10/10/2022
Autopsie de la mort de Steve Jobs : du danger des médecines alternatives
Le cours d’Apple et la maladie de Steve Jobs (pour agrandir l'image clic droit dessus et clic gauche sur "Ouvrir l'image dans un nouvel onglet")
Cet article est une autre autopsie de la vie d’un homme célèbre, c’est la suite de mon article du 21/09/2022 : « Autopsie de la mort de Bob Marley ».
Dans mon article du 19/09/21 : « Tin toy », j’évoque, succinctement, la carrière, exemplaire, de Steve Jobs.
Steve Jobs est mort le 5 octobre 2011. Il est mort jeune, à l’âge de 56 ans, d’un cancer du pancréas qui aurait pu, peut-être, avoir un bon pronostic s’il s’était fait traiter correctement en utilisant, à bon escient, les armes de la médecine conventionnelle.
La chirurgie était le traitement de première intention pour une tumeur n'excédant pas un certain volume et ne présentant pas de métastase ou de contact trop intime avec la veine porte et les autres vaisseaux. Mais la localisation de cette tumeur fait qu'elle n'est pas facile d'accès. Par ailleurs, des protocoles récents montrent un avantage à pratiquer une radiochimiothérapie pré et post opératoire dans des cas sélectionnés.
L'exérèse n'est possible que dans 20 % des cas. La rechute locorégionale survient cependant dans 70 à 80 % des cas.
Steve Jobs se fait finalement opérer d'une forme curable du cancer du pancréas en 2004, neuf mois après le diagnostic de la maladie. Dans l'intervalle, "il essaie de le traiter avec un régime alimentaire, il va voir des spiritualistes, il essaie plusieurs façons de le faire avec la macrobiotique, et il ne se fait pas opérer. Au bout de neuf mois, une fois que tout son entourage lui a demandé d'essayer la chirurgie, il se laisse faire. "On présume que c'est trop tard, parce que quand les chirurgiens l'opèrent, ils remarquent que cela s'est étendu aux tissus autour du pancréas".
Si Steve Jobs s'était fait opérer à temps peut être aurait-il survécu à son cancer.
Steve Jobs a continué à être traité en secret alors même qu'il se disait complètement guéri.
Il avait pris un long congé maladie en 2009 lors duquel il avait reçu une greffe du foie.
Steve Jobs est finalement mort le 5 octobre à l’âge de 56 ans.
Tout d’abord, pour connaitre Steve Jobs, il faut visionner son discours lors d'une remise de diplôme à l'université Sanford aux États-Unis en juin 2005 ou il parle de sa vie, en disant qu’il n’a jamais eu de diplôme universitaire, mais qu’avant de quitter l’université il a suivi des cours de calligraphie ce qui a permis d’installer les polices de caractères dans le premier Macintosh. Dans cette vidéo, il nous parle, aussi, de sa maladie.
Moralité :
Il faut en tirer une leçon : le danger des médecines non conventionnelles. J’évoque, d’ailleurs, ce sujet dans un de mes récents articles du 14/02/2021 : « La Médecine Quantique ».
Ce que l’on peut considérer comme le discours d’adieu de Steve Jobs.
Dans la vidéo suivante, Steve Jobs présente au conseil municipal de Cupertino (6/7/11) qui était sa dernière apparition à la télévision seulement 4 mois avant sa mort. On ne peut qu’être frappé par la recherche de l’esthétisme (quitte à y mettre le prix) que Steve Jobs à mis en œuvre tout au long de sa vie. C’est marquant dans le projet de son nouveau campus.
Et maintenant, une vidéo, non pas sur l’autopsie de Steve Jobs, mais, c’est une autre forme de Médecine Légale, sur l’autopsie de sa mort : c'est-à-dire la recherche de la cause de la mort de ce géant de l’informatique cofondateur, avec Steve Wozniak et Ronald Wayne, de la société Apple le 1° avril 1973.
Références :
- Steve Jobs a retardé le traitement chirurgical de son cancer, affirme son biographe
03/10/2022
Comment activer (ou désactiver) le son de démarrage de Windows 10
Clic droit sur l’icône Haut-parleurs de la barre des tâches
Clic gauche sur Son.
Cliquer sur Son
Il suffit, enfin, de cocher (ou décocher) « Jouer le son de démarrage de Windows ».
Un petit retour dans le temps (nostalgie, nostalgie) : les sons de démarrage et de fin de Windows.
On peut même modifier le son au démarrage... Mais c'est une autre histoire.
Nota Bene : L’intérêt du son au démarrage de Windows permet de savoir si la carte son marche. Sur une nouvelle installation de Windows 10, il n'y a plus de son de démarrage.
18:43 Publié dans Histoire de l'informatique, Informatique, Potins, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
26/09/2022
Doctus cum Wikipédia et YouTube
Dans mon article du 15/06/2022 : « Un coté méconnu de Francis Blanche : Le parolier », je me cite, « je remercie tout particulièrement Wikipédia et YouTube sans lesquels cet article n’aurait pas vu le jour ».
En effet :
Sans Internet qui me permet de mettre en ligne, de Wikipédia qui me permettent de glaner les connaissances, et de YouTube qui me permet de délivrer les connaissances en vidéo, mais, aussi, de Google Images qui me permets d’illustrer celui-ci, mon modeste Blog n’existerait pas.
Pour la petite histoire, la naissance des blogs est, somme toute, très récente : elle date du 1° janvier 1994.
Mon modeste Blog date, lui, du 7 août 2007. Le titre de mon premier article : « Première ». Mon hébergeur : Hautetfort.
Il y a de cela peu de temps la formule « DOCTUS CUM LIBRO » était de mise.
Mais, depuis peu, grâce à la naissance d’Internet (12 mars 1989 ) de Wikipédia (15 janvier 2001), de Google images (2001) et de YouTube (14 février 2005) elle peut être remplacée par celle de mon cru :
« Doctus cum Wikipédia et YouTube ».
O TEMPORA O MORES (autres temps autres mœurs).
Mais, qu’est ce qu’un Blog ? Et Bloguer comment ça marche ?
Le Top 5 des Meilleures Plateformes de Blog
Si le cœur vous en dit de créer votre Blog…
14:02 Publié dans Culture, Culture, Histoire de l'informatique, Informatique, Internet, La pensée du jour, Potins, Société, Société, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (2)
13/08/2022
Absence pour le 15 août 2022
Je vais être absent jusqu’au vendredi 19 août sans, probablement, pouvoir écrire sur mon Blog.
Quelques jours de répit pour le Week End de l'assomption et non de l’ascension comme il est dit souvent.
Si vous partez en villégiature pour ce 15 août , je vous souhaite un bon séjour.
A bientôt le plaisir de vous écrire.
18:22 Publié dans Anecdote, Culture, Culture, Histoire de l'informatique, Informatique, Internet, Le mot du jour, Loisirs, Société, Société, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (1)
05/08/2022
Comment convertir, en ligne, gratuitement, des fichiers HEIC en JPG avec le site iLoveIMG
Ma fille vient donc de rentrer de son camp scout.
Je viens juste de recevoir les photos sur mon drive.
Or il se trouve que, parmi des fichiers JPG il y a « un certain nombre » de fichiers HEIC.
Cela m'a permis de découvrir le site du jour.
D’abord qu’est qu’un fichier HEIC ?
HEIC (pour High Efficiency Image Codec) est le format d’image par défaut pour iPhone et iPad. Il est apparu avec la sortie de l’iPhone 7 et d’iOS 11 en septembre 2016. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la technologie d’HEIC n’a pas été inventée par Apple. Elle est l’œuvre du groupe indépendant MPEG (Moving Picture Experts Group), à qui l’on doit déjà les fameux codecs vidéo MPEG. Ce groupe d’experts international a mis au point le standard HEIF (High-Efficiency Image File format) en 2013 et ne l’a finalisé qu’en 2015.
Par défaut, ni Windows 10 ni Windows 11 ne sont pas capables de lire ce format de fichier exotique. Dans l’explorateur de fichiers Windows ou dans l’application Photos, les fichiers HEIC ne seront pas reconnus et illisibles. Il est donc nécessaire d’installer un petit logiciel pour que votre fichier HEIC soit accepté par Windows, dans son explorateur de fichiers notamment.
Mais il est possible de se passer de cette appli en convertissant, en ligne, gratuitement HEIC en JPG.
Le site pour les convertir en ligne gratuitement est le suivant :
Triple clic gauche pour agrandir.
Et plus particulièrement convertir to JPG :
https://www.iloveimg.com/fr/convertir-en-jpg/heic-en-jpg
Cela m’a permis de convertir 14 fichiers d’un coup à la volée.
Les fichiers ne sont pas renommés ce qui permet de mettre les fichiers HEIC convertis très facilement à la corbeille.
Mais iLoveIMG ne fait pas que cela…
On peut travailler sur les images en les compressant, les redimensionnant, les pivotants…
iLoveIMG - Editer une image
Site de Valerie Perreaut ICI.
Références :
- Windows 10 et 11 : Comment ouvrir une photo HEIC et la convertir en JPG ou PNG ?
- Qu’est-ce que le format HEIC / HEIF et comment l’ouvrir ou le convertir ?
- Comment ouvrir les fichiers HEIC sur Windows (ou les convertir en JPEG) ?
And so on...
17:33 Publié dans Anecdote, Histoire de l'informatique, Informatique, Internet, Le mot du jour, Le site du jour, Loisirs, Photographie, Potins, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (5)
30/05/2022
Pourquoi Steve Jobs portait il la même tenue tous les jours ?
Steve Jobs n'a pas besoin d'être présenté. Le fondateur d'Apple s'est fait un nom en créant l'une des plus grandes entreprises technologiques du monde.
Ce qui distingue ses produits sérigraphiés à base de pommes, c'est que Steve Jobs a basé ses créations sur un design simple.
Steve Jobs fait partie de ce groupe d'esprits prodigieux qui ont créé notre présent en s'abandonnant au normcore, c'est-à-dire au fait de s'habiller normalement et très simplement, afin de donner toute l'importance au développement de leurs produits.
Steve Jobs, l’homme à la silhouette longiligne, arborait toujours la même tenue.
Des New Balance grises, un jean Levi’s et un col roulé noir, commandé en une centaine d’exemplaires chez le designer Issey Miyake.
Dans sa biographie écrite par Walter Isaacson, Steve Jobs est revenu sur son style et expliquait qu’il a décidé de ne garder qu’une seule tenue vestimentaire après avoir visité l’usine Sony en 1980.
Il avait alors vu que tout le monde portait la même tenue, designée par Miyake, à qui il fera donc appel. Retiré de la vente en 2011, un modèle presque similaire est à nouveau disponible pour les fans du look Steve Jobs.
Références :
- « Pourquoi vous devriez vous habiller comme Steve Jobs, le fondateur d'Apple (avec les vêtements les plus basiques et les mieux pensés au monde) ».
- « La Logique de Productivité Derrière le Style Vestimentaire de Zuckerberg, Obama et Jobs ».
19:14 Publié dans Anecdote, Culture, Culture, Histoire de l'informatique, Informatique, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Potins, Shopping, Société, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
23/05/2022
God Mode : l'easter egg puissant de Windows 7, 8,10 et 11
Dans mon article du 17/04/2022 : "Joyeuses Pâques à tous mes lecteurs fidèles : Les œufs de Pâques informatique (easter egg)", j’évoque les Easter Eggs qui sont des fonctions dissimulés dans les produits Microsoft (mais aussi dans Google).
God Mode, qui est une fonction cachée de Windows 10 et 11, rentre dans la définition des Easter Eggs.
God Mode est apparu pour la première fois avec Windows 7. Il permet d'accéder directement à des dizaines de paramètres de Windows 10 et 11 dont certains presque secrets.
De fait, c'est sans doute à cause de ce caractère "pointu" que Microsoft a préféré cacher ce mode au tout-venant, pour ne le laisser accessible qu'aux utilisateurs un tant soit peu initiés. Toutefois, il n'y a aucun risque à utiliser le God Mode, surtout quand il s'agit d'accéder rapidement à des réglages classiques.
Mais si l'activation et l'utilisation du God Mode sont très simples ! Il faut juste, comme toujours, éviter de modifier des fonctions que l'on ne comprend pas !
God Mode s'active très facilement :
Pour accéder aux fonctions du God Mode, il faut créer un dossier spécial sur le Bureau de Windows.
Dans Windows 10 ou 11, faites un clic droit sur une zone libre du Bureau et sélectionnez Nouveau dossier dans le menu contextuel qui apparaît.
Cliquez ensuite sur le nom du dossier et renommez-le très exactement (en faisant un copier collé) :
GodMode.{ED7BA470-8E54-465E-825C-99712043E01C}
L'icône du dossier change et le nom disparaît. C'est normal. Votre dossier God Mode est prêt.
La plupart des réglages proposés aboutissent directement à la fenêtre de paramétrage correspondante sans avoir à parcourir de multiples fenêtres et sections, comme on le fait en passant par le chemin Paramètres du menu Démarrer.
Dans tous les cas, dans la liste du God Mode vous allez découvrir des réglages dont vous ignoriez l'existence. Et, à défaut, vous accéderez beaucoup plus rapidement à des paramètres classiques.
Mais, comme je le disais plus haut, restez prudents !
Évitez, surtout, de modifier des fonctions que vous ne comprenez pas !
Une vidéo vaut mieux qu’un long discours :
10:40 Publié dans Anecdote, Culture, Culture, Histoire de l'informatique, Informatique, Le mot du jour, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (4)
17/04/2022
Joyeuses Pâques à tous mes lecteurs fidèles : Les œufs de Pâques informatique (easter egg)
Au début, j’avais écrit cet article :
« Joyeuses Pâques
Alléluia Alléluia !!!
Joyeuses Pâques à tous mes fidèles lecteurs !
Mais, au fait, que fête t on à Pâques ?
Petite piqûre de rappel ».
Mais, je me suis ravisé et j'ai écris l'article suivant :
En effet, entre temps, j’ai fait la découverte de ces fameux Œufs de Pâques informatiques (Easter egg).
Dans mon article : « Just for fun : un exemple de code HTML version 2.0 », j’évoque ce sujet des œufs de Pâques informatique.
Dans cet article, je narre mes débuts, bien modeste il faut le dire, de programmation en QBasic avec celui-ci caché dans un recoin du CD-Rom d’installation de Windows 98 SE.
En effet, certains des premiers produits de Microsoft comprenaient des œufs de Pâques cachés. Microsoft a officiellement cessé d'inclure les œufs de Pâques dans ses programmes dans le cadre de son initiative Trustworthy Computing en 2002.
Mais qu’est ce qu’un œuf de Pâques informatique. Leur dénomination anglo-saxonne est Easter eggs.
« Les «œufs de Pâques» sont des crédits de développeur, des fonctionnalités stupides ou des blagues internes cachées dans le logiciel. Parce que vous ne pouvez y accéder que par une série d'étapes mystérieuses ressemblant à une chasse aux œufs de Pâques, c'est ainsi qu'ils ont obtenu leur nom ».
Quelques Easter eggs de Microsoft :
- Liste des œufs de Pâques dans les produits Microsoft - List of Easter eggs in Microsoft products.
- Les meilleurs œufs de Pâques rétro dans Windows et Microsoft Office.
- Liste des œufs de Pâques dans les produits Microsoft.
- Les meilleurs œufs de Pâques rétro dans Windows et Microsoft Office.
Mais il y a, aussi, des Œufs de Pâques cachés, dans Firefox :
- tapez dans la barre d’adresse : « about:mozilla » pour voir une citation de type biblique faisant référence à l'histoire de Mozilla et Firefox, le Livre de Mozilla.
- Tapez l'adresse « about:robots » fait apparaître un petit robot délivrant un message. Si on appuie sur le bouton « Réessayer », celui-ci se transforme en « Veuillez ne pas réappuyer sur ce bouton », que l'on peut considérer comme un clin d'œil au message « NE PAS RAPPUYER SUR CE BOUTON SVP » s'affichant sur un panneau après qu'Arthur a appuyé sur un gros bouton rouge dans le Cœur-en-Or dans le roman de Douglas Adams, Le Guide du voyageur galactique.
Ce n’est pas fini, on en trouve, aussi, sur Google :
Pour vous amuser, tapez, dans la barre d’adresse : https://mrdoob.com/projects/chromeexperiments/google-gravity/
- Tapez :
- https://elgoog.im/breakout/ - et jouez!
- https://elgoog.im/doabarrelroll/?5.6 - attention les yeux!
- https://elgoog.im/doabarrelroll/ - renversant!
- https://elgoog.im/google-fan/
- https://elgoog.im/let-it-snow/ - et… attendez.
- https://elgoog.im/t-rex/3d/ - et jouez
Ce ne sont que quelques exemples.
Si vous voulez vous amuser avec tous les œufs de Pâques sur Google, tapez, dans la barre d’adresse : https://elgoog.im/ Pour cela, cliquez sur les images, les textes écrits en mauve et les liens.
Bonnes Pâques Informatique à tous !
5 Easter Eggs Secrets Cachés Dans Firefox
Make Google Do a Barrel Roll and 6 Other Crazy Tricks!
Références :
09:25 Publié dans Actualité, Anecdote, Culture, Culture, Histoire de l'informatique, Humour, Informatique, Internet, Jeux, Le mot du jour, Le site du jour, Loisirs, Mots, Potins, Société, Société, Vidéo, Web | Lien permanent | Commentaires (2)
16/03/2022
Luxo Junior
Dans mon article du 19/09/2021 : « Tin Toy » j’évoque l’histoire de Pixar .
Mais avant Tin Toy, il y a eu Luxo Jr.
Luxo Jr. est le premier court métrage de Pixar, sorti en 1986 lorsque le studio d'animation venait juste d'être créé. D'une durée de deux minutes trente, le film était la vitrine de la société afin de démontrer le savoir-faire des créateurs en matière d'images de synthèses, notamment dans les effets d'ombres.
La toute jeune société Pixar devait créer un court-métrage en images de synthèse pour promouvoir les capacités du studio et le logiciel RenderMan qui est utilisé pour la génération d'images photoréalistes. Lorsque John Lasseter dut choisir un modèle, il chercha un objet à portée de main et décida de dessiner sa lampe de bureau, une lampe d'architecte de la compagnie Luxo*. Il réalisa des maquettes pour la rendre vivante. La société produisit deux films d'animation en août 1986 à l'occasion du Siggraph. John passa de longues journées et des nuits blanches devant son ordinateur pour finir son projet à temps.
Le court métrage fut nommé l'année même Oscar du meilleur court-métrage d'animation, premier film en image de synthèse admis dans cette catégorie.
Luxo Jr. fut choisi, par la suite, comme mascotte de la société et apparait dans le logo de l'entreprise. Dans les bandes annonces, on voit ainsi la lampe qui écrase le « i » de Pixar.
La musique de la bande originale est un montage non crédité de trois morceaux sur l'album de Brian Bennett, Counterpoint In Rhythm : Finesse, Quicksilver et Chateau Latour.
La petite histoire de Luxo Junior.
Et, en bonus, les musiques de Luxo Jr. :
Brian Bennett / Carlton Hall - Finesse
Brian Bennett / Carlton Hall - Quicksilver
Brian Bennett / Carlton Hall - Chateau Latour
*Les lampes Luxo du designer norvégien Arne Emil Jacobsen sont de loin les lampes d'architecte à ressort les plus connues de tous les temps.
En 1934, Jacobsen a fondé Luxo ASA, un groupe industriel norvégien. Il s'agissait à l'origine d'une société de commercialisation de machines textiles.
En 1937, il a développé la Luxo L1, une lampe à bras articulé. Aujourd'hui, cette lampe fait partie de diverses expositions dans des musées du monde entier, car elle est considérée comme un exemple de lampe classique.
La lampe d’architecte Luxo L2 est un modèle intemporel et iconique avec son brise-vue, ses caches d’extension, son bras articulé qui permet un ajustement précis de l’éclairage et son socle en fonte apportant beaucoup de stabilité.
Références :
- Luxo Jr.
00:17 Publié dans Anecdote, Art, Cinéma, Culture, Culture, Film, Histoire de l'informatique, Informatique, Le mot du jour, Loisirs, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
21/02/2022
Les versions 100 Chrome, Mozilla, Edge pourraient causer des soucis d'affichage sur certains sites
Lu sur le site FRANDROID :
À la manière du « bug de l’an 2000 », auquel les plus jeunes auront échappé, les navigateurs web que sont Chrome, Firefox, ou encore Edge risquent de rencontrer quelques soucis techniques lors de leur passage aux versions logicielles numérotées 100.
Chrome, Firefox et Edge vont tous trois bientôt souffler leur 100e bougie en ce qui concerne leurs numéros de version.
La version 100 de Firefox est prévue pour le 3 mai, celle de Chrome le 29 mars, et celle d’Edge autour du 31 mars.
Chrome et Edge en sont actuellement à leur 98e version et Firefox à sa 97e.
La version de Firefox ce jour
Cette nouvelle numérotation des versions, qui passe donc de deux à trois chiffres, pourrait causer des dysfonctionnements pour l’affichage de certains sites.
En effet, lorsque l’on accède à un site web via un navigateur, le serveur de ce site a besoin de l’identifier pour afficher correctement le contenu de manière optimisée : il s’agit de la fonction User Agent. Celle-ci détecte de quel navigateur il s’agit et quel est son numéro de version. Cela permet d’identifier la configuration utilisée par l’internaute. Or le code de cette fonction n’a pas été conçu, à la base, pour les nombres à trois chiffres.
Pour tenter de régler le souci, Chrome et Firefox prévoient tous deux des plans de secours. Ces derniers consisteraient, notamment, à geler le numéro de version à 99 et à utiliser le bloc suivant pour noter le nouveau numéro. Ainsi, pour Firefox, cela donnerait non pas « Firefox/100.0 », mais plutôt « Firefox/99.100 ».
En espérant donc que tout se passe finalement aussi bien qu’au 1er janvier 2000…
Référence : Chrome, Mozilla, Edge… Pourquoi leurs versions 100 pourraient bien poser problème.
20:16 Publié dans Anecdote, Culture, Culture, Histoire de l'informatique, Informatique, Internet, La pensée du jour, Potins, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (0)
04/02/2022
Dans la Série « Mes articles en vidéo » - L’histoire de Wikipédia en vidéo
Dans la nébuleuse Internet, les deux éléments indispensables sont, à mon avis, Google, le moteur de recherche de référence, d’une puissance redoutable, et Wikipédia, l’encyclopédie libre. Tout le reste , les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Tiktok…) sont d’une utilité plutôt futile, vu la façon dont ils sont utilisés dans la majorité des cas, exception faite pour YouTube, Daylimotion, Viméo, Skype, Whatsap, Linkedin ; j'en oublie, peut-être.
En effet, grâce au moteur de recherche Google et à Wikipédia, il nous est loisible d'avoir accès à une foultitude de données, tant en recherche (Google) qu’en savoir (Wikipédia). Les Blogs sont un peu à part, mais, grâce à eux, on a, aussi, parfois, la possibilité d’acquérir, quelques connaissances.
Dans mon article précédant : « Francis Maugard (31 décembre 1931 – 28 décembre 2021) Requiescat In Pace », j’évoque, en son temps, ma modeste contribution à Wikipédia concernant Francis Maugard.
C’est grâce à cela que, dans ma série « Mes articles en vidéo », j’évoque, aujourd’hui, l’histoire de Wikipédia.
Le point de départ c’est Bomis.
Bomis est une entreprise point com qui a aidée à la création de Nupédia puis de Wikipédia.
Wikipédia a été lancée officiellement le 15 janvier 2001 pour soutenir Nupedia, un projet semblable mais écrit uniquement par des experts. Wikipédia a grandi très rapidement au point de remplacer Nupedia.
Wikipédia a été cofondé par Jimmy Wales et Larry Sanger.
Dans cette vidéo on apprend que :
- Wikipédia vient de l’Hawaïen wiki wiki qui veut dire rapide
- Mais, petite anecdote amusante, les premiers liens de Bomis portaient sur Pamela Anderson puis ceux crées, et les plus lu, l’étaient sur des actrices X.
Et maintenant, la folle histoire de Wikipédia par Jimmy Wales, son co-créateur avec Larry Sanger. Une vidéo Konbini Techno.
La folle histoire de Wikipédia par Jimmy Wales, son co-créateur avec Larry Sanger - Konbini Techno
Une version longue (50 mn) d’un documentaire d’Arte sur l’histoire et ce qu’est et devrait être Wikipédia.
En visionnant cette vidéo, j’ai été estomaqué par l’utilisation de bot pour la rédaction d’énormément d’articles de Wikipédia.
Il était une fois Wikipédia - Documentaire Arte
Mais...
La gratuité de Wikipédia n’aurait pas été possible sans le copyleft, idée et démarche de Richard Matthew Stallman (connu, aussi, sous les initiales rms), né le 16 mars 1953 à Manhattan, programmeur, initiateur - militant, du mouvement du logiciel libre,
A l'origine de wikipedia : le théoricien génial Richard Stallman – France Culture
P. S. : Si vous voulez soutenir financièrement Wikipédia c'est ICI.
11:11 Publié dans Anecdote, Blog, Culture, Culture, Histoire, Histoire de l'informatique, Informatique, Internet, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Potins, Société, Société, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (0)
22/01/2022
Mes débuts en informatique, le software : La disquette de démarrage Windows 98 et l’installation de Windows 98
Disquette de 3,5 pouces
Cet article fait suite à celui-ci : « Le succès d’Apple II est dû à VisiCalc» et au commentaire d’alain : « Toute une époque....passionnante où tout était ouvert à la programmation simple et inventive; tout restait à faire ».
En ce qui concerne la micro-informatique, il fait savoir qu’il faut distinguer deux catégories :
- Le hardware, le mot anglais pour désigner le mot matériel informatique et qui désigne l’ensemble de l'équipement matériel, mécanique, magnétique, électrique et électronique, qui entre dans la constitution d'un ordinateur.
Et
- Le software qui est le mot anglais pour le logiciel, l’ensemble d'instructions données à un appareil informatique. Le logiciel détermine donc les tâches qui peuvent être effectuées par la machine, ordonne son fonctionnement et lui procure ainsi son utilité fonctionnelle.
Mes débuts, bien modeste il faut le dire, concernèrent donc le software, la partie logicielle, en fait le système d’exploitation, Microsoft Windows en l’occurrence, et, plus particulièrement, le MS Dos.
J’entrais en informatique avec l’équipement nécessaire pour la télétransmission et, par la même occasion la gestion de mon activité médicale.
Aux alentours de 1999 débarque donc un ordinateur portable, un ACER, avec Windows 98 SE et un logiciel médical, HelloDoc pour ne pas le citer, logiciel qui fut créé en 1987. L’installation d’HelloDoc nécessitait, à l’époque trois disquettes de 3,5 pouces tout en sachant qu’une disquette avait, comme capacité 1,44 Mo (aujourd’hui, une clé USB courant fait la bagatelle de 168 Go et les disques dur ont couramment 2 To voire 4 To 1 To = 100 Go, 1024 Go pour être plus précis).
Un jour, je ne sais pourquoi, je formatais mon ordi.
Et, naturellement je ne su réinstaller ce foutu Windows 98.
Je me lançai donc dans la fabrication de la fameuse disquette de démarrage (la disquette de Boot) de Windows qui me permettrait d’installer mon système d’exploitation Windows 98 grâce au CD-ROM fourni avec mon portable ACER (pour mémoire l’ACER avait un disque dur de 2 Go).
Il m’a fallu un certain temps, après avoir ingurgité le langage informatique MS Dos et le fonctionnement de l’installation de Windows en lisant des bouquins (merci Micro Applications), pour fabriquer cette foutue disquette.
Il y a un fait très intéressant dans la structure de cette disquette de boot, une astuce géniale ! En effet, pour augmenter la capacité de celle-ci (qui faisait donc 1,44 Mo) elle contenait un fichier compressé (fichier EBD.CAB) de 2 Mo qui créait un lecteur virtuel en utilisant la mémoire vive du PC (mémoire RAM).
Une fois l’ordi démarré, la disquette lançait l’installation de Windows 98 à partir du CD-ROM.
Je créais, alors une partition du disque dur. Sur la première partition, j’installais le système d’exploitation Windows 98 et, sur l’autre, les datas, les données.
La magie quand l’installation de Windows 98 démarre !
L’installation d’HelloDoc était, ensuite un jeu d’enfant : on insérait successivement les trois disquettes de ce logiciel. Suivait la disquette du VIDAL, le dictionnaire des médicaments, dont HelloDoc servait d’interface, pour la rédaction et impression des ordonnances.
Cependant, il y a un fait légèrement amusant que je découvris un peu plus tard : l’installation de Windows se faisait tout simplement en insérant le CD-ROM de l’ACER.
Si seulement j’avais su ça plutôt !
Eh bien, alors, je n’aurais pas su créer la disquette de démarrage et l’installation d’un système d’exploitation de façon autonome.
Ce qui me permettra, plus tard, de me lancer dans les nombreux systèmes d’exploitation LINUX. Ma première installation réussi (après moultes échec) fut une distibution Mandriva.
Et maintenant l’installation de Windows 98.
Les bruits de démarrage et de fermeture de Windows 98. Souvenir, souvenir.
Référence :
18:49 Publié dans Anecdote, Culture, Culture, Histoire de l'informatique, Informatique, Informatique Médicale, Le mot du jour, Loisirs, Potins, Société, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
20/01/2022
Le succès d’Apple II est dû à VisiCalc
VisiCalc et l'Apple II
VisiCalc fut le premier logiciel tableur destiné à un ordinateur individuel, l'Apple II. C'est très certainement l'exemple même d'une killer app qui fit du micro-ordinateur (qui était jusque-là un hobby réservé aux programmeurs) un véritable outil destiné à des applications comptables et commerciales.
Conçue par Dan Bricklin, améliorée par Bob Frankston, développée par leur compagnie Software Arts et distribuée par Personal Software Inc. en 1979 pour l'Apple II, cette application transforma les machines d'Apple en véritables outils de production.
Cette invention motiva très probablement l'entrée d'IBM sur le marché des micro-ordinateurs, marché que cette entreprise ignorait jusque-là.
Selon Bricklin, l'idée de la création du tableur lui vint pendant ses études à Harvard, en voyant son professeur corriger manuellement ses tableaux de calculs. Il réalisa alors qu'il pouvait automatiser ces procédures par un moyen informatique. Le logiciel a, par la suite, inspiré les créateurs de Lotus 1-2-3 et de Multiplan.
Les brevets logiciels datant de 1982 aux États-Unis, l'innovation fut uniquement protégée par copyright (comme beaucoup de logiciels).
En 2009, de nombreuses années après la fin de la distribution du logiciel VisiCalc de l'Apple II, Dan Bricklin publia un livre sur son expérience. Il en profita pour diffuser une version de VisiCalc recompilée pour fonctionner sur MS-DOS, en 16 bits ; on constatera que l'exécutable d'un tableur fonctionnel peut tenir dans seulement 25 kilo-octets.
Références :
- VisiCalc
- VisiCalc, logiciel
- Visicalc
- Histoire du tableur
- L'inventeur de VisiCalc
- VisiCalc
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18/01/2022
Dans la Série « Mes articles en vidéo » - L’histoire du téléphone portable en vidéo
Nota :
Petite précision sur les multiples noms que l’on attribue aux téléphones portables.
Les téléphones portables peuvent être, aussi, appelés téléphone mobile ou téléphone cellulaire.
Cependant, en Belgique, en Nouvelle-Calédonie et à La Réunion, le terme « GSM » (pour Global System for Mobile Communications, un standard de communication de téléphonie mobile) est couramment utilisé pour désigner un téléphone mobile.
En Suisse, on parle couramment de Natel (National Telefon, marque de Swisscom, du nom de l'ancien réseau de téléphonie mobile Natel pour les véhicules).
Au Canada francophone et en Vallée d'Aoste1, le terme cellulaire est couramment utilisé.
17:29 Publié dans Culture, Culture, Histoire de l'informatique, Informatique, Internet, Le mot du jour, Mots, Shopping, Société, Société, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (0)
21/11/2021
Le port USB : une histoire de chasse de mes débuts avec un ordinateur ou ma première confrontation avec le hardware
Mon lecteur ZIP Ioméga : Nostalgie !
Un "petit" sujet qui traite de l'histoire de l'informatique.
Je tiens à préciser, tout d’abord, que le hardware (le matériel informatique) n’est pas mon fort, contrairement à mon fidèle lecteur alain, je préfère, et de loin le software (les logiciels).
Tout commence en 1999 avec Windows 98 SE.
A cette époque fut mis en place la télétransmission pour dématérialiser les FSP (Feuille de Soin Papier) de la Sécurité Sociale.
Pour la télétransmission, il fallait (et il faut toujours) :
- Un ordinateur (il est vrai que l’on peut télétransmettre sans ordinateur avec, seulement, un lecteur de télétransmission). J'achetais donc un PC avec Windows 98. Actuellement la répartition du marché des Systèmes d'Exploitation (OS) est la suivante : Windows représente 88 % du parc des PC contre 8 % pour macOS et 2 % pour Linux (qui, étant un logiciel libre, est gratuit). Eh oui, il existe une solution médicale sous Linux !
- Un logiciel Médical agréé.
- Un lecteur bifente de carte vitale (SESAM-Vitale) et (CPS).
Et...
- Une connexion internet. A l’époque une connexion bas débit RTC, point de box, point de haut débit avec l'ADSL, point de très haut débit avec la fibre optique, point de 400 Mbits, comme chez moi actuellement, mais un modem V.90 (avec son bruit si caractéristique* lors de sa connexion), une ligne téléphonique (fil de cuivre) et un débit de 56 Kbits ! On imagine le temps de chargement, sur le Web, d'une simple image (qui était moins grande que maintenant).
J’ai donc débuté en Informatique avec Windows 98 et le Logiciel Médical HelloDoc qui, pour la petite histoire était implanté, au départ, à Vensac et son célèbre moulin, puis à Soulac-sur-Mer et qui, d’ailleurs, a été racheté, par la suite, en 2014, par CompuGroupMedical (CGM).
Ma motivation d’acquisition de ce Logiciel Médical résidait dan le fait qu’outre la télétransmission, il assurait un dossier patient dématérialisé, un traitement de texte, pour les lettres aux correspondants, la rédaction des bilans para clinique (Biologie, Radiologie) Et surtout des ordonnance avec une interface pour le logiciel du VIDAL, qui, d’ailleurs devient payant très rapidement (alors que le VIDAL papier restait gratuit car fourni par les Laboratoires Médicaux). Le VIDAL papier a, d'ailleurs, arrêté sa publication en 2020.
Après ce long préambule, j’en reviens à mon premier ordinateur.
Mon premier ordinateur fut un ordinateur portable, un ACER.
J’achetais, aussi un lecteur ZIP Ioméga car cela permettait de stocker 100 Mo de données ! (comparé à une disquette de 1,44 Mo de l'époque y a pas photo), avec, en plus, la possibilité de compresser ces données. A l'époque, le logiciel HelloDoc tenait en 3 disquette (4 Mo) on est loin du logiciel Windows 10 qui nécessite une clé USB de 8 Go !
Sitôt acheté, sitôt branché sur le seul port USB de mon ordinateur.
Déception, il ne s’allume pas !
J’ai galéré pendant un bon bout de temps pour trouver la solution.
Elle était toute bête : Il suffisait d’aller dans le BIOS et d’activer, tout simplement, ce foutu port USB.
Une vidéo sur le débarquement d'un ordinateur dans la famille : du vécu !
A propos de la hotline, celle-ci a été profondément modifiée avec la prise en main à distance des ordinateurs.
Allez, pour la route, deux vidéo qui faisait beaucoup rire, à l’époque, sur les démêlés avec l’informatique. On notera le changement, par rapport à maintenant, du matériel informatique de l’époque notamment la taille des écrans (les écrans LCD de maintenant remplacèrent les énormes écrans cathodique de l’époque encore appelés CRT).
*A écouter dans l’article de Wikipédia sur le modem. Cela ne me rajeuni pas !
Référence :
- ZIP Ioméga
16:07 Publié dans Anecdote, Culture, Histoire de la Médecine, Histoire de l'informatique, Humour, Informatique, Informatique Médicale, Internet, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Médecine, Potins, Santé, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (0)
23/10/2021
L’iPod à 20 ans !
Steve Jobs présente l'iPod le 23 octobre 2001
L'iPod est un baladeur numérique de l'entreprise multinationale américaine Apple, lancé le 23 octobre 2001.
C’est, jour pour jour, son vingtième anniversaire.
L’histoire de l’iPod :
La présentation de l’iPod par Steve Jobs le 23 octobre 2001 :
20:12 Publié dans Actualité, Culture, Economie, Histoire de l'informatique, Informatique, Internet, Le mot du jour, Loisirs, Musique, Potins, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
Quand la fibre s’invite à la maison, vive le THD (Tés Haut Débit)
Hier, Sogetrel est venu à la maison pour installer la fibre.
J’ai attendu longtemps, peut-être « un peu trop » longtemps, car je préférai que ce soit les autres qui essuient les plâtres.
Le résultat est concluant.
Le débit annoncé par Orange est le débit que j’ai mesuré :
Capture d'écran - Double clic pour agrandir
En débit descendant, je suis passé de 7,5 Mb/s à 404,6 Mb/s (Orange me promettait 400 GHz) et ce pour le même prix (abonnement Open 10 Go Fibre chez Orange).
Vive le THD (Très Haut Débit) !
Il ne me restait plus qu'a configurer la Livebox 5. Ce fut fait facilement pour le téléphone, la Wi-Fi, mon répéteur NETGEAR WN3100RPv2 - Répéteur Wifi N300 (qui supporte la Wi-Fi 802.11 b/g/n mais n'utilise que la fréquence 2,4 GHz) ; il ne me me reste plus que la Chromecast, mais pour l’instant je me casse les dents. J'ai réussi à réinitialisé la Chromecast (en appuyant sur le bouton que je viens de découvrir sur un tuto), il ne me reste plus qu'à configurer la Cheomecast, pour cela j'en suis à regarder des tutos sur mon pote YouTube : je commence à avoir quelques lueurs... Affaire à suivre.
Moralité : J’aurai dû faire poser la fibre avant le premier confinement de la COVID, je n’aurais pas attendu longtemps, très longtemps pour télécharger les fichiers notamment pour les devoirs de ma fille.
Nul n’est parfait.
10:47 Publié dans Anecdote, Histoire de l'informatique, Informatique, Internet, Le mot du jour, Loisirs, Potins, Science, Société, Télévision, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (0)
19/09/2021
Tin Toy
Après l'histoire de la médecine et l'histoire de la physique, nous allons aborder, maintenant, une page d'histoire de l'Informatique.
En 1985, à la suite d'un conflit avec John Sculley qu'il avait pourtant recruté au poste de directeur général, Steve Jobs est viré d’Apple, la société qu’il a créée le 1er avril 1976 avec Steve Wozniak et Ronald Wayne.
Steve Jobs crée, alors, en 1985, NeXT* et rachète Pixar à Geoges Lucas en 1986.
Tin Toy est un court métrage d'animation américain des studios Pixar réalisé par John Lasseter en 1988. Le nom de Steve Jobs apparait dans le générique de fin.
Tin Toy obtient l’oscar du meilleur court métrage d'animation 1989.
Et, maintenant, le film !
Une vidéo montrant comment a été fabriqué ce film d'animation.
*NeXT est finalement rachetée, en 1996, par Apple qui recherchait un nouveau système d’exploitation pour ses ordinateurs Macintosh (Rhapsody vient d'OPENSTEP). À la suite de ce rachat, Steve Jobs se retrouve propulsé à la tête d’Apple et place, rapidement, les hommes-clés de NeXT (Avie Tevanian, Bertrand Serlet, Jean-Marie Hullot, Jon Rubinstein...) aux principaux postes de responsabilité chez Apple.
Références :
- Apple
- Pixar
- Tin Toy
- NeXT
12:16 Publié dans Anecdote, Art, Cinéma, Culture, Film, Histoire de l'informatique, Informatique, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
17/09/2021
La spintronique et le disque dur
Clic droit puis clic gauche sur "ouvrir l'image dans un nouvel onglet" dans le menu déroulant pour agrandir l'image
C’est en faisant des recherches sur la physique quantique, et plus particulièrement sur le spin, que je suis tombé sur la vidéo en fin d’article.
Cette vidéo parle de la spintronique.
C’est grâce à cette technologie appelée spintronique que les capacités de stockage des disques durs n'ont cessé d'augmenter ces dernières années.
La Spintronique, ou électronique de Spin, désigne le fait de se servir des électrons, qui ont une masse et une charge, et qui possèdent une autre propriété : un spin. A l’intérieur de la matière des disques durs se trouvent des petites boussoles, ou aimants, dirigés soit vers le haut soit vers le bas. Si leur pôle nord est orienté vers le haut, cela donne un 0, et s’il est vers le bas, cela donne un 1.
C'était en 1988, à Orsay, au sud de Paris. Albert Fert travaillait sur les propriétés du spin de l'électron, une propriété magnétique que l'on assimile à celle d'un petit aimant qui pourrait prendre deux positions. Il découvre un phénomène très curieux : une énorme augmentation de résistance électrique dans des couches ultrafines de matériaux ferromagnétiques soumises à un champ magnétique, même faible. Baptisée magnétorésistance géante (en anglais GMR pour Giant MagnetoResistance), cette propriété a pu rapidement être exploitée par l'industrie informatique : c'est grâce à elle que fonctionnent les têtes de lecture des disques durs. Avec ces têtes dites magnétorésistives, leur capacité s'est mise à grimper en flèche. L'électronique de spin, ou spintronique, à peine née, avait conquis ses lettres de noblesse.
Une tête de lecture de disque dur GMR est comparable, dans sa structure, à une tête magnétorésistive. L'écriture continue à être assurée par une tête inductive. La lecture, quant à elle, repose sur le phénomène de Magnétorésistance géante, découvert par deux équipes de physiciens dirigées respectivement par Albert Fert (français) et Peter Grünberg (allemand) qui reçurent conjointement le prix Nobel en 2007. Ce phénomène se résume ainsi : lorsque le spin d'un électron est parallèle à l'orientation du champ magnétique du matériau dans lequel il se déplace, ici le disque dur, une faible résistance électrique est engendrée, par contre lorsque le spin est de direction opposée on observe une forte résistance.
Références :
09:02 Publié dans Histoire de l'informatique, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Science, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
31/05/2021
Comment Linus Thorvalds à découvert Linux : un hasard accidentel
Un livre à lire toute affaire cessante*
Tout le monde connait la découverte accidentelle de la pénicilline par sir Alexander Flemming en 1928. A son retour de vacances, ayant laissé des boites de Péti, il s’apperçu que, sur les cultures de bactéries, celles-ci étaient détruites, autour d’un développement d’une moisissure : Pénicillium Notatum, d’où le nom de Pénicilline.
Moins connue est la découverte accidentelle, elle aussi, du vaccin du choléra des poules par Pasteur en 1879. Pasteur,lui, aussi, à son retour de vacances, se rendit compte que sa culture de la bactérie responsable du choléra des poules, en vieillissant, avait trans formé cette bactérie en une forme atténuée.
Mais ce que l’on ne connait pas, c’est comment Linus Torvalds découvrit, accidentellement, lui aussi, le noyau du Système d’Exploitation qu’il appela Freaks mais qui, en définitive, s’appellera Linux.
Le développement du noyau Linux trouve son origine au début des années 1990. Linus Torvalds est alors étudiant à l'université d'Helsinki, par pur plaisir, il s'est procuré une machine dotée d'un processeur Intel 80386, l'un des premiers à avoir un jeu d'instruction 32 bits accessible au grand public. Il a acquis la documentation relative à ce processeur et le système d'exploitation Minix avec le livre d'Andrew Tanenbaum sur les systèmes d'exploitation pour profiter des performances de sa machine et acquérir de nouvelles compétences sur les systèmes Unix. Cependant, Linus Torvalds trouvait l'émulateur de terminal de Minix trop rudimentaire, comme d'autres choses dans ce système. Il décida, donc, d'écrire un émulateur de terminal notamment pour accéder aux machines de l'université.
Cet émulateur de terminal prend de l'importance et commence peu à peu à remplacer Minix au sein de son ordinateur.
Cependant, à la suite d'une erreur de manipulation, il détruisit la partition contenant Minix et prit la décision de tout continuer sur cet émulateur de terminal.
Au bout de quelques mois, ce logiciel devint un véritable noyau de système d'exploitation. Il décida de l'appeler Freax : freak pour sa bizarrerie et x pour Unix.
Le 25 août 1991, il annonce sur le forum Usenet news:comp.os.minix le développement du noyau Linux.
Il diffusa le code de son travail à quelques privilégiés au début, dont Ari Lemmke, qui lui ouvrit un compte FTP sur le site de l'université pour diffuser quand il voudrait son travail. Cependant, ce dossier de stockage fut nommé « Linux » et ce nom a été conservé depuis.
*En mettant de l’ordre dans ma bibliothèque, je viens juste de le retrouver.
Références :
- « Pourquoi Fleming n'a pas inventé la pénicilline »
- « Alexander Fleming : biographie courte, sa découverte de la pénicilline »
- « Pasteur et la découverte du vaccin contre la rage »
- « Linus Torvalds »
- « Il y a 28 ans, Linus Torvalds annonçait Linux sur le fil comp.os.minix »
00:12 Publié dans Anecdote, Culture, Histoire de l'informatique, Informatique, Internet, Potins, Science, Société, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (0)