01/07/2016
Le Château
Par derrière chez moi, il y a un « château ». Enfin, une grande bâtisse des années 1800 ressemblant à un château d'antan.
Par derrière chez moi, il est arrivé bien des misères à ce pauvre château.
Au départ, le châtelain l’avait cédé, à son décès, au conseil général de l'époque, pour en faire un établissement scolaire.
Pendant longtemps, en effet, il hébergea un collège.
Mais, les années aidant, il fut cédé à un syndicat dont je tairai le nom.
Malheureusement deux circonstances vinrent aggraver sa peine.
D’abord un mouvement social qui entraina un profond mécontentement envers ce syndicat.
Mais, malencontreusement, aussi, une grève des éboueurs acheva son malheur.
Les poubelles débordèrent de façon cataclysmique. L'odeur dégagée devint pestilentielle. Bientôt les rats envahirent le navire.
Des mécontents mirent le feu aux poubelles accumulées et débordant devant le château.
Le feux se propageant au château l’endommagea sérieusement.
Pauvre châtelain, décidément tu dois te retourner dans ta tombe en voyant l’irrespect des hommes concernant ton château.
09:24 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Histoire, Honte, La pensée du jour, Musique, Politique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
29/06/2016
Piercings tatouages et saisons en médecine
Je suis frappé par le nombre de personnes qui se font faire des piercings et des tatouages.
Passe encore pour le piercing, celui-ci est réversible, on peut toujours l’enlever.
Mais pour le tatouage, c’est une autre paire de manche : celui-ci est irréversible.
Je vois, selon les saisons, ces deux types de phénomènes.
L’hiver, ne sont exposés à mes yeux, que les piercings. L’été, je vois les tatouages : ceux-ci étant cachés, bien évidemment, par les vêtements.
Pour ce qui est des piercings, les plus fréquents, sont, dans l’ordre, ceux de l’anthélix (le cartilage de l’oreille). Les autres : ceux delà lèvre inférieure et ceux des sourcils.
Ce qui me surprend le plus, pour ce qui est des tatouages, c’est que, dans la très grande majorité des cas, ils recouvrent une très grande partie du corps. Dans ce cas, les bras étant entièrement tatoués.
La vision des ces deux phénomènes, comme je le disais plus haut, sont saisonnier.
En médecine, aussi, il y a des pathologies saisonnières.
Je n’en veux pour preuve que trois exemples qui me viennent à l’esprit :
Bien évidemment les allergies saisonnières dues aux pollens.
Les crises d’Asthme que je ne vois, pour les Asthmes très légers qu’en hiver avec un traitement discontinu. (Les autres Asthmes, je les vois toute l’année : ils nécessitent un traitement continu).
Une autre pathologie saisonnière, en médecine, est l’Otite Externe ou Eczéma du Conduit. Voir mes articles :
- « Les oreilles point tu ne lavera : du danger des cotons tiges tu évitera ».
– « Otite et cotons tige » .
- « La médecine est saisonnière : L'otite externe ou eczéma du conduit auditif externe (ECAE) ».
Elles sont liées aux baignades.
Voilà un parallélisme amusant entre les saisons pour les percings et tatouages versus les saisons des pathologies médicales.
Vivaldi - L'été – Presto
Ce mouvement tourmenté, évoque les orages d'été.
09:00 Publié dans Anecdote, La pensée du jour, Médecine, Potins, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
27/06/2016
CMU malgré elle
J’ai, dans ma clientèle, une patiente de 25 ans chez qui, la dermatologue qu’elle a consultée récemment, lui a appris qu’elle avait la CMU (Couverture Maladie Universelle)*.
Elle n’a jamais été prévenue d’une telle situation.
Je vois cette patiente en consultation, elle me raconte cette anecdote.
Effectivement, en regardant la FSE (Feuille de Soin Électronique) je vois, qu’elle bénéficie bien de la CMU.
Elle me dit, alors, avoir fait une demandée de CMU il y a… onze mois.
Elle est restée sans nouvelle depuis.
Qu’elle réactivité de la part de la Sécurité Sociale.
Qu’elle efficacité dans la communication.
Mon brave monsieur, l’administration n’est plus ce qu’elle était.
*La CMU est une prestation sociale française permettant l'accès au soin à toute personne résidant en France qui n'a pas les moyens financiers pour cela.
09:43 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Economie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Potins, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)
24/06/2016
Quelle longueur optimale pour un article de Blog selon le Docteur sangsue
Comme vous avez pu le constater, mon article précédant : « De l’intérêt de l’interprétation analytique comparative d’une même mélodie » est, pour le moins, long, trop long.
Quelle est la longueur optimale pour un article de Blog ?
La blogueur est pris entre deux feux.
Si l’article est trop court, il n’y a rien à se mettre sous la dent, il faut l’étoffer.
Si l’article est trop long, trop détaillé, le lecteur se perd dans une foule d’informations.
Il faut donc être précis mais concis.
Argumenter mais pas trop.
Si l’on peut rajouter une note comique voire une anecdote, cela allégera l’article et permettra, au lecteur, de faire une pause, de respirer et d’être, ainsi, plus attentif pour lire la suite de l’article.
J’essaye, pour une longueur optimale, de me fixer, comme limite, pour mes articles, une à deux pages Word.
Voila, à mon avis, la longueur optimale pour mes articles de Blo.
09:28 Publié dans Blog, Internet, Loisirs, Potins, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (4)
23/06/2016
De l’intérêt de l’interprétation analytique comparative d’une même mélodie
En préambule, et pour faire suite à mon article précédent : Faites du boucan, je vous livre celui-là. Il est, peut-être, un peu long et un peu ardu, mais je pense qu’il est intéressant de le lire.
Concernant la musique, j’ai des gouts assez éclectiques. Cela va des variétés en passant par le Jazz et la musique classique.
Mes goûts en musique classique ont commencés avec, ne souriez pas, la musiques viennoise, mais, aussi, Mozart, Beethoven... En fait, j'ai débuté avec un florilège de musique du Reader's digest. Il faut bien commencer par quelque chose.
Mes connaissances musicales sont, purement, autodidactes.
Puis très rapidement, je me suis orienté vers la musique ancienne et plus particulièrement celle du XVII° siècle, mouvement musical que l’on nomme, aussi, musique baroque.
Le maître, étant, pour moi, (Johann Sébastian Bach).
Pour la petite histoire, Bach aurait eu vingt enfants.
Quand il était Kappelmeister, Bach était mal payé pour cette fonction.
Aussi, moins sérieusement, pour arrondir ses fins ce mois, il faisait, avec ses potes, des bœufs à la sortie des bistrots.
Il adaptait ses compositions en fonction du nombre de musiciens qui l’accompagnaient. On a ainsi, par exemple, le concerto pour violon et le concerto pour deux violons.
Ce qui précède est une interprétation un peu farfelue et purement personnelle.
Cependant, on peut considérer que Bach est l’inventeur du Jazz bien avant le Ragtime.
Revenons, maintenant, aux différentes interprétations d’une même mélodie.
Petit cours de partitions musicales comparées.
Je prendrai, comme exemple, la Suite No. 2 BWV 1067 (les mouvements : Ouverture, Rondeau, Sarabande, Bourrée I, II, Polonaise, Menuet et Badinerie).
Intégrale de la Suite N° 2 BWV 1067 - Bach - Amsterdam baroque orchestra - Ton Koopman
J'en extrairait le Menuet et la Badinerie.
Dans la première interprétation qui suit, la flute est une flute à bec. Le tempo, pour la badinerie, est plus rapide ce qui donne des notes rapprochées celles-ci sont ébauchées non finies ce qui donnent plus de fluidité à la mélodie. Cela donne une interprétation plus vivante. Le tempo (de l'italien tempo : « temps ») est l'allure, la rapidité relative, la vitesse ou encore le mouvement d'exécution d'une œuvre musicale.
Dans la première interprétation, la flutiste (de 14 ans !) est accompagnée uniquement par un piano. A l'époque, le piano n'existait pas encore ; à la place, il y avait le clavecin. Le tempo est rapide mettant en avant la virtuosité de l’interprète.
J. S. Bach - Suite N° 2 - Menuet, Badinerie - Lenka Molcanyiova- Flute à bec baroque
Dans la deuxième interprétation, le tempo plus lent permet de séparer les notes et donne, ainsi, plus de détail à la mélodie. Cela donne une interprétation plus « parfaite », mais plus scolaire, une interprétation moins vivante. D’autre part, le ton est plus bas.
Le flutiste est accompagné par l’orchestre baroque d’Amsterdam de Ton Koopman. L'orchestre de Ton Koopman a cette particularité de n’utiliser que des instruments d'époque. Ton Koopman essaye, ainsi, de se rapprocher du morceau original tel que l’interprétait Bach.
Amsterdam baroque orchestra - Ton Koopman- Bach –- Badinerie – Flute traversière baroque
L’interprétation dépend, du tempo mais, aussi, du nombre d’interprètes et de l’instrument de musique. Un piano et une flute à bec dans la première interprétation, une flute traversière, un clavecin et un orchestre.
Pour illustrer la différente interprétation en fonction des instruments de musique, voici plusieurs autres exemples.
A la trompette.
A l’orgue. N'oublions pas que Bach composa énormément pour l'orgue.
Voilà pourquoi Il est toujours passionnant de faire une étude comparée des différentes interprétations d’une même mélodie. La vidéo permettant de visualiser le jeu des musiciens ce qui rajoute une plus value à ces interprétations.
Au xylophone
Au xylophone - Lenka Molcanyiova
Et à la flûte de pan.
Avec des... verres.
Maintenant, un peu d’humour dans le pur style Jazzy que n’aurait, certainement, pas renié Jean Sébastien.
13:53 Publié dans Anecdote, Art, Culture, Humour, La pensée du jour, Loisirs, Musique, Potins, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (5)
22/06/2016
Faites du boucan
Hier, 21 juin, c’était la fête de la musique.
La fête de la musique est une idée fort intelligente inventée, il y a trente cinq ans, (trente cinq ans déjà !), en France, par Monsieur Jack Lang alors ministre de la culture.
Le but étant de célébrer l’été.
Cette fête se traduisant, dans les grandes villes, par des concerts disséminées un peu partout.
La veille de la fête de la musique, j’entendis un bruit de tam tam à cinq cent mètre d’un parc jusque là très calme parcouru par les joggeurs et peuplé par les oiseaux dont on endentait l’agréable gazouillis.
Et là, du boucan !
Ils répétaient pour la fête de la musique.
En effet, au milieu du parc, était implanté un barnum blanc.
Le pire, c’est que, même dans le tram, passait le bruit de tam tam.
Il ne manquait plus que les signaux de fumés pour rameuter le peuple.
Moralité, maintenant, pour la fête de la musique, faites du boucan, pas de la musique.
09:29 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Musique, Politique, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (15)
16/06/2016
Les oreilles point tu ne lavera : du danger des cotons tiges tu évitera
Une jeune femme de vingt cinq ans arrive à la consultation sur le motif d’une douleur excessivement violente de l’oreille droite lui faisant songer à une otite. Cette douleur l’a empêchée de dormir la nuit dernière.
La première question que je lui pose, c’est de savoir si elle utilise les cotons tiges.
Il est exceptionnel de voir, chez l’adulte, une « otite », ce que, nous médecins, appelons une Otite Interne.
Par contre dans la quasi totalité des cas, il s’agit d’un Eczéma du Conduit Auditif ou Otite Externe.
Cela est dù à l’utilisation intempestive des cotons tiges qui récurent le conduit, décapant celui-ci et enlevant toute trace du cérumen mettant, à nu, sans protection, ce conduit.
A l’examen de l’otoscope, je vois un tympan très propre, sans cérumen, mais rouge et je déclenche, avec l’otoscope, une douleur violente.
Cette douleur est réveillée aussi, mais dans une moindre mesure, quand je tire sur le lobe de l’oreille.
Le cérumen est une sécrétion grasse qui a pour but de protéger le conduit auditif de l’eau.
C’est pour cela que je dis que la médecine est saisonnière, en effet, les eczémas du conduits se voient principalement l’été quand les gens se baignent. Mais on voit des Eczémas du Conduit tout au long de l’année par l’utilisation forcenée des cotons tiges qui irritent le conduit auditif.
Je dis toujours, à mes patients, que l’oreille est faite pour contenir de l’air, pas des cotons tiges.
Tout au plus peut on se « laver » les oreilles avec un doigt dédié à cela : l’auriculaire, qui, lui au moins, est dénué de tout danger.
Je ne sais pourquoi il est de bon ton que tout le monde veut avoir « les oreilles propres ». Cela doit être éducationnel. L’invention du coton tige a été redoutable pour cela.
Il est quasi impossible de faire cesser l’utilisation néfaste de cette habitude, sauf quand la douleur est très violente. On a, alors, une chance dans ce cas.
Pour cette jeune fille, vu la douleur, ce fut fort aisé.
Elle me dit abandonner, définitivement, cette mauvaise habitude qu’est l’utilisation des cotons tiges.
Je la crois, bien volontiers, dans ce cas.
14:29 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Potins, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
13/06/2016
Une cystite différée
Coup de fil à la consultation du matin :
- « Pourriez vous recevoir ma fille car elle a mal au ventre et a des brulures quand elle va aux toilette ? ».
- « Oui, quand voulez-vous venir ? »
- « Demain après-midi ».
Je fus un peu intrigué par cette date différée pour ce qui, visiblement, était une une cystite.
Ce genre de pathologie devant être traité rapidement.
Je le dis donc à la mère de la jeune patiente.
Cette jeune patiente vint dans l’après midi accompagnée de son père.
C’est bien la première fois que je vois une cystite différée.
Il est vrai, en l’espèce, que c’est la douleur qui rend la consultation impérative.
Mais quand même…
Aujourd'hui peut-être - (Paul Durand / Marcel Sicard) par Fernand Sardou
15:48 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, La pensée du jour, Médecine, Musique, Potins, Santé, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (10)
12/06/2016
Les archives du Blog du Docteur Sangsue
Si le cœur vous en dit de lire mes vieux articles : mes archives, c'est
ICI.
Mon premier article (simplissime) date, déjà, du 7 août 2007.
Neuf ans déjà !
Comme le temps passe !
Depuis ce premier article, mon Blog est resté fidèle à lui même Médecine, peut-être moins, Gastronomie, Œnologie, autant. S'y est rajouté des phénomènes de société des anecdotes et des observations de la vie de tout les jours.
Un Blog évolue avec le temps, Bien évidemment le mien ne fait pas exception à la règle.
19:00 Publié dans Blog, Cuisine, Gastronomie, Histoire, Internet, La pensée du jour, Le site du jour, Loisirs, Médecine, Mots, Potins, Santé, Web | Lien permanent | Commentaires (0)
06/06/2016
Le site du jour pour se distraire
09:14 Publié dans Blog, Humour, Internet, Le site du jour, Potins, Web | Lien permanent | Commentaires (3)
31/05/2016
La rue aux volets clos
Dans la rue où j'habite, depuis pas mal de temps, déjà, un phénomène étrange s'est produit.
Dans la rue où j'habite, pratiquement tous les volets sont clos.
Cela donne une impression étrange et macabre, une impression de rue morte.
Comment en est on arrivé là ?
Avant, tous les volets était ouverts. La rue était joyeuse, souriante et pleine de vie.
Quelle tristesse désormais.
Cela est-il la traduction de la morosité de notre société actuelle ?
Allez donc savoir.
Quoi qu'il en soit, quand je rentre chez moi, un malaise s'empare de moi.
00:14 Publié dans Anecdote, La pensée du jour, Potins, Société | Lien permanent | Commentaires (6)
27/05/2016
Michel Morin
Dernièrement, il m’est arrive une tuile. Au sens propre et au sens figuré.
Vous aurez l’explication plus loin.
Dernièrement, j’ai eu le malheur de faire appel à un Michel Morin. Pour ceux qui ne connaîtraient pas ce nom, un homme à tout faire.
C’était pour nettoyer un petit toit.
Malheur m’en a pris !
Il m’affirma, que, pour cela, il suffisait d’employer un Kärcher*.
Malheureusement, il eut la mauvaise idée de monter sur le toit pour « arranger » quelques tuiles canal.
A la première pluie, naturellement un dimanche, le compteur disjoncta.
Forcément, il y avait une énorme gouttière au niveau d’un plafonier.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là.
Je remarquais, très rapidement qu’une canalisation d’évacuation était bouchée. Merci l’utilisation du Kärcher*.
Moralité : Je fus obligé de faire appel, en urgence, un dimanche, à un camion de débouchage en déboursant la coquette somme de 1000 €.
Et un dégât des eaux, fort heureusement pris en charge par l’assurance, de 2000 € (remaniage de la toiture, démolition, pose d’un nouveau plafond en placoplâtre et réfection de l’électricité, sans compter la peinture.
Ne faites jamais appel à un Michel Morin pour tout travaux sortant, un tant soi peu de l’ordinaire. Laisser lui, uniquement, des tâches très légères.
Sinon, il vous en cuirait.
11:25 Publié dans Anecdote, Comfort, Coup de gueule, Ecologie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Musique, Potins, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
26/05/2016
Comment redimensionner une image pour réaliser un fond d’écran
Pour cela, il faut utiliser Microsoft Office Picture Manager fourni par Microsoft Office.
Clic droit sur l'image et clic gauche sur Microsoft Office Picture Manager pour ouvrir cette image.
Cliquer sur l’Onglet Modifier les images puis Rogner.
Rogner l’image à votre convenance, ensuite :
/Paramètres de Rognage/Rapport Hauteur Largeur/3x4/Dimensions de l’image/OK (première validation).
Enfin, deuxième validation : Clic gauche sur OK (à gauche dans la barre des menu).
Voila votre image redimensionnée et prête pour votre fond d’écran.
14:37 Publié dans Informatique, Loisirs, Potins, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
23/05/2016
Esprit civique
Depuis que je prends le tram pour aller à mon cabinet médical, je marche pas mal tous les jours.
Je suis, quand même, assez surpris par le comportement des automobilistes.
Je pensais, naïvement, qu’aucuns ne me laisseraient, tranquillement, traverser les rues dans les passages zébrés.
Que nenni.
Dans la plus part des cas, ceux–ci ont l’esprit civique, s’arrêtant et me laissant traverser tranquillement en toute sécurité.
J’ai, cependant, remarqué un phénomène étrange et que je ne peux m'expliquer ; c’est toujours aux mêmes endroits que les voitures ne me cèdent pas le passage.
Allez donc savoir pourquoi ?
Outre cette constatation, le piéton doit, cependant, dans certains endroits dangereux par manque de visibilité, redoubler de vigilance.
Et là, il ne s’agit pas de civilité, cela est plutôt dû à la vitesse des véhicules.
11:01 Publié dans Anecdote, Ecologie, La pensée du jour, Le mot du jour, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
19/05/2016
Le puits et le gruyère
Ceci pourrait fort bien être le sujet d’une fable de La Fontaine.
Grandville est une superbe ville du XVIII° siècle. C’est une ville magnifique aux vieilles pierres superbes.
Mais, pour cela, pour ces belles pierres, il fallut bien trouver la matière première : le calcaire tertiaire.
Il a fallu extraire ces pierres du sous sol.
Pour cela, il fallut faire des galeries, des carrières.
Et Grandville se trouve, maintenant, comme à Paris, avec des catacombes.
Ces carrières existent aux alentours proches, lointains et très lointains de Grandville.
Les banlieues de Grandville se retrouvent, ainsi, truffées de galeries, de carrières et de trous comme dans du gruyère.
Aux alentours lointains, certains furent, même, utilisés comme champignonnières pour faire pousser des champignons de Paris.
Sur ce gruyère, des habitations furent construites. Certains anciennes, d’autres récentes.
D’où l’intérêt du BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières qui recense toutes ces carrières.
Un jour, dans un lotissement, un habitant décida, sans autorisation, de construire un puits.
Que croyez vous qu’il arriva… Tout le lotissement s’affaissa et toutes les maisons se fissurèrent.
Mais il ne faut pas croire que les maisons anciennes sont à l’abri de ce phénomène Avec le ruissellement des eaux, le calcaire se dissout, les cavités s’agrandissent et les maisons se fissurent.
Moralité : petites causes grands effets.
11:22 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Histoire, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Paris, Politique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (5)
16/05/2016
La fraise de ville et la fraise des bois
Il est commun de voir, dans les grandes villes, pousser des plantes, principalement au pied des murs des maisons.
A tel point qu'à Grandville, il est de mode, maintenant, de faire un trou devant les maisons aux propriétaires qui sont volontaires pour faire pousser quelques plantes.
On voit, ainsi, fleurir, parfois, des roses trémière qui sont, plutôt, il faut bien le dire, l'apanage de la Charente-Maritime.
On voit ainsi, outre quelques plantes sauvages, que je ne connais point, des trèfles et une, comestible, enfin comestible, plutôt point avec la pollution et... des chiens qui font leurs petits besoins, une salade, le pissenlit.
Oui, une plante comestible dans les rues de Grandville !
Dernièrement, en me promenant dans les rues de Grandville, mon regard fut attiré par une note rouge au milieu de vert.
De plus près, une surprise m'attendis...
Non pas des fraises des bois, mais des fraises des villes.
P.S. Mon article me fait songer à un autre de 2011 : "Les corbeaux dans la ville".
Dans cet article, j'évoquais le peuplement des oiseaux dans Grandville.
17:48 Publié dans Anecdote, Ecologie, La pensée du jour, Potins, Science, Société, Voyage | Lien permanent | Commentaires (4)
12/05/2016
Hyperloop Aérotrain Hovercraft et coussin d'air
L’Hyperloop :
Très dernièrement un nouveau transport en commun, sur rail, vient de faire son apparition : l’Hyperloop.
« Le système testé par la startup américaine Hyperloop One devrait atteindre les 1.200 km/h, et propulser des capsules transportant des passagers ou du fret sur des coussins d’air dans un tube à basse pression ».
L’hyperloop compte transporter du fret en 2019 et des passagers en 2021.
Source : 20 Minutes.
L’aérotrain :
Ceci n’est pas sans rappeler l’aérotrain inventé par plusieurs ingénieurs français :
- « En 1957, Louis Duthion, ingénieur de la société Bertin, met en évidence un phénomène inattendu : l’effet de sol.
- En 1961, Louis Duthion dépose le brevet du coussin d'air.
- En 1964, Jean Bertin présente une maquette de 1,5 m de long, à l’échelle 1/20e, aux pouvoirs publics et à la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) ».
« L’Aérotrain est un véhicule se déplaçant sans contact avec le sol, sur un cossin d’air, et guidé par une voie spéciale en forme de T inversé ».
En 1966, une voie d’essai de 6,7 km de long est construite dans l’Essonne pour l’Aérotrain 01 entre Gometz-la-Ville et Limours sur la plate-forme désaffectée de la ligne Paris-Chartres par Gallardon. L'Aérotrain 01 y circulera à plus de 200 km/h.
« L’aérotrain n’a cependant jamais connu d’exploitation commerciale ».
Source : Wikipédia - Aérotrain.
Le TGV :
Il faut bien dire qu’actuellement, le TGV « atteint régulièrement la vitesse de 320 km/h sur des lignes à grande vitesse (LGV). Il a atteint un record de 574,8 km/h en 2007 ».
Source : Wikipedia – TGV.
La technique du coussin d'air a connu une exploitation commerciale dans l'Hovercraft (Aéroglisseur) sur la ligne de ferry Douvres Calais. Cette exploitation dura assez longtemps par la compagnie Hoverspeed depuis les année 1960 jusqu'au premier octobre 2000. Mais elle est, maintenant, abandonnée.
Cependant, d'autres aéroglisseurs sont encore utilisé couramment.
14:20 Publié dans Actualité, Culture, Economie, Histoire, La pensée du jour, Loisirs, Potins, Science, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
10/05/2016
Les fourmis
Mon pont de l'ascension fut particulièrement bien occupé entre activité de bricolage et activité de loisirs.
Une catastrophe me préoccupa fortement.
Le devant de ma maison est recouvert de dalles. Celles-ci, comme toutes les dalles, sont posées sur du sable (comme les pavés, d'où l'expression de mai 68* : "Sous les pavés, la plage").
Quant j'avais réceptionné les travaux, il m'avait été laissé le soin de combler, avec du sable, l'espace entre les dalles.
Or, cette année, je vis, avec stupeur, que cet espace était recouvert d'un monticule de sable avec un trou au milieu. de ce trou sortaient, rentraient et s'activaient, avec frénésie, de petites fourmis.
Des fourmilières !
Ces sales bêtes étaient en train de défaire mon travail, et, pire, avec le risque de déstabiliser mon dallage.
Il fallait agir au plus vite.
Je me rendis, donc à un Bricomachin pour demander un produit anti fourmis.
Il me fut proposé une boite en plastique de 250 ml avec le conseil de poudrer les trous.
Vu la superficie, et la toxicité du produit, je décidais, plutôt que de poudrer de diluer, selon la notice, le produit et de le pulvériser dans les fourmilières.
Je diluais précautionneusement la poudre selon la notice, et, avec un pulvérisateur, je m'attaquais aux fourmis.
Le lendemain, plus âme qui vive.
Mission accomplie.
Mais il me faudra reboucher les trous, parfois importants, avec du sable.
Il ne me restera, en plus, qu'a désherber entre les dalles.
Mais cela est une autre histoire.
Et ce sera un autre jour.
14:22 Publié dans Anecdote, Bricolage, Coup de gueule, Ecologie, Loisirs, Potins, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
04/05/2016
Pont de l’ascension 2016
Je vais être absent de mon blog pendant le pont de l’ascension.
Reprise prévue le 9 mai.
08:53 Publié dans Actualité, Blog, Loisirs, Potins, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
03/05/2016
Le Docteur Sangsue victime de la violation du principe de l'égalité devant la loi
"L’égalité devant la loi ou égalité en droit est le principe selon lequel tout individu doit être traité de la même façon par la loi (principe d’isonomie). Aucun individu ou groupe d'individus ne doit donc avoir de privilèges garantis par la loi". – Wikipédia.
Dans la résidence où je sévis depuis "quelques années" déjà, je suis victime d’une "violation du principe de l'égalité devant la loi".
Depuis mon installation, je bénéficiais, gratuitement, de la tonte de ma pelouse.
Puis une tempête déracina un certain nombre de me mes sapinettes.
Je continuai, comme mon voisin, de bénéficier, toujours, de cette tonte gratuite.
Sous la pression du conseil syndical, je replantai, moi-même, à mes frais, (je ma transformai, alors, en jardinier, portant deux arrosoirs pour planter mes sapinettes).
Puis les relations, avec le voisinage, se dégradant, je fus privé de la tonte gratuite.
Alors que le voisin, qui n’avait pas replanté sa haie, bénéficie toujours, à ce jour, de ce privilège.
Je suis donc victime, hélas, devant le nombre de mes opposants, d’une violation du principe de l'égalité de traitement.
Ainsi est faite la nature humaine.
10:51 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Culture, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Politique, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)