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22/09/2010

Comment nettoyer l’espace libre d’un disque dur




En ligne de commande sur l’invite de commande (démarrer-exécuter-cmd).

Taper la lige de code cipher /w:c: pour nettoyer le disque C.

Le but du jeu est simple votre ordinateur va réécrire une suite de 0 et de 1, ce qui effacera les données.

En effet, quand vous jettez un fichier ou un dossier à la poubelle, celui-ci n’est pas à proprement parlé détruit, on peut le récupérer (logiciel Recuva).

Des logiciels font aussi cela très bien, certains même, détruisent de façon « définitive » (enfin presque) les données effacées.


Nota Bene :


Une méthode plus efficace pour détruire les données d’un disque dur, c’est la destruction physique de ce disque dur (marteau).

18/09/2010

Docteur Tux

Source : http://www.marmottux.org/index.php/category/Linux

 

Rappelons que Tux est la mascotte et le logo de Linux.

Rappelons, aussi, que Linux est un système d’exploitation au même titre que Windows. En fait, c’est un peu plus compliqué que cela, car il existe un certain nombre de systèmes d’exploitations Linux, les plus connus étant : Ubuntu, Mandriva, SUSE, Fedora, Mint.

Tous les systèmes d’exploitation Linux sont basés sur le « noyau Linux » , actuellement c’est la version 2.6.35.

Le noyau linux a été inventé, en 1991, par Linus Torvalds à partir du système d'exploitation Minix lui même inventé par  Andrew Tanenbaum à partit du système d'exploitation Unix. Unix a été crée en 1969, cest Ken Thompson qui en développa la première version, ce premier système était mono-utilisateur.

 

A lire : Linus Torvalds avec David Diamond : Il était une fois Linux : L'extraordinaire histoire d'une révolution accidentelle, OEM, 2001, (ISBN 2-7464-0321-8).

 

18/08/2010

Garder ses données numériques pour plus de cinquante ans

Un vieux support de sauvegarde disparu : La disquette

 

Juste un petit intermède pendant mes vacances

 

Un article récent lu sur l’Ordinateur Individuel N° 228 de juin 2010 m’a interpellé

Le stockage des données numériques est loin d’être sûr. Le problème tient en un seul mot : sauvegarde.

Comment pourra-t-on lire ou visionner des fichiers numériques dans cinquante ans ?

Les différents modes de stockage

- CD/DVD durée de vie de 1 à 10 ans
- Memory Stick durée de vie limitée
- Disque Dur pas fiable au-delà de trois ans
- NAS (Network Attached Storage) est un stockage sur disque dur en réseau.
- Pour mémoire : Disquettes, réputées pour leur manque de fiabilité, (il n’y a, d’ailleurs, plus de lecteur de disquette dans les ordis de nouvelle génération) il est donc impossible de les lire.
- Reste enfin le stockage sur internet, mais quid de la fiabilité des entreprises qui assurent ce service.

Autre problème, la durabilité dans le temps des fichiers ; par exemple le fichier .doc de Word s’est transformé en .docx pour Word 2007.

Une solution proposée pour garder ses données tient en deux mots : sauvegarde et migration, sauvegarde sûre avec duplication voire triplication, migration tous les deux ans en recopiant les données et en adaptant le mode de lecture des données numériques en fonction de l’évolution logicielle.

Reste la sauvegarde sur… papier.

Bon courage

 

Deux références sur le Net :

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/03/31/le-...

http://www.dechezelles.fr/articles/21-3050607.html

 

12/08/2010

Contre l’e-mail spam, une association gagnante : Thunderbird – Spamihilator

Tout est dans le titre.

Si vous en avez assez du spam dans vos mails, une solution, installez les deux logiciels gratuits suivants : Thunderbird et Spamihilator.

Thunderbird à la place de Windows Mail et Spamihilator comme anti spam qui trie le bon grain de l’ivraie.

Adieu les spams.

07/03/2009

Automédication informatique d’une panne de télétransmission avec le logiciel HelloDOC, le provider Cégétel et… sous Windows Vista...

Ou comment écrire un post incompréhesible.

 

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Crédit Photo : www.generation-nt.com/

 

 

Si l’ésotérisme informatique vous rebute, passez directement à la partie soft du post ou... à la conclusion.

 

I - Première partie Hard :

Comme vous le savez peut-être, j’ai d’assez bonne notions de software et quelques rudiments de hardware. Ce qui me permet, la plus part du temps, d’être suffisamment autonome pour assurer la maintenance informatique à mon cabinet médical.

Mes compétences, pour le hardware (le Hard, pour les intimes, qui concerte le matériel informatique, tour, écran, clavier, souris et autres périphérique), vont de l’installation d’une barrette de mémoire RAM (mémoire vive), de l’ajout d’un Disque Dur (mémoire ROM ou mémoire morte), du changement d’un lecteur/graveur de DVD (mémoire ROM), jusqu’au changement de la pile du BIOS (petit logiciel vital, c’est le cas de le dire, de la carte mère). L’overclockage n’est pas mon fort, je garde en mémoire mon premier, et dernier, qui se solda par la mort de mon processeur et de ma carte mère. Il faut dire que… Enfin bon, il y a prescription.

Naturellement, les réglages basiques du BIOS, outre le réglage de la date et l’heure, la modification de la séquence de boot (comment démarre l’ordinateur à partir du CD-Rom, du Disque dur ou d’un Memory Stick), connaissances indispensables si l’on veut s’attaquer au Software.

Le Software (ou Soft), concerne la partie logicielle, l’installation et la maintenance des logiciels. Pour cela, il est important de maîtriser parfaitement le concept de partitionnement (merci Linux, de m’avoir obligé à acquérir ces compétences).

Pour respecter le modèle d’installation linuxienne, mon ordinateur est partitionné en :

Partition C :, la partition système (où est installé Windaube), que je nomme WIN_VISTA .

Partition D :, la partition de données, que je nomme DATA.

Partition E :, la partition réservée à la mémoire virtuelle ou mémoire de swap, que je nomme SWAP.

Partition F :, pour les fichiers temporaire je la nomme TEMP. Quand on installe un logiciel, celui-ci est compressé – on dit zippé – le dézippage se faisant dans un fichier temporaire ce qui permet ultérieurement l’installation à partir de ce fichier temporaire.

Le partitionnement permet de réduire la fragmentation (rappelons cependant que Linux ne fragmente pas), d’augmenter les performances, mais surtout de conserver ses données lors d’un crash Windaube.

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II - Deuxième partie Soft (enfin presque):

La dernière installation de mon Logiciel Médical HelloDOC était un peu bancale, on peut dire, très schématiquement, que HelloDOC était installé à cheval sur deux partitions (la partition système et la partition de données), je décidais donc de tout regrouper sur la partition de données.

J’avais oublié cependant un petit détail technique. Lors de ma migration sous Vista, Cégétel, mon FAI (Fournisseur d’Accès Internet) pour la télétransmission, fournissait un kit de connexion sensé paramétrer automatiquement la connexion internet, mais, s’il avait bien installé les différents fichiers, il n’avait pas réussi à paramétrer la connexion, il faut dire que j’ai une connexion internet en RTC à mon cabinet (bas débit). Sur les conseils de Cégétel, je demandais à la Hot Line d’HelloDOC de m’aider à paramétrer à la main (d’où l’expression, mettre les mains dans le cambouis) ma connexion bas débit dans le logiciel HelloDOC lui-même.

En désinstallant HelloDOC de la partition système, je fis sauter le paramétrage de la connexion.

La réparation se fit en deux étapes.

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Le rétablissement de la connexion proprement dite (serveurs POP et SMTP) :

En l’espèce au lieu de

pop.rss.fr et smtp.rss.fr,

Le kit de connexion au réseau santé social (kit rss 1.06 compatible vista) écrivait

pop.cegetel.rss.fr et smtp.cegetel.rss.fr.

La modification faite, car j’appelais successivement HelloDOC et Cégétel, la connexion remarcha, mais je me rendis compte que je n’avais pas d’accusé de réception de mes FSE (télétransmission).

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Le rétablissement de l’adresse électronique :

Le kit rss 1.06 se trompait également en écrivant l’adresse mail pour la réception des ARL pour mes FSE (accusés de réception pour mes Feuilles de Soins Electroniques). C’est une dame de la sécu, de retour de maternité, qui me renseigna fort justement et très gentiment, ce qui me permit de me dépanner. Incidemment, cette dame m’appris à faire, sous HelloDOC, des feuilles de soins en acte gratuit pour tester la télétransmission.

Là encore, le kit rss écrivais comme fin d’adresse mail

@cegetel.rss.fr

au lieu de

@rss.fr.

Par contre, là, pour faire la modification, heureusement que j’ai quelques notions de Soft, car l’accès en mode graphique dans HelloDOC était verrouillé, je m’en tirais en corrigeant l’adresse directement dans le fichier au joli nom de RSS.INI (qui ce situe dans le répetoire c:windows).

Conclusion, pour se connecter à internet, il faut un serveur entrant (pop) un serveur sortant (smtp) et , si l'on veut recevoir du courrier, une adresse mail correctement configurés.

 

Conclusion :

C’est pour cela que l’on conseille toujours d’installer manuellement sa connexion et sa messagerie plutôt que d’utiliser un kit d’installation.

Encore faut-il savoir le faire.

 

L'Informatique, c'est comme la Médecine : c'est un métier, ça s'apprend !

 

Mais cela procure, parfois, des compensations.

 

linux born to frag