons qui s'accrochent à la rafle, sont toutes dotées d'un rectangle bleu :une piscine. Pourtant, dans ce milieu paradisiaque se trouvent une mer de sable fin et un superbe étang tout ceci entouré d'une superbe forêt de pins. Mais les plages sont saturée de monde. Le lac un peu moins. La mer a une eau, certes, un peu froide et, bien que l'eau du lac le soit un peu moins, ceux qui possèdent une piscine, d'une part ne se mélangent pas avec le peuple et bénéficient, en outre, d'une eau bien plus chaude. Ce que l'on pourrait qualifier de luxe. Cela pourrait prêter, cependant, à sourire de voir dans un tel lieu naturel aussi extraordinaire autant de petits lieux artificiels. Ainsi va la nature humaine.
12:35 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Honte, La pensée du jour, Potins, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (4)
01/07/2016
Le Château
Par derrière chez moi, il y a un « château ». Enfin, une grande bâtisse des années 1800 ressemblant à un château d'antan.
Par derrière chez moi, il est arrivé bien des misères à ce pauvre château.
Au départ, le châtelain l’avait cédé, à son décès, au conseil général de l'époque, pour en faire un établissement scolaire.
Pendant longtemps, en effet, il hébergea un collège.
Mais, les années aidant, il fut cédé à un syndicat dont je tairai le nom.
Malheureusement deux circonstances vinrent aggraver sa peine.
D’abord un mouvement social qui entraina un profond mécontentement envers ce syndicat.
Mais, malencontreusement, aussi, une grève des éboueurs acheva son malheur.
Les poubelles débordèrent de façon cataclysmique. L'odeur dégagée devint pestilentielle. Bientôt les rats envahirent le navire.
Des mécontents mirent le feu aux poubelles accumulées et débordant devant le château.
Le feux se propageant au château l’endommagea sérieusement.
Pauvre châtelain, décidément tu dois te retourner dans ta tombe en voyant l’irrespect des hommes concernant ton château.
09:24 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Histoire, Honte, La pensée du jour, Musique, Politique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
22/06/2016
Faites du boucan
Hier, 21 juin, c’était la fête de la musique.
La fête de la musique est une idée fort intelligente inventée, il y a trente cinq ans, (trente cinq ans déjà !), en France, par Monsieur Jack Lang alors ministre de la culture.
Le but étant de célébrer l’été.
Cette fête se traduisant, dans les grandes villes, par des concerts disséminées un peu partout.
La veille de la fête de la musique, j’entendis un bruit de tam tam à cinq cent mètre d’un parc jusque là très calme parcouru par les joggeurs et peuplé par les oiseaux dont on endentait l’agréable gazouillis.
Et là, du boucan !
Ils répétaient pour la fête de la musique.
En effet, au milieu du parc, était implanté un barnum blanc.
Le pire, c’est que, même dans le tram, passait le bruit de tam tam.
Il ne manquait plus que les signaux de fumés pour rameuter le peuple.
Moralité, maintenant, pour la fête de la musique, faites du boucan, pas de la musique.
09:29 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Musique, Politique, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (15)
27/05/2016
Michel Morin
Dernièrement, il m’est arrive une tuile. Au sens propre et au sens figuré.
Vous aurez l’explication plus loin.
Dernièrement, j’ai eu le malheur de faire appel à un Michel Morin. Pour ceux qui ne connaîtraient pas ce nom, un homme à tout faire.
C’était pour nettoyer un petit toit.
Malheur m’en a pris !
Il m’affirma, que, pour cela, il suffisait d’employer un Kärcher*.
Malheureusement, il eut la mauvaise idée de monter sur le toit pour « arranger » quelques tuiles canal.
A la première pluie, naturellement un dimanche, le compteur disjoncta.
Forcément, il y avait une énorme gouttière au niveau d’un plafonier.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là.
Je remarquais, très rapidement qu’une canalisation d’évacuation était bouchée. Merci l’utilisation du Kärcher*.
Moralité : Je fus obligé de faire appel, en urgence, un dimanche, à un camion de débouchage en déboursant la coquette somme de 1000 €.
Et un dégât des eaux, fort heureusement pris en charge par l’assurance, de 2000 € (remaniage de la toiture, démolition, pose d’un nouveau plafond en placoplâtre et réfection de l’électricité, sans compter la peinture.
Ne faites jamais appel à un Michel Morin pour tout travaux sortant, un tant soi peu de l’ordinaire. Laisser lui, uniquement, des tâches très légères.
Sinon, il vous en cuirait.
11:25 Publié dans Anecdote, Comfort, Coup de gueule, Ecologie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Musique, Potins, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
23/05/2016
Esprit civique
Depuis que je prends le tram pour aller à mon cabinet médical, je marche pas mal tous les jours.
Je suis, quand même, assez surpris par le comportement des automobilistes.
Je pensais, naïvement, qu’aucuns ne me laisseraient, tranquillement, traverser les rues dans les passages zébrés.
Que nenni.
Dans la plus part des cas, ceux–ci ont l’esprit civique, s’arrêtant et me laissant traverser tranquillement en toute sécurité.
J’ai, cependant, remarqué un phénomène étrange et que je ne peux m'expliquer ; c’est toujours aux mêmes endroits que les voitures ne me cèdent pas le passage.
Allez donc savoir pourquoi ?
Outre cette constatation, le piéton doit, cependant, dans certains endroits dangereux par manque de visibilité, redoubler de vigilance.
Et là, il ne s’agit pas de civilité, cela est plutôt dû à la vitesse des véhicules.
11:01 Publié dans Anecdote, Ecologie, La pensée du jour, Le mot du jour, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
19/05/2016
Le puits et le gruyère
Ceci pourrait fort bien être le sujet d’une fable de La Fontaine.
Grandville est une superbe ville du XVIII° siècle. C’est une ville magnifique aux vieilles pierres superbes.
Mais, pour cela, pour ces belles pierres, il fallut bien trouver la matière première : le calcaire tertiaire.
Il a fallu extraire ces pierres du sous sol.
Pour cela, il fallut faire des galeries, des carrières.
Et Grandville se trouve, maintenant, comme à Paris, avec des catacombes.
Ces carrières existent aux alentours proches, lointains et très lointains de Grandville.
Les banlieues de Grandville se retrouvent, ainsi, truffées de galeries, de carrières et de trous comme dans du gruyère.
Aux alentours lointains, certains furent, même, utilisés comme champignonnières pour faire pousser des champignons de Paris.
Sur ce gruyère, des habitations furent construites. Certains anciennes, d’autres récentes.
D’où l’intérêt du BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières qui recense toutes ces carrières.
Un jour, dans un lotissement, un habitant décida, sans autorisation, de construire un puits.
Que croyez vous qu’il arriva… Tout le lotissement s’affaissa et toutes les maisons se fissurèrent.
Mais il ne faut pas croire que les maisons anciennes sont à l’abri de ce phénomène Avec le ruissellement des eaux, le calcaire se dissout, les cavités s’agrandissent et les maisons se fissurent.
Moralité : petites causes grands effets.
11:22 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Histoire, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Paris, Politique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (5)
16/05/2016
La fraise de ville et la fraise des bois
Il est commun de voir, dans les grandes villes, pousser des plantes, principalement au pied des murs des maisons.
A tel point qu'à Grandville, il est de mode, maintenant, de faire un trou devant les maisons aux propriétaires qui sont volontaires pour faire pousser quelques plantes.
On voit, ainsi, fleurir, parfois, des roses trémière qui sont, plutôt, il faut bien le dire, l'apanage de la Charente-Maritime.
On voit ainsi, outre quelques plantes sauvages, que je ne connais point, des trèfles et une, comestible, enfin comestible, plutôt point avec la pollution et... des chiens qui font leurs petits besoins, une salade, le pissenlit.
Oui, une plante comestible dans les rues de Grandville !
Dernièrement, en me promenant dans les rues de Grandville, mon regard fut attiré par une note rouge au milieu de vert.
De plus près, une surprise m'attendis...
Non pas des fraises des bois, mais des fraises des villes.
P.S. Mon article me fait songer à un autre de 2011 : "Les corbeaux dans la ville".
Dans cet article, j'évoquais le peuplement des oiseaux dans Grandville.
17:48 Publié dans Anecdote, Ecologie, La pensée du jour, Potins, Science, Société, Voyage | Lien permanent | Commentaires (4)
10/05/2016
Les fourmis
Mon pont de l'ascension fut particulièrement bien occupé entre activité de bricolage et activité de loisirs.
Une catastrophe me préoccupa fortement.
Le devant de ma maison est recouvert de dalles. Celles-ci, comme toutes les dalles, sont posées sur du sable (comme les pavés, d'où l'expression de mai 68* : "Sous les pavés, la plage").
Quant j'avais réceptionné les travaux, il m'avait été laissé le soin de combler, avec du sable, l'espace entre les dalles.
Or, cette année, je vis, avec stupeur, que cet espace était recouvert d'un monticule de sable avec un trou au milieu. de ce trou sortaient, rentraient et s'activaient, avec frénésie, de petites fourmis.
Des fourmilières !
Ces sales bêtes étaient en train de défaire mon travail, et, pire, avec le risque de déstabiliser mon dallage.
Il fallait agir au plus vite.
Je me rendis, donc à un Bricomachin pour demander un produit anti fourmis.
Il me fut proposé une boite en plastique de 250 ml avec le conseil de poudrer les trous.
Vu la superficie, et la toxicité du produit, je décidais, plutôt que de poudrer de diluer, selon la notice, le produit et de le pulvériser dans les fourmilières.
Je diluais précautionneusement la poudre selon la notice, et, avec un pulvérisateur, je m'attaquais aux fourmis.
Le lendemain, plus âme qui vive.
Mission accomplie.
Mais il me faudra reboucher les trous, parfois importants, avec du sable.
Il ne me restera, en plus, qu'a désherber entre les dalles.
Mais cela est une autre histoire.
Et ce sera un autre jour.
14:22 Publié dans Anecdote, Bricolage, Coup de gueule, Ecologie, Loisirs, Potins, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
27/04/2016
La date de péremption des médicaments et le Docteur Sangsue
Médicaments périmés, un geste à ne pas faire
Dernièrement, j’ai été faire l’emplette d’un médicament pour mon cabinet médical.
Il s’agit d’un médicament que j’utilise, en urgence, pour traiter la crise d’asthme.
Or, quelle ne fut pas ma surprise quand je regardais, par hasard, avec stupéfaction, la date de péremption de celui-ci.
05 – 2016 !
On croit rêver !
Heureusement, pour ce type de médicament, on peut l’utiliser au-delà de la date de péremption. Le médicament, s’il est conservé normalement, ne perd que peu d’activité avec le temps. A condition de ne pas abuser, bien sûr.
Je savais que les laboratoires travaillent en flux tendu au point que, assez souvent, il y a des ruptures de stock.
Là, quand même cela touche une gestion du stock pour le moins bizarre car touchant une pathologie fréquente.
Étonnant non ?
Pierre Desproges - La Minute nécessaire de monsieur Cyclopède.
09:12 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Honte, La pensée du jour, Médecine, Santé, Science, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (6)
08/04/2016
La méthode orléanaise
Au vinaigre de François Boucher
Je pense, honnêtement, que cet article n’aurait pas été renié par Jean-Pierre Coffe récemment disparu. Voir mon article : "Hommage à Jean-Pierre Coffe" et aurait pu être un sujet dans une de ses émission : "Comment c'est fait ?".
La méthode orléanaise n'est pas une méthode pour apprendre à lire, comme la méthode Boscher*.
Non, c'est une technique qui a été découverte, de façon fortuite, lors du transport en bateaux, sur la Loire, des vins de Loire.
Bien que cette observation fut connue connu bien avant cela.
En effet, une partie du vin le vin transporté sur la Loire qui, sous l'effet d'une bactérie appelée Acinetobacter, se transformait en vinaigre.
l'Acinetobacter est transmis, de fût en fût, par une mouche, la Drosophile (Drosophila melanogaster), encore appelée mouche du vinaigre.
Le vinaigre de vin élaboré par la méthode orléanaise "est obtenu par transformation, d'un vin malade, en vinaigre naturel. La fermentation acétique se développant en fût de chêne non ouillé dans un chai aéré. A l'issue de trois semaines d'acescence, la moitié du fût originel est reversée dans autre plus petit, le fût originel étant complété et ainsi de suite durant un élevage minimum d'un an concentrant le vinaigre et développant ses caractéristiques organoleptiques". Source Wikipedia : Vinaigre d'Orléans.
La méthode orléanaise est la méthode la plus réputée pour faire un vinaigre de vin, par opposition au vinaigre d'alcool (Vinaigre blanc de ménage), de qualité exceptionnelle.
Un article à lire : Les 3 méthodes de fabrication du vinaigre.
00:26 Publié dans Anecdote, Cuisine, Culture, Ecologie, Gastronomie, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Science, Shopping, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
31/03/2016
Le vin de la semaine : Château «Larose trintaudon»
Cette semaine, pour rendre homage à Jean-pierre Coffe, récemment disparu, confer mon article précédant : « Hommage à Jean-Pierre Coffe », je vous propose un vin, comme il l’aurait aimé.
C’est un excellent vin avec un remarquable rapport qualité prix.
Il s’agit d’un Haut-Médoc, c'est un Cru Bourgeois : le château « Larose Trindaudon ».
Ce vin est Issu, depuis 1999, des principes de la viticulture responsable et durable. C’est le premier vignoble européen à obtenir ce niveau de reconnaissance.
Le château Larose trintaudon est implanté, sur des graves de l’ère tertiaire et quaternaire, entre les communes de Saint-Julien-de-Beychevelle et de Pauillac, de Moulis et de Margaux.
C’est un vin bien extrait avec une robe rouge intense et avec des saveurs de fruits rouges. Il est assez long en bouche.
Il possède un excellent rapport qualité prix avec un prix moyen aux alentours de 12 €.
Caractéristiques techniques :
- Origine :
Bordeaux (Saint-Laurent du Médoc/France).
- Température de service :
18°C
- Garde :
5 à 12 ans.
- Terroir :
- 190 hectares de vignes.
- Sols : Graves fines, sables de graves et argilo calcaire.
- Densité de plantation : 100% à 6 600 pieds par hectare.
- L’âge moyen des vignes est de 28 ans.
- Encépagement :
-60% Cabernet Sauvignon qui offre de la structure, des parfums et du fruit.
-40% de Merlot* qui offre de la rondeur et du gras.
Site web : « château La rose trintodon ».
*Le Merlot est le premier cépage à mûrir. Il est très sucré, ce qui en fait un raisin très apprécié des merles, d'où son nom.
10:29 Publié dans Cuisine, Culture, Ecologie, Gastronomie, Le site du jour, Loisirs, Mots, Shopping, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (3)
30/03/2016
Les effets inattendus des téléphones portables
En marchant dans les rues, je fus surpris, au début, de voir des gens parler tout seul, à haute voix.
A chaque fois, je me demandais : « Mais qu’ont donc tout ces gens à parler fort dans la rue ».
Ils son devenus fous.
Il faut être fou pour parler tout seul, à haute voix, dans la rue.
Après un court moment de réflexion, chaque fois, la réponse tombait.
En les voyant avec des écouteurs dans les oreilles je comprenais vite.
Bon dieux mais c’est bien sûr, ils sont en communication téléphonique avec leur portable.
Avant, on ne voyait pas ce type de comportement.
C’est comique de voir les effets inattendus par l’utilisation des technologies modernes.
09:12 Publié dans Anecdote, Ecologie, Humour, La pensée du jour, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
28/03/2016
Le marronnier
Le marronnier, marronnier commun, marronnier d'Inde ou marronnier blanc (Aesculus hippocastanum L.) est un arbre de la famille des Hippocastanaceae.
Le marronnier est très répandu dans les parcs publics et le long des avenues.
Le fruit du marronnier d'inde, le marron d'inde, n'est pas comestible, contrairement à ce que l'on pourrait croire en évoquant cette délicieuse friandise de Noël qu'est le marron glacé. En fait, les marron glacés sont réalisé avec des châtaignes.
Pour l'anecdote, il existe une vertu méconnue du marron. Une une recette de bonne femme nous dit que le marron soulage les douleurs de l'arthrose.
Eh bien non, aujourd'hui, je ne vous parlerai pas de cet arbre, mais d'un autre marronnier, une autre signification méconnue de ce mot: le marronnier en terme journalistique.
Le marronnier, en terme journalistique, désigne un événement qui revient tout les ans à la même époque.
C'est pain béni pour les journalistes.
Le marronnier journalistique, est un article qui couvre un évènement de peu d'intérêt récurrent, tout les ans, à la même période, et qui permet, à peu de frais, d'écrire un article facile, mais, aussi, de boucher un trou dans un journal.
L'origine du marronnier journalistique vient du fait que "tous les ans, aux premiers jours du printemps, un marronnier rose fleurissait sur la tombe des Gardes suisses tués lors de la journée du 10 août 1792, dans les jardins des Tuileries à Paris ; et tous les ans un article paraissait dans la presse pour s'en faire l'écho". Wikipédia.
Pour illustrer mon propos de ce jour, je vais évoquer, un marronnier de mise : le passage à l'heure d'été.
Pour cela, je vous renvoi à mon article de 2007 : "L'histoire de l'heure d'été/hiver".
15:22 Publié dans Actualité, Anecdote, Cuisine, Culture, Ecologie, Gastronomie, Le mot du jour, Mots, Potins, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (5)
27/02/2016
La rochelle au crépuscule
15:59 Publié dans Ecologie, Loisirs, Photographie, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
02/02/2016
Silence du matin vacarme du soir
Ce matin en prenant le tram en allant au travail, je remarquais une chose étrange.
Le tram était assez plein, mais il n’y avait aucun bruit si ce n’était une ou deux personnes qui parlaient.
Un silence reposant.
Visiblement les gens étaient comme engourdis en sortant de leur nuit.
Certes, le soir, le tram était bondé, mais le vacarme était assourdissant.
Les passagers étaient surexcité de leur longue journée de travail.
Il faut die que je suis sur une ligne de jeunes, des étudiants.
Je ne sais pas pourquoi je ne m’en suis rendu compte ce matin.
Peut-être étais-je moins apathique ce matin ?
Avais-eu un sommeil particulièrement réparateur ?
Autant l’observation me parait pertinente, autant l’interprétation me semble hasardeuse.
11:19 Publié dans Anecdote, Comfort, Ecologie, La pensée du jour, Potins, Santé, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (2)
27/01/2016
La boulange
Comme tous les matins, en prenant le tram pour aller bosser, je passe devant une « Boulangerie ».
Vous le savez, une de ces boulangeries modernes qui n’ont de boulangerie que de nom et, qui sont, en général, des chaines. Elles proposent, aussi, viennoiseries et pâtisseries.
Ces boulangeries vendent un « assez » grand nombre de pains avec ou sans graines. Actuellement, le sésame est à la mode mais le pavot, aussi, est mis en valeur Il est proposé plusieurs types de farines l’épeautre, cette vieille farine, se vend bien.
Il et de bon ton si l’on veut un pain à peu prêt correct (et encore) de demander du « pain traditionnel ».
Ce matin, en passant devant cette boulangerie, je vis garé un camion livrant, non pas de la farine, mais des viennoiseries et autres petits toasts tout prêt à l’emploi et des gâteaux, naturellement.
Cela me rappela une émission à la télé précisant que le terme de « boulanger artisan » était réservé aux boulangeries qui fabriquaient, sur place, leurs propres pains. Mais, leurs viennoiseries et gâteaux, étaient, purement et simplement, livrées par une entreprise.
C’était une démonstration évidente, dans ce cas, de la véracité de cette émission de télé.
Comme quoi, on ne voit pas que des jeux à la télé.
Pour mémoire, quand je rentre du tram, à la station où je descends pour me rendre chez moi, sont situées, côte à côte, ce type d’ « artisan boulanger » et un petit supermarché de quartier. Eh bien, vous allez me croirez si vous vous voulez, le meilleur pain est vendu… à la supérette.
Étonnant, non ?
10:08 Publié dans Actualité, Anecdote, Ce soir à la Télé, Coup de gueule, Cuisine, Culture, Ecologie, Economie, Gastronomie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Potins, Shopping, Société, Télévision, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)
20/01/2016
Une Pub surprenante : L'interprétation du Docteur Sangsue
Vous devez être surpris par cette pub qui passe actuellement à la télé vantant un dispositif ingénieux contre les petites fuites urinaires.
Le plus surprenant, c'est que l'"héroïne" est une femme jeune : la femme de 35 ans.
Ces jeunes femme qui ont ces fuites urinaires l'on eues après un accouchement difficile. Pourtant les femmes ont moins d'enfant qu'avant (deux en moyenne). Le nombre de grosses étant, autrefois pourvoyeuse de ce type de problème. Sans tenir compte des progrès de l'obstétrique.
Si l'on voit ce dispositif astucieux, c'est qu'il doit y avoir beaucoup de femmes jeunes dans ce cas.
Alors pourquoi ce nombre important me dire- vous ?
J'ai une explication qui vaut ce qu'elle vaut, bien qu'elle soit purement personnelle.
La mode actuelle est de faire des péridurales à tour de bras.
Je sais, Je m'attends a un tonnerre de critiques fulminantes. Ce l'on va me dire sera un peu comme cela :"Tu n'est pas une femme, on te verrait bien souffrir comme une femme qui accouche".
Je n'aime pas du tout la souffrance chez les patients et je comprend bien cet argument, mais il faut bien savoir que tout acte médical est dangereux en lui même. Et c'est bête d'avoir des fuites urinaire à vie après une péridurale trop "forcée" où le produit anesthésiant a été trop fortement dosé ce qui fait que la femme n'a plus aucune sensation et ne peut donc accoucher normalement. Cela nécessite, alors, l'utilisation des spatules qui sont la cause de tout les maux dans un certain nombre de cas. Ces cas sont rares en pourcentage pour une grossesse, mais vu le nombre de péridurales, ceci explique le nombre important de femmes jeunes ayant des fuites urinaires. Cela explique, à mon avis, l'intérêt des entreprise à s'intéresser à ce problème et à inventer un produit juteux, si j'ose m'exprimer ainsi.
D'où cette Pub surprenante.
19:23 Publié dans Actualité, Anecdote, Comfort, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Histoire de la Médecine, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Pub, Santé, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
12/01/2016
Vers une disparition de l’obligation vaccinale : Une analyse du Docteur Sangsue
J’ai appris, ce matin, en écoutant, la radio, sur France Info, une nouvelle pitoyable : notre Ministre de la santé Madame Marisol Touraine, la volonté de ne plus rendre obligatoire le vaccin Diphtérie Tétanos Polio (vaccin DTP).
Certes, la Poliomyélite a disparue des pays développés grâce à l’hygiène due aux progrès de l'assainissement, mais ce risque persiste toujours lors de voyages à l’étranger vers les pays du tiers monde.
Le risque de la Poliomyélite, lui aussi, existe toujours lors d’une blessure par effraction cutanée.
Cette mesure frise totalement l’inconscience.
Je me souviens, lors de mon stage de FFI (Faisant Fonction d’Interne) au SAMU avoir vu, dans une salle du service de réanimation, l’un des derniers poumons d’acier, le précurseur des appareils de réanimation pour la respiration lors des opérations. Mise à part que le poumon d’acier était, lui, à vie.
Le Tétanos peut se soigner grâce aux progrès de la réanimation après, parfois, pour une durée d’un mois avec des risques d’ankyloses articulaires résiduelles.
A l’époque, une façon intelligente pour obliger les parents à faire vacciner leurs enfants avait été d’être à jours de leurs vaccinations les enfants dont les parents inscrivaient leurs enfants en, colonie de vacances.
C’est le Professeur Robert Debré, dont un hôpital Parisien porte son nom, le créateur du carnet de santé (le père de Michel Debré, le célèbre homme politique ancien premier ministre sous la cinquième) qui doit se retourner dans sa tombe.
Je ne vois qu’une seule explication à cette mesure, c’est qu’au cas rarissime d’accident vaccinal l’état soit retenu responsable et soit obligé d’indemniser les familles.
Cette mesure est à cours terme économique et purement démagogique comme le tiers payant généralisé ce qui déconsidèrera encore une fois de plus le respect du patient envers le Médecin Traitant.
Mais c’est, aussi, une mesure purement démagogique visant à diminuer l’influence du médecin renforçant, aussi cette autre meure qu’est le tiers payant généralisé.
A force de tirer sur la corde, celle-ci finira par péter. Jusqu’à ce qu’un autre gouvernement revienne, éventuellement, en arrière.
Poumon d’acier
P. S. : Le président des États Unis Franklin Roosevelt avait contracté la poliomyélite et se déplaçait en fauteuil roulant.
17:38 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Histoire, Histoire de la Médecine, Honte, La pensée du jour, Maladies des Hommes Célèbres, Médecine, Politique, Santé, Science, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)