01/04/2019
Poisson d'avril
Une hypothèse sur l'origine du Poisson d'Avril pourrait être la relation à la Pâques qui marque la fin du jeûne du carême, le poisson prenant une place alimentaire importante à cette période. De plus, l'ichthus chrétien, symbole graphique représentant un poisson, est souvent interprété comme un acronyme du nom de Jésus utilisé du Ier siècle au IVe siècle et le mot poisson serait une corruption du mot Passion. Source Wikipédia.
Les poissons d'avril qui sont devenus réels aujourd'hui | Archive INA
17:45 Publié dans Culture, Humour, La pensée du jour, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
27/03/2019
La suppression du changement d'heure
Encore un vieux marronnier (non, pas l'arbre. Un marronnier, en terme journalistique, désigne un évènement récurrent qui sert à boucher un trou lors à la rédaction).
Le marronnier dont je parle est celui du changement d'heure.
En effet, il est question de le supprimer.
Déjà, dans un de mes vieux articles, qui date de... 2016, il était question de la suppression de ce changement d'heure. Mon article se nommait : "Vers la suppression du changement d’heure d’été/hiver en France".
Maintenant, on découvre, enfin, l'inutilité de cette mesure. Et l'on trouve, tout naturellement, plusieurs arguments pour nous persuader du bien fondé de cela. Notamment, le dérèglement de l'horloge biologique qui, pour l'anecdote, perturbe la traite des vaches. Mais, plus gravement, l'augmentation des accidents touchant les piétons lors du passage à l'heure d'hiver. Tout cela pour une très faible économie d'énergie.
Dans mon article :"L'histoire de l'heure d'été/hiver", comme je racontant que le père de l'inventeur de l'heure d'été , Benjamin Franklin, vendait des chandelles (ironie du sort, Benjamin Franklin cassait la baraque de son père), je disais, avec une pointe d'humour, que, je me cite : "cela ne réaliserait que des économies de bouts de chandelles".
Culte: Roger Gicquel ne comprend rien au changement d'heure | Archive INA
12:00 Publié dans Anecdote, Culture, Economie, Humour, La pensée du jour, Politique, Potins, Science, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
22/03/2019
Une huitre récalcitrante, le passage rocambolesque du Docteur Sangsue aux urgences de la main
Dimanche dernier, je me suis blessé à la base de la face palmaire de l'index gauche en ouvrant une huitre récalcitrante. Sur le moment, me mis à saigner normalement pour ce type de blessure.
Le lendemain, comme la douleur s'accentuait et que mon doigt se mettait à enfler, je me décidais, un peu inquiet à ma diriger vers les urgences de la mains.
Deux hypothèse me venaient à l'esprit : soit une irritation du tendon fléchisseur, soit une infection de la gaine du tendon.
En ancien professionnel de la médecine, je me dirigeai vers un autre hôpital que le CHU et qui assurait un aussi bon service d'urgence de la main. Je savais que, si j'avais été au CHU de la Grande Ville, j'aurais attendu une éternité.
Arrivé aux urgences, j'ai eu beaucoup de chance, il n'y avait personne dans la salle d'attente, je passai donc de suite.
L'infirmière qui m'a reçu, au physique agréable et fort accorte d'ailleurs, après un excellent interrogatoire, me demanda d'enlever mon alliance car, me dit elle, le doigt pouvait enfler. J'obéis bien que je n'en compris pas l'intérêt de faire cela à un autre doigt que celui blessé (premier gag et de taille celui-la !). Elle me fit, alors, un pansement au Dakin (deuxième gag) quel intérêt si ce n'est que me rassurer, alors que je lui avait dit que j'étais médecin. Il est vrai qu'elle ne faisait que suivre les instructions qu' on lui avait données.
Elle me dirigea, vers l'accueil pour remplir les papiers d'admission.
Arrivé à l'accueil, il me fut dit qu'il fallait retourner voir l'infirmière qui devait faire cela (troisième gag).
Comme il m'avait était dit qu'il fallait que je revienne à 16 h pour voir le chirurgien, je m'exécutai.
De retour à 16 h, je m'annonçait à l'interphone. Par chance, il n'y avait qu'une personne avant moi.
Mais de suite l'infirmière m'appela. J'arrivai devant un chirurgien qui, très sur de lui, m'examina et me dit que ce n'était pas méchant et, sans autre forme de procès sans m'expliquer quoi que ce soit et en particulier que le tendon avait été irrité, il me dit "vous avez compris". Il me fit, alors, lui aussi, un pansement au Dakin totalement inutile bien sûr. (quantième gag) car je lui avais dit, aussi, à lui, que j'étais médecin. J'ai horreur d'être pris pour un bredin.
Ce faisait beaucoup de gag.
Mais comme m'a dit ma moitié : "Ne te plaint pas, tu n'a pas attendu".
Il n'aurait plus manquer que ça.
P. S. : Aujourd'hui, vendredi, soit cinq jours après mon accident, j'ai presque entièrement mon index. Pour cela, le chirurgien avait raison. C'est tout ce que je lui demandai (me rassurer en me disant qu'il n'y avait pas d'infection de la gaine du tendon, mais il était inutile de me mettre ce pansement au Dakin que, d'ailleurs, je retirai une fois rentré chez moi).
10:52 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Maladies des Hommes Célèbres, Médecine, Potins, Santé, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)
18/03/2019
Myr et Myroska
"Myr et Myroska est un couple de vedettes internationales du music-hall des années 1940 à 1980. Le numéro de Myr et Myroska était fondé sur ce qu'on appelle aujourd'hui le mentalisme : Myr posait des questions concernant un spectateur (âge, prénom , numéro de la carte d'identité…) à laquelle Myroska, les yeux bandés, répondait supposément par "transmission de pensée". Le couple donna sa première représentation à Bordeaux en 1944 et fit ses adieux au théâtre Princesse Grace de Monte-Carlo en 1984.
Myr et Myroska se rencontrèrent en 1941 dans le petit village de Castets-en-Dorthe (près de Langon en Aquitaine). Myroska (Marie-Charlotte Baron, morte en 1998) était la fille du charcutier du village et André Myr (mort le 14 décembre 1995) un chansonnier parisien de passage. Myr conçut le numéro d'illusion".
Myr et Myroska mars 1957
Myr et Myroska inspirèrent deux sketchs de Pierre Dacq et Francis Blanche.
"Au début des années 1950, Pierre Dac écrit le sketch Madame Arnica, une parodie des spectacles de télépathie de music-hall de Myr et Myroska. Il le joue avec Francis Blanche, qui y apporte sa contribution.
En 1957, l'ensemble est remanié et rebaptisé Le Sâr Rabindranath Duval, dont la version originale est créée en janvier 1957, à l'occasion du 10e anniversaire du cabaret Les Trois Baudets.
En 1960, sa version la plus connue est enregistrée à Lyon au cours de l'émission radiophonique Musicorama de la radio Europe 1. Dac et Blanche sortaient d'un repas bien arrosé".
Francis Blanche et Pierre Dac - La Voyante Madame Arnica - 1957
Francis Blanche Et Pierre Dac -Le sar Rabindrana duval - 1957
Sources :
- Myr et Myroska
- Myr et Myroska : Les vedettes du mystère - Quel était leur secret?
- Le Sâr Rabindranath Duval
06:13 Publié dans Anecdote, Culture, Humour, Le mot du jour, Potins, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
08/03/2019
La crise sociétale Française actuelle Acte 2 - Les régimes spéciaux de ceux qui nous gouvernent
"
Comme l'on parle beaucoup ,actuellement, des régimes spéciaux de retraite, j'ai trouvé, sur You Tube, cette vidéo trouvée qui complète, à merveille, mon précédant article : "La crise sociétale Française actuelle vue par Philippe Béchade".
11:04 Publié dans Coup de gueule, Economie, Humour, Le mot du jour, Mots, Politique, Potins, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
13/02/2019
Le vendredi, c'est poisson au menu, une anecdote du Docteur Sangsue
Je me souviens, qu'autrefois, une coutume voulait, qu'en famille, à table, nous avions du poisson.
Je garde un goût ému d'une recette toute simple, celle du carrelet poilé assaisonné d'un filet de citron. J'adorai manger la peau et sucer les arêtes tout autour de ce poisson. Un pur délice.
Il m'étaitait dit que le poisson était bon pour le cerveau car il contenait du phosphore, d'où le terme phosphorer.
Pourquoi cette coutume ?
Pour une raison toute simple, à cause du Vendredi Saint.
Jésus Christ est mort un vendredi, le Vendredi Saint.
Pour cela, le vendredi, c'est poisson au menu.
A ce propos me revient une histoire.
Une consœur pratiquante fervente de la religion catholique (un jour, elle nous montra une photo où elle était photographiée au côté du pape de l'époque), m'avait fait une réflexion pour le moins surprenante.
C'était un vendredi lors d'une inauguration du cabinet médical d'un confrère. C'était il y a, déjà, un certain temps (nous vivions bien à l'époque).
A cette occasion un toast au foie gras à la main, elle me fit cette confidence, en parlant du foie gras : "Je te baptise poisson".
VENDREDI SAINT - CRUCIFIXION et MORT DE JÉSUS-CHRIST
Pour l'anecdote, 500 artistes signataires, veulent, pour des raisons écologique, un lundi vert sans viande ni poisson.
Référence :
Pourquoi dit-on de manger du poisson et pas de viande le vendredi?
11:31 Publié dans Anecdote, Culture, Gastronomie, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Potins, Shopping, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
21/01/2019
Enfant en danger
Une après midi, à 16 heure, en allant chercher ma fille à l'école, une mère papotait avec une autre de choses hautement importante. Or, je m’aperçus, qu'en dessous du jeune enfant, dans le panier, en dessous de la poussette, se trouvait un petit chien.
Avec frayeur, je fut stupéfait de voir le jeune enfant passer sa main près de la gueule du gentil toutou.
Mais, bon dieu, un chien n'est pas une peluche !
Et si, par malheur, l'enfant avait tapé le museau du chien qui nous dit que celui-ci ne l'aurait pas mordu.
Décidément, il y a des parents inconscients.
Au lieu de papoter, cette mère prout prout qui s'la pète, négligente eut mieux fait de tenir son cher toutou en laisse.
Vous aurez compris que j'abhorre les mères qui papotent de choses inutiles à la sortie des écoles.
Raymond Devos "Parler pour ne rien dire" | Archive INA
10:56 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Potins, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (2)
21/12/2018
La Grande Ville, ville propre
Pour agrandir, cliquez sur l'image.
J'habite à la Grande Ville.
La qualité de vie se détériore à la Grande Ville. Reportez vous à mes deux articles précédants :
- "La verrue".
- "Guirlandes de Noël et individualisme".
J'habite à la Grande Ville, et, parfois, j'avoue avoir honte d'y résider.
Depuis plusieurs jours, déjà, en effectuant ma ballade hygiénique matinale pour maintenir ma forme (j'adore marcher, c'est mon jogging à moi), je tombai, régulièrement, sur un spectacle répugnant.
Une rangée de poubelles envahissant le trottoir.
Horrifié, j'immortalisai ce spectacle désolant en le photographiant. Remarquez, sur la photographie, ce jour là, une poubelle qui, bloquant le trottoir, m'obligea à descendre sur la chaussée.
Mais, en prenant la photo, je me remarquai que l'on m'observais.
Et bien, croyez moi si vous voulez, mais, dès le lendemain, ce triste spectacle disparu.
Comme quoi le civisme ne tient qu'a une photographie.
00:33 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Histoire, Honte, Le mot du jour, Mots, Politique, Potins, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
19/12/2018
Guirlandes de Noël et individualisme
L'autre jour, en faisant ma ballade matinale pour garder la forme, je remarquai, en bordure du trottoir un arbre de Noël qui gênait le passage des piétons.
En guise de décoration de Noël on eut fait mieux.
Ce n'est point là qu'il aurait fallu l'installer mais sur la place dont je vous parlai dans mon article précédant : "La verrue".
Intrigué, je levai les yeux pensant trouver les trois guirlandes lumineuse surplombant la rue.
Que nenni, la municipalité n'avait pas juger utile de les installer.
L'esprit de Noël se perd.
Il n'y a plus trop l'effervescence d'antan aveg les devantures garnies des pantins animés.
Non, au lieu d'aller dans les magasins, les gens, de nos jours font leurs emplettes de Noël sur Internet.
Au lieu de se rencontrer dans des lieux festifs, de plus en plus, les gens restent cloitrés chez eux devant leur ordinateur.
On se dirige vers une société individualiste.
L'ordinateur finira par rendre les gens dingue.
Sans commentaire.
09:59 Publié dans Actualité, Coup de gueule, Honte, Humour, Informatique, Internet, La pensée du jour, Loisirs, Politique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)
11/12/2018
La recette du foie gras mi-cuit stérilisé à la cocotte minute du Docteur Sangsue
La période des fêtes Noël offre l'occasion de publier un marronnier*.
Pour les fêtes de Noël, un incontournable est bien le foie gras.
Voici une recette qui permet d'avoir un foie gras à 40 € le Kg au lieu des 100 € le Kg, voire plus, que l'on trouve dans le commerce, pour un bloc de foie gras équivalant (foie gras au torchon).
A quinze jours de Noël, il est grand temps de vous y mettre.
Ingrédients :
- Un foie gras de 500 g dans un emballage sous vide
- Sel fin
- Poivre du moulin
- Eau chaude
- Deux grands Bocaux le Parfait*
Préparation :
Bien nettoyez les bocaux. Mettez les joints.
Enlevez le foie gras de son emballage sous vide.
Séparez les deux lobes.
Faites tremper les deux lobes dans de l'eau chaude pour bien le ramollir et pouvoir les glisser dans les bocaux. De temps en temps changez l'eau.
Quand les deux lobes sont bien mous, enlevez les voies biliaires (ce que certains appellent "déveiner" ou "dénerver").
Salez et poivrez les deux faces.
Glissez chaque lobe dans les grands bocaux le parfait*.
Disposez les deux bocaux dans la cocotte minute en les séparant par un torchon pour ne pas qu'ils s'entrechoquent.
Stérilisez 12 minutes après rotation de la soupape.
Une fois refroidi, mettez les deux bocaux au réfrigérateur.
Il est préférable de préparer le foie gras un mois avant sa consommation.
Le foie gras, ainsi préparé, se conserver six mois au réfrigérateur.
Accompagnement :
Avec un très bon pain grillé ou non. On peut saupoudrer le foie de fleur de sel pour relever le goût. Et comme vin : classiquement un Sauternes, mais aussi un Jurançon, un très bon vin blanc sec fruité ou du champagne.
Bonne dégustation et bon réveillon pour oublier cette période morose.
Une autre recette explicative :
Je vous précise que la stérilisation à la cocotte minute donne un temps de cuisson de 12 minute (et pour un foie gras mi-cuit) au lieu de celui précisé dans la vidéo.
*En journalisme, un marronnier est un sujet qui revient de façon cyclique, au fil des saisons, lorsque l’actualité est calme.
P. S. : Je vous renvoie, aussi, à mon article "Le foie gras du Docteur Sangsue et les agapes de Noël".
00:59 Publié dans Actualité, Cuisine, Fête, Gastronomie, Loisirs, Mots, Potins, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
10/12/2018
Les étrennes des éboueurs
Pas plus tard que la semaine dernière, j'ai commis une grave faute écologique.
En effet, en mauvais citoyen que je fus, je jetai une feuille de sopalin* usagée dans ma poubelle tout venant, la poubelle noire.
Je fais cela car si je le jette dans la poubelle verte, celui-ci colle au fond de la poubelle* , et bonjour la galère.
Or donc, l'autre jour, j'ai eu, par inadvertance mal fermé le sac et laissé dépasser un bout de sopalin.
Que croyais vous qu'il arriva ?
Eh bien, éboueurs, pardon, les techniciens de déchets ménagers, ne vidèrent pas ma poubelle !
Ceci dit, Ils passèrent hier pour leurs étrennes.
Inutile de vous dire qu'ils furent servis. Le montant se monta au service qu'ils me rendirent tantôt.
Pour mémoire, le salaire d'un éboueur, pardon, d'un technicien de déchets ménagers, après 30 ans d'ancienneté, gagne 2000 € par mois pour 35 h de travail par semaines.
Je rappelle qu'un Médecin Généraliste retraité, après 30 ans de bons et loyaux services (et pas à 35 heures !), gagne... 2000 à 2500 € par mois.
Vengeance mesquine je l'avoue.
*Eh oui, quand ça colle au fond de la poubelle, c'est très désagréable !
10:13 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
03/12/2018
A propos des émissions de cuisines à la télévision, le commentaire du Docteur Sangsue
Photo extraite du film Vice-versa (2015)
Actuellement, les émissions de cuisines à la télévision sont étonnantes, surprenantes, ahurissantes.
Pour faire une cuisine digne de ce nom, il faut, d'abord, de bons produits.
C'est l'évidence même.
La mode actuelle est d'utiliser des légumes oubliés.
Cette idée est intéressante bien qu'elle soit quelque peu bobo. L'avantage de ces légumes c'est qu''il est possible de les trouver assez facilement.
Mais la dernière mode des nos grands chefs créatifs est d'utiliser des légumes totalement inconnus sauf des naturalistes. Naturellement ceux-ci sont introuvables pour le commun des mortels.
Bon, à la limite, passe encore, ce sont avant tout, je le pense, de bons produits.
Mais ce qui m'interpelle le plus dans les recettes actuelles de nos grands chefs c’est de faire des mélanges de goûts pour le moins surprenants.
Un exemple : j'ai regardé, dernièrement, avec scepticisme, une recette de choucroute revisitée avec du miel, du jus d'orange et du safran.
Cela me fit penser illico à Casimir ; une émission pour la jeunesse des années 70.
la recette du Gloubi-Boulga de Casimir
11:05 Publié dans Cinéma, Cuisine, Gastronomie, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Société, Télévision, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (2)
01/12/2018
Avec Windows 7 Internet Explorer n'utilisera point
J'ai encore, un ordinateur qui tourne sous Windows 7 64 bits.
Sur cet ordi figure Internet Explorer.
J'ai installé, il y a fort longtemps, pour m'amuser, la derrière version d'Internet Explorer, la version 11.
Je me suis servi, dès l'installation de mon O.S. Windows 7, d'Internet Explorer pour télécharger et installer Firefox.
Microsoft a abandonné le développement d'Internet Explorer au profit de Microsoft Edge que l'on trouve sur Windows 10.
Comme il n'y a plus de mise à jour d'Internet explorer, il ne faut surtout pas l'utiliser pour des raisons de sécurité.
En utilisant la dernière version d'Internet Exporer, la 11, pour mon Windows 7, il m'est arrivé la désagréable aventure que je narre dans mon article : "Comment Supprimer le messages qui vous invitent à appeler un numéro de téléphone pour des Virus sur votre PC (Arnaque sur Windows)". Car il y a des lustres qu' Internet Explorer n'est plus mise à jour.
Pour ce qui est des autres navigateurs, Il y a Google Chrome pour sa simplicité, Firefox pour les adeptes du libre, Tor Browser pour ceux qui tiennent à protéger leur vie privée, Safari pour regarder les conférences d'Apple et Opera pour les snobs.
Personnellement, j'utilise principalement Firefox. J'utilise, aussi, Opera et, parfois, Tor.
Je n'aime pas Chrome, et je ne l'ai pas installé, car il est produit par Google.
Quand j'ai installé Windows 7, j'ai été obligé d'installer Firefox en me servan d'Internet Explorer, mais, naturellement, je me suis servi de Firefox pour installer Opera et Tor.
En effet, le seul intérêt d'Internet Explorer est de télécharger un autre navigateur en cas d'une réinstallation de Windows 7. Mais, dans ce cas, il serai plus judicieux de passer à Windows 10 au lieu de réinstaller Windows 7.
TOP 5 MEILLEURS NAVIGATEUR WEB 2018
Références :
- Microsoft annonce la fin d'Internet Explorer, le navigateur que l'on aimait détester
- Microsoft annonce (enfin) la fin d’Internet Explorer
11:12 Publié dans Anecdote, Internet, Loisirs, Potins, Vidéo, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (2)
16/11/2018
Déshabiller Pierre pour habiller Paul
Les points de blocage des "Gilets Jaunes" le 17 novembre (capture d'écran L'Internaute)
Cette maxime : "Déshabiller Pierre pour habiller Paul" peut elle s'adapte à l'augmentation de la taxe sur les carburants ?
Cette maxime signifie payer ses dettes en en faisant de nouvelles ou, encore, prendre à l'un pour donner à l'autre.
Pas plus tard que mercredi dernier, je regardai, à la télévision, l'émission sur les questions au gouvernement.
Eh oui, en bon citoyen, cela m'arrive.
Ce genre d'émissions est parfois très instructif voire passionnant.
Une question d'actualité, une question brûlante, touche à la transition écologique. Elle pose question a propos de la hausse de la taxe sur les carburants a des fins écologiques.
Cette hausse provoque un tollé, une révolte, une fronde de la population Française.
Cela fait beaucoup trop après la hausse de la CSG.
C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase* !
La manifestation des "Gilets jaunes" le samedi 17 novembre prochain en est la cristallisation.
Allons nous avoir un nouveau nouveau mai 68 ?
Un novembre 18 ?
Cette manifestation aura t elle une suite amenant à la chienlit (mot cité, à l'époque, par le Général de Gaulle, dans son discours du 24 mai).
Mais, c'est le cas de le dire, nous ne sommes pas en mai, mais en novembre.
Et, en novembre, il fait froid !
C'est un sérieux handicap pour une manifestation durable.
Comme quoi, les réformes impopulaires, il faut les faire à la froidure
En effet, deux grandes manifestations, a succès, eurent lieu par temps chauds : la prise de la Bastille le 14 juillet 1789 et mai 68.
Mais revenons en à cette émission
Lors de cette émission, un député, dépité, émis une théorie séduisante.
Il demandait si la hausse sur les carburants, qui est a peu près la même que la suppression de la taxe d'habitation pour une certaine tranche de la population, était une réalité ou une pure coïncidence.
Réalité, hasard, coïncidence ou nécessité.
Si cela concerne la réalité et la nécessité, lisez mon article tragi-comique : "L'imprimante, l'augmentation de la CSG et celle de la taxe sur les carburants".
"Déshabiller Pierre pour habiller Paul" ?
Y a-t-il une imposture ?
Seule la réponse est dans la tête de nos dirigeants : Monsieur le Président de la République, Monsieur le Premier Ministre et Monsieur le Ministre de la Transition écologique et solidaire. Pour n'en citer que quelques uns.
*Pour prendre conscience du désarroi du peuple Français, et sans tomber dans la démagogie, comme le dit Monsieur Macron, je vous renvoie à la première vidéo de mon article: "La taxe sur les carburants et la CSG".
Dans cette vidéo, si vous l'écoutez bien, à la fin du premier tiers, vous allez entendre ça :
Question de Monsieur le Président Macron : "mais qui vous a baissé" ?
Réponse de la Dame : "Mais c'est vous le peuple, c'est vous qui gérez".
12:24 Publié dans Actualité, Citation, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Histoire, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Le site du jour, Mots, Politique, Potins, Santé, Science, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
14/11/2018
L'imprimante, l'augmentation de la CSG et celle de la taxe sur les carburants
Ce titre peux paraître farfelu.
Vous allez me dire, que vient faire une imprimant avec l'augmentation de la CSG et celle de la taxe sur les carburants
Vous allez comprendre pourquoi.
Cette anecdote croustillante fait suite à mon article : "La taxe sur les carburants et la CSG".
Cette histoire montre bien qu'il faut, à tout prix, très rapidement et par tout les moyens, faire rentrer de l'argent dans les caisses de l’État.
Ma femme est fonctionnaire titulaire. Elle est fait partie des dinosaures de l'administration en voie de disparition. car elle n'est pas contractuelle comme le sont tous les nouveaux fonctionnaires (ainsi, à la fin de leur contrat, ils peuvent être jetés comme un Kleenex*).
Dernièrement, elle me raconta une histoire ahurissante.
Dans son service, il n'est plus possible de se servir de l'imprimante pour les documents administratifs.
En effet, celle-ci imprime de magnifiques bandes bleues de chaque le coté des feuilles traduisant une cartouche de toner agonisante. Bien sûr, comme vous le savez, on peut "rajeunir" une cartouche en la secouant. Celle-ci fut secouée énergiquement mais, de guerre lasse, la cartouche était arrivée en fin de vie.
Mais lui dis-je : "Pourquoi vous ne le changez pas" ?
Et elle de me répondre : "Pour la bonne et simple raison qu'à partir du premier novembre l'administration n'a plus de crédit".
Étonnant non ?
Ce que nous révèle une cartouche toner d'imprimante laser
Allez directement à la fin de cette vidéo très technique et rébarbative (qui va certainement intéresser alain), vous allez avoir des surprises en ce qui concerne le prix des cartouches.
P. S. : Quand le toner commence à faire défaut, le truc : enlever le toner, le secouer et le remettre.
13:21 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Politique, Potins, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (3)
13/11/2018
L'histoire secrète du palais de l’Élysée
Le palais de l’Élysée
Commandé en 1718 par le petit-neveu de Mazarin, le palais de l’Élysée a été construit par le comte d’Evreux en 1722. Il est achevé deux ans plus tard.
Trente ans plus tard, à la mort de son premier propriétaire, Louis XV le rachète pour sa célèbre maitresse, la marquise de Pompadour. Celle-ci y donne des fêtes somptueuses. Pour l’une d’elles, inspirée par les bergeries de Watteau, on amena un troupeau de moutons enrubannés de rose et de vert-chou. Quand on ouvrit la porte de la galerie des glaces, le bélier de tête croyant voir un rival dans le miroir, fonça droit dessus, le troupeau à sa suite saccageant le mobilier. La Pompadour achète la demeure, la lègue à Louis XV et, plus tard, Louis XVI la vend à sa cousine Bathilde d’Orléans qui en fait l’endroit le plus couru de Paris pour des séances d’occultisme. Le site s'orne, ensuite, d'un café-concert, d'animaux. L'appellation Elysée-Bourbon s’impose à partir de Bathilde d’Orléans.
En 1753, le salon Pompadour est utilisé par la marquise comme chambre. Aujourd’hui il sert pour les audiences accordées aux chefs d'états.
La Duchesse de Bourbon, fille naturelle de Louis XIV, lui donnera en 1787 le nom de l’Élysée.
Murat, maréchal d’empire, acquiert la propriété en 1805. Avec Caroline Bonaparte, son épouse, il apporte nombre d’embellissements à ce qu’il nomme “son pied à terre”. C’est dans le salon Murat, réalisé par les architectes Vignon et Thibault qu’a lieu, aujourd’hui, le conseil des ministres.
Napoléon adorait le palais qui appartenait à sa sœur Caroline et avait l’idée de s’y installer un jour. Sa sœur voulait régner, il la couronne alors reine de Naples et réquisitionne le palais pour L’État et s'y installe. En 1813, il revient à Paris après la campagne de Russie. En 1814, il abdique et quitte l’Élysée après avoir signé son acte d’abdication dans le salon d’argent du palais. Il quitte l’Élysée par les jardins.
Plus d'un siècle plus tard, le général de Gaulle emprunte le même chemin le 25 avril 1969.
Pendant le directoire et après, moyennant finance, on pouvait monter avec des filles dans les chambres.
Non, vous ne rêvez pas, L’Élysée était devenu une maison close, un bordel, un claque.
L'Elysée version lupanar était aussi une des raisons pour lesquelles le général de Gaulle n’aimait pas cette maison qu'il appelait le "Palais de la main gauche", allusion à la consommation sexuelle intense du lieu.
Le président Félix Faure y fit, aussi, un malaise mortel après une scène quelque peu érotique*.
806 personnes travaillent aujourd'hui chaque jour dans les murs du palais qui prend des airs de petite ville mais aussi de caserne, puisque beaucoup de militaires y sont en faction. Autour du président gravitent entre 50 et 100 collaborateurs : le cabinet, les conseillers, les chargés de missions. Sans oublier le personnel, qui traverse les présidences : fleuristes, jardiniers, cuisiniers…
C'est d'ailleurs en cuisine qu'éclate une guerre sous la présidence de François Mitterrand. Il est d'ailleurs l'unique président à n'être jamais descendu voir les fourneaux. Quand il arrive au pouvoir, il n'apprécie pas le travail du chef de la cuisine centrale et fait venir une cuisinière pour ses propres repas. Les deux équipes sont en compétition perpétuelle, un affrontement auquel Danielle Mitterrand mettra fin. De cette péripétie à été tiré le film "Les saveurs du Palais".
Les saveurs du palais - 2012
*Deux anecdotes croustillantes furent racontées à ce sujet :
- La légende rapporta qu'un prêtre, de passage devant l'Élysée, réquisitionné, demandant à son arrivée : « Le président a-t-il toujours sa connaissance ? » se serait entendu répondre : « Non, elle est sortie par l'escalier de service ! ».
- Clémenceau tira sa répartie féroce : "Il a voulu vivre César et il est mort Pompée".
Références :
- Félix Faure
- Ce que vous ne savez (peut-être) pas sur le palais de l’Élysée
09:33 Publié dans Anecdote, Citation, Cuisine, Culture, Gastronomie, Histoire, Politique, Potins, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
12/11/2018
La suppression d'un loisir qui me met en pétard
Pour faire suite à mon article précédant : "La taxe sur les carburants et la CSG", voici le premier loisir, aux sport d'hiver, que je me verrai contraint, de supprimer avec une énorme tristesse et une énorme frustration, carence budgétaire oblige
Je me verrai contraint de ne plus aller dans le restaurant de la vidéo suivante.
Ne plus pouvoir m'offrir ce restaurant me frustre énormément et me met profondément en colère.
Pire, cela me met dans une rage noire.
Mais revenons en à ce restaurant.
Celui-ci à une histoire.
La première fois que nous avons été dans cette station de ski, nous décidâmes d'aller au restaurant le dernier soir du séjour pour fêter les superbes vacances que nous avions vécu.
Le choix se porta sur ce restaurant car, d'abord, il était dans notre budget et était, aussi, un hôtel restaurant "Logis de France". Ce titre étant un gage de qualité. En outre, dans leur charte, les Logis de France sont tenus de servir, au menu, d'excellents plats du terroir.
Dans la salle de restaurant, sur un panneau, était proposé "le vin du mois". A ma grande surprise, le millésime annoncé datait de...vingt ans. Oui vous ne rêvais pas : vingt ans ! Et, cerise sur le gâteau, c'était un vin que je connaissais bien (comme vous le savez je suis un passionné de vin), un Fourcas Dupré.
Vous allez me dire que pour un tel millésime il ne fallait pas s'attendre à des miracles. D'autant plus que ce n'était qu'un Listrac côté, certes, mais loin d'égaler les grands vins qui sont réputé être des vins de garde.
Et bien, que nenni !
Je ne pensais pas que Fourcas Dupré aurait pu être un vin de garde.
Je fus littéralement conquis par ce vin. Il était sublime !
Les autres vins de la carte étaient du même acabit. Ils avaient, tous, vingt ans d'âge.
La propriétaire nous expliqua que son mari, qui est un amateur de vin averti, avait, il y a vingt ans, constitué une très belle cave. Mais, rajouta-t-elle, comme les gens ne boivent plus de nos jours, contrôles d'alcoolémie par la maréchaussée oblige, ils se retrouvèrent, alors, avec une cave surdimensionnée pour leur restaurant. C'est pour cela qu'ils liquidaient leur cave, en proposant ces vins, en promotion, à des prix plus que raisonnable.
Nous décidâmes d'y retourner. Ce que nous faisons tous les ans sans jamais être déçu.
Mais jusqu'à quand ?
Je ne sais point.
16:26 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Cuisine, Honte, La pensée du jour, Loisirs, Politique, Potins, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (2)
08/11/2018
La taxe sur les carburants et la CSG
Cette fois, la hausse de la taxe sur les carburants (sous prétexte d'écologie) est la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
Elle survient après la hausse de la CSG.
Vous n'êtes pas sans savoir que la hausse de la CSG touche de plein fouet ma retraite.
Mais cette hausse de la CSG, au cas ou vous ne le sauriez pas, touche, aussi, le salaire des fonctionnaires.
Ce qui fait, qu'avec ma femme, nous perdons 100 € tous les mois.
100 €, vous allez me dire, ce n'est pas beaucoup.
Ah oui ?
Mais cela fait, quand même, 1200 € par an.
Eh bien cela représente (je suis parfaitement conscient que je fais partie des gens privilégiés) le prix de nos vacances au ski. Je précise que nous sommes logés chez des amis et que nous allons dans une petite station familiale et peu chère, sinon, nos moyens ne nous le permettraient pas.
Et, en plus, nous prenons le train !
Si cela continue, je me verrai contraint de supprimer ce loisir. Tant pis pour cette station de ski et ses commerçants.
Rigolez, vous verrez quand ce sera votre tour.
si vous écoutez bien, à la fin du premier tiers de la vidéo, vous allez entendre ça:
Question de Monsieur le Président Macron : "mais qui vous a baissé" ?
Réponse de la Dame : "Mais c''est vous le peuple, c'est vous qui gérez".
Les Inconnus - Rap-tout (vampires)
Les Inconnus - Vampires Impôts (Rap-tout) paroles
11:35 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Musique, Politique, Potins, Shopping, Société, Sport, Vidéo, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (2)
05/11/2018
A compter de premier octobre le magasin sera fermé le lundi
Tout les matins, en allant faire ma promenade quotidienne, je passe devant ma boucherie d'antan.
Depuis quelques temps, déjà, la boucherie a fermée.
La vie de quartier évolue et l'on trouve de plus en plus d'agences immobilières qui y prolifèrent à la place des petits commerces qui ferment.
Une toute petite partie boucherie - traiteur a été reprise par le marchand de fruits et légumes. Mais les prix de la boucherie ont augmentés.
Depuis ce changement d'activité, en passant, un matin, devant ce marchand de fruits et légumes, je trouvais un panneau sur lequel était inscrit : "A compter du premier octobre le magasin sera fermé le lundi".
Comment font, alors, les petites vieilles du quartier pour s'approvisionner.
Le petits commerçants ne veulent plus travailler comme avant. Ils veulent une bonne qualité de vie et je les comprends mais il ne faut pas qu'ils se plaignent s'ils sont "bouffer" par les supermarchés.
On pique dans les retraites des vieux, et, maintenant, ils ne peuvent même plus faire leurs coures.
Quand une société ne respecte plus la vie de ses concitoyens âgés, il ne faut pas s'étonner qu'un jour, la population vieillissant, il y ait, encore, du changement au niveau de l'élection des politiciens qui nous dirigent.
S'adapter ou mourir telle est le résultat des travaux de Darwin.
09:57 Publié dans Coup de gueule, Histoire, Honte, La pensée du jour, Politique, Potins, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
26/10/2018
Malade tu ne tomberas point
Dernièrement, Le maire d'une petite commune des Landes vient de prendre un arrêté pour le moins surprenant. En effet, celui-ci interdit, à ses administrés, de tomber malade.
Bien sûr, cet arrêté, pour le moins farfelu, se voulait être un coup de pub sur le fait que sa commune était un désert médical. Et cela marcha puisque, en m'habillant, un marin, j'entendis la nouvelle à la radio.
Cette petite commune dont la spécialité est la salade landaise c'est Ychoux pour ne pas la nommer.
Pour l'anecdote, autrefois, dans cette commune, comme dans beaucoup de commune Landaises, il y avait une forge pour la bonne et simple raison que celle-ci était chauffé grâce à la tourbe que l'on trouve dans la région.
Quand j'étais en activité, une de mes patientes sur les conseil d'une de ses amis vint me voir depuis Ychoux, pour un État Dépressif Majeur (EDM) suite à un licenciement abusif par son administration.
Elle venait ma voir de loin moi dont mon Cabinet Médical était implanté dans la banlieue de la Grande ville.
Je parlai de la triste histoire de cette patiente à ma femme qui avait passé, avec succès, pour son travail, un DESS de Droit Administratif. Celle-ci me conseilla que cette patiente prenne un avocat pour poursuive son administration devant le Tribunal Administratif. Elle le fit et gagna son procès.
Ce fait divers comique crée par le Maire d'Ychoux me replongea, avec un peu de nostalgie, dans mon passé
Une sorte de madeleine de Proust.
Le Malade Imaginaire - Molière - 1673
Ouverture du Prologue du Malade Imaginaire - Marc Antoine Charpentier
03:14 Publié dans Anecdote, Culture, Humour, La pensée du jour, Médecine, Musique, Politique, Potins, Pub, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)