04/04/2019
Catastrophe écologique à la station balnéaire de la Grande Ville
En 40 ans, nous avons perdu 60 % des populations d'animaux sauvages sur Terre, preuve que la sixième extinction massive de la biodiversité est en marche*.
Cette catastrophe écologique se voit, même, dans la station balnéaire de la Grande Ville.
Autrefois, je passai toute mes vacances scolaire dans cette station balnéaire. Elle était toute petite à l'époque. C'était une station balnéaire familiale.
Chaque été, je me régalai de la nature. Puis la catastrophe survint.
Avec stupéfaction, je notai une disparition des grillons, des crickets, des sauterelles, des libellules, des hérissons, des crapauds, des lucioles et des chauves souris.
Quelle liste effrayante !
Nous vivons dans une société dominée par l'argent. Et comme nous sommes de plus en plus nombreux, il ne faut pas s'étonner du résultat.
En effet, à cause de l'argent, cette disparition est due à l'extension des lotissements avec, pour cela, une déforestation. Mais aussi, au fait que, l'été, comme la station est devenue en vogue, la population croit de façon vertigineuse.
Heureusement, prés de cette station balnéaire, la nature est préservée dans une réserve naturelle, c'est triste de le dire, c'est une une sorte de grand zoo.
Quand j'y songe, quelle tristesse et quel gâchis.
Elle est vraiment bien loin la nature de mon enfance.
10:11 Publié dans Coup de gueule, Ecologie, Economie, Honte, La pensée du jour, Politique, Science, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
03/04/2019
Salade juive façon Docteur Sangsue
La salade juive est un plat des juifs d’Afrique du Nord. En Tunisie, on l'appelle Méchouïa.
Elle a été ramenée , en France , par les pieds-noirs, à la fin de la guerre d'Algérie.
La salade juive est une salade que les juifs pratiquants du Maroc faisaient le vendredi car le samedi, jour de prières, ils n’allumaient pas de feu. Cette salade faisait partie, comme d’autres plats, fait le vendredi, de ceux mangés le samedi.
Ingrédients pour 5 personnes :
•4 poivrons rouges
•4 poivrons verts
•1/2 verre d'huile d'olive
•4 gousses d'ail
•sel, poivre
Préparation :
1.Préchauffer le four et le grill thermostat 8 (240°C). Faire griller les poivrons en les retournant régulièrement jusqu'à ce que la peau cloque. Pendant ce temps, peler et presser 2 à 3 gousses d'ail au presse ail.
2.Enlever la peau des poivrons, les fendre pour enlever toutes les petites graines. Les découper en fines lanières.
3.Pour fini. Dans un plat, répartir les poivrons, l'ail pressé, le sel et le poivre, l'huile d'olive, mélanger et laisser au frais pendant au moins 24 heures. Mélanger régulièrement et rectifier l'assaisonnement si nécessaire.
Accompagnement :
Vin : Boulaouane gris du Maroc.
11:45 Publié dans Cuisine, Culture, Gastronomie, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Politique, Potins, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
27/03/2019
La suppression du changement d'heure
Encore un vieux marronnier (non, pas l'arbre. Un marronnier, en terme journalistique, désigne un évènement récurrent qui sert à boucher un trou lors à la rédaction).
Le marronnier dont je parle est celui du changement d'heure.
En effet, il est question de le supprimer.
Déjà, dans un de mes vieux articles, qui date de... 2016, il était question de la suppression de ce changement d'heure. Mon article se nommait : "Vers la suppression du changement d’heure d’été/hiver en France".
Maintenant, on découvre, enfin, l'inutilité de cette mesure. Et l'on trouve, tout naturellement, plusieurs arguments pour nous persuader du bien fondé de cela. Notamment, le dérèglement de l'horloge biologique qui, pour l'anecdote, perturbe la traite des vaches. Mais, plus gravement, l'augmentation des accidents touchant les piétons lors du passage à l'heure d'hiver. Tout cela pour une très faible économie d'énergie.
Dans mon article :"L'histoire de l'heure d'été/hiver", comme je racontant que le père de l'inventeur de l'heure d'été , Benjamin Franklin, vendait des chandelles (ironie du sort, Benjamin Franklin cassait la baraque de son père), je disais, avec une pointe d'humour, que, je me cite : "cela ne réaliserait que des économies de bouts de chandelles".
Culte: Roger Gicquel ne comprend rien au changement d'heure | Archive INA
12:00 Publié dans Anecdote, Culture, Economie, Humour, La pensée du jour, Politique, Potins, Science, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
10/03/2019
Oyats
Photographie - Archives personnelles
Cliquez sur l'image pour l'agrandir.
Une photographie d'oyats que j'ai prise il y a quelques années déjà.
"L'oyat (Ammophila arenaria) est une espèce de plante vivace de la famille des Poacées, originaire de l'Ancien Monde, croissant dans les terrains sablonneux grâce à un système racinaire très profond. Cette espèce pionnière des dunes instables est une xérophyte type des côtes atlantiques, jouant un rôle important dans la formation et la fixation des dunes, notamment dans la défense côtière des dunes littorales des Landes de Gascogne en France".
La fixation des dunes, outre l'utilisation des oyats est principalement due à la plantation de pins maritimes.
La fixation des dunes est principalement due à Nicolas Brémontier bien qu'il eut des précurseurs comme, notamment, Jean-Baptiste Amanieu de Ruat et Matthieu et Guillaume Desbiey.
En 1778 Nicolas Brémontier fit des essais de fixation en 1786. Il obtint un crédit pour lancer des essais et choisit le site de La Teste de Buch.
Comment l'ONF* prend soin des dunes littorales entre chaque saison estivale ?
*L'ONF (Office national des forêts (ONF) est un établissement public français chargé de la gestion des forêts publiques, placé sous la tutelle du ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt et du ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie.
Références :
- Oyat
- Fixation des dunes en Aquitaine
23:21 Publié dans Culture, Ecologie, Histoire, Le mot du jour, Mots, Politique, Science, Société, Vidéo, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
08/03/2019
La crise sociétale Française actuelle Acte 2 - Les régimes spéciaux de ceux qui nous gouvernent
"
Comme l'on parle beaucoup ,actuellement, des régimes spéciaux de retraite, j'ai trouvé, sur You Tube, cette vidéo trouvée qui complète, à merveille, mon précédant article : "La crise sociétale Française actuelle vue par Philippe Béchade".
11:04 Publié dans Coup de gueule, Economie, Humour, Le mot du jour, Mots, Politique, Potins, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
22/02/2019
Vacances de février 2019
Mon Blog sera fermé jusqu'au 3 mars.
Cette année pas de vacances au ski.
Merci Monsieur Macron et ta CSG.
Avec les emprunts que j'ai sur le cul et l'augmentation de la CSG, je ne peux plus me permettre cette dépense superflue.
Fini mes vacances au ski pour 1200 euros. Confer mon article : "La taxe sur les carburants et la CSG". Oui, je le reconnais, il y a beaucoup de gens qui sont, encore, beaucoup plus mal lotis que moi (je pense, notamment, aux gilets jaunes qui ont du mal à boucler leur fin de mois).
A très bientôt.
Méditez sur la vidéo suivante.
Sans commentaire !
Privilèges de sénateur : 5 jours par mois pour 11 350€
P.S. : Il est évident qu'au prochaines élections je saurai m'en souvenir !
17:59 Publié dans Coup de gueule, Economie, Honte, La pensée du jour, Loisirs, Politique, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
15/02/2019
La crise sociétale Française actuelle vue par Philippe Béchade
Philippe Béchade sur BFM Business
Trouvé lors de mes voyages sur YouTube.
Sans commentaire !
"Philippe Béchade est un analyste financier français, rédacteur en chef à la chronique Agora, chroniqueur économique sur BFM depuis 1996. Il a une formation en droit à l'université Paris Ouest Nanterre.
Il est considéré comme un analyste "hétérodoxe". Philippe Béchade a une tendance social-démocrate (opposition aux paradis fiscaux, critique de l'"ultralibéralisme" américain, exigence d'un meilleur équilibre entre capital et travail). Il préconise le retour à des monnaies composites sur le modèle des DTS (droits de tirage spéciaux), correspondant à une économie réelle au lieu d'une économie casino".
Source : Wikibéral.
A propos des banlieues : "Sécurité : le mauvais présage de Gérard Collomb".
20:26 Publié dans Coup de gueule, Culture, Economie, Honte, La pensée du jour, Politique, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
21/12/2018
La Grande Ville, ville propre
Pour agrandir, cliquez sur l'image.
J'habite à la Grande Ville.
La qualité de vie se détériore à la Grande Ville. Reportez vous à mes deux articles précédants :
- "La verrue".
- "Guirlandes de Noël et individualisme".
J'habite à la Grande Ville, et, parfois, j'avoue avoir honte d'y résider.
Depuis plusieurs jours, déjà, en effectuant ma ballade hygiénique matinale pour maintenir ma forme (j'adore marcher, c'est mon jogging à moi), je tombai, régulièrement, sur un spectacle répugnant.
Une rangée de poubelles envahissant le trottoir.
Horrifié, j'immortalisai ce spectacle désolant en le photographiant. Remarquez, sur la photographie, ce jour là, une poubelle qui, bloquant le trottoir, m'obligea à descendre sur la chaussée.
Mais, en prenant la photo, je me remarquai que l'on m'observais.
Et bien, croyez moi si vous voulez, mais, dès le lendemain, ce triste spectacle disparu.
Comme quoi le civisme ne tient qu'a une photographie.
00:33 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Histoire, Honte, Le mot du jour, Mots, Politique, Potins, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
19/12/2018
Guirlandes de Noël et individualisme
L'autre jour, en faisant ma ballade matinale pour garder la forme, je remarquai, en bordure du trottoir un arbre de Noël qui gênait le passage des piétons.
En guise de décoration de Noël on eut fait mieux.
Ce n'est point là qu'il aurait fallu l'installer mais sur la place dont je vous parlai dans mon article précédant : "La verrue".
Intrigué, je levai les yeux pensant trouver les trois guirlandes lumineuse surplombant la rue.
Que nenni, la municipalité n'avait pas juger utile de les installer.
L'esprit de Noël se perd.
Il n'y a plus trop l'effervescence d'antan aveg les devantures garnies des pantins animés.
Non, au lieu d'aller dans les magasins, les gens, de nos jours font leurs emplettes de Noël sur Internet.
Au lieu de se rencontrer dans des lieux festifs, de plus en plus, les gens restent cloitrés chez eux devant leur ordinateur.
On se dirige vers une société individualiste.
L'ordinateur finira par rendre les gens dingue.
Sans commentaire.
09:59 Publié dans Actualité, Coup de gueule, Honte, Humour, Informatique, Internet, La pensée du jour, Loisirs, Politique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)
30/11/2018
La taille, la dîme et la gabelle
Pour faire suite à mon article : " La jacquerie du mouvement des "gilets jaunes", je vais aborder, dans cet article, les taxes sous un angle historique.
Certes, nous sommes écrasés par les taxes.
Mais les taxes ne datent pas d'hier !
Par le passé, Il y en a eu des foultitudes.
De ces anciennes taxes toutes ont disparues. Les plus connues sont : la taille, la dîme et la gabelle
Quelques exemples d'impôts de l'ancien régime :
Taille, impôt roturier.
La taille est un impôt direct annuel uniquement supporté par le Tiers Etat. À l'époque médiévale, la taille est prélevée arbitrairement par le seigneur sur les serfs de son domaine en contrepartie de sa protection.
Dîme, impôt dû au clergé.
En France, elle est instaurée dès la période mérovingienne. Charlemagne généralise cet impôt sur les produits agricoles (récoltes, troupeaux), afin de pourvoir à l'entretien des paroisses et de leur clergé (780, 789, 801).
Gabelle, impôt royal prélevé sur la vente du sel. L'impôt sur le sel est associé au monopole royal décrété au XIVème siècle, sur la vente de ce produit. Le principe de base est simple: le sel ne peut être vendu, moyennant paiement d'une taxe, que dans les greniers royaux à sel. En 1680,
En remontant plus loin dans le temps existaient les impôts seigneuriaux
En voici quelques exemples :
Impôts seigneuriaux
L'impôt seigneurial est un ensemble de taxes prélevées par un seigneur sur les habitants de son domaine.
• Les corvées
• La taille
• Le cens
• Le champart
• Les droits de banalité :
• L'afforage
• Le tonlieu
• Le terrage
• Les novales
• La mainmorte
• Le formariage
• La forfuyance
Du temps des romains existait même l'impôt sur les fenêtre qui fut remis au XVIIIème siècle ou l'on vit se murer des fenêtre pour diminuer cet impôt. De nos jours en se promenant dans la grande ville, on voit, encore, très souvent ,des fenêtres murées.
Références :
- Quelques exemples d'impôts de l'ancien régime
- Impôt seigneurial
15:15 Publié dans Actualité, Coup de gueule, Culture, Economie, Histoire, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Musique, Politique, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
26/11/2018
La jacquerie du mouvement des "gilets jaunes"
L'augmentation du poids des taxes Françaises en 2018
Cet article fait suite à mon article : "La taxe sur les carburants et la CSG".
Si l'on se reporte à Wikipédia, il est possible, peut-être, de comparer le mouvement des "gilets jaunes"* à une nouvelle jacquerie avec une particularité : c'est la première jacquerie numérique.
Dans la suite de mon article, je cite intégralement, mot pour mot, Wikipédia.
"Le terme Jacquerie désigne la Grande Jacquerie de 1358, et, par extension, de nombreuses révoltes paysannes dans l'Occident médiéval et dans l'Europe d'Ancien Régime. Il est utilisé en histoire pour désigner des révoltes paysannes de la période révolutionnaire et, de façon analogue, en sciences politiques pour désigner tout soulèvement paysan.
La Grande Jacquerie est un soulèvement paysan survenu en 1358 dans un contexte de crise politique, militaire et sociale. Cette révolte tire son nom de Jacques Bonhomme, figure anonyme du vilain, puis sobriquet désignant le paysan français, probablement du fait du port de vestes courtes, dites jacques. Elle eut pour chef un dénommé Guillaume Carle aussi nommé Jacques Bonhomme.
A l'époque, le roi de France Jean II le Bon est retenu prisonnier des Anglais depuis sa défaite de Poitiers et le Royaume connaît une grave crise politique.
Au-delà, la pression fiscale, due au versement de la rançon du roi, la mévente des productions agricoles placent les paysans dans une situation intolérable qu'aggravent les exigences des seigneurs qui cherchent à compenser l'effondrement de leurs revenus.
La Grande Jacquerie dura environ deux semaines. La principale troupe paysanne est écrasée les 9 et 10 juin à Mello, près de Clermont-en-Beauvaisis par l'armée de nobles (environ 3000 hommes) rassemblée par Charles le Mauvais, roi de Navarre".
"Gilets jaunes" : "ce mouvement relève de la jacquerie", note l'historien Nicolas Baverez
*"Le mouvement des "gilets jaunes" est un mouvement de protestation non structuré ayant pour point de départ la hausse des prix du carburant automobile. La contestation s'élargit rapidement à d’autres revendications, portant sur le pouvoir d'achat des classes moyennes et populaires". Wikipédia.
Références :
17:16 Publié dans Actualité, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Histoire, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Politique, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (4)
23/11/2018
La Courbe de Laffer et la hausse de la taxe sur les carburants
La courbe de Laffer
Arthur Laffer a été professeur d'économie à l'université de Californie à Los Angeles (UCLA).
Lors d'un diner, en décembre 1974, il explique, au cours du repas, que le taux fiscal élevé entraîne une baisse des recettes fiscales à partir d'un certain niveau.
Il dessine, donc, sur la nappe en papier, une courbe qui devint célèbre sous le nom de courbe de Laffer.
La courbe de Laffer montre qu'au-delà d'un certain seuil de prélèvement fiscal, plus la pression fiscale augmente, plus les recettes fiscales diminuent.
Les mêmes recettes fiscales auraient été plus élevées avec des taux d'imposition plus bas.
Elle est résumée par la formule : "trop d'impôt tue l'impôt" ou, parfois, "les hauts taux tuent les totaux".
Il faut savoir que, un peu de culture ne nuit pas, les premières études sur la relation entre le taux d'imposition et la croissance remontent au XIVe siècle avec les écrits d'Ibn Khaldoun.
On peu donc penser que, quand le petit peuple aura les poches vides, il ne pourra plus payer les taxes (taux d'imposition à 100 % de la courbe de Laffer).
Voici une vidéo explicative de la courbe de Laffer. Je précise que cette vidéo date du quinquennat de François Hollande. Déjà, à cette époque, la situation devenait préoccupante.
Et une autre vidéo didactique
Références sur Wikipedia :
12:02 Publié dans Actualité, Anecdote, Citation, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Histoire, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Politique, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
21/11/2018
Hausse de la taxe sur les carburants : "Aucun euro n'allait a la transition écologique"
Propos tenus par Gérard Larcher président du Sénat
Le président du sénat Gérard Larcher a indiqué que l'argent récolté par ses taxes n'était pas alloué à la transition écologique.
Gérard Larcher a annoncé mercredi 21 novembre sur RTL que le sénat ne voulait pas d'une hausse des taxes sur les carburants en janvier 2019.
Il faut apporter une "réponse politique" qui passe par la proposition des sénateurs LR, lors de l'examen du budget jeudi 22 novembre, "d'annuler l'augmentation de la taxe" sur les carburants. Une telle décision représenterait "2,9 milliards de moins pour les caisses de l'État cette année", a-t-il précisé.
"Je rappelle qu'aucun euro n'allait à la transition énergétique", a ajouté le président du Sénat.
Sans commentaires !
Le Sénat "va proposer d'annuler l'augmentation de la taxe", dit Gérard Larcher
16:27 Publié dans Actualité, Ecologie, La pensée du jour, Politique, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
16/11/2018
Déshabiller Pierre pour habiller Paul
Les points de blocage des "Gilets Jaunes" le 17 novembre (capture d'écran L'Internaute)
Cette maxime : "Déshabiller Pierre pour habiller Paul" peut elle s'adapte à l'augmentation de la taxe sur les carburants ?
Cette maxime signifie payer ses dettes en en faisant de nouvelles ou, encore, prendre à l'un pour donner à l'autre.
Pas plus tard que mercredi dernier, je regardai, à la télévision, l'émission sur les questions au gouvernement.
Eh oui, en bon citoyen, cela m'arrive.
Ce genre d'émissions est parfois très instructif voire passionnant.
Une question d'actualité, une question brûlante, touche à la transition écologique. Elle pose question a propos de la hausse de la taxe sur les carburants a des fins écologiques.
Cette hausse provoque un tollé, une révolte, une fronde de la population Française.
Cela fait beaucoup trop après la hausse de la CSG.
C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase* !
La manifestation des "Gilets jaunes" le samedi 17 novembre prochain en est la cristallisation.
Allons nous avoir un nouveau nouveau mai 68 ?
Un novembre 18 ?
Cette manifestation aura t elle une suite amenant à la chienlit (mot cité, à l'époque, par le Général de Gaulle, dans son discours du 24 mai).
Mais, c'est le cas de le dire, nous ne sommes pas en mai, mais en novembre.
Et, en novembre, il fait froid !
C'est un sérieux handicap pour une manifestation durable.
Comme quoi, les réformes impopulaires, il faut les faire à la froidure
En effet, deux grandes manifestations, a succès, eurent lieu par temps chauds : la prise de la Bastille le 14 juillet 1789 et mai 68.
Mais revenons en à cette émission
Lors de cette émission, un député, dépité, émis une théorie séduisante.
Il demandait si la hausse sur les carburants, qui est a peu près la même que la suppression de la taxe d'habitation pour une certaine tranche de la population, était une réalité ou une pure coïncidence.
Réalité, hasard, coïncidence ou nécessité.
Si cela concerne la réalité et la nécessité, lisez mon article tragi-comique : "L'imprimante, l'augmentation de la CSG et celle de la taxe sur les carburants".
"Déshabiller Pierre pour habiller Paul" ?
Y a-t-il une imposture ?
Seule la réponse est dans la tête de nos dirigeants : Monsieur le Président de la République, Monsieur le Premier Ministre et Monsieur le Ministre de la Transition écologique et solidaire. Pour n'en citer que quelques uns.
*Pour prendre conscience du désarroi du peuple Français, et sans tomber dans la démagogie, comme le dit Monsieur Macron, je vous renvoie à la première vidéo de mon article: "La taxe sur les carburants et la CSG".
Dans cette vidéo, si vous l'écoutez bien, à la fin du premier tiers, vous allez entendre ça :
Question de Monsieur le Président Macron : "mais qui vous a baissé" ?
Réponse de la Dame : "Mais c'est vous le peuple, c'est vous qui gérez".
12:24 Publié dans Actualité, Citation, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Histoire, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Le site du jour, Mots, Politique, Potins, Santé, Science, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
14/11/2018
L'imprimante, l'augmentation de la CSG et celle de la taxe sur les carburants
Ce titre peux paraître farfelu.
Vous allez me dire, que vient faire une imprimant avec l'augmentation de la CSG et celle de la taxe sur les carburants
Vous allez comprendre pourquoi.
Cette anecdote croustillante fait suite à mon article : "La taxe sur les carburants et la CSG".
Cette histoire montre bien qu'il faut, à tout prix, très rapidement et par tout les moyens, faire rentrer de l'argent dans les caisses de l’État.
Ma femme est fonctionnaire titulaire. Elle est fait partie des dinosaures de l'administration en voie de disparition. car elle n'est pas contractuelle comme le sont tous les nouveaux fonctionnaires (ainsi, à la fin de leur contrat, ils peuvent être jetés comme un Kleenex*).
Dernièrement, elle me raconta une histoire ahurissante.
Dans son service, il n'est plus possible de se servir de l'imprimante pour les documents administratifs.
En effet, celle-ci imprime de magnifiques bandes bleues de chaque le coté des feuilles traduisant une cartouche de toner agonisante. Bien sûr, comme vous le savez, on peut "rajeunir" une cartouche en la secouant. Celle-ci fut secouée énergiquement mais, de guerre lasse, la cartouche était arrivée en fin de vie.
Mais lui dis-je : "Pourquoi vous ne le changez pas" ?
Et elle de me répondre : "Pour la bonne et simple raison qu'à partir du premier novembre l'administration n'a plus de crédit".
Étonnant non ?
Ce que nous révèle une cartouche toner d'imprimante laser
Allez directement à la fin de cette vidéo très technique et rébarbative (qui va certainement intéresser alain), vous allez avoir des surprises en ce qui concerne le prix des cartouches.
P. S. : Quand le toner commence à faire défaut, le truc : enlever le toner, le secouer et le remettre.
13:21 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Politique, Potins, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (3)
13/11/2018
L'histoire secrète du palais de l’Élysée
Le palais de l’Élysée
Commandé en 1718 par le petit-neveu de Mazarin, le palais de l’Élysée a été construit par le comte d’Evreux en 1722. Il est achevé deux ans plus tard.
Trente ans plus tard, à la mort de son premier propriétaire, Louis XV le rachète pour sa célèbre maitresse, la marquise de Pompadour. Celle-ci y donne des fêtes somptueuses. Pour l’une d’elles, inspirée par les bergeries de Watteau, on amena un troupeau de moutons enrubannés de rose et de vert-chou. Quand on ouvrit la porte de la galerie des glaces, le bélier de tête croyant voir un rival dans le miroir, fonça droit dessus, le troupeau à sa suite saccageant le mobilier. La Pompadour achète la demeure, la lègue à Louis XV et, plus tard, Louis XVI la vend à sa cousine Bathilde d’Orléans qui en fait l’endroit le plus couru de Paris pour des séances d’occultisme. Le site s'orne, ensuite, d'un café-concert, d'animaux. L'appellation Elysée-Bourbon s’impose à partir de Bathilde d’Orléans.
En 1753, le salon Pompadour est utilisé par la marquise comme chambre. Aujourd’hui il sert pour les audiences accordées aux chefs d'états.
La Duchesse de Bourbon, fille naturelle de Louis XIV, lui donnera en 1787 le nom de l’Élysée.
Murat, maréchal d’empire, acquiert la propriété en 1805. Avec Caroline Bonaparte, son épouse, il apporte nombre d’embellissements à ce qu’il nomme “son pied à terre”. C’est dans le salon Murat, réalisé par les architectes Vignon et Thibault qu’a lieu, aujourd’hui, le conseil des ministres.
Napoléon adorait le palais qui appartenait à sa sœur Caroline et avait l’idée de s’y installer un jour. Sa sœur voulait régner, il la couronne alors reine de Naples et réquisitionne le palais pour L’État et s'y installe. En 1813, il revient à Paris après la campagne de Russie. En 1814, il abdique et quitte l’Élysée après avoir signé son acte d’abdication dans le salon d’argent du palais. Il quitte l’Élysée par les jardins.
Plus d'un siècle plus tard, le général de Gaulle emprunte le même chemin le 25 avril 1969.
Pendant le directoire et après, moyennant finance, on pouvait monter avec des filles dans les chambres.
Non, vous ne rêvez pas, L’Élysée était devenu une maison close, un bordel, un claque.
L'Elysée version lupanar était aussi une des raisons pour lesquelles le général de Gaulle n’aimait pas cette maison qu'il appelait le "Palais de la main gauche", allusion à la consommation sexuelle intense du lieu.
Le président Félix Faure y fit, aussi, un malaise mortel après une scène quelque peu érotique*.
806 personnes travaillent aujourd'hui chaque jour dans les murs du palais qui prend des airs de petite ville mais aussi de caserne, puisque beaucoup de militaires y sont en faction. Autour du président gravitent entre 50 et 100 collaborateurs : le cabinet, les conseillers, les chargés de missions. Sans oublier le personnel, qui traverse les présidences : fleuristes, jardiniers, cuisiniers…
C'est d'ailleurs en cuisine qu'éclate une guerre sous la présidence de François Mitterrand. Il est d'ailleurs l'unique président à n'être jamais descendu voir les fourneaux. Quand il arrive au pouvoir, il n'apprécie pas le travail du chef de la cuisine centrale et fait venir une cuisinière pour ses propres repas. Les deux équipes sont en compétition perpétuelle, un affrontement auquel Danielle Mitterrand mettra fin. De cette péripétie à été tiré le film "Les saveurs du Palais".
Les saveurs du palais - 2012
*Deux anecdotes croustillantes furent racontées à ce sujet :
- La légende rapporta qu'un prêtre, de passage devant l'Élysée, réquisitionné, demandant à son arrivée : « Le président a-t-il toujours sa connaissance ? » se serait entendu répondre : « Non, elle est sortie par l'escalier de service ! ».
- Clémenceau tira sa répartie féroce : "Il a voulu vivre César et il est mort Pompée".
Références :
- Félix Faure
- Ce que vous ne savez (peut-être) pas sur le palais de l’Élysée
09:33 Publié dans Anecdote, Citation, Cuisine, Culture, Gastronomie, Histoire, Politique, Potins, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
12/11/2018
La suppression d'un loisir qui me met en pétard
Pour faire suite à mon article précédant : "La taxe sur les carburants et la CSG", voici le premier loisir, aux sport d'hiver, que je me verrai contraint, de supprimer avec une énorme tristesse et une énorme frustration, carence budgétaire oblige
Je me verrai contraint de ne plus aller dans le restaurant de la vidéo suivante.
Ne plus pouvoir m'offrir ce restaurant me frustre énormément et me met profondément en colère.
Pire, cela me met dans une rage noire.
Mais revenons en à ce restaurant.
Celui-ci à une histoire.
La première fois que nous avons été dans cette station de ski, nous décidâmes d'aller au restaurant le dernier soir du séjour pour fêter les superbes vacances que nous avions vécu.
Le choix se porta sur ce restaurant car, d'abord, il était dans notre budget et était, aussi, un hôtel restaurant "Logis de France". Ce titre étant un gage de qualité. En outre, dans leur charte, les Logis de France sont tenus de servir, au menu, d'excellents plats du terroir.
Dans la salle de restaurant, sur un panneau, était proposé "le vin du mois". A ma grande surprise, le millésime annoncé datait de...vingt ans. Oui vous ne rêvais pas : vingt ans ! Et, cerise sur le gâteau, c'était un vin que je connaissais bien (comme vous le savez je suis un passionné de vin), un Fourcas Dupré.
Vous allez me dire que pour un tel millésime il ne fallait pas s'attendre à des miracles. D'autant plus que ce n'était qu'un Listrac côté, certes, mais loin d'égaler les grands vins qui sont réputé être des vins de garde.
Et bien, que nenni !
Je ne pensais pas que Fourcas Dupré aurait pu être un vin de garde.
Je fus littéralement conquis par ce vin. Il était sublime !
Les autres vins de la carte étaient du même acabit. Ils avaient, tous, vingt ans d'âge.
La propriétaire nous expliqua que son mari, qui est un amateur de vin averti, avait, il y a vingt ans, constitué une très belle cave. Mais, rajouta-t-elle, comme les gens ne boivent plus de nos jours, contrôles d'alcoolémie par la maréchaussée oblige, ils se retrouvèrent, alors, avec une cave surdimensionnée pour leur restaurant. C'est pour cela qu'ils liquidaient leur cave, en proposant ces vins, en promotion, à des prix plus que raisonnable.
Nous décidâmes d'y retourner. Ce que nous faisons tous les ans sans jamais être déçu.
Mais jusqu'à quand ?
Je ne sais point.
16:26 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Cuisine, Honte, La pensée du jour, Loisirs, Politique, Potins, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (2)
08/11/2018
La taxe sur les carburants et la CSG
Cette fois, la hausse de la taxe sur les carburants (sous prétexte d'écologie) est la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
Elle survient après la hausse de la CSG.
Vous n'êtes pas sans savoir que la hausse de la CSG touche de plein fouet ma retraite.
Mais cette hausse de la CSG, au cas ou vous ne le sauriez pas, touche, aussi, le salaire des fonctionnaires.
Ce qui fait, qu'avec ma femme, nous perdons 100 € tous les mois.
100 €, vous allez me dire, ce n'est pas beaucoup.
Ah oui ?
Mais cela fait, quand même, 1200 € par an.
Eh bien cela représente (je suis parfaitement conscient que je fais partie des gens privilégiés) le prix de nos vacances au ski. Je précise que nous sommes logés chez des amis et que nous allons dans une petite station familiale et peu chère, sinon, nos moyens ne nous le permettraient pas.
Et, en plus, nous prenons le train !
Si cela continue, je me verrai contraint de supprimer ce loisir. Tant pis pour cette station de ski et ses commerçants.
Rigolez, vous verrez quand ce sera votre tour.
si vous écoutez bien, à la fin du premier tiers de la vidéo, vous allez entendre ça:
Question de Monsieur le Président Macron : "mais qui vous a baissé" ?
Réponse de la Dame : "Mais c''est vous le peuple, c'est vous qui gérez".
Les Inconnus - Rap-tout (vampires)
Les Inconnus - Vampires Impôts (Rap-tout) paroles
11:35 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Musique, Politique, Potins, Shopping, Société, Sport, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (2)
05/11/2018
A compter de premier octobre le magasin sera fermé le lundi
Tout les matins, en allant faire ma promenade quotidienne, je passe devant ma boucherie d'antan.
Depuis quelques temps, déjà, la boucherie a fermée.
La vie de quartier évolue et l'on trouve de plus en plus d'agences immobilières qui y prolifèrent à la place des petits commerces qui ferment.
Une toute petite partie boucherie - traiteur a été reprise par le marchand de fruits et légumes. Mais les prix de la boucherie ont augmentés.
Depuis ce changement d'activité, en passant, un matin, devant ce marchand de fruits et légumes, je trouvais un panneau sur lequel était inscrit : "A compter du premier octobre le magasin sera fermé le lundi".
Comment font, alors, les petites vieilles du quartier pour s'approvisionner.
Le petits commerçants ne veulent plus travailler comme avant. Ils veulent une bonne qualité de vie et je les comprends mais il ne faut pas qu'ils se plaignent s'ils sont "bouffer" par les supermarchés.
On pique dans les retraites des vieux, et, maintenant, ils ne peuvent même plus faire leurs coures.
Quand une société ne respecte plus la vie de ses concitoyens âgés, il ne faut pas s'étonner qu'un jour, la population vieillissant, il y ait, encore, du changement au niveau de l'élection des politiciens qui nous dirigent.
S'adapter ou mourir telle est le résultat des travaux de Darwin.
09:57 Publié dans Coup de gueule, Histoire, Honte, La pensée du jour, Politique, Potins, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
26/10/2018
Malade tu ne tomberas point
Dernièrement, Le maire d'une petite commune des Landes vient de prendre un arrêté pour le moins surprenant. En effet, celui-ci interdit, à ses administrés, de tomber malade.
Bien sûr, cet arrêté, pour le moins farfelu, se voulait être un coup de pub sur le fait que sa commune était un désert médical. Et cela marcha puisque, en m'habillant, un marin, j'entendis la nouvelle à la radio.
Cette petite commune dont la spécialité est la salade landaise c'est Ychoux pour ne pas la nommer.
Pour l'anecdote, autrefois, dans cette commune, comme dans beaucoup de commune Landaises, il y avait une forge pour la bonne et simple raison que celle-ci était chauffé grâce à la tourbe que l'on trouve dans la région.
Quand j'étais en activité, une de mes patientes sur les conseil d'une de ses amis vint me voir depuis Ychoux, pour un État Dépressif Majeur (EDM) suite à un licenciement abusif par son administration.
Elle venait ma voir de loin moi dont mon Cabinet Médical était implanté dans la banlieue de la Grande ville.
Je parlai de la triste histoire de cette patiente à ma femme qui avait passé, avec succès, pour son travail, un DESS de Droit Administratif. Celle-ci me conseilla que cette patiente prenne un avocat pour poursuive son administration devant le Tribunal Administratif. Elle le fit et gagna son procès.
Ce fait divers comique crée par le Maire d'Ychoux me replongea, avec un peu de nostalgie, dans mon passé
Une sorte de madeleine de Proust.
Le Malade Imaginaire - Molière - 1673
Ouverture du Prologue du Malade Imaginaire - Marc Antoine Charpentier
03:14 Publié dans Anecdote, Culture, Humour, La pensée du jour, Médecine, Musique, Politique, Potins, Pub, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)