22/09/2015
Phénomène de foire : Zlata, la femme la plus souple du monde
Pour rester dans le domaine des anomalies humaines dont j'ai parlé dans mo articles précédent, je vous propose de voir, maintenant, le cas de Zlata.
En effet, autrefois, certaines anomalies médicales étaient exposées dans les foires, ce qui permettait aux intéressés de vivre de leur maladie.
C'est le cas de Zlata.
Zlata ((de son vrai nom Julia Gunthel aka Zlata) est la femme la plus souple du monde.
Zlata est extrêmement souple car elle est atteinte d'un syndrome rare, le syndrome d'Ehlers-Danlos.
Ainsi, Zlata est un phénomènes de foire.
Orphanet est un site internet qui répertorie les maladies rares.
Site internet Orphanet du syndrome d'Ehlers-Danlos classique.
Zlata répétant son numéro de cirque
Le site de Zlata : "The Worlds most flexible Woman".
00:38 Publié dans Anecdote, Histoire de la Médecine, La pensée du jour, Le mot du jour, Le site du jour, Magie, Médecine, Santé, Science, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (1)
21/09/2015
Le questionnaire de l’A.R.S
Je reçois, au courrier, ce matin, une lettre de l’A.R.S. (Agence Régionale de Santé) me demandant de remplir un formulaire.
Il y a, quand même une enveloppe T pour la réponse.
Ce questionnaire me prendra la bagatelle de cinq minutes de mon temps ; et de rajouter la précision, un peu comminatoire, suivante:
A retourner sous quinze jours (souligné et…en gras) !
Je trouve ce procédé, pour le moins, cavalier.
15:58 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Economie, Histoire de la Médecine, Honte, Le mot du jour, Médecine, Politique, Potins, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (1)
Luette bifide
Luette bifide
Luette normale
Ce matin, à la consultation, à l’examen d’un adolescent de 14 ans que je vois pour un syndrome grippal, en lui regardant la bouche, j’eus la surprise de voir une luette bifide.
La luette bifide, est une luette fendue en deux, c’est une anomalie congénitale. C'est une maladie rare*.
Dans ce cas, il peut y avoir, aussi, associées, d’autres malformations congénitales.
*Site des maladies rares : Orphanet.
Pour la bifidité de la luette lien ICI.
Un des maître de la tératologie : Étienne Geoffroy Saint-Hilaire.
10:57 Publié dans Anecdote, Histoire de la Médecine, Le mot du jour, Le site du jour, Médecine, Photographie, Santé, Science, Société | Lien permanent | Commentaires (2)
15/09/2015
L.E.J.
Hasard plus ou moins voulu par YouTube, en tapotant sur YouTube "Vielle à roue", pour écouter quelques morceaux de vielle à roue dont je parlai dans mon post précédant : "Vielle à roue", je tombe sur L.E.J - SUMMER 2015.
J'écoute, intrigué, cet air remarquable mais surtout cette interprétation fascinante.
Encore une découverte de musiciens sur YouTube !
"L.E.J (abréviation des premières lettres des prénoms Lucie, Élisa et Juliette1), également orthographié Elijay, est un trio musical chant, percussion et violoncelle. Ces trois étudiantes françaises originaires de Saint-Denis connaissent un succès inattendu en août 20152, grâce à leur vidéo postée sur YouTube dans laquelle elles reprennent onze extraits de tubes planétaires (tels que Lean On de Major Lazer feat. MØ ou encore Bitch Better Have My Money de Rihanna)."
Wikipédia.
Il est à prévoir que c'est un groupe d'avenir si les petits cochons ne les mangent pas.
22:22 Publié dans Art, Le site du jour, Musique, Société, Vidéo, Web | Lien permanent | Commentaires (5)
13/09/2015
Il ne faut pas confondre entendre et écouter une chanson
Quand une chanson possède une superbe mélodie, dans la grande majorité des cas, on entend la musique mais on écoute pas les paroles, surtout quand elles sont dans une langue étrangère.
Deux exemples :
Le premier en anglais,
"Gimme! Gimme! Gimme! (a Man After Midnight)" - ABBA.
Le scénario est très simple et très classique :
Une jeune femme, par un vent d'automne, est seule et triste le soir.
Elle aimerait avoir un homme à ses cotés pour chasser ses idées noire.
Mais personne ne vient.
Le deuxième, en espagnol,
"Hijo de la luna" - Mecano
Si on lit les paroles traduction en français, on découvre, en filigrane, le sens de cette chanson.
Le scénario traite de l'amour d'une femme pour une femme.
Bref, de l’homosexualité féminine,
De façon délicate entre l'envie et la honte vis à vis du regard de l'autre,
Dans la chanson on n'en est pas encore à la libéralisation de l'homosexualité, mais cette chanson militante voulait faire bouger les choses.
02:08 Publié dans Culture, La pensée du jour, Loisirs, Musique, Politique, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
04/09/2015
Une allergie aux sulfites où de l’intérêt d’avoir un smartphone
Patiente de dix neuf ans, nounou, vient me voir car elle présente des rougeurs quand elle boit un peu de vin : rosé et champagne.
C’est, de toute évidence, une intolérance aux sulfites.
Et elle, de montrer une photo sur son smartphone, où, l’évidence de l’interrogatoire, est confirmé par la photo
Il est intéressant de noter que l’évolution de la technologie permet, ainsi, de faire des diagnostics médicaux.
18:02 Publié dans Anecdote, Histoire de la Médecine, Histoire de l'informatique, Informatique, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Photographie, Potins, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le numérique tue la classe moyenne"
"Les tâches répétitives sont tuées par le numérique" sic.
Les tâches répétitives sont, essentiellement, effectuées, entre autre, par les ouvriers, et certains cadres C de la fonction publique.
Si le numérique ne tue pas les professions libérales qui en font partie intégrante, maintenant, de la classe moyenne, il augmente son temps de travail et ses charges (ordis, logitiels...),
"O tempora, o mores".
10:21 Publié dans Actualité, Citation, Economie, La pensée du jour, Politique, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
Un vélo fou
Ce matin, en allant bosser, je marchai à un train de sénateur tout en admirant les belles pierres de Grandvilles illuminées par le soleil automnal du matin.
Quand soudain, à l’angle d’une rue, un vélo fou, allant à toute berzingue, faillit m’emboutir.
Décidément, de nos jours, les vélos se mettent, de plus en plus, a avoir une mauvaise conduite.
09:33 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Musique, Politique, Société, Sport, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
03/09/2015
L’évolution écologique de Grandville, sa mutation cosmopolite. Une analyse personnelle du Docteur Sangsue
De plus en plus, en se promenant, le « Grandvillien » est frappé par le nombre de langues qu’il lui arrive d’écouter.
En outre, y a, de façon d’une concomitante et dramatique, une disparition progressive de l’accent typique à Grandville et, pire, de la disparition totale de son patois local par la « New Génération ».
Grand ville devient, de plus en plus, une ville cosmopolite.
Ceci étant voulu, délibérément, par nos politiques.
Il est logique, alors, que Grandville, depuis peu classée au patrimoine mondial de l’humanité, devienne, de facto, une mégalopole.
Une mégalopole implique un entassement des « Grandvilliens ».
Cela implique, aussi, une « Pariniasisialisation » de Grand ville, avec tous ses inconvénients que cela représente pour les « Grandvilliens ». Plus de déplacements personnels en voiture au profit des déplacements en communs si inconfortables voire inhumains aux heures de pointe.
Le centre de Grandville devenant de plus en plus inabordable aux voitures.
Pire, il y a une volonté de faire disparaître de plus en plus le places de parking pour forcer le « Grandvillien » à avoir un garage où à vendre sa voiture.
Bref, la qualité de vie des « Grandvilliens »chutant de façon drastique, l’agressivité ne cesse de monter.
Plus la population s’accroit, plus la pollution augmente inexorablement
Ce phénomène illustre bien, pour moi, « l’écologie malthusienne ».
En économie, on parle de décroissance.
L’idéal , bien évidemment, si on s'en tient à cette théorie, serait une une décroissance de la population (comme en Chine qui est devenue, avec cette politique là, très rapidement la deuxième puissance économique mondiale.
Le malthusianisme, dont les détracteurs avancent comme argument le fait que l’homme s'adapte toujours aux changements écologiques
Mais la terre, elle, étant inextensible...
A moins de coloniser la mer, nous sommes bien mal partis.
P.S. : Il ne faut pas confondre l'écologie (science) avec l'écologie politique.
"L'écologie scientifique (oikos (maison, habitat) et logos (science)), est la science qui étudie les êtres vivants dans leur milieu et les interactions entre eux".
14:20 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Histoire, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Paris, Politique, Potins, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (6)
01/09/2015
Et soudain, une commerciale, pas commerçante, me raccroche au nez
Pas plus tard qu’aujourd’hui, coup de fil d’Orange qui assure ma téléphonie professionnelle.
La commerciale me propose un tarif préférentiel au niveau du téléphone.
Elle me demande :
- Qu’elle est votre box ?
- Ma box n'est pas chez vous.
- Au niveau de la téléphonie ?
- Jj’envisage de me mette en dégroupage total avec mon F.A.I., qui, lui aussi, assure une téléphonie, qui, elle, est gratuite.
- Je ne vous le conseille pas, il peut y avoir des bugs.
- oui mais je peux revenir chez Orange.
- C'est beaucoup plus difficile.
- Je vais réfléchir.
Et elle, de me raccrocher au nez.
C’est ça le nouveau commerce.
15:21 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Economie, Honte, Informatique, Internet, La pensée du jour, Potins, Shopping, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (12)
26/08/2015
Les émissions de télévision préférées du Docteur Sangsue
Site official de Gueluck : http://www.geluck.com/
Comme je vous le disais dans mon article « Séméiologie Médicale et séméiologie Boulangère, une démarche comparable selon le Docteur Sangsue », quand je rentre chez moi, le soir, pour ma divertir et me laver le cerveau, j’aime regarder, à la télévision, dans l’ordre, les émissions suivantes qui enchaines parfaitement :
- « Bienvenu à l’Hôtel » sur TF 1 ». Cette chaîne, diffuse, à la même heure, aussi, ce même type d’émission, sur les chambres d’hôtes et les campings,
- « Le meilleur boulanger de France » sur M 6,
- « Silence ça pousse » sur France 5.
Pourquoi, je regarde ce type d’émissions ?
- D’abord car elles sont distrayantes.
- Pour deux émissions, elles ont trait à la cuisine, très peu de temps pour la première.
Je suis particulièrement comblé par la seconde.
- Dans la première émission, il est fascinant, même si la partie « Bouffe » est très courte, de voir l’intérieur des hôtels, des chambres d’hôtes et des campings, ceux-ci nécessitant un investissement colossal.
Dans la seconde émission l’aspect culinaire est particulièrement détaillé, je vous rapporte, pour cela, à l’article dont je vous en parlais au début.
La troisième étant particulièrement intéressante par ce que l’on y apprend et par le goût de Stéphane Marie.
Voila pour mes émissions d’avant les infos.
Outre les films proposés par toutes les chaînes, Deux chaines sont très intéressantes par leurs émissions de fond, où l’on apprend vraiment quelque chose, ce sont Arte et France 5.
Pour les films l’après midi, mais que je ne peux, qu'exceptionnellement suivre, et encore qu’en partie, qui sont diffusés sur Arte, ce sont des films cultes. Une autre chaîne, qui peut paraitre surprenante, car on la croit réservée aux enfants, diffuse, le soir, des films anciens de très bonne tenue.
Une émission à par tout à fait fabuleuse, est « J’irais dormir chez vous » d’Antoine de Maximy sur France 5 qui nous fais voyager partout dans le monde nous montrant l’intimité des gens dans ces pays différents.
J’adore, tout particulièrement l’émission culinaire de Sarah Wiener: « Les aventures culinaires de Sarah Wiener » sur Arte, dont le concept a été littéralement copié par celle de Julie Andrieux dans son émission : « Les carnet de julie andrieux » sur France 3.
Je ne fais que citer « Top chef » sur M6 et « un dîner presque parfait », diffusé, aussi, sur M6.
Bien évidemment, toujours pour son aspect culinaire, je déguste, mais, ceci dit avec de plus en plus de retenue l’émission de Petitrenaud : « Les escapades de Petitrenaud sur France 5.
De plus en plus de réticence car, à mon goût, c’est le cas de le dire, il s’attarde trop, maintenant, aux grands restaurants parisiens qui font de très baux plats ultra top coloré et ultra top mis en scène. J’emploie le mot top, car ils, actuellement, à la mode, en cuisine, pour désigner un plat « hyper bon ».
Petitrenaud délessant, trop souvent, les chefs de province qui, hélas, se mettent, eux aussi, au goût parisien.
On a, actuellement, une cuisine qui est en traint de perdre toute son authenticité.
Je regrette, tout particulièrement, l’émission du si décrié Jean-Pierre Coffe, une forte personnalité théâtrale, qui avait crée un concept original, celui de faire une émission où le but était d’aller sur un marché pour faire les course dans le but de composer un repas et ce en faisant un budget très compétitif, et fixé à l’avance. Avant de faire les emplettes, le tour du marché était rigueur, et se terminait par un petit verre.
Je regrette tout particulièrement cette émission.
Il serait judicieux, à mon avis, de reprendre ce concept.
Bien sûr, il y a les sempiternelles informations que je regarde sur iTELE.
Plus les écrans sont plats, plus les programmes aussi, comme le dit si bien le chat de Gueluck.
Voilà les émissions qui, à mon goût, hormis les émissions politiques, que je survole, ont de l’intérêt pour moi.
20:13 Publié dans Anecdote, Ce soir à la Télé, Cinéma, Cuisine, Culture, Film, Gastronomie, Potins, Société, Télévision, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
14/08/2015
La vérité économique sur le trou de la Sécurité Sociale
Dans un blog, un confrère publie une série d'articles sur ses démêles avec la sécurité sociale.
Actuellement, la sécurité sociale fait un forcing envers les médecins.
Pour nous défendre et nous déculpabiliser, il serait utile, à mon avis de comprendre la vraie nature du "trou de la sécu".
La vraie explication économique est donnée dans cet article de Wikipédia : « Déficit de la Sécurité sociale en France ».
En conclusion, il faut, dans ce cas, avoir de bonnes sources, mais, aussi, de bonnes bases d’économie pour décrypter la vérité.
L’économie n’est jamais enseignées, ni dans le secondaire, ni dans le cursus des études médicales, seuls les étudiants en droit et, bien sur, les étudiants en économie, sans parler des énarques, ont ces connaissances là.
Inutile de dire que pratiquement toute la population française est tenue à l’écart, ce qui ne lui permet pas d’avoir des jugements critique et raisonnés dans le domaine de l’économie mais aussi de la vie politique.
La politique est avant tout dirigée par l'argent, c'est à dire l'économie.
"L'argent est le nerf de la guerre" (Cicéron).
On peut se demander, parfois, si cela n’est pas voulu délibérément.
Mais, là, je suis mauvaise langue.
15:46 Publié dans Actualité, Anecdote, Blog, Coup de gueule, Culture, Economie, Histoire de la Médecine, Honte, Internet, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Politique, Potins, Santé, Science, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
13/08/2015
L’art d’accommoder les restes de nourriture, une interprétation écologique du Docteur Sangsue
Crédit Photo : http://www.babelio.com/
Dans trois de mes précedants articles, J’aborde ce sujet important et méconnu.
- Moules à la Bordelaise façon Docteur Sangsue.
- Moules aux pommes de terre rissolées façon Docteur Sangsue.
- Moules en salade et à la persillade : une recette du Docteur Sangsue.
Certes, il y avait des méthodes pour conserver les aliments (le séchage – la dessiccation, la salaison – le sel, le sucre – la confiserie et la stérilisation – la conserve inventée par Nicolas Appert).
De nos jours, pourtant dans cette vague écologique qui nous submerge, le « recyclage » des aliments ou l’art de d’accommoder les restes est souvent méconnu.
Autre fois, la nourriture était un bien précieux. Il n’était pas question de jeter les restes des aliments qui étaient, le plus souvent, celles du matin ou celles de la veille. En effet, si l’on ne jetait pas la nourriture par la fenêtre.
Il y avait très peu de moyen pour conserver les aliments.
Une révolution est apparue avec l’arrivée des glacières (une sorte de petit meuble avec un pain de glace comme réfrigération) celui de la livraison, à domicile, de gros pains de glaces par le glacier. Cela se faisait, de préférence, avec des véhicules hippomobiles. Il ne faut pas confondre ce glacier avec celui qui vend des glaces, l’été, en borts de mer.
Il existait des recettes, fort délicieuses, basées sur cet art.
L’art d’accommoder les restes.
Une démarche écologique, comme je le disais plu haut, bien avant la déferlante qui revient de nos jours à la mode.
Nos ancêtres faisant ainsi, sans le savoir, de « l’écologie » sauvage, raisonnée mais indispensable.
11:52 Publié dans Anecdote, Comfort, Cuisine, Culture, Ecologie, Economie, Gastronomie, Histoire, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Médecine, Mots, Potins, Santé, Science, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
Elle est sale la salade
Crédit Photo : http://www.fermiers-fermieres.fr/.
Réflexion de ma fille de 6 ans et demi, dans un marché, lors de mes dernières vacances dans le Médoc : « Mais elle est sale la salade ! ».
Une pure illustration de que racontais dans un de mes articles.
Écologie, quand tu nous tiens.
08:55 Publié dans Anecdote, Cuisine, Ecologie, Economie, Gastronomie, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Santé, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
11/08/2015
Vous avez réservé ? Souvenirs de vacances bien triste cette année
Cabanes de pêcheurs authentiques d'antan.
Lors de ma dernière semaine de vacances, j’ai voulu préparer des gambas crues comme je vous l’avais dit. Pour cela, je me rendis à la ferme aquacole que j’avais découverte en son temps.
En arrivant sur les lieux, surprise, stationnait un bus. On se demande bien comment il avait pu arriver pour rouler sur l’étroite route qui menait à la ferme.
Juste devant la ferme, des gens, amassés, dégustaient des gambas en buvant un « verre » de blanc dans un gobelet en plastique. C’étaient, cela était inscrit en lettres flamboyantes sur le bus, un camping quatre étoiles qui les avaient amenés en villégiature.
Comparé à avant, cela devenait inquiétant.
La suite me donna raison.
Au comptoir, je demandais si je pouvais acheter des gambas. On me rétorqua : « avez-vous réservés » ?. Moi de dire non. La réponse fusa catégorique ment : « désolé mais nous n’en avons plus ».
Décidément, il y avait du changement, mais pas en bien cette fois.
Les campeurs venaient donc voir le lieu de culture, perdu au bout de cette route étroite, comme on visite un zoo.
Il faut dire que lors de ma dernière visite dans cette petite ville «au fin fond du Médoc», déjà, le village des pêcheurs n’avait plus de pêcheurs que de nom.
Les cabanes de pêcheurs étaient, désormais, occupées par des restaurants « couleur locale » et quelques artistes peintre.
L’aspect sauvage des lieux avait totalement disparu remplacé par une exploitation mercantile des lieux.
Autre chose dramatique, cette année, un centre commercial avait poussé non loin de ma maison de location. Fort pratique, s’il en est, mais qui, par voie de conséquence, avait fait fermer, aux alentours, la majorité des petits commerces.
Heureusement la fête au village conservait encore une certaine authenticité, avec ses cagouilles à la Bordelaise et ses cailles au raisin.
Ce fut bien là un aspect bien mitigé de mes vacances cette année.
Heureusement la mer n’avait pas changée, et, aussi, son sympathique restaurant en partie sur le sable avec sa vue magnifique sur l’estuaire.
En rentrant de vacances, en regardant la météo des plages, avec stupéfaction, je découvris, sur l’écran de ma télévision, le nom de petite cette ville perdue «au fin fond du Médoc»… Qui ne l’était plus!
L’office de tourisme avait bien joué sur ce coup. La campagne de presse était bien réussie.
Où faut-t-il donc aller, de nos jours, pour avoir un coin et authentique et sauvage ?
16:46 Publié dans Actualité, Anecdote, Blog, Coup de gueule, Cuisine, Ecologie, Economie, Fête, Gastronomie, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Shopping, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
17/07/2015
Une salade bio
Crédit Photo : http://www.fermiers-fermieres.fr/
Il y a quelques jours, j’ai acheté, chez un marchand de primeurs, une salade, une batavia.
Cela changeait des salades toutes prêtes, sous plastiques, vendues en supermarchés.
Une vraie salade, bien verte, bien fraiche, bien dure.
Rentré chez moi, je la lavai.
Et, oh stupéfaction, je tombais sur…
Une loche !
Comme autrefois, au bon vieux temps.
Avant la vague écolo, pas besoin de produits bio.
A l’époque, tous les fruits et légumes étaient frais, succulents, sains et non trafiqués.
A l’époque, il était dans la norme, outre de la terre, de tomber, sur des loches.
Enfin une salade bio en ce monde de perdition.
11:18 Publié dans Anecdote, Cuisine, Ecologie, Gastronomie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Santé, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (13)
03/07/2015
Blog en vacances juillet 2015
Comme je vous l'annonçai, enfin un repos bien mérité après une année qui fut bien difficile à gérer.
Mon blog est en vacances jusqu’au 20 juillet.
09:18 Publié dans Actualité, Blog, Le site du jour, Potins, Santé, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (1)
30/06/2015
Bientôt les vacances
Ce plan n’est qu’une lointaine illustration du nôtre.
Cela sent les vacances. Plus qu’une semaine à attendre.
Je vais pouvoir, ma moitié et moi, enfin, profiter de notre placement pour nos vieux jours, notre maison secondaire.
Cette année, nous la louons tout l’été, sauf la première quinzaine de juillet que l’on s’est réservé.
Je vous avais parlé de l’histoire rocambolesque des malfaçons lors de sa construction dans des articles précédents dont vous trouverez toutes les références ICI.
L’an dernier, elle n’a pu être louée, in extrémis, que trois semaines fin août, juste après les dernières finitions.
Enfin nos premières vacances dans notre maison.
Il faut dire qu’au fil des week-ends que j’y ai passé, je m’y sentais de mieux en mieux. Elle est vraiment très agréable à vivre. Le plan que nous avons dessiné, sans nous vantés, est très bien conçu. Et dieu c’est qu’il nous en a fait suer pour le dessiner.
Maintenant, Je comprends mieux les gens qui achètent une maison toute bâtie.
Mais dans notre cas, notre terrain étant assez étroit, pour éviter toute mitoyenneté, source de moultes soucis, il nous fallait un plan tout particulier, taillé sur mesure que nuls bâtisseurs ne pouvaient nous proposer, et c'est pour cela qu'il a bien fallu nous y coller.
Vivement les vacances.
16:48 Publié dans Actualité, Loisirs, Potins, Société, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
08/06/2015
Les pistes cyclables de Lacanau Océan, leur histoire, les lignes du Decauville et les chemins des muletiers
Crédit Photo : Lacanau Ocean.com
Quand j’avais sept ans, Je faisais, avec mon père, de longues ballades en foret, dans la Foret Domaniale de Lacanau, en rayonnant aux alentours de Lacanau Océan.
C’était, muni d’une carte d’état major dont le verso était, lui aussi, occupé par une carte différente rayée par de gros CANCELLED en diagonales (on manquait de papier dans l'après guerre) et d’une boussole marine, que nous partions à l’aventure.
Nous croisions et marchions sur d’étroites pistes cyclables en béton à l’ombre des pins, Il nous arrivait parfois, aussi, de traverser de larges pare-feux fatigants à franchir car larges et tout en sable pour éviter la propagation des incendies, quand nous marchions en plein soleil c’était une rude épreuve pour moi, jeune gamin. Heureusement, prévoyant, mon père était toujours muni d’une une gourde d’eau fraiche bien salvatrice.
Parfois, nous tombions sur des petites maisonnettes ou se pouvaient se réfugier les résiniers.
Une fois nous arrivâmes en pleine canicule sur un endroit désertique où tous les pins avaient été coupés. C’était normal, c'est ce que l'on appelle la coupe rase. Quant les pins atteignent une certaine maturité, ceux-ci sont coupés pour exploiter leur bois, puis dans un deuxième temps de permettre un reboisement.
Dans le lointain, on distinguait bien une piste cyclable avec, à ses côté, un essieu de train.
Mon père parla de Decauville sans entrer dans les d’étais, car il regardait la carte pour savoir où s’enfoncer dans la foret.
Je n’insistais pas dans mon questionnement.
Ce nom me fascinait.
Ce n’est plus tard que, grâce à Internet, je découvris qu’un Decauville est un train avec des rails d’écartement étroit servant dans l’exploitation d’une production locale, par exemple. La résine en l’occurrence.
Il me devenait donc évident de conclure que :
Les pistes cyclables de Lacanau Océan ont été construites sur les lignes du Decauville qui à l'époque ne servait qu'à transporter la résine obtenue par la technique du gemmage.
Tout au moins pour les grands axes, pour les autres, les chemins des muletiers, et, enfin, les pistes en crépins tassés (patois Landais désignant l'aiguille de pin) réservés aux résiniers.
D'ailleurs, une fois, à l'intersection de deux pistes cyclables, nous découvrîmes un fût en zinc tout taché de résine.
Que de souvenirs d’enfance sur ce simple mot !
Que de souvenirs d’enfances qui me ramènent à mon père et à ces aventures fabuleuses.
Mon histoire des pistes cyclables de Lacanau Océan vient du fait, qu'un jour, je recherchais, allez donc savoir pourquoi, ce mot, Decauville, sur le NET .
Decauville 1910
A lire aussi :
Souvenirs d'enfance canaulaise.
La naissance du surf à Lacanau-Océan.
10:19 Publié dans Anecdote, Culture, Ecologie, Histoire, Internet, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Science, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (15)
30/04/2015
Cela va être galère dans Grandville le premier mai
Cela va être galère dans Grandville le premier mai.
Hier, en attendant le tram à ma station habituelle pour aller travailler, mon œil fut attiré par une banderole formée de diodes rouges animées qui défilaient lentement. Insidieusement, elles annonçaient un scénario catastrophe.
Imaginez une métropole paralysée pendant un jour !
Et pourtant c’était ce qui était annoncé sur cette information déroulante funeste.
Pendant un jour, le premier mai, il n’y aurait ni tram ni bus dans Grandville.
Même pas de service minimum, rien.
Comment vont faire les Grandvilliens pour se déplacer ?
Et les touristes ? Car Grandville est une métropole axée sur le tourisme, de par sa ville en elle même que par le richesses de ses alentours
Et bien la Communauté Urbaine ne semblait pas s’en être préoccupée.
Il faut dire que, maintenant, les transports urbains ont étés concédés à une société privé, alors qu’avant, du temps où ceux-ci étaient gérés par la ville, un tel phénomène ne se serait jamais produit.
Cela va être galère, dans grand ville, le premier mai.
07:49 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Honte, La pensée du jour, Politique, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)