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21/11/2009

Tableau d’équivalence lumineuse entre lampes à économie d’énergie et lampes classiques

 

Photo issue du site http://www.jeancel-luminaire.com/

 

 

 

C’est la mort programmée des ampoules à incandescences avec leur filament. En 2010, il sera impossible d’en trouver. Dernièrement, à mon cabinet médical, une lampe a claquée et je n'ai pas trouvé mes lampes habituelles qui étaient à incandescence. Se posa alors la question de l'équivalence lumineuse des lames basse consommation avec les lampes à incandescence.

 

Trouvé sur : www.terredavenir.org/


Les lampes basse consommation (LBC) également appelées ou lampes à économie d’énergie (LEE) font désormais partie de notre quotidien.
Plus chères à l’achat, elles permettent cependant de réaliser de belles économies. En plus, elles durent 6 à 8 fois plus longtemps que les ampoules traditionnelles...

Equivalence LBC/Lampes classiques
Voici un tableau des équivalences en Watts entre les ampoules classiques et les Lampes Basse Consommation :

Ampoules classiques contre LBC (à puissance d’éclairage égal)
30 W = 9 W
40 W = 11W
60 W = 15W
75 W = 20W
100 W = 23 W

 

Consulter aussi le fichier PDF de L'ADEME et EDF.

 

Le seul bémol de ces lampes basses consommation, le recyclage obligatoire. La lampe basse consommation usagée ne doit pas être jetée aux ordures ménagères, car elle contient plusieurs substances polluantes : du mercure, des composants électroniques et du plomb. Référence sur Wikipédia.

L'arroseur arrosé

L'arroseur arrosé des Frères Lumière, première version :

 

 

Dans la deuxième version, le vrai arroseur, le farceur, se fait vraiment arrosé.

 

10:01 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : film, vidéo, humour

La règle des tiers s'applique aussi en vidéo : "Entrée d'un train en gare de la Ciotat" (Frères Lumière)

 


La règle des tiers

La règle des tiers trouve son origine dans la fameuse règle du "nombre d'or".

Cette règle antique propose un rapport mathématique permettant une vision la plus esthétique possible.

Il est établi que le chiffre de 1,618 est la proportion idéale entre la + grande et la + petite partie d'un objet.

Lignes de force :
Prenons la surface de l'écran de l'appareil photo, divisons le, de façon égale, en 3 bandes horizontales et 3 bandes verticales. Nous obtenons 2 lignes horizontales et 2 lignes verticales. Ce sont les "lignes de force".

Points de force :
Les lignes de force horizontales et verticales donnent, à leurs intersections, 4 points que l'on appelle "points de force".

Source : www.vacanceo.com/

 

 

Il faut remarquer que que le cadrage, dans un des tout premiers films, "Entrée d'un train en gare de la Ciotat  (1895) respecte bien la règle des 2/3 1/3.

Il a été rapporté que les spectateurs de l'époque avaient peur que le train ne se jette sur eux.

 

Ceci est valable, aussi pour le premier film, de l'histoire du cinéma, des frères Lumière en1895 : "La Sortie de l'usine Lumière à Lyon"

 

 

20/11/2009

Que faire quand un patient "n’a rien"

 

Plus ça va, plus les gens consultent tôt, tant et si bien qu’ils consultent, maintenant, pour le moindre bobo.

Je me souviens, à mes débuts d’installation, ma seule crainte, c’était de trouver et de ne pas diagnostiquer une pathologie, maintenant, j’ai peur de ne rien trouver du tout.

Alors que faire quand un patient "n’a rien" ?

A part la prescription de PARACETAMOL, autrefois existait des médicaments pas chers et remboursés par la Sécurité Sociale, ces médicaments étaient des placebos, certes sans activité biologique mais non dénués d’activité psychologique (efficacité dans 70 % des cas), d’où le terme de placebo (voulant dire « je plairai »).

Il reste l’homéopathie et l’acupuncture, mais pour moi, simple allopathe, simple praticien de médecine conventionnelle, il ne me reste plus que mon stéthoscope pour pleurer.

Face à un patient qui "n’a rien", le médecin traditionnel est désemparé, j’exclus volontairement les patients souffrant de troubles psychiques masqués ou les patients consultant par prétexte avec une consultation cachée, vrai motif de la consultation.

En activité libérale, peut-on décemment dire à un patient : « Vous n’avez rien, je ne vous donne rien, c’est 22 € ».

Il faut que médecin et patient ne perdent pas la face, cela devient de plus en plus dur de nos jours, surtout depuis que « Les antibiotiques, c’est pas systématique »...

19/11/2009

Un exemple de Médecine Ayurvédique : La Sangsothérapie

L'Ayur-Véda ou Ayurvéda ou encore « médecine ayurvédique » est une sagesse et une médecine originaire de l’Inde et pratiquée dans d'autres parties du monde comme médecine non conventionnelle (Wikipedia).

 

18/11/2009

Une visite bien peu justifiée

 

- Allo, je vous téléphone pour savoir si vous pourriez faire une visite pour ma fille qui est bloquée du dos ?

- Elle a quel âge ?

- Quinze ans.

- C’est surprenant, en général c’est beaucoup plus tard. Elle ne peut pas du tout se rendre à ma consultation ?

- Je préfèrerais que vous passiez, de toute façons, je veux changer de médecin traitant.

- Pour les papiers on verra plus tard. Bon, je vais essayer de passer avant ma consultation.

Je ne fais pratiquement plus de visites, sauf les personnes âgées et les gens qui ne peuvent vraiment pas du tout se déplacer. Il faut  dire que l’écart entre la visite, en semaine, (V+MD= 32 €) et la consultation (C=22 €), soit 10 €, est quasi dissuasif. Cela me rappelle une visite d’examen du nourrisson, où j’ai abîme ma voiture, tout cela pour une somme dérisoire ; en définitive cela m’a coûté bien plus cher que cela ne m’a rapporté, les risques du métier, me direz-vous et en compensation de tout ce que je suis sensé gagner. J’ai aussi fait, en son temps, des visites dans des secteurs très éloignés du mien et à la rentabilité bien plus qu’aléatoire, il faut bien que jeunesse se passe. J’ai toujours aimé mon métier, et je l’aime toujours comme au premier jour. J’ai essayé de bien l’exercer. J’ai toujours respecté le serment d’Hippocrate, enfin que je saches, on peut commettre des erreurs, parfois, mais j’ai fini par comprendre une chose : « Charité bien ordonnée commence par soi même ».

Mais je sais qu’il ne fait pas bon de parler d’argent dans notre pays.

J’arrive donc au domicile de la jeune patiente, elle est en train de prendre un cours de math et m’accueille avec le sourire.

Après un interrogatoire approfondi, quasi policier, et un examen clinique sommaire, il s’avère que cette jeune patiente est passée d’un lycée très moyennement côté a un lycée très côté et qu’elle est larguée en math, bref elle somatise. Elle n’a plus d’activité sportive mais doit reprendre le… cheval.

Ah, j’oubliais, avant de m’appeler, la mère a bien failli… amener sa fille aux urgences, comme si les urgences n’avaient que ça à traiter, et, en plus, cela démontre bien que la jeune patiente pouvait, de fait, se déplacer et venir à mon cabinet.

Juste avant de partir, la mère me tend un papier de CMU. Certes je serai payé de ma visite, moins le prix de l’enveloppe et surtout du timbre, là je sais, je chipote, mais c’est pour le principe, en plus, comme c’est une feuille de soin papier, je ne serai « honoré » que dans un mois.

Je n’ai absolument rien contre la CMU, Il est tout à fait normal d’aider les gens dans la difficulté, cela fait partie, aussi, du serment d’Hippocrate, j’accepte donc la CMU normalement comme tout acte, pour moi c’est un acte normal, de plus, au cabinet, avec la télétransmission, tout est parfait, le système marche très bien. Quand une visite est justifiée, je ne dis rien non plus, mais, dans ce cas précis… Réfléchissons un peu, il y a un manque certain de la réalité et un certain manque de respect vis-à-vis du médecin.

Mais je sais qu’il ne fait pas bon de parler d’argent dans notre pays.

Avant de demander une visite à votre médecin, posez-vous la question : « cette visite est-elle vraiment justifiée ? » votre médecin n’en sera que plus dévoué à votre égard.

Ce n’est pas qu’une affaire d’argent, c’est aussi une affaire de respect.

Mais je sais qu’il ne fait pas bon de parler d’argent dans notre pays.

17/11/2009

Max Linder et le pacte suicidaire

Max Linder, Gabriel Maximilien Leuvielle, dans la vie civile, réalisateur et acteur français est né en 1883 à Saint Loubès (Gironde). Il s’est suicidé, avec sa femme, par Pacte Suicidaire*, en 1925, Max Linder avait alors 42 ans.

Max Linder était atteint d’un Trouble Bipolaire, ce qui explique son dernier acte.

Voici un film de Max Linder, de 1908, "vive la vie de garçon".

 

Pacte Suicidaire : Les pactes suicidaires sont définis comme un accord mutuel généralement entre deux personnes décidant de mourir ensemble le plus souvent au même endroit. La plupart des pactes intéressent plutôt des couples mariés et beaucoup plus rarement des couples d'amants. Ces suicides à deux paraissent davantage le fait de couples mariés plus âgés, atteints d'affections invalidantes L'âge moyen est relativement constant selon les études, de 51 à 56 ans. L'existence menacée d'une relation fusionnelle et exclusive entre les deux partenaires, dont l'un, dominant, devient l'instigateur du double suicide, est soulignée par plusieurs auteurs. Un Etat dépressif majeur de l’un des deux membres du couple semble le plus fréquent. P. Le Bihan et M. Bénezech.  http://www.em-consulte.com/article/50540

Voir aussi Suicid Pact.

16/11/2009

La responsabilité juridique du blogueur

Crédit Photo : http://www.doyouknowralph.com/__pictomosUserFiles__/backg...

 

L’absence de culture juridique est un mal fort répandu dans nos sociétés.

Heureusement, il y a des juristes, des professionnels du droit, qui essayent d’apporter leurs connaissances juridiques à ceux qui veulent bien se donner la peine de les écouter.

Or, comme toute activité humaine, écrire et gérer un blog, gérer des flux RSS comporte des risques juridiques susceptibles de mettre en jeu notamment la responsabilité pénale du blogueur.

Cela peut aller de la violation de la propriété intellectuelle à des propos pouvant être soit diffamatoires soit injurieux.

Un article fort bien fait de Maître Eolas dans son Blog « Journal d’un avocat » nous met en garde.

Dans son article « Blogueurs et Responsabilité Reloaded », Maître Eolas précise que « les faits les plus souvent invoqués (à l’encontre des blogueurs) sont l’injure et la diffamation ».

Il nous rappelle ensuite que « la diffamation et l'injure sont punies d'amendes pouvant aller jusqu'à 12 000 euros. » comme le prévoit la loi du 29 juillet1881 sur la liberté de la presse.

Je vous livre quelques définitions données dans cette loi :

1 - La diffamation publique est définie par la loi sur le Liberté de la Presse du 29 juillet 1881 en son article 29 alinéa 1 :
"Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation.
La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l’identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés."


2 - L’injure publique est définie par l’article 29 alinéa 2 de la loi sur la Liberté de la presse :
« Toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait est une injure. »


Si vous publiez un blog ou gérez des flux RSS, afin de ne pas faire de bêtises, je vous recommande donc cet article de Maître Eolas « Blogueurs et Responsabilité Reloaded »


Docteur Leech Original text by Sangsue...


Références :

http://www.maitre-eolas.fr/post/2008/03/24/905-blogueurs-...
http://www.e-juristes.org/L-injure-et-la-diffamation

et un fichir PDF trés bien fait

http://www.foruminternet.org/ddn/telechargements/guide_bl...