12/10/2017
Steel-drum, pan et Steel Band
Steel-Drum
Un steel-drum ou steeldrum, c'est-à-dire « tambour d'acier » en anglais, plus couramment appelé pan («casserole») ou steelpan, est un instrument de percussion idiophone.
Le steel-drum est originaire de Trinité-et-Tobago (Caraïbes) et répandu dans des orchestres steelbands, typiquement composés de plusieurs de ces instruments différents.
Un pan est fait à partir de fûts en métal de 216 litres utilisés par l'industrie pétrolière pour stocker et transporter de l'essence ou de l'huile, ou encore de la compote, des extraits de parfums.... Ils sont sectionnés et la face inférieure de ces bidons est emboutie puis martelée pour y réaliser un ensemble de facettes se comportant chacune comme une cloche. Les différentes facettes sont accordées sur une gamme tempérée.
Le musicien joue du pan en frappant ses facettes avec des petites mailloches ou "sticks".
Hôtel California - Steel band
Hôtel california - The Eagles - Original
Notez, en passant, la prestation du batteur-chanteur qui est fascinante. Chanter et jouer de la batterie ne doit pas être chose facile.
La guitare à double manche est un "engin" qui m'a toujours intrigué.
19:39 Publié dans Art, Bricolage, Culture, Ecologie, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Musique, Potins, Société, Vidéo, Voyage | Lien permanent | Commentaires (2)
07/06/2017
Windows XP le retour ! Une énorme bêtise du Docteur Sangsue
Dernièrement, j'ai invité, chez moi, mon beau frère pendant quelques jours.
Il s'y connait tant en hardware qu'en software.
A cette occasion, je lui ai donné un très vieux PC qui avait l'avantage d'être très peu bruyant, mais, comme désavantage, celui de ne plus du tout être au goût du jour, (entre autre, il ne voulait pas de Chrome).
Cela libérait mon bureau, en haut de ce vieil ordi. Mais il me restait, outre deux PC sous Windows et tournant l'un avec un core i 3 et l'autre avec un i 5, un vieux PC d'environ dix ans, un Pentium 4 - 2 GHz avec 2 Go de mémoire RAM. qui tournait très bien avec Windows XP.
Je décidais, pour libéré mon bureau de tous ces ordis, de le descendre dans... le salon et je le branchais en WiFi avec une clé USB.
Mon installation marchait très bien et je pouvais même visionner YouTube. C'est tout dire la bonne connexion avec ma clef.
Enivré par cette réussite, il me prit l'idée brillante de, à nouveau, de booster ce vieux Windows.
Avec un magnifique vieux bouquin sur Windows XP, plusieurs conseils me furent donnés notamment pas mal de conseils sur le bidouillage du Registre (les connaisseurs apprécieront). Une structure dangereuse de Windows qu'il faut aborder avec beaucoup de prudence comme si l'on marchait sur des œufs, ce n'est pas alain qui me contrarias.
Naturellement avant tout bidouillage dans le Registre il faut impérativement en faire une sauvegarde.
Vous me connaissais bien, chaque fois que j'ai été amené a à faire de telles manip je ne le fis jamais. Cette fois itou.
Après ce brillant "boostage" je me connectais à Thunderbird pour lire mes courriels : impossible. De même pas de connexion Internet avec Firefox.
Mon bidouillage sur le Registre, sans sauvegarde, me coûtait bien cher.
En reprenant ce magnifique bouquin et en revenant en arrière sur les manip du Registre concernant la connexion Internet, je retombais, enfin sur mes pieds. Ouf !
Cela me servira donc de leçon d'appliquer la sacro sainte règle : "avant tout bidouillage du Registre, fais un sauvegarde". Ce qui me permettra en cas de problème, de revenir en arrière.
De toute façon, L'idée me taraude d'installer, sur cet ordi, à la configuration encore suffisante, à mon avis, d'installer une version de Linux : Soit Ubuntu, soit Mint.
Affaire à suivre.
14:55 Publié dans Anecdote, Bricolage, Histoire de l'informatique, Humour, Informatique, Internet, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (2)
10/05/2016
Les fourmis
Mon pont de l'ascension fut particulièrement bien occupé entre activité de bricolage et activité de loisirs.
Une catastrophe me préoccupa fortement.
Le devant de ma maison est recouvert de dalles. Celles-ci, comme toutes les dalles, sont posées sur du sable (comme les pavés, d'où l'expression de mai 68* : "Sous les pavés, la plage").
Quant j'avais réceptionné les travaux, il m'avait été laissé le soin de combler, avec du sable, l'espace entre les dalles.
Or, cette année, je vis, avec stupeur, que cet espace était recouvert d'un monticule de sable avec un trou au milieu. de ce trou sortaient, rentraient et s'activaient, avec frénésie, de petites fourmis.
Des fourmilières !
Ces sales bêtes étaient en train de défaire mon travail, et, pire, avec le risque de déstabiliser mon dallage.
Il fallait agir au plus vite.
Je me rendis, donc à un Bricomachin pour demander un produit anti fourmis.
Il me fut proposé une boite en plastique de 250 ml avec le conseil de poudrer les trous.
Vu la superficie, et la toxicité du produit, je décidais, plutôt que de poudrer de diluer, selon la notice, le produit et de le pulvériser dans les fourmilières.
Je diluais précautionneusement la poudre selon la notice, et, avec un pulvérisateur, je m'attaquais aux fourmis.
Le lendemain, plus âme qui vive.
Mission accomplie.
Mais il me faudra reboucher les trous, parfois importants, avec du sable.
Il ne me restera, en plus, qu'a désherber entre les dalles.
Mais cela est une autre histoire.
Et ce sera un autre jour.
14:22 Publié dans Anecdote, Bricolage, Coup de gueule, Ecologie, Loisirs, Potins, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
04/03/2016
Une colique tenace
Hier, retenu par un "client de dernière minute", je dis client et pas patient car, en plus, il était "embêtant".
Ce patient, tout naturellement, me mit en retard pour déjeuner chez moi.
Comme je n'avais rien à croûter, je me dirigeais, en vitesse, vers le petit supermarché de quartier, et achetais du gruyère et une baguette de pain (une "serpentine", pain pas trop mauvais).
Renté chez moi, vu l'heure, je me jetais avidement sur la bouffe que je dévorais en un clin d'œil, puis repartis à mon cabinet.
Peu de temps après, une douleur épouvantable envahis mon ventre.
Cela perturba quelque peu ma consultation. mais quand on consulte, en étant concentré, la douleur disparait.
Rentré chez moi la douleur devint tenace et presque insupportable.
Je me bourrais d'antalgique pallier I (PARACETAMOL), puis pallié II (IXPRIM) sans oublier un antispasmodique que j'avais sous la main (TRIMEBUTINE). Mais ce fut sans résultat.
Je ne suis pas particulièrement hypocondriaque, comme ma tendre et douce, qui me proposa d'aller aux Urgence. Démarche totalement inutile.
Ce n'est que dans la nuit, que le doute m'envahis. Et si c'était une appendicite ? Mais cela n'y ressemblait pas trop, mais le doute...
En fait l'hypothèse la plus probable était une gastro entérite cognée, d'ailleurs la suite me donna raison.
Enfin, la démarche rigoureuse me fit prendre un antalgique fort intéressant et, qui plus est, a une action anti inflammatoire : le KETOPROFENE.
Une demi heure plus tard, la douleur céda et je pus, enfin, m'endormir.
Le pouvoir des médicaments judicieusement utilisés.
Moralité : il est parfois difficile de se soigner soi même.
09:44 Publié dans Anecdote, Bricolage, Honte, La pensée du jour, Médecine, Mots, Musique, Potins, Santé, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (2)
21/01/2016
Pas de son sous Windows 7 : Résolu par le Docteur Sangsue
Décidément mon ordi a décidé de faire des problèmes.
Le tout dernier, je n’avais plus de son. Pas de son Windows au démarrage.
1°) Je vérifiais dans « Panneau de Configuration » puis « Gestionnaires de Périphériques » Dans contrôleur audio le périphérique était reconnu. Un souci de moins.
2°) J’allais dans « Outil d’Administration » puis « services » je jetais un œil dans « Audio Windows », celui-ci était démarré. Un souci en moins.
Désespéré, je cliquais sur l’icône son dans la barre des taches (à droite) puis sur Mélangeur » et là, la soluce : le son système était à zéro. Je l’activais et oh miracle ! Le son revint.
Pourquoi chercher compliqué, alors que l’on peut faire simple.
P.S : l faut dire que je venais de mettre Flash Player à jour. La panne venait peu-être de là.
15:49 Publié dans Anecdote, Bricolage, Informatique, Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0)
19/01/2016
Un patient informaticien en herbe : le pire cauchemar du Docteur Sangsue
Pas plus tard qu’hier, il m’est arrivé trois pannes informatiques dans... la même journée pratiquement... coup sur coup !
La première était assez simple : je ne pouvais plus utiliser mon clavier. Il faut dire que c’était un vieux clavier branché en PS2.
Comme j’avais un clavier tout neuf en USB, et que, prudemment, j’en avais acheté un en prévision, je le changeais et tout rentra dans l’ordre.
Beaucoup plus préoccupant, un plus tard, je ne pus accéder à ma carte CPS (Carte Professionnel de Santé) sans laquelle je ne peux accéder à mon logiciel médical, et ceci en présence d’un patient informaticien en herbe qui était tout fier de travailler, sur sa bécane, avec Linux*.
Je téléphonais à la Hot Line, toujours en présence de ce patient « informaticien », pour explorer mon lecteur de carte verte. Le dépannage tourna court quand mon ordinateur s’éteint et que la Hot Line qui pouvais accéder à mon ordinateur à distance, me dit au bout du fil, "je n’accède plus à votre ordinateur". Et pour cause, l’écran était tout noir. J’avais beau avoir dit à l’ « informaticien » : « ne touchez à rien ».
Il me dit, alors, vous avez, ici, un interrupteur. Cet abruti avait trouvé le moyen de m’éteindre l'ordi.
On ne se méfiera jamais assez des « informaticiens » en herbe.
Du coup, il ne toucha plus rien, et, comme par hasard, je trouvais, enfin, la panne.
Puis une autre panne, la troisième : je n’accédais pratiquement plus au clic droit, jusque à ce que je comprenne que c’était une clé USB fichue qui était cause de mon malheur.
Une fois retirée, je pus enfin me servir de mon ordinateur professionnel en toute sérénité.
Moralité : On n’est jamais si bien servi que par soi même.
*Linux est un Système d’exploitation (en anglais Opérating System ou OS, en abréviation) tout comme Windows, mais, lui, étant totalement gratuit et qui, cerise sur le gâteux, est muni, toujours gratuitement, d’une suite bureautique complète.
16:22 Publié dans Anecdote, Bricolage, Coup de gueule, Humour, Informatique, Informatique Médicale, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Potins, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
28/08/2015
Pemphigoïde Bulleuse, de l’utilité et du rôle du Médecin Traitant
Pemphigoïde Bulleuse
La Pemphigoïde bulleuse est une maladie rare, c’est ce que l’on appelle une maladie maladie orpheline.
Elle atteint les personnes âgées de plus de 80 ans et se traduis par le tableau clinique que je schématise : des bulles sur la peau et des démangeaisons très importantes. Ceci pour le diagnostic positif (les signes de la cause de la maladie pour ce qui est du diagnostic différentiel.
On peut confondre cette pathologie avec la Gale. Ceci pour les diagnostics différentiels (les signes qui permettent d’éliminer toutes les autres maladies qui pourraient y ressembler).
Il est bien évident que le traitement ne peut être efficace que si l’on a trouvé le diagnostic positif (le bon diagnostic).
Exemple, le cas clinique suivant :
Une patiente de 85 ans, qui a un ulcère variqueux, est vue par son médecin traitant, pour des bulles autour de la plaie avec des démangeaisons intenses.
Pour les bulle, le médecin pense que celles-ci sont dues à l’Ulcère Variqueux . Il fait crever donc crever ces bulles par l’infirmière qui traite l’ulcère variqueux.
Pour les démangeaisons, il pense à une éventuelle Gale sans y croire. Il donne, alors, un traitement symptomatique, un anti histaminique.
Devant l’inefficacité de sa thérapeutique, il envoie, enfin, beaucoup trop tardivement, la patiente à une Dermatologue qui évoque, elle, de suite, le diagnostic : une Pemphigoïde Bulleuse. Ce diagnostic est confirmé par la biopsie cutanée qu’elle fait dès sa première consultation.
Moralité : quand un médecin se trouve devant une pathologie qui échappe à son traitement, il se doit, illico, de passer la main :
- Au bon, spécialiste,
- Et de ne pas faire un acharnement thérapeutique sauvage.
10:05 Publié dans Anecdote, Bricolage, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Le site du jour, Médecine, Mots, Potins, Santé, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (1)
13/08/2015
Quand le Docteur Sangsue décalaminait sa Mobylette
Quand j’étais plus jeune, pour aller à la fac de médecine, j’avais, comme moyen de transport, un deux roues, un cyclomoteur, une « Mobylette »* bleue à entrainement par galet. Elle ne disposait pas de volant magnétique car c'était le modèle d'avant
Elle était fort pratique.
Il était surtout adapté pour la ville. Mais on pouvait, aussi, partir à l’aventure pour aller en villégiature.
C’était un moteur à deux temps , un 50 centimètre cube bridé pour une vitesse avoisinant les 50 K/h. Il fallait mette, pour rouler, un mélange (huile dans l'essence) pour la lubrification du piston. Ce mélange était distribué par des pompes situées devant les magasins de réparateurs de cyclomoteurs.
Régulièrement, il fallait « décalaminer », enlever ce dépôt grisâtre, la calamine, déposée sur la tête du piston ; mais aussi, plus souvent, il fallait décalaminer la bougie d’allumage et régler l’écartement des électrodes grâce à un jeu de cales, tout ceci pour avoir une bonne étincelle ce qui donne le meilleur rendement et une meilleure performance du moteur avant de changer celles-ci quand elles étaient trop usagées.
Jeu de cales pour bougies
Pour cela, il fallait démonter le haut de la culasse en faisant attention à péter le joint, et nettoyer le dessus du piston pour enlever la calamine.
Cette opération s’appelait le décalaminage.
C’était une opération salissante mais distrayante et fort agréable ma foi. J'ai toujours aimé me servir de mes doigts.
J’avais alors quinze ans quand j’ai débuté à exécuter cette opération que mon père m’avait enseigné.
Ah qu’il est loin ce temps là.
Calamine sur la tête d'un Piston.
Bougie calaminée.
*Mobylette est une marque déposée de chez Motobécane.
17:36 Publié dans Anecdote, Bricolage, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
23/04/2015
Comment doubler voire tripler le vieillissement du vin selon la méthode du Docteur Sangsue
Crédit Photo : http://winefolly.com/tutorial/red-wine-color/
Quand le vin vieillit, on dit, en parlant de sa couleur, que celle ci est tuilée (ici à droite).
Loin de moi la prétention que vous puissiez en arriver là. Sauf si vous avez la patience d'attendre quelques années.
Pour un vin de super marché de deux à trois ans d'âge après la vendange, il vous faudra attendre environ... cinq ans.
Qui n'a pas rêvé, un jour, de déguster un vieux flacon comme ceux oubliés au tréfonds d'une cave.
Déjà les romains s’étaient penchés sur ce problème et avaient une façon originale de faire vieillir le vin blanc. Ils rajoutaient, au cours de la vinification, le fenugrec (Trigonella foenum grecum, ou « foin grec ») ce qui permettait de « faire vieillir un moût sans force », selon l’agronome Columelle, à qui l’on doit une recette de ce procédé cf Le vieillissement accéléré du vin.
Dans le même ordre d'idée, une méthode moderne et validée consiste a rajouter un peu de porto au vin rouge ce qui améliore considérablement sa qualité et le vieillit notablement*.
Je vous propose une méthode personnelle, une méthode originale pour doubler le temps de vieillissement du vin, c’est d’augmenter la température de stockage des bouteilles de vins.
En théorie, cette méthode est semble séduisante. Je ne sais ce qu'en pense les œnologues.
Vous pouvez toujours l'essayer sur deux bouteilles, une entreposée dans la cave, l'autre dans le cellier et faire une dégustation comparative un an après.
C’est une loi chimique qui nous donne l’explication. En effet, la chimie est fondamentale pour l’Œnologie (étude pour la compréhension et l’amélioration du vin).
Cette loi qui nous en fourni l’explication est la loi du Q10de Vant’Hoff*. Celle-ci affirme que la vitesse des réactions chimiques est multipliée par 2 ou 3 quand la température augmente de 10 degrés.
Une nouvelle formule empirique a été proposée pour exprimer le rapport existant entre la température et la vitesse des réactions chimiques, c’est la loi d’Arrhénius, dont la formule esthétique et mystérieuse est la suivante :
Pour les plus curieux, une autre théorie physique, celle des collisions, énonce que la température à deux effets sur la vitesse des réactions, d'une part, l’augmentation de la température augmente la vitesse moyenne des molécules donc le nombre de collisions, et, d'autre part, l'énergie cinétique moyenne des molécules suit la statistique de Maxwell-Boltzmann. La proportion de molécules ayant une énergie supérieure à celle permettant de débuter la réaction chimique, augmente donc avec la température.
Voilà comment il nous est possible, en appliquant une méthode pour le moins originale mais très simple à réaliser pour faire faire vieillir le vin deux à trois fois plus vite.
Si l'on passe de 10° C, température d'une cave traditionnelle ou d'une cave à vin, à 20°C (température ambiante) le vin vieillira deux fois voire trois plus vite.
Et inversement, en abaissant la température (cave à vin, réfrigérateur), cette méthode permettra de diminuer par deux, voire trois, la vitesse de vieillissement et de conserver ainsi plus longtemps le vin (ceci est applicable surtout pour les blancs).
A mon avis, si vous avez un deuxième réfrigérateur de récupération, pourquoi ne pas l'utiliser comme cave à vin, mais il ne faut pas oublier qu'un réfrigérateur assèche l’atmosphère interne et, alors, il y a un risque, qu'à la longue, cela assèche le bouchon, ceci-dit, pour cela, il faut du temps.
Naturellement, il faut absolument, éviter d'appliquer cette méthode à de très bons vins dont je situerai la barre au delà 15 €.
Bien que séduisante, cette méthode est difficilement réalisable, car, d'une part, il faut pouvoir stocker son vin dans un cellier et, d'autre part, il existe, dans un cellier, de brusques variations de températures qui sont nuisibles au vin. Tout au plus elle est plus envisageable pour les vins blancs stockés dans un réfrigérateur réglé sur 10° C à défaut d'une cave à vin.
*Quelques références :
Vieillir un vin en quelques minutes.
Fraude (fraude sur les vins) : petit lexique des fraudes et moyens de lutte.
14:47 Publié dans Anecdote, Bricolage, Cuisine, Culture, Fête, Gastronomie, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Magie, Mots, Science, Shopping, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
02/04/2015
Un cocktail long drink sans alcool : Palermo pamplemousse façon Docteur Sangsue
Ma mie, en prévision des beaux jours jours, décida, récemment, d'alléger, un peu, son poids.
Pour cela, elle ramena à la maison, un apéritif, le Palermo.
Cet apéritif a, comme avantage, celui de ne pas être calorique, car il ne contient pas d'alcool.
En effet le Palermo est un apéritif sans alcool à base de plantes.
Le trouvant un peu trop amer, à mon goût, je décidais de l'assouplir avec du sirop de pamplemousse.
Ingrédients :
- 5 cl de Palermo rouge
- Une dose de sirop de pamplemousse rose
- Trois pressions de citron liquide Pulco
- Un (ou deux zestes) de Tabasco
- 15 cl d’eau ou d'eau de seltz ou aussi de boisson naturellement pétillante type Perrier
- Deux glaçons
Préparation :
Tout est dit.
Bon j’explique pour ceux qui n’auraient pas compris. Verser le sirop de pamplemousse rose, verser le palermo, trois pressions de Pulco, un zeste de Tabasco, verser l’eau, remuer et jeter les glaçons. Déguster avec une paille.
Comment j’ai inventé cette recette ?
Avec ce qui m’est tombé sous la main dans le réfrigérateur.
Et… Ce n’est pas mauvais du tout.
Cerise sur le gâteau, comme je vous l'ai dis plus haut, c’est un apéritif sans alcool !
Par les temps qui courent, avec les contrôles croissants des contrôles d’alcoolémie, cela en fait un apéritif... qui tient la route.
Cela vous évitera de le repasser
P.S. : Bien entendu, en me rendant, par curiosité, sur le Net, après coup (authentique), je découvris que cet apéritif était un classique.
Pulco - Jus de citron
19:55 Publié dans Anecdote, Bricolage, Cuisine, Gastronomie, Humour, La pensée du jour, Loisirs, Santé, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
27/03/2015
Un médecin peut-il être son propre Médecin Traitant?
De façon purement théorique, cela est tout à fait possible.
Par contre, du coté de la sécurité du médecin, et de sa famille, s’il en est le Médecin Traitant, cela en va tout autrement.
Mais c’est surtout pour le Médecin lui-même que cela pose le plus problème.
Pour soi même, il y a moins de recul, et le retard de diagnostic pour le Médecin, lui-même, peut être important, voire très important, par négligence, pour peu qu’il y ait, aussi, des soucis surajoutés.
Illustration :
L’autre jour, j'étais en train d’interpréter un bilan sanguin, quand brutalement, je bloque sur un dosage, celui de la CRP. Deux secondes plus tard, devant le patient, qui ne s’est rendu de rien, je continue mon interprétation.
Cela craint, cela ressemble fort à un A.I.T. (Accident Ischémique Transitoire).
Trois heures après, je bégaye sur un mot.
Là, je suis mal, très mal, très très mal.
Je rentre chez moi, j’en parle à ma femme qui commence à le prendre mal, très mal. Le lendemain, elle revient avec un rendez-vous pris pour dans trois jour avec une cardiologue Praticien Hospitalier que lui a conseillé son… Médecin du Travail (comme quoi, il n’y an a pas que des nuls).
Ma femme me dit alors d’arrêter mes conn… et de prendre un Médecin Traitant.
Ce que je vais faire dare-dare, dès que cette histoire sera définitivement tirée au clair.
En attendant, je me prescrit du KARDEGIC* 300 pour éviter un nouveau "petit" soucis.
16:05 Publié dans Anecdote, Bricolage, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Maladies des Hommes Célèbres, Médecine, Potins, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)
19/03/2015
Et soudain, le Docteur sangsue plonge sous son bureau
J’avais porté un brillant diagnostic, et écrivait la lettre pour le confirmer et adopter la conduite thérapeutique vis-à-vis d’elle, quand soudain, en plein milieu de phrase, survint la panne que j’ai décrite ICI.
Devant le patient médusé, je plonge sous mon bureau, et exécute la méthode préconisée dans mon article.
Le malade de s’exclamer :
- « il faut être physique dans votre métier »
Je lui réponds d’un ton complice :
- « cela entretient la forme ».
09:51 Publié dans Anecdote, Bricolage, Humour, Informatique, Médecine | Lien permanent | Commentaires (7)
17/03/2015
Et soudain, je ne peux peux plus écrire sous Word : Résolu
Soudain, vous n’arrivez plus à écrire sur Word, vous êtes bloqué sur une lettre.
Vous pouvez essayer cette méthode très simple, quand le clavier est filaire.
Vous débranchez le clavier de l’ordinateur puis rebranchez celui-ci.
Voili voila.
1 h 44 de détente avec Glenn Gould et le Clavier Bien Tempéré de Bach.
10:43 Publié dans Anecdote, Bricolage, Informatique, Musique, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (5)
21/11/2014
Quand le Docteur Sangsue se lance dans la plomberie : Où comment déboucher un évier bouché
Crédit Photo : Marie Claire maison
L'évier de la cuisine du couple Sangsue étant bouché, le Docteur Sangsue dit à sa mie : "je vais le déboucher, mais sans utiliser de ventouse (surtout pas la mienne, tu te rend compte ! ), Je n'utiliserai pas , non plus, les produits déboucheurs. Je ferai cela comme un Pro".
Quelques instants plus tard, sa mie partie, ils se lança dans l'aventure, lui, le "grand" bricoleur.
Il démonta la bonde après avoir vidé le souk qu'il y avait accumulé dessous, mis une bassine et dévissé la bonde. Il enleva toute les saletés noirâtres qui bouchaient l'évier.
Jusque tout allait bien.
Et le Docteur Sangsue tout fier et tout content, ouvrant l'eau, se mis à nettoyer la cupule qui ferme la bonde.
Très rapidement, il fut surpris par un début... d'inondation.
Il stoppa tout, mais le mal était fait.
Il ne resta lui plus qu'à éponger la fuite.
Fort marri, il se jura, plus tard, de ne plus commettre une pareille erreur.
09:03 Publié dans Anecdote, Bricolage, Honte, Humour, Loisirs, Potins, Shopping, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (6)
08/11/2014
Comment faire une vinaigrette à l'ancienne façon Docteur Sangsue
Vinaigrier
Mon vinaigre à l'ancienne :
Il fut un temps où je faisait mon propre vinaigre avec du vin à bas prix, mais pas de la piquette, non plus. Pas de castel vin !
J'avais un vinaigrier : un petit tonneau en bois de chêne ; Au tout début il fallait faire sa mère avec un fond de bouteille de vinaigre "Tête noire", le meilleur. Cela prenait du temps. La mère contenait l'Acinétobacter Acéti, la bactérie qui transforme l'éthanol (le vin) en acide acétique (le vinaigre).
Avant tout il fallait stériliser le vinaigrier avec de l'eau bouillante. Une fois refroidi, on versait le vin au 3/4 et on l'ensemençait avec la mère.
Il était judicieux de placer le vinaigrier sur le dessus d'un meuble, à cause de la chaleur, ce qui favorise les réactions chimiques.
Il fallait attendre pas mal de temps avant de pouvant soutirer son propre vinaigre dans une bouteille à vin rouge (une bouteille verte) puis ouiller avec du vin (rajouter du vin).
Cela faisait un vin plus doux moins acide au goût inénarrable.
Après une longue exploitation il devenait indispensable de vider entièrement le vinaigrier pour enlever un dépôt au font d du vinaigrier (acide tartrique) en gardant, bien évidemment le vinaigre et la mère que l'on replaçait dans le vinaigrier.
Puis le temps passa je n’eus plus de temps de m'occuper de cette tâche fastidieuse. Je trouvais , un jour, en réfléchissant, une recette rapide pour retrouver un goût analogue à mon vinaigre d'antan.
Voici cette recette :
Dans un bol, mélanger à partie égale vinaigre de vin Tête noire et vinaigre balsamique mélanger goûter ajuster pour un goût pas trop acide, et voilà, le tour et joué. je vous jure vous avez, vraiment un vinaigre à l'ancienne digne d'un vinaigrier.
Ma recette de vinaigrette à l'ancienne :
Dans un bol une cuillère à soupe de vinaigre de vin, une cuillère à soupe de vinaigre balsamique, le quart d'une cuillère de moutarde, saler, poivrer et mélanger, rajuster au goût avant d'ajouter trois cuillères et de remélanger
Si vous voulez consulter tous mes Posts de cuisine, c'est ICI.
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08:10 Publié dans Bricolage, Cuisine, Gastronomie, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Science, Shopping, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
10/09/2014
Les mémoires d’un ancien bêta-testeur de chez Microsoft sur Windows Vista, quelques considérations sur Windows 7 et Windows 8
Le logiciel Windows Vista est un système d'exploitation propriétaire de la famille Microsoft Windows, et plus précisément de la branche Windows NT (NT 6.0), développé et commercialisé par la société Microsoft. Il a été mis sur le marché en février 2007, soit plus de cinq ans après son prédécesseur, Windows XP. Son successeur est Windows 7, sorti en octobre 2009.
Attention, Windows 7 n’est pas Windows 7, ce n’est qu’une Version 6 ! Tout comme Vista et… Windows… 8 !
On vous ment.
Cliquez sur ce lien, ou téléchargez ce fichier PDF.
Avant la sortie de 7, J’ai été, dans une période "assez" mouvementée de ma vie (cela m’a permis de m’évader dans un « autre » monde », de me mettre dans un cocon, de me protéger dans une bulle, dans une autre planète : la planète « Bêta ;-), voila, c’est exactement le terme que je cherchais.
Bêta testeur, c’est un bien grand mot, « bêta-testeur chez Microsoft ». Qu' es qu'un bêta testeur, c'est quelqu’un qui n'est pas bête, comme on pourrait l penser d'un premier abord. La définition, ICI. Je n'étais pas payé pour être bêta testeur de Windows Vista.
Mais cela m’a permis d’utiliser gratuitement une Version « bêta » de l’OS (Système d’Exploitation) de Vista en pré commercialisation, c'est-à-dire, certes, pleine de bugs informatiques, mais fonctionnelle, en fait, une version Windows 7 pendant UN AN d'utilisation de Vista ! Et cela offerte, GRATUITEMENT, par la firme de Richmond (Windows, en l’occurrence : c’est comme cela que les connaisseurs, dans le milieu de l’informatique, dénomment Microsoft).
Voir ici le lien vers la définition de la version d’un Logiciel .
L’éditeur d’un logiciel utilise des Béta testeurs pour débugger son logiciel. Le Béta testeur est un individu, une sorte de geek et s’engage, en contre partie, lorsque ceux que ceux-ci surviennent à les envoyer, à l’éditeur.
Honnêtement, je n’ai pas vu de différence fondamentale entre 7 et Vista.
Tout ce qui est dans la Version 7 de Windows a été inventé dans Vista.
Microsoft a "commis l’erreur", involontaire ou volontaire de sortir Vista trop tôt, pour corriger encore plus de bugs comme Windows 2000 ? (0S fondamental de transition où a été inventée la restauration du système) .
La seule différence entre Vista et 7, c’est qu’ils ont allégé les lignes de codes ce qui a donné à 7 une plus grande réactivité à 7.
Le politique de Microsoft, maintenant, semblerait de sortir une nouvelle version de Windows tous les deux ans, mais, sortiront-ils, comme le Système d'Exploitation Linux, une sorte de version LTS de façon plus espacée, comme dans Ubuntu, un des nombreux OS Linux, une Version dont les Mises à Jours dureraient beaucoup plus longtemps, les versions commerciale. Mis cela est une interprétation purement personnelle qui n'engage que moi.
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07/09/2014
La Totale !
Hystérectomie Totale, communément appelée : La Totale
Sujet peu ragoutant, s’il en est.
Nos ne resterons pas longtemps sur ce sujet là.
Attention, j’ai bien peur que ce post soit « un peu » technique et en rebute, de fait, certains.
Faites un effort, essayez, tout au moins la méthode Science Po, lisez en « Diago » (en diagonale).
Cependant, vous apprendrez à ménager une clé USB et un disque SSD en lisant ce post, mais, ça, certainement vous le vous le saviez déjà.
Il y aura toujours quelque chose à grappiller… (En cette période de rentrée période et de vendanges, je trouve que cette formulation est particulièrement appropriée -;).
Oui, mes chers frères, oui, mes chères sœurs il y aura toujours quelque chose à grappiller quelque part dans ce post.
Oui, reprenez avec moi tous en cœur :
En septembre, les belles grappes de raisin bien gorgées de soleil qui se transformerons par les vignerons, en ce nectar divin qu’est le vin.
Les anciens vignerons tout seuls, autrefois, isolés dans leurs chais, sont aidés, maintenant, par ces techniciens que sont les œnologues
Il semblerait, d’ailleurs qu’un des premiers œnologues soit Louis Pasteur, bien que quelqu’un ait dit, je ne sait plus qui (faites travailler Gaugaul) que Pasteur n’avait rien inventé mais tout piqué aux autres, un peu schématique et provocateur, mais disons que pour le cas de Nicolas Appert, l’Appertisation est la Pasteurisation avant Pasteur, à l’époque, certes, il n’y avait pas Gogol, mais, il est vrai, que l’orientation des travaux n’était pas dans la même optique : Appert était confiseur (le but du confiseur est de conserver les aliments), Pasteur, lui, était cristallographe (c'est-à-dire chimiste).
Le métier de l’œnologue permet de bien améliorer la qualité du vin et de « lisser », en quelque sorte, les mauvaises années. J’ai dis bien de « lisser », car, hélas, Il y aura, toujours, de mauvaises années.
Ah, ce divin nectar qu’est le vin ! Certes, oui. Mais à consommer avec modération.
Déjà dans le premier livre de la Torah (Pentateuque) et donc de la Bible, tant hébraïque que chrétienne.
C’est un peu long, vous pouvez sauter, mais cela à l’avantage, à mon humble avis, d’être très instructif, car c’est la description, déjà, des effets secondaires sociaux-familiaux de la première murge chez l’homme.
Je cite :
« Sem, Cham et Japhet étaient les fils de Noé qui sortirent de l’arche; Cham, c’est le père de Canaan. Ce furent les trois fils de Noé, c’est à partir d’eux que toute la terre fut peuplée. Noé fut le premier agriculteur. Il planta une vigne et il en but le vin, s’enivra et se trouva nu à l’intérieur de sa tente.
Cham, père de Canaan, vit la nudité de son père et il en informa ses deux frères au-dehors. Sem et Japhet prirent le manteau de Noé qu’ils placèrent sur leurs épaules à tous deux et, marchant à reculons, ils couvrirent la nudité de leur père. Tournés de l’autre côté, ils ne virent pas la nudité de leur père.
Lorsque Noé, ayant cuvé son vin, sut ce qu’avait fait son plus jeune fils, il s’écria : « Maudit soit Canaan, qu’il soit le dernier des serviteurs de ses frères! » Puis il dit : « Béni soit le Seigneur, le Dieu de Sem, que Canaan en soit le serviteur! Que Dieu séduise Japhet, qu’il demeure dans les tentes de Sem, et que Canaan soit leur serviteur! » (Genèse 9,18-27)
Rassurez vous, Il est logique qu’un autre post, plus passionnant suive très rapidement.
Or, donc, de retour de vacances, Je me suis octroyé, bien forcé, une semaine de plus de « congé sabbatique » pour une sorte de « partie de plaisir », je m‘en serai bien passé. croyez moi !
Car mon installation totale a supposée, d'abord, de changer mon "Disque Dur HDD" qui était flingué, par un nouveau Disque tout neuf, de nouvelle génération, un SSD de 250 G0.
Les SSD ont comme particularité d’être plus rapide, beaucoup résistant aux chocs et passent pour avoir une durée de vie plus longue, à mon avis, cela reste à vérifier.
Un Disque SSD travaille en mémoire Flash exactement comme les Memory Sticks.
Mon premier ordinateur avait un Disque Dur, un HDD de… 2 Go, oui, vous avez bien lu, 2 Go ! C’était en 1998.
On en est maintenant, presque, couramment avec des clés USB ayant une capacité de 64 Go !
On croit rêver !
Que de chemin parcouru depuis !
Les SDD qui tournent, eux aussi, comme les clés USB, en mémoire flash, arrivent, même, à avoir, comme maximum de capacité, actuellement, en 2014, 1 To. Oui, vous avez bien lu : 1 To ! Bon, cela coûte, certes, aux alentours de 500 €, Mais 1 To !
Lisez bien ce qui va suivre, c’est très important et très facile à comprendre :
ATTENTION : SURTOUT NE DEFRAGMENTEZ PAS UN SUPPORT EN MEMOIRE FLASH : MEMORY STICK OU SSD ; SOUS PEINE DE DIMINUER SA DUREE DE VIE !
SURTOUT PAS, JE LE REPETE, SURTOUT PAS DE DEFRAGMENTATION POUR LA MEMOIRE FLASH!
Mais ce SSD coûte quand même la bagatelle de 180 €, alors qu'un disque dur classique HDD, un SATA, 500 Go WESTERN DIGITAL BLUE ne coûte que 55 €, mais comme je peux le déclarer en note de frais et essayer de baisser de tranche d'imposition si cela est possible, mais ne rêvons pas trop cependant, en effet, pour baiser de tranche d’imposition, il faut se lever tôt !
Et puis, quand on aime la Micro Informatique et qu’on bichonne un de ses ordi, surtout, pour une fois, le professionnel, on ne lésine (pas) trop.
J’en ai profité, du coup, pour faire changer la tour. Pour 40 € j’ai un Ordi muet comme une carpe, cela me change de l’ancien. Le confort, c’est essentiel dans le travail.
Une installation totale demande un travail fastidieux.
Elle demande d’abord :
Un travail énorme et « ABSOLUMENT MI - NU – TIEUX » de SAUVEGARDE :
1°) Des données du Logiciels Médical, mais cela est très facile car ces données stick de 4 Go, cela suffit largement, car les données sont compressées, même si un nombre très important de sauvegardes sont gardées. Vous vous rendez compte, 4 Go, on ne trouve d’ailleurs plus d’ailleurs dans le commerce que des clés USB de cette capacité le maxi étant de 4 Giga !, le premier disque dur (HDD) de mon premier Ordi (un Acer Portable, en 1998 avait la capacité moyenne des Ordis Portable, pour l’époque, de la coquette valeur de… 2 Go.
2°) De NE - TO – YER !
LE PRINCIPAL ENNEMI DE L’ORDINATEUR, C’EST TOUT CON, C’EST LA POUSSIERE ! POUR FAIRE CHAUFFER ET FAIRE BAISSER LES PERFORMANCES, D’UN ORDI, Y A PAS MIEUX !
De TOUT INSTALLER sur mon "Amour de Petit Chéri d'Ordi Professionnel", que j'adore et que je hais à la fois.
ET CE, DE LA CAVE AU GRENIER !
Mon installation comprendra :
L’installation du câblage de maître Ordi
L’installation de Windows 7 Edition Familiale http://fr.wikipedia.org/wiki/Fabricant_d%27%C3%A9quipement_d%27origine - quand j’ai fait upgrader mon Ordi professionnel (changement du Processeur de la Carte Mère des Disque Durs
De la RSS Box, d’attendre la connexion Internet, puis…
De Windows 7 avec l’installation de TOUTES les MAJ (les mises à jour) depuis mon CD-ROM , je tiens à le préciser. Mon CD-ROM date de la sortie de Windows 7, le 22 septembre 2009. Il semble me souvenir avoir acquis le CD-ROM de Windows 7 Édition Familiale en 2010 en OEM quand j’ai fait upgrader mon Ordi professionnel (changement du Processeur, de la Carte Mère, de la mémoire et des Disque Durs.
Mon Logiciel Médical.
Un petit Soft qui permet de faire fonctionner mon vieux Lecteur de Carte SESAM-Vitale qui était branché sur un port série. Grâce à un adaptateur qui coûte « 3 francs 6 sous » m’a permis de le brancher sur un port USB puisque sur les nouvelles Cartes Mères, exit le port série, mais, pour ce fichu adaptateur, il faut un pilote que j’ai dû aller chercher sur Internet, celui fourni sur le CD-DOM, avec l’adaptateur, ne marchait pas !
Le Vidal
Espace Pro un petit Soft qui me permet de communiquer avec Dame Sécu et, en particulier de commander mes formulaires. Mais, aussi les deux cartes introduites dans le lecteur, via ma CPS (Carte Professionnelle de Santé et votre Catrte Vitale de vous… fliquer : de connaître vos dernières ordonnances, vs différentes consultations, les spécialistes que vous avez consultés et… les dates, bien entendu.
OUF !
Forcément il y aura bien une ou plusieurs étapes qui foireront lors de ce long périple.
Il ne me reste plus qu’à me souhaiter bon courage.
20:42 Publié dans Anecdote, Bricolage, Informatique, Informatique Médicale, Médecine, Mots, Potins, Santé, Shopping, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (7)
06/09/2014
Un retour de vacances qui s'annonce très mal : Une panne Informatique cataclysmique
Je rentre à peine de vacances, vacances qui furent, d‘ailleurs, un peu mouvementées.
Bidart, beaucoup de déception, certes la petite de cinq ans et demi était, elle, bien au calme chez son grand père, des promenades, le chien Scoubidou, les courses au supermarché, Gulli, des DVD, bref,le rêve pour elle, et pour le papy.
J’avoue, par contre, moi, avoir été fort… marri.
Le Verdon plus attrayant.
Nous récupérâmes la petite, en traversant l’estuaire de la Gironde grâce au Bac Royan - Le Verdon : petite « croisière » d’une demie heure fort rigolote qui plait toujours, autant, à son âge à la gamine. Son grand père habitant près de La Rochelle.
J’ai découvert un vin, un Médoc, coté 90 sur 100 par Parker, le château « La tour Saint Bonnet », le 2012 est à 9€ la bouteille, à boire de suite. Un vin excellent !
A Saint Vivien de Médoc est implantée une ferme aquacole de gambas. Très facile à cuisiner (attention, il faut... 80 g de sel par litre d'eau). Les gambas faites maison ont un autre goût, et la chitine, l'exosquelette de ce crustacé, est beaucoup plus dure que celles que l’on trouve chez le poissonnier ou, pire dans les supermarchés. Forcément, elles ont perdues de leur fraicheur, où, été tout simplement congelées.
Dans le marché de Soulac, le frère, le commercial du château ,nous a indiqué une sorte de restaurant atypique de là bas, au Veron, au bout du monde, une sorte de guinguette.
En allant retenir la table, au Verdon, près de cette guinguette, nous sommes tombés, par hasard, sur une fête de village, un peu comme dans l’ancien temps.
J’ai dégusté une caille bien rôtie avec une superbe réaction de Maillard superbement maîtrisée à la peau sucré, le secret était en plus de la réaction de Maillard, en elle même, dans l’arrosage avec du jus de raisin blanc, c’est lui qui lui donnait tout son goût. Le tout arrosé avec un très bon Médoc, à… 10 €. Elle est pas belle la vie !
Au Verdon, je fis découvrir, à la petite famille, le phare de Cordouan dont le début des travaux par Louis de Foix commença le 2 mars 1584.
J’y ai même fait brûlé un cierge, pour la première fois de ma vie, je l‘avoue, oui, moi, l’athée le plus total, ce qui, vous le verrez, ne m’a pas du tout, mais pas du tout, porté chance, ce qui me renforce même je ne dirai surtout même pas dans mes opinions de mécréant, d’athée le plus total.
Je ne sais pourquoi : la chapelle était sublime les vitraux extraordinaires
Comparés à ceux des m… (Excusez du peu) de ceux de la restauration de la Basilique de Soulac : «Notre-Dame-de-la-fin-des-Terres» qui a comme particularités, d’une part de se trouver sur une des voie de Saint Jacques (de Compostelle) par une voie longeant le littoral, le "chemin de Soulac", et, plus surprenant, d’avoir été ensevelie sous le sable pendant une assez longue période. C’est en fait Soulac lui même qui a été envahi par le sable, obligeant les habitants a migrer en 1741 vers le « Jeune-Soulac ».
Pour la petite histoire, un ami, m’a rapporté, qu’à Bordeaux, il a été attribué à Louis de Foix une toute petite rue, dans le quartier Mériadeck, autrefois fréquenté par les péripatéticiennes.
Voilà comment on récompense les compétences de certaines personnes. D’ailleurs, Louis de Foix est mort ruiné !
Toute sa fortune y passée dans la construction de son foutu phare. !
Il est mort ruiné comme Nicolas Appert, l’inventeur de la conserve, de la stérilisation, la Pasteurisation bien avant Pasteur, et du lait... concentré !
Allez, pour la route, une dans le même acabit !
Toujours d’après les dires de cet ami Bordelais.
Connaissez-vous l’histoire étonnante d’Alexis Millardet ?
L’inventeur de la Bouillie Bordelaise, cette fameuse bouillie qui lutta efficacement et assez écologiquement, contre le « Mildiou », une maladie cryptogamique, en gros, tout bêtement… un champignon.
Le principe actif de la bouillie bordelaise est le sulfate de cuivre. D’où sa belle couleur bleue.
Ce pauvre garçon, bien qu’il ait, lui aussi, à Bordeaux, une rue minable, a quand même sa statue dans le « Jardin Public », un jardin « chicos », cette fois, fréquenté par la bonne société, nous sommes, là dans les beaux quartiers de Bordeaux, là Madame, ça fait cher du mètre carré
Les agents immobiliers se régalent, là, ils touchent leurs « grosses commissions ».
Sur le bas de sa statue est gravé, à moitié effacé : « A Alexis Millardet, la vigne reconnaissante » ! La vigne, certes, oui, mais que la vigne !
Excellent, non ?
Malheureusement, J’avais mal organisé, très mon retour de vacances. Je fus pris à la gorge par le temps et les impondérables.
Vous verrez, le coup des câbles électrique fichus, c’est excellent. Songez-y, même moi, je n'y aurais jamais songé si je n’avais pas ramené « ORDIBURO » à mon domicile !
Je comptais faire changer mon disque dur (HDD), d’ancienne génération, par un disque de nouvelle génération, un SSD travaillant en « Mémoire Flash », exactement comme un Mémory Stick.
Malheureusement, je m’y pris un peu tard. Et, comme naturellement, il y eut quelques impondérables, et, que, en outre c’était sans compter avec ma RSS Box qui me crama, au dernier moment, entre les pattes !
Je fus obligé de faire venir un électricien spécialisé dans les branchements téléphoniques.
Comme moi, lui aussi trouva que mon Ordi ramait au démarrage, il me conseilla de « rajouter de la mémoire » et de voir un autre assembleur. Pourtant j’étais parfaitement satisfait du mien, qui bichonnait mes ordis depuis plusieurs années et avait même sur expertisé un portable explosé par la foudre qui, du coup, m’avait été très bien remboursé par l’assurance. En plus, l avait l’avantage d’être à deux portées de souris de mon Cabinet Médical.
Cet électricien, Il s’y connaissait bien plus en téléphonie et en Box qu’en micro informatique. Il m’apprit, cependant, à ma grande surprise, qu’une Box cherche toute seule son adresse IP, et, qu’en aucune mesure, tout paramétrage avec des lettres et des chiffres est totalement dépassé avec les Box de maintenant.
Je ramenais l’Ordi chez moi, et, OH, MIRACLE !
Une bête de course !
En fait, c’était les fils, mais surtout les interrupteurs qui étaient foutus à force d’être manipules, ces pauvres petites bébêtes !
Je filais au super marché le plus proche et achetais pour 23 € une multiprise et un fil pour alimenter la Box en continu.
Et je jetais les vieux à la poubelle. Ils devaient avoir bien plus de cinq ans.
Dans cette histoire là, je perdis quand même une semaine de boulot !
Et fis un mini Burn Out. Demandez à ma femme.
Je fus invivable.
Je préférais m’arrêtais, car j’étais « hors d’état de nuire » !
JE NE POUVAIS PLUS BOSSER !
La suite au prochain numéro.
04:01 Publié dans Anecdote, Bricolage, Coup de gueule, Culture, Gastronomie, Histoire de l'informatique, Honte, Informatique, Informatique Médicale, Internet, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Santé, Science, Shopping, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (7)
19/08/2014
Le Pack Domino
Crédit Photo : http://abonnez-vous.orange.fr/
Le Pack Domino est prêté gracieusement par Orange lors d’une panne Internet.
Il permet de se connecter en Wifi (il remplace les antédiluviennes clés USB Wifi).
Le Pack Domino fonctionne, maintenant, en 4 G, ce qui est loin d’être négligeable, mais…, il y a un mais, qui est de taille. Dans certains cas, nous le verrons ultérieurement.
Dans ces cas, cela le rend pratiquement inutilisable, voire totalement inutilisable.
Eh oui, même les technologies les plus ingénieuses ont leurs limites!
Dommage, c’est quand même un outil extraordinaire !
A Grand ville, j’ai, comme test de Bande Passante Descendante, avec IT espresso, 10 Méga bits/s avec le Pack Domino !
Fascinant !
Alors qu’avec ma connexion, téléphonique filaire classique, pour un abonnement à 8 Méga, je me trainais péniblement à… 6 Méga et cela avant ma dernière panne Internet !
Je décidais donc d’acheter pour 1 € symbolique un Pack Domino mais pour un abonnement qui me liais pour un abonnement d’un an à 14 € par mois. Ce qui me permettait :
1°) De pallier une nouvelle panne Internet et surtout d’avoir, enfin, une connexion décente à 10 Méga.
2°) A pouvoir bénéficier, dans toute la France, enfin, presque partout, c'est-à-dire, dans quelques endroits limités beaucoup fréquentés, un peu comme, souvenez vous de ce temps pas si lointain du temps du début des téléphones portables où «la communication ne captait pas, faute d’antennes relais».
En effet, Lors de mes dernières vacances à Bidart, c’est très péniblement que j’ai réussi, et ce, de façon très épisodique à mon Blog, pour ce qui est de poster il en était hors de question.
Cruelle déception !
Trop loin d’une antenne relai.
Bidart n’est pas une station de villégiature assez connue, c’est d’ailleurs, un peu pour cela que je l’ai choisie, car elle est un peu à l’abri de la foule des vacanciers.
J’ai toujours pensé que le touriste tue le tourisme ;-).
Lors de ma deuxième semaine au Verdon, je n’ai même pas essayé mon Pack flambant neuf. Le technicien d’Orange qui m’avait expliqué le fonctionnement de celui-ci m’avait dit qu’au bout du bout (au trou du c… du monde) trop loin des antennes relai, rien ne passait, sauf le mouettes.
J’aime bien, aussi, le Verdon.
Car... il n’y a personne.
Quand à Soulac, c’est resté une station balnéaire encore familiale, Il y a encore peu de monde, ce qui est loin d’être le cas de Lacanau-Océan, ou, là, le Pack Domino passe du feu de Dieu !
C’est tout dire !
Eh oui, on ne peut pas avoir le beurre, l’argent du beurre, la crémière et...
Bref, le Pack Domino...
Me sert surtout…
Chez moi
A Grandville !
Ou alors, il faudrait que je change mon fusil d’épaule et que j’aille en immersion dans des lieux à foultitude touristique.
Plutôt crever !
J’aime trop la nature ma tranquillité et les restaurants simples, authentiques.
A ce propos, lors de mon séjour au Verdon, j’ai découvert par l’intermédiaire d’un vendeur de vin dans le marché de Soulac, une petite guinguette FA BU LEU SE !
Il en reste encore. Profitons en vite avant que les Bobos ne les découvrent, les dénaturent bousillent le cadre, la cuisine et fassent grimper les prix et ce de façon exponentielle.
Ne comptez pas surtout pas sur moi pour vous donner son adresse !
Désolé.
C’est comme les endroits à cèpes cela se garde jalousement ;-).
15:59 Publié dans Anecdote, Blog, Bricolage, Comfort, Culture, Gastronomie, Histoire de l'informatique, Informatique, Internet, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Science, Shopping, Société, Vie pratique, Voyage, Web | Lien permanent | Commentaires (4)
05/06/2014
COMPOBAIE - Quand faire construire une maison devient un véritable cauchemar - Chapitre V
Avec le niveau rouge, la bulle n'est pas centrée : l’installation n'est pas à niveau
Dans cette maison maudite, Il m'arrivait un truc chiant, ou plutôt, pissant. Un truc répétitif, systématique et absolument insupportable.
Quand j'allais aux toilettes, l'abattant n'arrêtait pas de tomber au moment... propisse. Nous contactâmes l'entreprise du bâtiment qui nous renvoya sur le plombier. Après une visite sommaire, celui-ci me dit, texto "vous n'avez qu'à pisser assis". Ni convaincu ni content, de cette réponse peu professionnelle mais pour le moins originale, nous fîmes, au constructeur, un véritable harcèlement téléphonique avec menace de mise en demeure, si cela continuait par lettre recommandée. Au bout de... trois mois, enfin, nous réussîmes à avoir une réunion, sur place, dans les toilettes, pour constater le problème. Étaient présents, le fameux plombier humoriste, le commercial de la boite qui nous avais vendu le WC, et, nous mêmes.
Il s'avéra que le soucis venait d'un défaut du WC lui même. Il était gravement déformé, un défaut de cuisson de la céramique lors de sa fabrication.
Il fallait le changer.
Une fois de plus, qui avais raison ?
Mais, incidemment, comme entre le haut de la cuve et le bas des toilettes mettait en évidence que WC n'était pas appliqué au mur, il y avait un écart non négligeable avec le bas de la cloison, le commercial prit un niveau et nous annonça qu'il y avait un "défaut de planimétrie".
Cela voulait dire, en clair, que la cloison n'était pas droite, et, que, par conséquent, elle penchait.
Mon ami maçon le confirma.
L'erreur de planimétrie était de 1 cm/m alors que la D.T.U. ne tolérait que 0,25 mm/m !
Un peu conséquent comme erreur !
Mais l'histoire ne s'arrête pas là.
Ma femme, pris d'une idée soudaine, dit à mon copain : "Inspecte tout le mur pour voir". Et bien, vous me croirez si vous voulez, le défaut de planimétrie touchait TOUT le mur est de la façade est !
Ma femme et moi fîmes venir un plaquiste pour voir si c'était réparable. Il nous appris que les plaquistes alignaient le placo sur les huisseries, et, effectivement, celles-ci penchaient. Très rapidement il trouva la cause.
Le constructeur avait utilisé, pour la construction, un système particulier. Les ouvertures, portes, fenêtres, baies vitrées, pour des raisons de facilité et de gain de temps, étaient pré montés dans une sorte de gros encadrement en béton appelé COMBO BAIE qui étaient alors glissé dans le mur, comme une sorte de LEGO*. Le hic, c'est que le COMPOBAIE n'avait pas été posé verticalement, d'où des huisseries avec un défaut de planimétrie, défaut que reporta le plaquiste.
Verdict du plaquiste : réparation impossible.
Ma femme, qui est juriste, lui expliqua, alors, que pour préparer le travail de l'expert judiciaire (car l'affaire allait se terminer devant les tribunaux, c'était déjà décidé), il fallait présenter tous les devis de remise en l'état des différents corps de métier. C'est à dire :
- Un cuisiniste, pour démonter et remonter la cuisine.
- Un maçon, pour soulever la toiture, enlever le renforcement qui ceinturait le haut du mur, redresser les COMBO BAIES refaire lle ceinturage du mur et redérposer la atoiture.
- Un plaquiste, pour casser et refaire le placo.
- un peintre, pour repeindre les murs.
L'expert judiciaire transmettra, ensuite son rapport au juge, qui ne l'oublions pas, aura, aussi, dans son dossier, le litige du permis de construire avec le défaut d'implantation. Cela faisant, quand même, beaucoup de choses pour une entreprise du bâtiment. En général, les magistrats n'apprécient pas beaucoup ce type de fautes cumulée.
Mais...
Cependant, ma femme, en tant que juriste, m'expliqua qu'il ne fallait pas s'attendre à des miracles pour l'indemnisation. Pour une année vécue épouvantablement stressante, elle m'annonça un montant de, seulement, 20.000 €. Car, m'expliqua-t-elle, les magistrats sont plutôt du coté des entreprises que plutôt des plaignant, les entreprises générant des emplois. Vu le montant du prix de la maison, les fautes commises par l'entreprise et le Praetium Doloris c'était dérisoire.
Voila, mon histoire à rebondissement est, maintenant finie. Je sais, vous auriez bien aimé, encore, quelques autre épisodes croustillants. Mais non, il faut écrire le mot fin.
Enfin presque...
Car, ce n'est que seulement dans trois ans, si tout se passe bien, que tout sera terminé.
Une page de notre vie sera, alors, définitivement tournée.
"Quand le bâtiment va tout va !"*
Quand faire construire une maison devient un véritable cauchemar : Tous les épisodes
Chapitre I - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre II - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre III - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/05/2...
Chapitre IV - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/06/0...
Chapitre V - http://unmetiercasappend.hautetfort.com/archive/2014/06/0...
15:20 Publié dans Anecdote, Bricolage, Coup de gueule, Ecologie, Honte, Humour, Le mot du jour, Mots, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (7)