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09/02/2009

Les risques du métier

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Je soigne, depuis déjà quelques temps, une assistante maternelle, terme officiel désignant une nounou.

Elle viens me voir à la consultation, car, la veille, elle a été victime d'un acident... de travail.

un des enfants de trois ans qu'elle garde, s'est assi brusquement sur sa main posée sur une table basse.

Un enfant de trois ans, ça n'a plus de couches. Sa main a été ainsi prise entre la table et les fesses de l'enfant. D'une part, un enfant de trois ans, ça pèse son poids, et comme ça n'a plus de couches pour amortir le choc...

Cette patiente se retouve avec une douleur de la face dorsale du poignet plutôt invalidante.

L'échographie mettra en évidence une tendinite (une ténoynovite étant le terme médical précis).

Le métier d'assistante maternelle n'est pas un métier facile non dénué de risques.

03/01/2009

Fontaine de Marcel Duchamp

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Fontaine, Marcel Duchamp

 

Grand iconoclaste du XXe siècle, inventeur du ready-made (1916), Marcel Duchamp artiste français né en 1887, est l’un des artistes majeurs du XXe siècle. Pourtant, parmi les grandes figures de ce siècle, il est sûrement le moins connu. Visionnaire génial ? Précurseur éclairé ?

Toujours est-il qu’il a mis un coup pied dans la fourmilière. En signant des objets manufacturés, Duchamp a bouleversé les codes de la création et de la commercialisation de l’art. Il a interrogé la signature de l’artiste, le statut de l’œuvre d’art. La carte postale de la Joconde moustachue titrée L.H.O.O.Q. (« Elle a chaud au cul », 1919) ou la fameuse Fontaine (en réalité un urinoir érigé au rang d’œuvre d’art, 1917), sont deux exemples célèbres témoignant du caractère iconoclaste et provocateur de Duchamp.

Source : http://arts.fluctuat.net/marcel-duchamp.html

 

Le 25 août 1993, au Carré d'Art de Nîmes, Pierre Pinoncelli urine dans la Fontaine de Marcel Duchamp, puis lui donne un violent coup de marteau. Il est condamné à un mois de prison avec sursis et 286 000 francs de dommages-intérêts. Lors de sa défense devant le tribunal correctionnel de Nîmes, il avait déclaré qu'il s'agissait "d'achever l'œuvre de Duchamp, en attente d'une réponse depuis plus de quatre-vingts ans, un urinoir dans un musée doit forcément s'attendre à ce que quelqu'un urine dedans un jour, en réponse à la provocation inhérente à la présentation de ce genre d'objet trivial dans un musée [...]. L'appel à l'urine est en effet contenu ipso facto - et ce dans le concept même de l'œuvre - dans l'objet, vu son état d'urinoir. L'urine fait partie de l'œuvre et en est l'une des composantes [...]. Y uriner termine l'œuvre et lui donne sa pleine qualification. [...] On devrait pouvoir se servir d'un Rembrandt comme planche à repasser".

Source : www.comlive.net/

 

11:34 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : culture, humour, société, art

02/01/2009

Les Flots Bleus

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une maison à vendre à Andernos sur le bassin d'Arcachon.

 

Cela ne vous rappelle rien ?

L'autre "Les Flots Bleus".

 

27/12/2008

Hooters Calendar

Hooters Girl

Hooters Girl

Hooters est une chaîne de restaurant américain dont le siège social se trouve à Atlanta, en Georgie. La clientèle visée est essentiellement masculine dans la mesure où le service est assuré en majorité par des jeunes femmes dont l'uniforme de travail est un mini short orange et un tee-shirt (ou débardeur) échancré à l'effigie de la chaîne.

Source : Wikipédia

 

Hooters édite ausi un calendrier en ligne : Hooters Calender

 

Cela n'est pas du goût de tout le monde

 

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13/12/2008

Malentendu

Malentendu

 

 

Cherchez la faute (d'orthographe).

 

20:48 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : humour, image, société

03/12/2008

Main dans la main

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16/11/2008

Quand le Yaourt Bulgare rend la Vache Folle

11:28 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : humour, vidéo, gastronomie

15/11/2008

Une dépression par procuration

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Tout le monde connait le syndrome de Munchausen par procuration. C'est un peu ce que j'ai diagnostiqué, récemment, en consultation, en beaucoup moins grave et plus amusant (enfin pas tout à fait concernant la patiente).

Une femme la soixantaine viens me consulter, car sa fille divorce, or elle aimait bien son gendre et ne pouvait se faire à l'idée de ce divorce, il faut préciser que cette patiente, dans son jeune âge, avait vécu un divorce pénible, celui de sa mère (donc un divorce... par procuration), et ou son père l'avait abandonnée avec sa mère.

Cette patiente est tellement gentille quelle va même jusqu'à aller faire le ménage chez son gendre qui occupe l'appartement du couple en voie de dissolution.

Cette patient consulte car elle est fatiguée le matin, n'a plus goût aux choses et a des idées suicidaires (son scénario est au point : les médicaments).

Bref, comme elle dit, ça me rappelle quand j'avais fait ma dépression.

 

Cette patiente est en train de faire une dépression par procuration.

 

08/11/2008

Linux pour les nuls

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02/11/2008

Peut-on soigner ses proches ?

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Suite à l'article de Lawrence Passmore sur son Blog Grange Blanche détaillant une prise en charge « familiale » un peu aléatoire, je  pense  qu'il n'est pas totalement impossible, pour un Médecin Généraliste, de soigner ses proches et même le plus proche de ses proches, je veux dire... soi-même.

 

Autant, à mon humble avis, un Médecin Généraliste peut recourir à ce type de pratique pour le moins acrobatique, je pense que cela doit être plus difficile pour un Médecin Spécialiste. D'abord parce que le Médecin Généraliste connait « toute » la médecine, alors que le Médecin Spécialiste connaît surtout « toute » sa spécialité, il n'a cependant pas oublié... « toute » sa médecine, et qu'ensuite le Médecin Génélaliste a l'habitude, c'est son métier, de coordonner les soins et de faire, comme en œnologie, un assemblage des divers traitements et des mélanges, parfois détonants, des différentes molécules.

 

Si vous avez toujours envie de soigner un de vos proches, pour cela, il est absolument impératif de réunir un ensemble de plusieurs critères indispensables pour éviter de courir à la catastrophe :

 

  • Avoir du recul vis à vis du proche soigné, au point de vue médical, il faut considérer le proche (y compris et surtout pour soi , si l'on montre la moindre velléité à vouloir se soigner) comme un malade et le corps proche comme de la chair du sang et de l'os, bref, il faut être... inhumain.

  • Se faire payer avec feuille de sécurité sociale ou télé transmission (sauf pour soi-même), un malade « normal » paye en contrepartie de la prestation des actes médicaux, ainsi il ne se sent pas redevable.

  • Garder une certaine discrétion vis à vis de l'entourage, je ne parlerai pas ici de secret médical, quoique, mais plutôt de respect du proche et surtout de prudence... vis à vis de... l'entourage.

  • De ne surtout pas s'attendre à une quelconque reconnaissance, vis à vis de l'entourage, le proche étant, lui, le plus souvent, reconnaissant.

  • Passer la main au spécialiste, comme on le ferait vis à vis d'un quelconque patient, avec, bien entendu, un courrier de « recommandation » : «Monsieur et cher confrère, je vous envoie ma tante qui aurait pu être mon oncle si... ».

  • Si la maladie s'avère chronique, ouvrir un dossier médical tant papier qu'électronique, tout comme on le ferait pour un patient lambda.

  • Si la situation dérape, savoir, dans ce cas, tout en assurant de façon responsable, la continuité des soins, adresser le proche à un autre confrère Médecin Généraliste, avec une copie du dossier médical et en gardant surtout toutes les pièces originales du dossier médical et cela en respectant le délai légal (trente ans pour un adulte et trente ans plus l'âge à la majorité pour un enfant). On n'est jamais assez prudent...

 

Cela m'arrive de me soigner, mais je recours au spécialiste dès que nécessaire (à chaque fois, avec moi, la sécurité sociale fait des économies).

 

J'ai soigné mes deux filles, mais pareillement, je les ai adressées, dans les délais, aux bons spécialistes, rassurez-vous, je n'allais pas opérer de l'appendicite une de mes filles sur la table de la cuisine.

 

J'ai accompagné « jusqu'à la fin » mon beau-père ainsi que la grand-mère de ma femme, mais c'était au début de ma carrière ; je sais que j'ai fait du bon boulot, mai je ne pense pas que je le referais maintenant, car c'est une pratique « un peu » stressante.

 

Si je me suis comporté comme cela, c'est que toutes les règles, je dis bien toutes les règle citées plus haut était respectées, TOUTES sans exception.

 

 

 

Maintenant, si l'envie vous en prend, bon courage !

 

 

 

 

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La mouette, mascotte d'OpenOfice.

 

Texte rédigé grâce à OpenOffice 2.4.1*.

 

* Cette suite bureautique de qualité professionnelle comporte tous les outils nécessaires à la plupart des utilisateurs : traitement de texte, tableur, présentation, base de données.

La migration vers OpenOffice.org est totalement transparente puisque les documents créés avec la suite de Microsoft sont entièrement compatibles avec cette solution gratuite, même les fichiers les plus anciens. Lorsque cela est nécessaire, il est possible d'enregistrer vos documents dans un format Microsoft Office lisibles par vos collaborateurs qui n'auraient pas encore franchi le pas.

www.01net.com/

 

28/10/2008

Zona

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Zona thoracique Crédit Photo : Wikipédia

 

Un patient, militaire, gradé, retraité, dont la femme est institutrice, elle aussi retraitée, viens me voir à la consultation, me disant :

-Regardez ce que j’ai, qu’es ce que c’est ?

-Moi de répondre : mais, c’est un zona !

Il existe maintenant un traitement du zona et surtout préventif des, parfois, terribles douleurs post zostériennes (surtout après cinquante ans), c’est un antiviral. Le plus récent est le VLALCICLOVIR (ZELITREX*). C’est aussi un traitement très efficace du zona ophtalmique et de ses redoutables atteintes de la cornée.

Ce patient, ayant plus de cinquante ans, je lui prescris du ZELITREX*.

Je le revois quelques temps plus tard :

-Alors, comment ça va ce Zona ?

-Je suis guéri.

-Moi (flatté) : c’est beau la Médecine !

-Le patient de répondre : J’ai été voir un guérisseur.

-Vous avez pris votre traitement au moins ?

-Oui.

Qui de nous deux, le guérisseur ou moi, avons guéri ce patient ?

 

 

Pour plus de renseignements : http://fr.wikipedia.org/wiki/Zona

 

un site surprenant que je ne saurait trop vous déconseiller surtout en cas de Zona ophtalmique :

http://www.guerisseur-magnetiseur.fr/zona.php

 

14/10/2008

Informatique : mes débuts, mes joies, mes emmerdes*

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« Patients, médecins, qu’est ce que les nouvelles technologies ont changé pour vous ? »

 

Cet article rentre dans le cadre du Troisième Carnaval des Blogs Médicaux.

 

La fée informatique a débarquée dans mon Cabinet Médical en 1998, avec Windows 9x (plus communément appelé Windows 98), lors de l'instauration de la télé-transmission.

Il faut dire, en l'espèce, que si la télé-transmission a marché, comparé au flop du dossier médical papier, c'est que le Patient, tout comme le Médecin Généraliste y trouvait son compte, je veux dire, par là, le remboursement du Patient et des CMU (Couverture Médicale Universelle) pour le Médecin, en quatre jours, par la télé-transmission, au lieu d'un mois pour le Patient et quatre mois concernant le Médecin, pour les feuilles de soins papier (FSP). On peut raisonnablement extrapoler que le Dossier Médical Personnalisé (DMP) risque, lui aussi, de faire flop...

Ce qu'a changé l'arrivée de l'informatique dans mon exercice professionnel ? Des tas de choses :

 

Cela me soulage des tâches répétitives pour ce qui est des ordonnances (renouvellements d'ordonnances). Le traitement de texte permet de faire un courrier propre avec insertion du traitement médical du patient dans la lettre au correspondant par... copier collé.

 

Un effet surprenant de l'informatisation est le fait que je ne commande plus d'ordonnance (sauf pour les ordonnances sécurisées), puisque je les fais moi même grâce au traitement de texte inclus dans mon Logiciel Médical Hello DOC.

 

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Un autre effet surprenant de l'informatique concerne les erreurs, il serait logique de penser que l'informatique met à l'abri des erreurs, eh bien c'est faux !

 

Avant l'informatisation, je me souviens avoir confondu, une fois du SOLACY (souffre + Vitamine A) avec du SOLUCETYL (aspirine), je remercie le pharmacien de m'avoir appelé.

 

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Cette erreur 404 n'est pas sans rappeller la campagne de communication des Lanboratoires Pfizer sur le Tahor* ICI.

 

Après l'informatisation l'erreur est maintenant de se tromper de ligne dans le choix de la médication, ce qui a pour conséquence de multiplier ou diviser par deux la posologie ou... de se tromper carrément de médicament.

 

L'arrivée de l'informatique, avec la peur de ce que cela pouvait représenter, m'a poussé à « m'initier » à la micro informatique :

 

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  • apprendre à manipuler la Bête qu'était Windows 98 et sa fabuleuse disquette de démarrage de 1,44 Mo qui utilisait une RAM-Disk de 2 Mo (utilisant la mémoire vive des barrettes de mémoire) où étaient décompressés les fichiers de démarrage.

  • Apprendre quelques notions de DOS pour, entre autre, intégrer le pilote du lecteur de CD Rom à la disquette de démarrage (sans pilote, pas de de démarrage !).

 

Du coup, Il était facile de dériver sur quelques notions de programmation en Qbasic et d'apprendre un peu d'HTML.

 

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Il faut dire que mon intérêt pour la micro informatique est venu du fait que, ayant acheté mon premier ordinateur à Carrefour, (c'était un ACER, un ordinateur portable avec 2 Go de Disque Dur, 32 Mo de RAM que j'avais porté à 64 Mo, et un Pentium cadencé à 133 MHz), ayant eu quelques « petits soucis », l'appel à la hot line se transforma en... un conseil de formatage. La cata fut qu'il me fallut déployer une fabuleuse énergie pour que je finisse par comprendre comment réinstaller Windows 98. C'est depuis ce temps là que je suis devenu le roi du « formatage – réinstallation ».

 

C'est cet « incident » qui m'a rendu totalement autonome au niveau informatique.

 

Puis ce fut la découverte du logiciel libre avec le système d'exploitation Linux et ses nombreuses distributions aux noms exotiques (à l'époque Mandrake devenue Mandriva, Red Hat...), autrefois très difficiles à installer, maintenant Mandriva, Ubuntu, SUSE, Fedora...

 

Linux

 

Pour l'instant je ne suis pas, encore, tombé sous les sirènes du Mac, bien que parfois...

 

Une petite anecdote pour terminer cette partie informatique un peu technique. A l'époque, je me penchais sur le DOS, pour comprendre la notion de RAM-Disk. Il est possible de créer ainsi un disque virtuel pris sur la mémoire vive (mémoire RAM représentée par les barrettes de mémoires). Avec un esprit pervers je fixais délibérément un RAM-Disk supérieur à la quantité de mémoire vive (les barrettes de mémoire = la RAM) de l'ordinateur ; naturellement au redémarrage de celui-ci, j'ai eu droit a un message sibyllin du style « je n'ai plus de mémoire ».

 

L'informatique, c'est comme la médecine, quand on a saisi comment fonctionne un mécanisme, on peut utilement intervenir sur lui pour le réparer ou pour le... bloquer.

 

L'ouverture de mon blog après la lecture d'un article du Quotidien du Médecin sur Grange Blanche et Zeclarr, ne viendra que bien plus tard.

 

En à peu près dix ans d'aventure informatique, j'aurai donc connu, et utilisé, pour l'instant, à mon cabinet, trois systèmes d'exploitation : Windows 98, Windows XP et Windows Vista, qui tourne actuellement depuis 3 mois. En attendant le futur Windows Seven... pour 2010.

 

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Sans compter quelques virus, uniquement chez moi en ADSL. Il faut dire qu'a mon cabinet je suis en RTC (bas débit), sans antivirus (comment pourrais-je le mettre à jour sans l'ADSL ?) et sans autre connexion Internet que celle servant à la télé-transmission.

 

Etiologie d'un Virus

 

Pour ce qui est des patients, certains me parlent de « choses » lues sur le Net, cela ne me gène pas, parfois, le débat est relancé intelligemment. Plus souvent, c'est moi qui conseille la lecture d'articles sur le Net, et je dois bien reconnaître que, assez souvent, à mon grand dam, je ne suis pas écouté...

 

Internet et Médecine

 

Au début, je pensait que Monsieur l'Ordinateur allait me gêner dans l'intimité de la relation Médecin Malade. Dans la mesure ou l'écran de l'ordinateur est sur le côté, ce n'était pas trop gênant, et très rapidement j'ai trouvé mes repaires.

 

Très rapidement, aussi, les patients ont pris goût à la télé-transmission. Tant et si bien que quand je suis en panne informatique, ils me tendent quand même la carte vitale. Fait amusant, devant le nombre de cartes à leurs disposition, certains se trompent de carte, et me tendent... la carte bleue, un patient d'origine espagnole , mais naturalisé, me tendis même, un jour, sa carte d'identité.

 

Carte Vitale

 

En fin de compte, j'y songe maintenant, si je suis informatisé, je le dois à Roland Moréno le génial inventeur de la carte à puce, je l'appelle avec respect : la puce à Moreno.

 

 

 

Version 2.0

 

Hipppocrate

Hippocrate

 

Aprèrs l'intervention de Marion et la lecture de sa participation au carnaval dans son blog cris-et-chuchotements , son trés bon article m'amène, moi aussi, surtout pour le généraliste que je suis, à confirmer que pour le diagnostic médical pur, je travaille... à l'ancienne ; je ne dispose, comme outils, que d'un stétoscope, un appareil à tension, une lampe et un otoscope.

Je fais mon diagnostic de généraliste
- grâce à l'interrogatoire à 80%, pour les consultations psychiatriques c'est du 100%
- grâce à l'examen clinique à 10%
- grâce aux examens para-clinique à 10%

Il est donc exact que dans ce cas, l'informatique, bien que fascinante... n'intervient pas beaucoup.

Dommage.

 

 

* Mon titre est inspiré de la chanson de Charles Aznavour - Mes emmerdes.

 

L'enfant et la toute puissance

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12/10/2008

Un Train Peut en Cacher un Autre

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Crédit Photo : Archives Personnelles

16/09/2008

Restez couverts

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Crédit Photo : Archives Personnelles

01/09/2008

Ecologiquement pas durable

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Bonjour, je suis de retour de vacances après un silence plus ou moins forcé, je n'ai pas osé trainer ma mie dans un "point chaud" pour une connection WiFi.

Pendant cette deuxième partie de mes vacances, je  me suis documenté sur les chemins de compostelle et l'histoire du surf en France ; à ce propos j'ai redécouvert un personnage fascinant, un médecin, poète et peintre qui était l'ami et le médecin du regretté Pierre Molinier précurseur de l'art corporel. Ce fascinant personnage est Francis Maugard.

J'ai eu aussi l'occasion de regarder un goupe pratiquant le kite surf (malheureusement, je n'avais pas mon appareil photo ce jour là), c'est assez impressionnant comme sport, ça donne l'impression d'être plus "musclé" comme sport de glisse que le surf.

Mais je reparlerais certainement de tout cela rapidement.

Pour me remettre dans le bain, je vais faire simple avec une vidéo surprenante. Comme quoi la nature à toujours le dessus quand les calculs sont mal faits (voir l'éffondrement du Pont de Tacoma dont j'avais parlé il ya de cela quelques temps).

 

08/08/2008

S.A.S.

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Non, cette histoire ne conte pas un épisode de la vie du célèbre agent secret de Gérard de Villiers, mais bien celle d'une de mes patiente, récalcitrante, de 80 ans.

Je la voit tous les deux mois, car elle tiens à son renouvellement. Elle est obèse, hypertendue et, dernièrement elle a présentée un oedème des membres inférieurs qui a révélé, par cardiologue interposé, un début d'insuffisance cardiaque gauche.

Elle viens me voir à mon cabinet accompagnée de sa fille.

Et là, de but en blanc elle me dis :

- Cela ne va pas.

- Ah, bon pourquoi ?

- C'est depuis qu'elle a fait une chute, me précise sa fille.

- Comment cela s'est-il passé ?

- Ben, je crois qu'elle s'est endormie.

- Es-ce qu'elle ronfle ?

- Oui, dis sa fille

- Fait-elle des pauses respiratoires ?

- Oui.

- Je pense qu'elle a un Syndrome d'Apnée du Sommeil. Il faudrait qu'elle aille voir un pneumologue pour faire une exploration du sommeil, une "polysomnographie du sommeil".

Me tournant vers la patient, moi de lui demander :

- Vous voulez aller consulter un pneumologue ?

- Non !

Et me voilà parti pour un plaidoyer d'un quart d'heure de dialogue de sourd, se terminant de la façon suivante :

Je suis content que vous soyez d'accord pour aller voir le pneumologue, faisant comprendre à sa fille qu'il ne fallait peut-être pas trop lui demander son avis et que l'on avait quelque chance qu'elle accepte.

Dans ce métier, ce n'est pas forcément le diagnostic qui est le plus difficile.

28/07/2008

Les risques de l'examen clinique

Attention, cette petite vidéo n'est peut-être pas d'un goût trés sûr.

 

21/07/2008

Les effets indésirables du dopage

Dopage

 

 

Dopage

20/07/2008

Windows versus Mac versus Linux

Pour répondre à un commentaire taquin de Minijupe, une réponse taquine.

 

"Mise en bouche" explicative:

 

 

Et maintenant, "plat de résistance" démonstratif :