22/12/2021
Ce n'est pas Benjamin Franklin qui a inventé le paratonnerre
Václav Divíšek (Procopius Divisch) le vrai inventeur du paratonnerre
Le paratonnerre est un dispositif conçu afin d'« écouler à la terre le fluide électrique contenu dans le nuage orageux et ainsi empêcher la foudre de tomber ». Selon l'histoire officielle, il est inventé le 15 juin 1752 par Benjamin Franklin.
Il aurait fait cette découverte lors de la célèbre « expérience du cerf-volant de Franklin ».
Dans cette expérience Benjamin Franklin prouve la nature électrique des éclairs. Pour cela, il fait voler un cerf-volant durant un orage pour le faire frapper par la foudre. Cette expérience le rend célèbre et fait de lui, selon l'histoire officielle, l'inventeur du paratonnerre.
Mais c’est Jacques de Romas qui a décrit, dès 1752, avant que Franklin ne réalise son expérience, le processus à mettre en place en envoyant son « cerf-volant électrique » vers la nuée orageuse. De la corde (entourée d'un fil métallique) qui le retenait au sol, il obtient des étincelles de plus de dix pieds de long et d'impressionnantes détonations.
C'est par une fâcheuse erreur de l'académie des sciences de Bordeaux que l'invention ne lui a pas été attribuée, erreur reconnue et réparée par les rapports des 1er et 4 février 1764.
Benjamin Franklin n'a jamais reconnu publiquement l'antériorité des conclusions de Jacques de Romas, même après les preuves accablantes de l'Académie de Paris concernant la réclamation de Jacques de Romas en 1764.
Par contre, ni Benjamin Franklin ni Jacques de Romas, n’avaient songé que la connexion à la masse serait essentielle. Dès 1750, l'abbé tchèque Václav Divíšek (plus connu sous le nom de Procopius Divisch) suggère cette étape, et construit en 1754 un paratonnerre lié à la terre au moyen de chaînes en fer, le premier appareil de ce genre.
Finalement, c’est Václav Divíšek qui construit, en 1754, un paratonnerre lié à la terre au moyen de chaînes en fer, le premier appareil de ce genre.
Pour la postérité, c'est Benjamin Franklin qui restera l'inventeur du paratonnerre alors que c’est à Jacques de Romas que revient le mérite d’avoir inventé l’expérience de la capture des éclairs et c’est bien l'abbé Václav Prokop Diviš qui construit le premier paratonnerre.
Ce n’est, ni Benjamin Franklin, ni Jacques de Romas, mais bien l'abbé Václav Prokop Diviš le vrai inventeur du paratonnerre.
Maintenant que vous savez tout, vous pouvez être critique envers cette vidéo.
P. S. : Pour la petite histoire, comme je le conte dans mon article du 27/10/2007 : « L'histoire de l'heure d'été/hiver » c’est à Benjamin Franklin que l’on doit l’invention de l’heure d’été/hiver.
06:18 Publié dans Anecdote, Culture, Culture, Histoire, La pensée du jour, Potins, Science, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
18/12/2021
Faux départ et quelques considérations sur le fonctionnaire et la fonction publique
(Pour agrandir, clic droit sur l'image puis clic gauche sur "ouvrir l'image dans un nouvel onglet")
Eh bien oui, je ne suis pas encore parti !
Ma moitié n’a pas finis ses dossier et comme elle doit les remettre à son chef*
Résultat des courses, je suis toujours coincé à la Grande Ville.
Peut être un départ le 21 décembre.
A propos du fonctionnaire, ma vision et l’état des lieux que je me fais de la fonction publique actuelle.
Il y a deux choses qui sont étrangers au libéral que je suis :
- C’est, d’abord, le rapport au chef et des conflits que cela peut comporter. Mon propre chef, à moi, c’était moi, d’où le fait que cet aspect des choses m’échappe totalement.
- Mais aussi, les fameuses réunions de travail parfois j’ai l’impression que leur travail ne consiste en réunions et, enfin, il y a une drôle de formule employée par ma moitié, toujours à propos du travail, c’est le fait de dire, qu’au lieu d’employer le mot travail, elle emploie le mot produire. Le fonctionnaire ne travaille pas (certains le pensent, à tord surtout actuellement vu le dégraissage dans la fonction publique), non, dis-je, le fonctionnaire produit.
A propos du dégraissage de la fonction publique, on arrive au fait que, le fonctionnaire, actuellement, a une charge de travail beaucoup plus élevée qu'avant ; je n’en veux pour preuve que ma moitié se tape le boulot de la secrétaire : répondre au téléphone, dactylographie avec le « tapage » des dossiers (ah les bienfaits du traitement de texte* !), sans oublier la photocopieuse. Seul reste la pause café (café pour les hommes, thé ou tisane pour les femmes) voire la pause cigarette.
Autre notion à propos de la rémunération du fonctionnaire : le salaire du fonctionnaire dépeint, d’abord de sa catégorie (C, B, A et A+) il est progressif sur le point d’indice, auquel s’ajoute les primes. Les primes, elles, ne rentrent pas en compte pour les retraites.
*LibreOffice , en l’occurrence car libre et gratuit et aussi complet que Microsoft 365.
20:53 Publié dans Anecdote, Culture, Culture, Humour, La pensée du jour, Potins, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
15/12/2021
La grosse verrue
Photo - VB/Rue8 (Pour agrandir, clic droit sur l'image puis clic gauche sur "ouvrir l'image dans un nouvel onglet")
Dans mon article du 16/12/2018 intitulé : « La verrue », j’aborde le sujet du remplacement du traditionnel sapin de Noël par une merde en fer.
Cette merde en fer n’a, d’ailleurs, même pas été installé cette année.
Il aura donc duré deux ans, en tout et pour tout !
Le maire écolo de la Grande Ville, cette année, à la place du sapin de Noël (qui n’avait pas été dressé l’année dernière, ce qui avait fait polémique), a fait dresser cette grosse verrue en verre vert de 11 mètres de hauteur et qui s’illumine !
Ce « sapin » de verre « réutilisable » et « amortissable » en cinq ans, œuvre de l’artiste Arnaud Lapierre, à couté la bagatelle de…
136.000 euros !
Pour avoir un ordre d’idée, le budget total (hors déco) consacré au sapin de la place Kléber de Strasbourg* a couté…
60.000 euros !
Certes, « Il serait amorti sur cinq ans », mais…
*Source : « Coût du grand sapin de Noël de Strasbourg »
09:53 Publié dans Actualité, Anecdote, Art, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Fête, Histoire, Honte, La pensée du jour, Loisirs, Politique, Potins, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (2)
10/12/2021
Faute de goût et manque de savoir vivre
Il m’arrive, parfois, d’être gaffeur, de commettre des impairs.
En voici un, dans l’exercice de mon Blog, qui me marqua profondément.
En son temps, j’ai publié le 04/03/2016, cinq ans, déjà, « Comment le Docteur Sangsue soigne la "gueule de bois" ».
Or il se trouve qu’un de mes articles proche traitant du vin du dimanche frôla cet article sur la "gueule de bois".
Cet assemblage fut, passablement, de ma part, une faute de goût, un manque de savoir vivre.
Mais, maintenant, il y a prescription.
Immédiatement, dans mon article du 24/11/2016 : « Château Coufran : Le vin du dimanche sélectionné par le Docteur Sangsue » je reçus ce commentaire « plutôt » flatteur :
Bonjour Docteur Sangsue,
Je viens de parcourir rapidement votre blog... très agréable.... et surtout de très bon conseil en matière de vins !!
Je tenais à vous remercier sincèrement pour vos charmants commentaires concernant les vins de notre famille et particulièrement le Carbonnieux.
Si vous êtes dans la région, je vous invite à nous rendre visite.
Nous serons ravis mes frères et moi de vous rencontrer.
Bien cordialement,
Christine Perrin Lescuyer
PS Continuez à boire du Carbonnieux de toute façon vous connaissez la recette anti-gueule de bois !!
Écrit par : Christine | 27/04/2016
Or il se trouve que Christine Perrin Lescuyer, avec ses frères Éric et Philibert Perrin, dirigent le Château Carbonnieux. Mais la famille Perrin a, dans son fief, outre le château Carbonnieux, les seconds vins de Carbonnieux (les châteaux La Tour Léognan et La croix de Carbonnieux), Haut Vigneau et Lafont Menaut*.
Eric Christine et Philibert Perrin un verre de Carbonnieux blanc à la main (Double clic gauche pour agrandir)
Grand dieu, que la propriétaire d’un grand château, un grand cru classé du Bordelais, écrive un commentaire sur mon modeste Blog, c’est plutôt flatteur !
Mais…
On sent, nettement une pointe d’ironie. Justifiée, on le conçoit, par l’association du « vin du dimanche » que l’on déguste et les boissons alcoolisé que l’on boit lors de certaines fêtes.
Je corrigeais immédiatement ma calamiteuse erreur de goût en supprimant l'article litigieux et répondis :
@Christine - merci de votre commentaire élogieux sur mon modeste blog.
Oui, Les Châteaux Carbonnieux, La tour Léognan, Lafont Menaut et Haut Vigneau sans oublier les Châteaux Le Sartre et Bois-Martin, font partie de mes vins fétiches.
Mais j’aime, aussi de temps en temps, revenir à mes premières amours, le Château Coufran.
Je "bois", ou plutôt je déguste toujours les vins avec modération. C'est pour cela que j'intitule, très souvent, mes articles "Le vin du dimanche".
Bien sûr, il y a, aussi, les très grandes occasions pour les vins exceptionnels comme, entre autre, le Carbonnieux.
Écrit par : Dr Sangsue | 27/04/2016
Bon, je vais essayer de me faire pardonner (avec 5 ans de retard, mieux vaut tard que jamais) avec cette vidéo sur le Château Carbonnieux qui produit l'eau minérale de Carbonnieux.
Vie de Château* - Château Carbonnieux
*OUF !
**« Vie de château » est un magazine mensuel de la vigne et des vignerons, des chefs de culture et des maîtres de chai, “Vie de Chateau” vous emmène visiter des propriétés viticoles de la Région. Incarné par Michel Cardoze, ce programme raconte une histoire, détaille une architecture, explore des méthodes de culture, s’intéresse aux sols, y cherche les petites bêtes et les bons cailloux et chante la différence entre les terroirs. Une véritable immersion dans le monde viti-vinicole.
Références :
- Vignobles Famille Perrin
- Carbonnieux : une Longue Histoire
00:46 Publié dans Anecdote, Blog, Cuisine, Culture, Culture, Fête, Humour, La pensée du jour, Le site du jour, Loisirs, Potins, Shopping, Vidéo, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
09/12/2021
L'acide L(+) tartrique et le vin
Crédit Photo – Archives Personnelles (pour agrandir, double clic gauche sur la photo)
L’autre jour, en finissant une bouteille de vin rouge, j’ai trouvé ce dépôt dans mon verre.
Il s’agit de cristaux d’acide tartrique.
L’acide tartrique est l’acide le plus abondant des acides du raisin. Il est formé dans les jeunes feuilles et les baies vertes. A partir de la véraison, sa teneur oscille autour d’une valeur moyenne sans grande évolution. Ainsi, la teneur approximative à la récolte est-elle de 5 à 7 g/l. Il tire son nom du dépôt (le tartre) se formant dans les récipients contenant du vin (cuves, futs…).
Oui, mais l’ Acide L(+) tartrique (dans sa forme dextrogyre) est, aussi, utilisé en œnologie.
En effet, une partie de l'acide tartrique ajouté au vin va entrainer la précipitation de bitartre de potassium et ainsi une baisse du pH du vin. Ce qui permet :
- Élaborer des vins équilibrés au point de vue des sensations gustatives.
- Favoriser une bonne évolution biologique et un bon déroulement de la maturation du vin.
- Remédier à une insuffisance d'acidité naturelle
En conclusion :
L'acide tartrique (E334) est un acidifiant des moûts ou des vins. ... Sur raisins ou moût, l'apport maximal autorisé est de 150 g/hl. Sur vin, il est de 250 g/hl. Il permet la réduction du pH* du vin au niveau souhaité tout en parvenant à préserver ses arômes et ses couleurs.
Cette vidéo met en évidence les cristaux d’acide tartrique : ceux-ci sont blancs pour les vins blancs (et rosés) et rouge pour les vins rouges). Mais il est oublié de préciser que l’acide tartrique peut être utilisé, en œnologie, pour « guérir » le vin.
Référence :
- Tartrique (acide tartrique) œnologie, acide naturel du vin et acidifiant
11:16 Publié dans Anecdote, Cuisine, Culture, Gastronomie, La pensée du jour, Le mot du jour, Le site du jour, Loisirs, Potins, Science, Science, Shopping, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
07/12/2021
Comment nettoyer son dentier : L’astuce du Docteur Sangsue
Comme je le raconte dans mon article du 21/03/2018 : « Un peu de culture ne nuit pas », je suis bruxomane, je grince des dents.
Cela a, entre autre, une conséquence nuisible : l’usure prématurée des dents, avec au bout, la dentine étant devenue apparente : des douleurs dentaires notamment à la mastication (un calvaire pour un épicurien, un amateur de bonne chère comme moi).
Le seul traitement possible : le port, la nuit, d’une gouttière rigide en plastique.
Or, donc, aujourd’hui, je suis retourné voir ma dentiste pour contrôle ma gouttière. En effet, au bout d’un certain temps la gouttière est envahie par une épaisse couche tarte.
Mais comment la nettoyer ?
Une idée, une idée de bricolo, me vint à l’esprit :
l’Antikal.
Aussitôt pensé, aussitôt fait !
Résultat :
Nickel !
La tête de la dentiste quand je lui racontais comment j’entretenais mon appareil.
Allez, un peu d’humour :
16:12 Publié dans Anecdote, Bricolage, Humour, Le mot du jour, Médecine, Potins, Shopping, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
04/12/2021
Mes Dieux à moi ce sont Jenner et Pasteur
Après la première communion (le sacrement de l’eucharistie) et la communion solennelle (profession de foi) ma fille passe la vitesse au dessus : la confirmation.
Personnellement, si je respecte ces traditions (en fait, c’est l’occasion d’un bon repas familial et amical), ce qu’elles représentent me laisse dubitatif*. Et pourtant, Dieu sait que j’ai bénéficié d’une bonne éducation religieuse, mon passage chez les Jésuites m’a marqué.
Or, il se trouve que j’accompagne ma mie et ma fille à l’office religieux du dimanche, la messe, quoi.
C’est une excellente occasion pour acheter la pâtisserie du repas dominical qui fait suite au sempiternel poulet rôti accompagné, comme il se doit, d’un bon flacon pioché dans ma cave.
Bon, j’exagère un peu. En fait, toute mon attention se concentre sur l’homélie : c’est toujours intéressant d’avoir un autre point, de vue, à déchiffrer sans modération, que les infos à la radio, à la télé, voire sur le Net.
Or, donc, il se trouve, que, lors de la dernière messe, je vis ma fille s’avancer dans la nef sans porter le masque.
Cela n’a pas raté, dès l’office fini, et quand elle nous eut rejoints, je lui tins ces propos bien sentis :
Je me cite, quitte à avoir les chevilles qui enflent.
« Mes Dieux à moi sont Jenner et Pasteur ».
*En fait, comme croyance, j’ai une conception écologique de la chose, je pencherai pour la réincarnation, car comme nous sommes tous atomes, une fois morts, un de nos atomes pourrait, éventuellement, avoir la possibilité de se réincarner en vache sacrée.
Il est à signaler que l’inhumation est plus écolo que la crémation : si l’on laisse faire la nature, on de dégage pas de gaz à effet de serre comme dans la crémation.
In fine, Bon, je dois reconnaître que la bible est, avant tout, un livre de philosophie.
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03/12/2021
Pas plutôt installé, pas plutôt en panne – Suite et fin - Où quand le Docteur Sangsue met la main à la pâte
Crédit Photo – Archives Personnelles (Pour agrandir, double clic gauche sur la photo)
Comme je le raconte dans mon article du 24/11/2021 : « Pas plutôt installé, pas plutôt en panne », un mois après l’installation de la fibre j’ai eu une panne internet.
Le technicien d’Orange est venu et a trouvé la panne. Elle se trouvait dans un boitier situé dans la rue d’à côté.
Cependant, entre temps, j’ai vérifié la fibre et je me suis rendu compte que celle-ci avait une marque : celle du pincement d’icelle entre le mur en pierre et un volet.
Rebelote.
J’appelle Orange qui me confirme le passage d’un technicien de Sogetrel pour la réparation.
A l’arrivé de ce technicien, il a fallu que ce soit moi qui fasse une petite saignée dans le mur pour y enfouir la fibre et la recouvrir d’un enduit pour combler la fente.
En fait, j’ai raté ma vocation : celle de chirurgien.
En effet, à mon avis, pour être un bon chirurgien, pour bien réparer un corps humain, il faut avoir l'âme d'un bricolo ; un bon chirurgien doit, d'abord, définir le meilleur acte chirurgical adapté et, le fait d'être bricolo, lui permet de s'adapter à tout impondérable.
A propos de chirurgie et pour ce qui est d’illustrer mes propos, je vous renvoie à mon histoire : « Connais-tu l'origine du mot chirurgien » ?
Bon, je sais, le résultat n’est pas très esthétique, je n’avais pas le temps de fignoler. Je peaufinerai plus tard pour une bonne étanchéité entre la pierre et la boiserie et éviter, ainsi, le risque d’infiltration.
Quand le Docteur Sangsue devient Docteur Maçon…
Moralité : On n’est jamais aussi si bien servi que par soi même !
08:59 Publié dans Anecdote, Bricolage, Coup de gueule, Honte, Humour, Informatique, Internet, La pensée du jour, Potins, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
01/12/2021
Le début des Bee Gees à la Télévision
Barry le plus âgé (17 ans) et les jumeaux Robin et Maurice (13 ans) avaient déjà une certaine renommée au début des années 60.
Les Bee Gees se produisaient alors dans des émissions de variétés locales. Ils interprétaient des reprises de Bob Dylan des Beatles ou des Rolling Stones. A l’époque la famille habitait en Australie. Avec obstination, les frères réussirent à décrocher un contrat avec une maison de disques. Ils ont enregistré plusieurs albums avant de connaître le succès en 1967 avec le titre mondial "Massachussets".
Please Please Me (The Beatles) - Bee Gees – 1963
Alexandra's Ragtime Band* - Bee Bees - 1963
Bee Gees - Brian Henderson's Bandstand** - Australia 1963
The Bee Gees - Wine & Women - TCN-9 Bandstand - 1965
*Alexander's Ragtime Band est une chanson de ragtime écrite par Irving Berlin en 1911
** Brian Henderson's Bandstand était une émission télévisée de variétés et de musique pop australienne diffusée de novembre 1958 à juin 1972.
10:01 Publié dans Anecdote, Culture, Culture, La pensée du jour, Loisirs, Musique, Potins, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
28/11/2021
D’où vient l’expression “Des économies de bout de chandelles” ?
Lorsqu’une personne cherche à éviter les dépenses, jusqu’aux plus petites, on dit parfois qu’elle fait «des économies de bouts de chandelles». Une expression dont l’origine remonte au XVIIIe siècle.
A cette époque, la cire est encore une denrée rare et précieuse, les chandelles avaient une valeur certaine. C'est pourquoi, dans les habitations bourgeoises, le personnel de maison avait l'habitude de rassembler les restes des chandelles, le suif non brûlé, et de les revendre à un cirier pour qu'il en refasse de nouvelles.
Vu par les riches, cette récupération semblait mesquine, ridicule et l'économie correspondante insignifiante, ce qui suffit à expliquer le sens de l'expression, mais aussi à comprendre pourquoi elle comporte la plupart du temps une connotation de mesquinerie.
Mais il existe d'autres interprétations...
14:02 Publié dans Anecdote, Culture, Economie, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
27/11/2021
Name dropping
Clic droit puis clic gauche sur ouvrir l'image dans un nouvel onglet pour agrandir l'image
En préambule, je tiens à préciser que je n’ai aucun jugement, ni avis, vis-à-vis de cette personnalité médiatique qu'est devenu Eric Zémmour.
Lors de mes escapades Webiennes, en ouvrant Youtube, je suis tombé sur cette vidéo intitulée : « Zemmour vs Ramzy - La débilité du namedropping » .
Tiens, un mot nouveau, un anglicisme qui m’est totalement inconnu.
Mais qu’est ce que le « Name dropping » ?
Help Wikipedia !
Wikipédia, je te cite :
« Le name dropping (littéralement le « lâcher de noms ») est une figure de style consistant à citer des noms connus, notamment de personnes ou d'institutions, pour tenter d'impressionner, selon le cas, ses interlocuteurs, auditeurs, lecteurs ou spectateurs.
Cette pratique se rencontre également avec l'étalage de titres d'ouvrages — en anglais title dropping — ou de marques commerciales (brand-name dropping).
En français, on parle plutôt d'« émailler de noms célèbres » sa conversation, ses écrits, de « faire allusion à des personnes connues », de « balancer des noms connus » ou de « faire étalage de ses relations ».
Il est à noter que, maintenant, je fais, moi aussi, beaucoup de « Web dropping », de « YouTube dropping », ainsi que du « Blog dropping » en citant mes article bloquesque.
Et, maintenant, en illustration de mes propos, la vidéo qui me fit découvrir ce mot :
12:39 Publié dans Actualité, Anecdote, Culture, Culture, Histoire, La pensée du jour, Le mot du jour, Livre, Mots, Politique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
26/11/2021
Hôtel Oriente à Saragosse
Crédit Photo – Archives Personnelles (Double clic gauche pour agrandir)
Pendant notre séjour à Saragosse nous avons séjourné à l’hôtel Oriente au 11-13 Calle del Coso.
Il est particulièrement bien situé car, en face d’une station de tram, dans le centre de Saragosse et à portée de fusil de la Plaza del Pilar et de la Calle Alfonso I.
16:10 Publié dans Anecdote, Loisirs, Potins, Vidéo, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
24/11/2021
Pas plutôt installé, pas plutôt en panne
Comme je le disais dans mon article du 23/10/2021 : « Quand la fibre s’invite à la maison, vive le THD (Tés Haut Débit) ».
J’ai fait installer la fibre par Orange le 22 octobre dernier ; j’ai donc une Livebox 5 flambant neuve.
Jusqu’alors tout marchais bien avec le débit promis dans l’abonnement soit 400 Mbits.
Mais patatras !
Aujourd’hui, 24 novembre, jour anniversaire de ma fille, la panne, plus de connexion.
J’ai téléphoné au 3900, la hotline d’Orange, plusieurs fois, jusqu’à ce que l’on me propose de me rappeler ; le technicien viendra demain.
En attendant j’ai une connexion via mon Smartphone en utilisant mon abonnement SYMA Mobile, avec mes 80 Go de data, je peux tenir.
Oui mais...
Je n'ai pas tout à fait le même débit, je me retrouve, comme avant, avec... 8,3 Mbits !
Double clic gauche pour agrandir
Il est à noter qu’il m’a fallu éteindre ma box pour utiliser SYMA en partage de data en USB.
Non, pour moi, ce ne s’est pas passé comme cela.
Cette vidéo n’est pas sans rappeler le « 22 à Asnière » que j’évoque dans mon article du 10/11/2021 : « Fernand Raynaud - 1926-1973 ».
A lire :
15:18 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Humour, Informatique, Internet, Le site du jour, Loisirs, Potins, Shopping, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (0)
23/11/2021
Steet art - « Les voiles »
Crédit Photo – Archives Personnelles (Double clic gauche pour agrandir)
J’ai pris la photographie de ce street art graffé sur le mur d’une rue lors de mon dernier séjour à Rochefort sur Mer pour les vacances de la Toussaint. Le poème est de Lamartine, son titre « Les voiles ».
« Les voiles » est un poème composé de cinq quatrains d’alexandrins à rimes croisées. Il a été écrit par Alphonse de Lamartine en 1844, alors qu’il se trouvait à Ischia, une île de la Méditerranée. Il n’a pas été publié par Lamartine lui-même : le public l'a découvert dans une publication posthume des œuvres du poète, en 1873.
Les voiles
Quand j'étais jeune et fier et que j'ouvrais mes ailes,
Les ailes de mon âme à tous les vents des mers,
Les voiles emportaient ma pensée avec elles,
Et mes rêves flottaient sur tous les flots amers.
Je voyais dans ce vague où l'horizon se noie
Surgir tout verdoyants de pampre et de jasmin
Des continents de vie et des îles de joie
Où la gloire et l'amour m'appelaient de la main…
Alphonse de LAMARTINE (1790 – 1869)
Nota Bene : Il est à remarquer que ce tag a été graffé sur des feuilles du journal Sud-Ouest de Charente-Maritime préalablement collées sur le mur.
Référence :
- Les voiles
10:17 Publié dans Anecdote, Citation, Culture, Poesie, Potins, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
22/11/2021
Canfranc
La gare de Canfranc
Sur le chemin du retour de Saragosse, nous nous sommes arrêtés à Canfranc pour acheter du Ricard et du Porto détaxés, pas de bons Whisky.
La petite histoire de la ligne Pau Saragosse.
La gare de Canfranc en voie de restauration.
21/11/2021
Le port USB : une histoire de chasse de mes débuts avec un ordinateur ou ma première confrontation avec le hardware
Mon lecteur ZIP Ioméga : Nostalgie !
Un "petit" sujet qui traite de l'histoire de l'informatique.
Je tiens à préciser, tout d’abord, que le hardware (le matériel informatique) n’est pas mon fort, contrairement à mon fidèle lecteur alain, je préfère, et de loin le software (les logiciels).
Tout commence en 1999 avec Windows 98 SE.
A cette époque fut mis en place la télétransmission pour dématérialiser les FSP (Feuille de Soin Papier) de la Sécurité Sociale.
Pour la télétransmission, il fallait (et il faut toujours) :
- Un ordinateur (il est vrai que l’on peut télétransmettre sans ordinateur avec, seulement, un lecteur de télétransmission). J'achetais donc un PC avec Windows 98. Actuellement la répartition du marché des Systèmes d'Exploitation (OS) est la suivante : Windows représente 88 % du parc des PC contre 8 % pour macOS et 2 % pour Linux (qui, étant un logiciel libre, est gratuit). Eh oui, il existe une solution médicale sous Linux !
- Un logiciel Médical agréé.
- Un lecteur bifente de carte vitale (SESAM-Vitale) et (CPS).
Et...
- Une connexion internet. A l’époque une connexion bas débit RTC, point de box, point de haut débit avec l'ADSL, point de très haut débit avec la fibre optique, point de 400 Mbits, comme chez moi actuellement, mais un modem V.90 (avec son bruit si caractéristique* lors de sa connexion), une ligne téléphonique (fil de cuivre) et un débit de 56 Kbits ! On imagine le temps de chargement, sur le Web, d'une simple image (qui était moins grande que maintenant).
J’ai donc débuté en Informatique avec Windows 98 et le Logiciel Médical HelloDoc qui, pour la petite histoire était implanté, au départ, à Vensac et son célèbre moulin, puis à Soulac-sur-Mer et qui, d’ailleurs, a été racheté, par la suite, en 2014, par CompuGroupMedical (CGM).
Ma motivation d’acquisition de ce Logiciel Médical résidait dan le fait qu’outre la télétransmission, il assurait un dossier patient dématérialisé, un traitement de texte, pour les lettres aux correspondants, la rédaction des bilans para clinique (Biologie, Radiologie) Et surtout des ordonnance avec une interface pour le logiciel du VIDAL, qui, d’ailleurs devient payant très rapidement (alors que le VIDAL papier restait gratuit car fourni par les Laboratoires Médicaux). Le VIDAL papier a, d'ailleurs, arrêté sa publication en 2020.
Après ce long préambule, j’en reviens à mon premier ordinateur.
Mon premier ordinateur fut un ordinateur portable, un ACER.
J’achetais, aussi un lecteur ZIP Ioméga car cela permettait de stocker 100 Mo de données ! (comparé à une disquette de 1,44 Mo de l'époque y a pas photo), avec, en plus, la possibilité de compresser ces données. A l'époque, le logiciel HelloDoc tenait en 3 disquette (4 Mo) on est loin du logiciel Windows 10 qui nécessite une clé USB de 8 Go !
Sitôt acheté, sitôt branché sur le seul port USB de mon ordinateur.
Déception, il ne s’allume pas !
J’ai galéré pendant un bon bout de temps pour trouver la solution.
Elle était toute bête : Il suffisait d’aller dans le BIOS et d’activer, tout simplement, ce foutu port USB.
Une vidéo sur le débarquement d'un ordinateur dans la famille : du vécu !
A propos de la hotline, celle-ci a été profondément modifiée avec la prise en main à distance des ordinateurs.
Allez, pour la route, deux vidéo qui faisait beaucoup rire, à l’époque, sur les démêlés avec l’informatique. On notera le changement, par rapport à maintenant, du matériel informatique de l’époque notamment la taille des écrans (les écrans LCD de maintenant remplacèrent les énormes écrans cathodique de l’époque encore appelés CRT).
*A écouter dans l’article de Wikipédia sur le modem. Cela ne me rajeuni pas !
Référence :
- ZIP Ioméga
16:07 Publié dans Anecdote, Culture, Histoire de la Médecine, Histoire de l'informatique, Humour, Informatique, Informatique Médicale, Internet, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Médecine, Potins, Santé, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (0)
19/11/2021
Un nouveau commerce à la mode : Le magasin de cannabis
09:19 Publié dans Anecdote, Cuisine, Culture, Economie, Gastronomie, Histoire de la Médecine, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Politique, Potins, Santé, Science, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
18/11/2021
Farmacia del Pilar en Zaragoza
Crédit Photo – Archives Personnelles (Double clic gauche pour agrandir)
Cette pharmacie vieillotte est située au 40 Calle Alfonso I, rue dont je parle dans mon article "Calle Alfonso I".
Mon dieu, qu’est ce que j’ai pu, en prescrire de la Lysopaïne (Lizipaina) du temps où c’était remboursé !
Il faut bien dire que sucer un bonbon est efficace dans le mal de gorge. Mais...
Si la majorité des angines sont virales, il ne faut pas passer à côté d'une angine bactérienne à Streptocoque β-hémolytique du groupe A (SGA) (risque de RAA* avec une possible atteinte des valves cardiaque) ce qui nécessite un traitement antibiotique (amoxicilline).
Pour cela, outre la clinique (fièvre >38° C, ganglions, augmentation des amygdales) le médecin dispose d’un test rapide : le TROD angine, mais je me pose, quand même, la question de la fiabilité de ce test.
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*Aphorisme médical bien connu des médecins : "Le streptocoque lèche les articulations mais mords le cœur".
09:59 Publié dans Anecdote, La pensée du jour, Le mot du jour, Le site du jour, Loisirs, Médecine, Photographie, Santé, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
17/11/2021
Les oiseaux dans la ville : la pie et les étourneaux classés nuisibles en Gironde
Comme tous les ans les étourneaux sansonnets sont de retour dans la Grande Ville.
Comme tous les ans je suis fasciné par le même spectacle, un spectacle son et lumière.
Je m’explique :
Derrière ma maison se situe un collège. Dans la cour de ce collège se trouve un grand arbre touffu avec des feuilles virant vers le rouge, l’automne est, déjà, bien avancé.
Tous les jours, à la même heure, cinq heures tapant, un bruit assourdissant sort de cet arbre qui est entouré de nappes d’étourneaux quittant et retournant vers cet arbre.
A ce propos...
Lu dans Sud Ouest en ligne du 09/07/2021 : "Gironde : la pie et les étourneaux officiellement classés « nuisibles »".
Ce n’est pas sans rappeler deux de mes anciens articles (cela va me permettre de me reposer un peu) :
- 04/11/2011 : "Les corbeaux dans la ville".
- 24/04/2017 : "Le vautour".
Une solution originale et efficace de lutte contre les étourneaux :
00:14 Publié dans Anecdote, Ecologie, Potins, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
16/11/2021
La Casa de Santiago Ramón y Cajal en Zaragoza
Crédit Photo – Archives Personnelles (Double clic gauche pour agrandir)
Lors de mon séjour à Saragosse, alors que j’étais dans la file d’attente pour rentrer dans la Chocolatería Lalmolda cf mon atricle du 28/10/2021 - « La Chocolatería Lalmolda à Saragosse », je remarquais une plaque, celle de ma photo.
J’y appris que Santiago Ramón y Cajal à vécu à Saragosse au numéro 13 de la calle Méndez Núñez.
Santiago Ramón y Cajal (1852 à Petilla de Aragón - 17 octobre 1934 à Madrid,) est un histologiste et neuroscientifique espagnol, colauréat du prix Nobel de physiologie ou médecine en 1906 avec Camillo Golgi.
En utilisant, pour l'étude des cellules nerveuses, la technique de coloration de Golgi, il mit en évidence que les neurones étaient des entités cellulaires séparées par de fins espaces (que Sherrington nommera « synapses »), et non les fibres d'un réseau ininterrompu. Il est considéré comme l'un des pères des neurosciences.
Ramon y Cajal devait être un enfant HPI et hyperactif (TDAH) en effet, c’était un enfant curieux et à l’esprit vif, fasciné par les phénomènes de la nature. Parmi les traits de sa personnalité, on peut citer la gêne que lui supposaient les relations sociales et les rapports cordiaux avec les adultes, en outre, comme il devait s’ennuyer à l'école, il avait un très mauvais comportement. Cajal a dû être transféré de nombreuses écoles parce que les enseignants ne pouvaient pas le contrôler. Il a été arrêté à l'âge de 11 ans après avoir détruit la porte de la cour d'un voisin avec un canon qu'il a fabriqué. C’est pour cela qu’il il fit un apprentissage d'abord de coiffeur, puis de cordonnier.
Cajal voulait devenir peintre, mais son père le força en lui faisant étudier la médecine.
Pour la petite histoire Ramon y Cajal à fut un pionnier du culturisme en Espagne.
Santiago Ramon y Cajal culturiste
Une vidéo où l’on apprend la passion de Cajal pour la photographie. Cela semble logique pour quelqu'un qui aime la peinture.
Une autre vidéo sur Golgi et Cajal.
Références :
- « Casa de Santiago Ramón y Cajal »
- « Santiago Ramón y Cajal »
- « Ramón y Cajal, pionero del culturismo español »
- « Le fondateur de Neuroscience voulait être un artiste, pas un médecin »
- « Una historia de Santiago Ramón y Cajal, un niño hiperactivo »
09:40 Publié dans Anecdote, Culture, Histoire de la Médecine, Loisirs, Médecine, Photographie, Science, Vidéo, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)