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25/02/2012

Pieds de cochon panés au four façon Docteur Sangsue : un plat de brasserie

Une brasserie est étymologiquement et historiquement le nom du lieu où est brassée la bière.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Brasserie



Cette recette est issue d’un plat de brasserie (les meilleurs plats que j’apprécie, une cuisine simple, avec de bons produits, donnant, sans prétention, une cuisine savoureuse faisant vibrer les papilles… avec une longueur en bouche).

Ingrédients :

Il faut compter deux à trois demi-pieds de cochon panés par personne. On trouve les pieds, ou commande, de préférence, chez son charcutier, on en trouve, parfois, au pire, dans certaines grandes surfaces.

Préparation :

Du vin du vinaigrier (le must) sinon, ce qui s’y rapproche le plus, un mélange à part égale vinaigre de vin vieilli en fût de chêne et vinaigre balsamique (ce qui adoucit la trop grande acidité du vinaigre du commerce, le vinaigrier donne, de nature, un vinaigre plus adoucis).

Prendre des gousses d’ail (un certain nombre permettant de recouvrir la face plate des pieds de porc). Extrudez le avec un « bon » presse ail, j’ai eu du mal à en trouver, comme on en faisait « dans le temps », on en trouve, parfois dans les super marchés.

Recouvrez les pieds d’une couche généreuse avec l’ail pressé.

Versez le vinaigre sur l’ail, salez légèrement pour extraire « les sucs ».

Cuisson :

A four chaud, enfournez vingt minutes.

Régalez vous de l’odeur, pendant la cuisson.

Vins d’accompagnement :

Personnellement, je préfère, en accompagnement, un blanc sec, type Muscadet sur lie, un Bourgogne Aligoté ou un vin des Pays Charentais ; un bordeaux blanc, simple, sec fera, aussi, l’affaire.




Bonne dégustation.

24/02/2012

La traque d’une chanson

Source : www.richardlemay.com/




Cet été, j’entendais, souvent, une chanson à la radio, non, pas sur Internet, à la radio.

La première fois que je l’ai écoutée, je me suis dis, là, il y a, enfin, quelque chose de nouveau, cette mélodie, cette voix et à un moment donné ce petit passage yodleisant.

Une pure merveille.

Et puis, à chaque passage à la radio, l'échec : je n’arrivais pas à savoir qui était cette voix chaude et puissante qui chantait cette chanson si bien roulée.

Enfin, heureusement, cette chanteuse gagne doublement les Grammy Awards 2012, c'est à cette occasion là que j'appris enfin son nom… Adèle.

Ce n’est que sur YouTube que je réussi, finalement, à savoir le titre de cette chanson si énigmatique : « Rolling in the Deep ».





22/02/2012

Capitaine abandonné : Un érysipèle bilatéral des membres inférieurs historique

Source : http://www.le-jardin-des-iris-du-barry.com/

 

Un patient me téléphone pour savoir quand il peut me voir, Cela tombe bien, je peux le voir rapidement, il a l’air un peu perdu au téléphone.


Je vois ce patient qui a entre quarante et cinquante ans.

Il me dit d’emblé, c’est grave, c’est les artères, je fume un paquet et demi par jour. J’ai mal aux deux jambes, j’ai l’impression qu’elles sont serrées comme avec une bande (de vieille peau ?), et que cela monte, progressivement, des chevilles au mollet et du mollet aux cuisses.

Je l’examine et je trouve un érysipèle bilatéral des membres inférieurs historique.

Il me dit avoir été sur Internet et avoir cru que c’était une artérite, surprenant, non ?

Il me raconte ensuite qu’il est sous SUBUTEX* (traitement de substitution pour l’héroïne) et qu’il a une hépatite C (des suites de ses piqures).

Comme il croyait à une pathologie artérielle, il avait pris 1 g d’ASPITRINE* par jour ( son raisonnement ne se tient pas trop mal)

Il n’est pas suivi par un Psychiatre.

Un Patient… abandonné par la société, qui va sur internet, donc qui a un certain niveau d’intelligence et de curiosité, certes, dépendant, (alcool tabac SUBUTEX*) qui développe un érysipèle historique, comme on n’en voit plus, d’ailleurs de nos jours, en médecine générale, c’est une maladie exceptionnelle (tout au moins là ou j’exerce).

Une HONTE. !

Laisser un patient intelligent et curieux ayant une pathologie psychiatrique grave mais pas désespérée.

Comme quoi, il faut frapper à la bonne porte pour se faire correctement soigner.

Malheureusement… Ce n’est pas son cas.

Il est classique, dans le milieu médical, de dire que les malades ayant des pathologies Psychiatriques « sérieuses » ont tendance à se faire moins suivre médicalement, et même par les Psychiatre, alors pour la médecine « tout venant »…. C'est ce que j'appelle la double peine, certains appellent ça une comorbidité et comme en pathologies "normales", il peut, déjà, y avoir des comorbidités, cela se voit aussi, bien évidemment, en pathologie "anormale" (Psy), là c'est plus que la quadruple peine, cela devient exponentiel.

Ce cas est parfaitement démonstratif.

Je lui ai posé une question : « Mais pourquoi n’êtes vous pas suivi par un psychiatre ? »

Et je le rassure sur sa pathologie, c’est un érysipèle, une cellulite, une infection qui se soigne très bien sous antibiotique.

Et je lui fais une lettre pour les urgences de l’hôpital de « la Grande Ville », car, là, le sujet me dépasse un peu, les deux jambes sont atteintes jusqu’en haut.

Quand au contexte social…

Pourvu, qu’un jour, il tombe entre les pattes d’un Psychiatre compétent.

Pauvre France !



 

Gold est un groupe de musique français essentiellement actif dans les années 1980, d'origine toulousaine.- http://fr.wikipedia.org/wiki/Gold_%28groupe%29 - Tout comme le groupe Images.

21/02/2012

Docteur, « ça me troue le cul » : Une Proctalgie Fugace : Suite

Avoir la tête sur les épaules


 

Pour lire la suite de cette histoire, mieux vaut avoir... la tête sur les épaules.


Pour faire suite a ma dernière intervention sur mon blog sur le très sujet : intéressant : Docteur, « ça me troue le cul » : Une Proctalgie Fugace, pas plus tard qu’hier, je recevais une VM (Visiteuse Médicale) du laboratoire Méda. Ce laboratoire présente, outre la BETADINE*, que l'on connait bien,  deux médicaments très intéressants dans le traitement de la maladie asthmatique : Le VENTILASTIN* et l’ASMELOR*, le premier est un bronchodilatateur comme la VENTOLINE*, le deuxième, un corticoïde inhalé, c’est surtout le dispositif qui est très intéressant vu sa facilité d’utilisation (ce qui augmente l’efficacité et l’observance).

La VM me présente, aussi,  un médicament tombé en désuétude, le CORDIPATCH* (une trinitrine en patch, ce qui est abandonné, depuis pas mal de temps, dans le traitement de l’angine de poitrine).

Pour en revenir à mon article, dans la référence, http://www.med.univ-rennes1.fr/, que je cite à la fin, le traitement de la crise dans la Proctalgie Fugace, bien qu’aléatoire, est fondé sur :

- Le salbutamol en inhalation a fait l’objet de son efficacité dans cette indication.
Il a été démontré la supériorité du salbutamol sur le placébo.

 - D’autres molécules ayant, pour la plus part, un effet relaxant sur le muscle lisse digestif, pourraient également raccourcir la durée des crises : la clonidine, les inhibiteurs calciques comme la nifédipine ou le diltiazem, et…

 - la trinitrine en applications locales ou en… patchs.

ces deux derniers modes d’administration ayant l’avantage de leur rapidité d’action.

Or, la VM me présente deux molécules dans le traitement de la crise dans la Proctalgie Fugace :

 - Le VENTILASTIN* (salbutamol)
 - Le CORDIPATCH* (patch de trinitrine)




Je ne vous dis pas la tête de la VM, quand je lui ai raconté ça !

 

P.S. : Pour la petite histoire, "ça me troue le cul" est une expression triviale qui signifie "cela m'étonne".

Source : Wiktionnaire : http://fr.wiktionary.org/wiki/trouer_le_cul 

18/02/2012

Docteur, « ça me troue le cul » : Une Proctalgie Fugace

Toucher rectal





Je soigne un patient de 25 ans, au parler « des banlieues », avec un parler direct plutôt cru, mais il est très intelligent. Il est très vif, il rentre dans mon cabinet comme une fusée et, en plus, il est hypochondriaque.


Il est là, devant moi, pour un « rhume » banal, quand soudain, il me dit après quelques mots de mise en confiance et d’empathie : de temps en temps, j’ai des douleurs qui « me trouent le cul », surtout quand je suis avec une nana, d’ailleurs je ne peux pas prendre en levrette car ça ma « troue le cul », cela limite les positions, le plus souvent, elle est sur moi.


Cela me vrille, c’est épouvantable quand ça me « troue le cul ».


Je trouvais cette histoire assez cocasse, quand, soudain, vint à mon esprit, le nom d’une maladie : La Proctalgie Fugace.


C’est, trés shématiquement, une contraction brutale des muscles de l’anus ce qui crée une douleur fort désagréable, et qui survient par crises, chaque crise durant de cinq à quinze minutes.


Je lui fait donc une lettre à un proctologue, un médecin qui, comme il le dit si bien, « troue le cul ».

Il faut se méfier du patient qui noie le poisson avec une histoire cocasse.


C’est l’histoire de l’arbre qui cache la forêt.


En médecine, on se doit d’être vigilant, et d’avoir… une bonne mémoire, car, une Proctalgie Fugace, ça cour pas les rues.




Référence : http://www.med.univ-rennes1.fr/

14/02/2012

Saint Valentin : Le Baiser de l'hôtel de ville (Robert Doisneau)

Le Baiser de l'hôtel de ville (Robert Doisneau)


"Le Baiser de l'hôtel de ville est une célèbre photographie en noir et blanc du photographe français Robert Doisneau. Prise en 1950 à proximité de l'hôtel de ville de Paris." Source : Wikipédia


Actuellement 1/3 des couples s'entendent bien psychiquement et physiquement, 1/3 des couples cohabitent et/ou ont maitresse et amant (ce fut le cas de certains hommes politiques) et 1/3 des couples ont le courage de... divorcer ; et en plus... ça coûte cher de divorcer.

les sexologues disent que l'amour ne dure que 2 à 3 ans. Je ne suis pas tout à fait d'accord, tout est une question de communication dans le couple, et on ne peut aimer que quelqu'un qu'on admire.

En dépis de ces propos mitigés.

Bonne Saint Valentin

12/02/2012

Un logiciel de mise à jour logicielle

Source : http://www.downloadcrew.co.uk/



Quand un ordinateur n’a pas la dernière version de tous les logiciels installés à bord, celui-ci est en danger, il peut exister des failles de sécurité par où vont s’infiltrer des « bestioles » malfaisantes, souvent un trojan, qui travaillera en douce, sans se faire remarquer, pouvant transformer votre ordinateur en ordinateur zombie parfois, même, mais c’est plus rare, un bon gros virus qui se fera un plaisir de mettre de l’ordre dans votre ordinateur.

Il existe une solution logicielle permettant de mettre à jour tous les logiciels de son ordinateur, y compris, bien sûr, les mises à jour de Windows et de Microsoft Office, cela marche aussi pour firefox, thundirbird….

Ce logiciel, c’est : Secunia PSI. Il est téléchargeable à cette adresse :

http://secunia.com/vulnerability_scanning/personal/

Le principe est très simple, Secunia scannera tous les logiciels installés sur votre ordinateur et vous donnera en pourcentage, le niveau de sécurité de votre ordinateur, en fonction du nombre de logiciels « up to date ».

Alors, installez-le, et préparez vous à quelques surprises, vous ne serez certainement pas à 100 %.

Si c’est le cas, alors au travail, secunia vous indiquera les logiciels à upgrader.

10/02/2012

Petites incivilités matutinales

Lever de soleil sur le Mont Vinaigriair

Source : http://patmurris.blogspot.com/


Ce matin, il devait être huit heure trente deux, en passant devant une école maternelle, bien sûr c’était un peu la cohue, cependant, un père qui amenait une petite fille de trois ou quatre ans, traversa la rue pour entrer dans l’école, quand un vélo survint et le cycliste de dire : « Attention petite fille », d’un ton réprobateur, le père, illico, de répondre, d’un ton ferme : « c’est plutôt à vous de faire attention ». Et bien, vous me croirez si vous voudrez,  mais le cycliste se mit à injurier le père.

De nos jours, les cyclistes sont pires que les automobilistes…

Quoique…

Je quittais donc la maternelle, et m’engageais sur un passage clouté, ils ne sont plus du tout cloutés d’ailleurs, ils sont zébrés, de nos jours. Je m’engageais, quand, soudain, une voiture me frôle et tourne devant moi.

En terme juridique la "qualification" de ces deux actes (l’équivalent du diagnostic en médecine), correspondent à ce qu’on appelle la non maîtrise du véhicule, dans ces deux cas, si un accident était survenus, le cycliste et l’automobiliste, auraient pu être poursuivis pour ce motif : « Non maîtrise du véhicule »*.

En un mot, quand on conduit un engin, il faut s’arrêter, c'est-à-dire maîtriser son véhicule, pour céder la priorité.

Décidément, la journée commence bien mal avec ces deux incivilités matutinales**.



* L'Article R.413-17 du code de la route prévoit ainsi une contravention de quatrième classe pour celui ou celle qui s'est rendu coupable d'un défaut de maîtrise de son véhicule ou de réduction de la vitesse.


** Matutinal : Ce qui est relatif au matin.

09/02/2012

Je ne suis, malheureusement pas, assistante sociale



Une patiente, que je ne connais, ni d’Eve ni d’Adam, viens me consulter, car cela fait six mois qu’elle a démissionné de son travail, elle est « Technicienne de surface », jolie dénomination pour dire, qu’elle lave les sols.

Elle déprime et, en plus est anxieuse. Elle a arrêtée son anti dépresseur depuis… quelques temps.

Elle a la CMU.

Elle me veut comme Médecin Traitant, nous signons donc le pacte du diable.

Je lui dis de reprendre son traitement et qu’il fallait qu’on se revoie. Cela tombe bien, me dit-elle, il va falloir remplir des papiers pour la MDPH (Maison départementale des Personnes Handicapées).

A la deuxième consultation, cela ne va pas mieux au niveau moral et anxiété. Elle me tend les formulaires de la MDPH, une liasse totalement incompréhensible, ou est le certificat médical ? Comme par hasard, elle me montre les deux pages à remplir. Je lui dis que, malheureusement, je ne pourrais pas remplir les autres pages, par manque de temps, et que la meilleure solution, si elle n’y arrive pas, c’est d’aller voir une assistante sociale.

Car je dois, aussi, dans le temps de la consultation, m’occuper de sa dépression qui dure depuis… plus de six ans ! Elle a été suivie par des généralistes et n’a jamais vue de Psychiatre.

J’augmente la posologie de son antidépresseur et de son anxiolytique et renouvelle son hypnotique. Bon l’antidépresseur, c’est bon, l’anxiolytique, en chronique, ça commence à craindre, quand à l’hypnotique en continu, là, ça craint vraiment.

Et je termine la consultation en lui donnant les coordonnées d’un Psychiatre.

Mais… Je me pose une question … est-elle malade ? Cela ne fait que deux fois que je la vois, et, lors de cette deuxième consultation qui a durée une demie heure, si, parfois, les items dépressif et les items anxieux (Trouble panique) semble évident, mais quand vous posez les critères du DSM IV-R à quelqu’un, il est facile et, parfois tentant de répondre oui.

Je ressors perplexe de cette consultation.

Une chose est sûre, elle ne veut plus travailler, mais il n’est pas impossible qu’elle ne puisse plus travailler, pour raison médicale.

Après tout, si je ne suis pas assistante sociale, je ne suis pas Psychiatre non plus. En fait, ce n’est pas tout à fait vrai, car le généraliste est, un peu, tout cela, à la fois.

Mais, quelque part, quand on est bon à tout on est… bon à rien.

Oui, perplexe, c’est le mot.

08/02/2012

De l’intérêt de voir fréquemment un patient qui consulte pour dépression

Source : http://lebypassdadeline.centerblog.net/

 

 

Dernièrement, je vois arriver un patient dont le visage me disait vaguement quelque chose.

Qu’est-ce qui vous amène ?

J’étais venu il y a un mois et vous m’aviez donné du SEROPLEX pour Dépression, je n’en ai plus depuis trois jours.

Lui faire la morale, aucun intérêt, par contre lui donner le choix entre se revoir soit dans une semaine ou bien deux semaines, c’est plus judicieux, et ça marche, il choisit deux semaines. Au moins je le reverrai et d’une part il ne sera pas à court de médicament, et d’autre part, je pourrai faire la sacro sainte « psychothérapie de soutien ». Chez moi, ce n’est pas tellement du soutient, c’est plutôt dynamique. J’ai une règle, ne jamais frapper un malade à terre (en pleine « déprime »), j’attends qu’il se remette, qu’il aille nettement mieux, et là, on s’explique, c’est alors, un peut, l’utilisation de ce que j’appelle la théorie du Tape Croupe. Dans ce cas précis, quand le patient va mieux, en amenant progressivement les choses, presque toute vérité est bonne à dire, à condition que cela fasse progressivement et que cela soit utile pour faire avancer la situation, il faut que cela booste le patient, car, là, il peut le supporter.

Dans le cas dont je vous parlai, j’avais, bien sûr oublié, ce qu’il m’avait confié un mois plus tôt. Il me fait un bref rappel de la situation : perte de son boulot de commercial, depuis il distribue des prospectus dans les boites à lettres. Sa copine de cinq ans l’a plaquée il y a six mois, il n’arrive pas à l’oublier, mais un ex amie de lycée, qu’il a rencontré, lui a fait des avances, ils se sont revus, elle lui a dis qu’il fallait qu’il oublie son ex, ils ont mis leur rencontres en stand by, mais elle lui envoie deux à trois texto par jour, entre autre, elle s’inquiète pour sa santé.

Lors de l’entretien, me vint une question anodine : Etes-vous timide ? Oui. Si je comprends bien, chaque fois ce sont vos copines qui ont fait le premier pas. C’est exact. Et ça ne vous gêne pas dans votre vie professionnelle ? Du temps ou j’étais commercial, pas trop, mais je n’aimais pas être confronté à des gens que je ne connaissais pas (c’est la définition même du Trouble d’Anxiété Sociale).

Elle peut s’inquiéter, car un des critères mineur du DSM IV-R, est l’item suivant, c’est le dernier dans la liste : Aves vous des idées suicidaires. Je réitère cette question que je lui avais posée, déjà, il y a un mois, sa réponse, beaucoup moins, mais ça ne m’est pas totalement passé.

Ma réponse dans ce cas, ce serait dommage de faire cela, surtout que dans un à deux mois, avec l’antidépresseur, votre humeur sera revenue à la normale.

Le suicide, il y a une autre formulation : « le passage à l’acte suicidaire », me fait bien moins peur qu’avant, en cas d’évaluation importante de ce risque : une seule solution, les Urgences Psychiatrique, ce qui est exceptionnel dans l’exercice de la médecine générale. Les malades à risques sont les Malades Bipolaires non équilibrés avec leur traitement et les Malades Schizophrènes. Ces patients, hormis les Bipolaires ne sont pas vus par les généralistes (car suivis par le Secteur Psychiatrique).

Pour résumer ce patients a trois préoccupations : le travail, le deuil de son ex copine et maintenir une relation avec sa nouvelle petite amie.

Je lui explique qu’il n’est pas bon de traiter plusieurs sujets à la fois, surtout quand on est dépressif.

Donc, dans l’ordre, sa nouvelle copine, son travail, le reste se fera tout seul, assez rapidement quand le traitement fera vraiment son effet.

Je dis souvent, à mes patients Psys que les antidépresseurs sérotoninergiques, empêchent de « dépenser », dans le sens de penser à côté, c'est-à-dire que, ce type de médicaments, empêchent d’avoir, tout le temps, des pensées négatives qui tournent dans la tête.

En résumé, il est important pour tout malade Psy (Etat Dépressif ou trouble anxieux de revoir le patient dans un délai d’un à deux semaines, ces patients sont rétifs à revenir toutes les semaines, il faut lâcher du lest et transiger à deux semaines.

Le médecin propose la conduite thérapeutique, si le malade ne l’accepte que partiellement, cez n’est pas la peine de prescrire un traitement médicamenteux.

Après tout, nul ne peut obliger quelqu’un à se traiter.

Mais, quand il existe des thérapeutiques efficaces… C’est dommage.

Tombe la neige

 

Une chanson de circonstance.

L'hiver est enfin arrivé.

Dans la grande ville la neige est tombée, le froid a suivi (-7, ce matin, je sais il y a pire) cette température est assez exceptionnelle "par chez nous". Par contre, la réactivité au niveau du taitement de la voirie a bien suivi, apparemment les erreurs passées ont portés leurs fruits.

Un seul inconvénient, avec la neige, le patient se fait rare et avec la baisse des températures, les pathologies aussi : le froid tue la vermine.

Vivement le dégel !

Bon courage à ceux qui sont dans de moins bonne conditions que moi.

04/02/2012

Un Médecin peut-il parler de ses soucis professionnels à ses patients ?



Dernièrement, un médecin régulateur du Centre 15, a refusé d’envoyer les pompiers chez une patiente handicapée de soixante ans, qui se plaignait de douleurs dans le dos. Cette patiente, en outre, souffrait d’ostéoporose, le diagnostic porté : tassement vertébral, il lui dit d’appeler, le lendemain, son médecin traitant.

Deuxième appel de la patiente, elle tombe sur le même régulateur, celui-ci lui dit que ce qui pourrit la médecine, actuellement, c’est les appels inutiles, et comme les médecins sont surchargé, cela engorge encore plus le système, d’où les dysfonctionnements. Certes, ce médecin régulateur n’a pas tort, les malades ne sont plus des patients, mais des impatients, qui, pour le moindre bobo, exigent une consultation d’urgence. D’ailleurs, est-il bien raisonnable qu’une angine se retrouve aux urgences (d’ailleurs le coût d’une angine traitée à l’hôpital coûte… trois fois plus cher).

Troisième appel de la patiente, elle tombe sur un autre régulateur qui, lui, envoi, un VSAB des pompiers.

La patiente décède, à l’hôpital local, d’une rupture d’une dissection de l’aorte abdominale. C’est un diagnostic assez ardu à trouver, surtout au téléphone.

Ce médecin régulateur a été condamné, pénalemnent, à six mois de prison avec sursis pour non assistance à personne en danger.

Il lui a été reproché son attitude d'entêtement et, surtout, le fait d’avoir tenu des propos déplacès, lors du deuxième appel.

Il arrive, parfois, que le médecin excédé par la dégradation régulière et constante de son métier avec un effondrement de la qualité de vie de son exercice professionnel. Cela m’arrive, d’ailleurs, rarement, et de moins en mois souvent, de me lâcher, parfois, avec certains patients.

Maintenant, je ne le ferai plus.

Et ceci pour plusieurs raisons :

 - D’abord, ça ne sert à rien, cela n’intéresse pas nos patients.
 - D’autre part, nos patients nous payent pour se faire soigner, pas pour écouter nos misères.
 - Et, en plus, si je fais une erreur médicale…

 

 

Une référence juridique : http://www.edimark.fr/

03/02/2012

Un ingénieur ingénieux : De la comparaison, hasardeuse, entre un appareil électro ménager et le corps humain



Les appareils électro ménagers, c’est un peu comme le corps humain, ça nait, ça vit et ça meurt. A une différence près, c’est que le corps humain est construit toujours de la même façon depuis des millénaires avec une qualité,  presque constante : Le hasard (l’ADN de Watson et Crick, et la nécessité (la théorie de l’évolution des espèces de Charles Darwin).

Certes, il y a, aussi, une évolution dans l’invention (don c l’évolution) des appareils électro ménagers, je n’en veux pour preuve l’invention du four à micro onde.

Mais, si la conception est la même, la qualité, elle, n’est pas au rendez-vous : Pour la qualité il faut y mettre le prix. Et, encore, la durée de vie des appareils électro ménagers n’est plus ce qu’elle était. Tout est calculé pour une durée de vie de dix ans en moyenne, quand une nouvelle technologie ne pousse pas le consommateur à renouveler son appareillage (le CD a tué le microsillon et la casette audio, le DVD la bonne vielle casette VHS).

Comme le corps humain, les pannes (on dit les maladies pour le corps humain) surviennent en début et en fin de vie. Seules les femmes consomment le réparateur médecin, entre 15 et 45 ans, en moyenne, pour les accouchements. En fait, ce n’est pas tout à fait vrai, car, comme pour l’automobile ou les pannes arrivent à 50 000 kilomètre chiffre à vérifier, je ne suis pas garagiste), les pannes, pour l’espèce humaine,  commencent, bien souvent, à apparaître vers la cinquantaine.

Bien souvent, les appareils &électro ménagés ont une conception, fonctionnelle, aléatoire qui, parfois laisse pantois ; alors que le corps humain est une pure merveille de technologie.

Ce matin, en revenant, à pied, chez moi, sur le trottoir, était déposé sur le sol, le cadavre d’un four, électrique, traditionnel. Or, délicate attention, l’ingénieur avait pensé à l’installateur, en installant deux creux bilatéraux permettant une prise facile.

Dans le mot ingénieur il y a, sous entendu, ingénieux ; combien d’ingénieurs sont loin de mériter ce terme.

Celui qui avait conçu ce four était un vrai… ingénieux.


02/02/2012

Quelques temps d’absence, avec, en plus… Une absence de Pilote



Après quelques temps d’absence je reviens, enfin,  fréquenter mon blog.

Comme vous le savez (enfin ceux qui ont l’amabilité de bien vouloir me suivre), j’ai eu quelques « petits » soucis informatiques qui m’ont contraint à upgrader (changer le processeur, la carte mère et la mémoire) d'un ordinateur de chez moi que j’avais amené à mon cabinet, mon précédant ordinateur du cabinet étant définitivement HS.

Petite anecdote, les cartes mères de nouvelles génération n’ont plus de port parallèle sur lequel se branchait mon lecteur de carte Sésam Vitale, il n’y a plus, maintenant que des ports USB. En un mot c’est comme si mon lecteur ne rentrait plus dans la prise de mon ordi remasterisé.

Heureusement il existe un adaptateur port parallèle/port USB, c’est ce que j’avais déjà acquis en prévention.

Mais, en branchant le lecteur, celui-ci n’était pas reconnu par l’ordinateur, il m’a fallu deux heures pour comprendre qu’il fallait un pilote pour que le lecteur fonctionne. Effectivement,  dans la boite de l’adaptateur, il y avait un CD-ROM que je n’avais pas vu. J’installe le pilote du CD-ROM, rien. Je vais télécharger une éventuelle mise à jour sur Internet, et, Bingo, ça marche !

En définitive, il m’aura fallut vingt jours pour que je retrouve, enfin, à peu près, mes repères.

Voilà ce qui explique mon absence, temporaire, des sites Internet, des autres blogs et de mon blog.

24/01/2012

Marché noir




J’ai bien peur que ceux qui lisent cet article, me taxent d’affreux raciste nationaliste ; j’aimerai avoir l’esprit de Desproges, ou les rimes de Brassens, pour pouvoir, éventuellement, répondre à ces gens « bien pensant ».

J’ai, dans ma clientèle, un patient blanc, pardon, un homme sans couleur, qui, célibataire, à cinquante ans, s’amouracha d’une jeune femme noire (pardon de couleur), grande et costaude, de vingt cinq ans, déjà mère de deux enfants d’une huitaine d’années.

Lors d’une réunion de famille,  avec son frère et sa femme, elle lâcha un « on va vous manger » qui resta incompris.

Elle s’était soit disant mariée, avec un blanc dont elle s’était séparée (ses enfants, elle les avait eue en Afrique).

Vint le jour du mariage… En Afrique, à l’Ambassade de France (pourquoi ? Y aurait-il une raison juridique cachée) ?

Madame fit venir ses enfants en France ; cela tomait bien, car, Monsieur n’ayant pas d’enfant, et ne pouvant pas en avoir, avait enfin la possibilité de fonder une vraie famille.

D’abord, il reconnu les enfants de la mère et apporta, d’ailleurs, à ceux-ci la stabilité nécessaire au bon développement et à l’éducation enfantine ; Madame, n’ayant visiblement pas la fibre maternelle.

Puis, petit à petit, la situation du couple se dégrada. Madame buvait beaucoup de champagne, avec ses copines, puis elle dû boire avec un copain, car, résultat des courses, elle cocua son mari, une fois, deux fois et puis chez lui, où il vint, même, séjourner, à domicile, c’est quand même plus pratique.

Il faut dire qu’il arrivait à Madame de… battre Monsieur, celle-ci étant beaucoup plus grande et plus forte que Monsieur. Logiquement, Monsieur avait peur de Madame et de ses réac tions imprévisibles.

La situation s’envenima tellement, que vint le temps du divorce, avec, comme corollaire, le versement d’une pension alimentaire bien méritée.

In fine, mon patient versa une pension alimentaire à Madame, celle-ci lui laissant ses deux enfants. C’est lui qui, maintenant, les élève tout seul, tout le monde, (mon patient et ses deux enfants), tout le monde est, enfin, au calme.

Certes, il est vrai que Monsieur a un sens à sa vie en élevant ses enfants.

J’ai entendu parler, autour de moi, de cas similaire d’aventurières, adeptes de Rastignac, venues d’Afrique pour conquérir la France. Je ne veux pas dire que ce genre de situation est généralisée, il y a, parfois, des unions réussies, mais c’est l’exception qui confirme la règle.

Je ne porte pas de jugement, ce n’est pas mon métier. Je décris simplement les faits.

Non je ne suis pas raciste ni nationaliste.

Vous ne me croyez pas ?

Une autre de mes patientes vient me voir, pas bien du tout, elle déprime sec. Son mari l’a laissée tombée, elle et ses trois enfants, pour une jeune femme « de couleur » qui accoucha, d’ailleurs, d’un enfant dont le mari de ma patiente n’était, bien évidemment, pas le père, celui-ci reconnu l’enfant ; la mère est en attente de « ses papiers ».

Je n’ai absolument aucun commentaire à tirer, j’ai, d’ailleurs dans ma clientèle, un homme noir qui a fui son pays pour des raisons de sécurité dues à la guerre civile. Il est titulaire d’un Doctorat en Géographie, il vit en situation régulière, mais a un travail déclassé par rapport à son niveau d’étude… sa fille ainée est infirmière.

Alors que dire ? Es-ce un juste retour de l’esclavagisme et du « commerce triangulaire » dont les armateurs firent leur richesse et celle des ports de transit.

Peut on rattacher ça a « l’arnaque Africaine » qui, il y a peu, pourrissait les mails ?

Je pencherai plutôt pour la version Rastignac, des aventurières arrivistes sans scrupule.

Il y a bien des blanches (et des blancs) comme cela, après tout…

Comme quoi, dans la vie, il vaut mieux perdre sa naïveté d'enfant.

18/01/2012

Dénoncé à la Sécurité Sociale : Suite




A la consultation ce matin, je vois, dans la salle d’attente, une jeune fille fluette accompagné d’un mec costaud.

Le motif de sa consultation : La prescription de sa première pilule. Elle a rendez-vous avec une Gynéco dans une semaine, mais elle ne peut attendre. Certes, je comprends bien, certes je n’ai plus tellement l’habitude de prescrire des pilules De Novo, mais, bon, j’arrive à en trouver une bonne faiblement dosée ; je lui ai donné le choix entre une pilule continue discontinue, elle a choisie une pilule continue, le bon choix à son âge ; je lui précise, que quand on ne connaît pas « bien » le partenaire l’utilisation du préservatif est plus que judicieux.

Les problèmes techniques étant réglés, je lui demande sa Carte Vitale : « Je ne l’ai pas ».

 - « Bon , je vous ferais une feuille ; Et pour l’ordonnance, quel est votre nom ? »

 - « Mademoiselle X ».

Moi de répondre illico : « Je suis vraiment désolé, mais je ne peux vous soigner, car votre père m’a dénoncé, concernant votre sœur, à la Sécurité Sociale, j’ai d’ailleurs rompu le Contrat de Médecin Traitant par lettre recommandé Accusé Réception. Comme vous le savez, je ne suis pas tenu de soigner un patient, sauf urgence, ce qui n’est pas le cas. Je ne vois plus pour vous que deux solutions, aller voir un confrère, où aller au dispensaire de Planification Familiale dont dispose la commune où j’exerce ».

Moralité ? Il n’y a pas de morale.

Ou bien l’information circule bien mal dans cette famille, ou bien je n’ose immaginer la suite…

Il faut d’abord se faire respecter, et, ensuite, et seulement ensuite, respecter les autres. Voilà, de nos jours, ce qu’il faut enseigner à nos enfants, dans cette société qui ne respecte plus rien.

On ne touche pas un système qui marche





Cette formule est aussi, et surtout, valable en informatique.

Voilà, pourquoi, j'ai été absent, quelques temps, de mon Blog.

J’ai, ou plutôt, j’avais, chez moi, trois Ordinateurs, des vieux modèles.

Mon Ordinateur numéro 4, au Cabinet Médical, me lâche la veille de la Saint Sylvestre.

Je prépare, chez moi, en catastrophe, un des vieux Ordis avec une version allégée de Windows 7, Windows 7 Starter qui passe pour consommer autant de ressources processeur que Windows XP.

Je l’amène au Cabinet, pas de connexion Internet, la carte réseau est nase.

Je le ramène à la maison.

Et, je le change pour un autre Ordi, le préféré de tous, avec Windows Starter déjà installé.

Au Cabinet médical, j’installe mon Logiciel Médical, je le fait activer, et, parallèlement, je configure la Télétransmission.

Au niveau de Windows, j’avais enlevé tout ce qui pouvait solliciter inutilement le processeur, c’est ce que l’on appelle utiliser le Software (la partie logicielle) pour booster le Système.

Il existe une autre façon d’augmenter la rapidité de l’ordinateur, c’est d’augmenter la fréquence, la vitesse du processeur, là, on touche au Hardware (au matériel). Ce que je fis.

Résultat des courses Ordinateur bloqué, impossible à redémarrer. Je l’amène de suite à mon assembleur, pour l’Upgrader (changer la carte mère, le processeur et la mémoire RAM), je l’aurai trois jours plus tard.

J’amène donc, au Cabinet le seul Ordi qui a une carte réseau qui marche, où j’ai installé l’ancienne version de mon Logiciel Médical et le Vidal, faute de télétransmettre, je peux faire les ordonnances et les certificats médicaux.

Il ne reste donc plus chez moi, hormis mon portable, qu’un seul Ordi.

Comme quoi, il vaut mieux avoir plusieurs Ordinateurs chez soi.

Mais, surtout, ne pas toucher un système qui marche !

07/01/2012

Comment un médecin peut récupérer les données sensibles d’un disque dur interne quand son ordinateur ne marche plus


Disque dur (HDD = Hard Drive Disk)




Dernièrement, le deuxième ordinateur de mon utilisation informatique, m’a lâché brutalement la veille du réveillon de la Saint sylvestre.

Le disque dur interne de de ce feu ordinateur, contenait des données sensibles : toutes les données de mon cabinet médical.

Il fallait, dans un premier temps, sortir le disque dur de la tour, facile, quatre vis à en lever et le tour est joué.

Une fois le disque dur récupéré, fallait, dans un deuxième t récupérer les données.

Une solution facile est pas chère, consistait à acheter un pack servant à monter un disque dur externe. Cela se trouve chez tous les assembleurs informatique pour, environ 15 €.

Dans un troisième temps, détruire les données. Pour cela il fallait, d’abord, formater le disque. Il existe dans Windows 7 une « Invite de Commande » (cmd, pour les initiés), qui permet différentes fonctionnalités. Pour effacer les données avec cmd, il suffit de taper, en ligne de commande : cipher/W:/X:, où X : représente le disque dur à effacer (confer mon article).

Je vous reporte à mon dernier article.

Je me retrouve donc  propriétaire d’un disque dur externe de 300 Go pour… 15 €. Mes données sont sauvegardées et mon disque dur ne contient plus aucunes données.

Elle n’est pas belle la vie ?



Disque dur externe

Comment nettoyer l’espace libre de son disque dur : la commande CIPHER – Correctif




Parfois dans nos articles, il nous arrive de  commettre des erreurs. Par exemple, en informatique, Il suffit de se tromper d’un espace, d’omette, ou d’inverser deux lettres pour obtenir  une « erreur fatale »

C’est-ce qui m’est arrivé pour mon article : Comment nettoyer l’espace libre de son disque dur : la commande CIPHER.

La formule magique à taper dans l’invite de commande (cmd), n’est pas, comme je l’ai écrit : « CIPHER/W : C » en fait, il faut taper : « cipher/w:/X : ».

Où X : est le disque dur que l’on veut effacer.

Cette nuance change tout.

Cette fonction est intéressante pour un disque dur formaté, le formatage ne supprime en rien les données stockées.

Par ailleurs, il existe des logiciels pouvant, eux aussi, détruire définitivement les données.

Mais ils sont payants... Peut-être sont-ils plus efficace.

02/01/2012

Bonne Année : Un réveillon de la Saint Sylvestre hors du commun


La veille du réveillon de la Saint Sylvestre, J’ai eu un deuil dans la famille.

Vendredi, mon Ordi de dix ans (que j’avais upgradé il y a cinq ans : changement de  processeur, de carte mère et ajout de mémoire), a rendu l’âme, il a agonisé une demie journée.

Heureusement, chez moi, j’ai de la ressource, j’ai amené mon vieil Ordi préféré (j’y ai installé Windows 7 Starter, qui est aussi léger, comme Système d’exploitation, que Windows XP, c’est ce que l’on installe sur les eeePC : les ultras portables).

J’ai débranché  mon Ordi morts, et après la toilette mortuaire, j’ai installé mon Ordi préféré, tous les fils et tout et tout, le lecteur de carte sur le port parallèle, le câble Ethernet respectivement sur les ports Ethernets de la Box et de la carte mère de Monsieur Ordi

D’abord configurer la connexion Internet, après quelques tâtonnements dans les lectures des codes de login et de mots de passe, un point positif, ça marche.

Reste à installer mon Logiciel Médical, dont je tairai le nom, car je suis en froid avec lui, actuellement.

Pas facile, il faut installer différents petits logiciels (Visual C++ 2005 et MFC 80, entre autre), avant de procéder à l’installation proprement dite de ce maudit Logiciel Médical.

Miracle, du premier coup, je peux faire la Mise A Jour (MAJ) du Logiciel. Ouf, je reporte le reste à lundi, jour de reprise, me jurant d’être à huit heure, à mon cabinet médical, pour peaufiner l’installation..

C’est ainsi que j’ai passé tout mon samedi après-midi.

Heureusement, j’avais préparé le foie gras, bien à l’avance, (il fût excellent, heureusement). Heureusement, aussi, j’ai une épouse adorable, qui a gérée la préparation du réveillon, concrètement, je l’ai très peu aidé dans cette tâche.

J’avoue avoir eu un moment de flottement au début des agapes, mais finalement, l’ambiance aidant, ce fut un réveillon particulièrement réussi.






P. S. : Il y a une suite, le lundi matin, j’ai passé deux heures au téléphone avec la Hot Line du Logiciel Médical et celle du Fournisseur d’Accès Internet pour la télétransmission.


Bonne Année 2012 et, surtout, Bonne Santé, à toutes et à tous qui lisent ces écrits avec indulgence, je les remercie de leur fidélité.

Bonne Année !