11/04/2016
Une jeune fille raton laveur

Je vois, à la consultation du matin, une jeune fille, infirmière, qui vient me voir pour des brûlures vulvaires. Elle me dit avoir une mycose vaginale.
Elle a déjà pris deux traitements pour cette mycose, Elle a pratiquée cette auto médication car elle est infirmière.
Je suis dubitatif devant cette mycose rebelle. Je lui dis qu’un troisième traitement serait, à mon avis, inutile.
Pourquoi cette résistance à cette mycose, il faut bien le dire, aux signes atypiques,à deux traitements anti mycosique ?
La réponse m’est donnée quand je lui demande comment elle procède pour sa toilette intime. Elle de me répondre qu’elle la fait deux fois par jour, matin et soir.
Je lui réponds que c’est trop : « une seule fois cela suffit, d’autant plus que vous gagerez du temps ».
Pour une infirmière, cela pourrait paraître surprenant de voir cette erreur de comportement en ce qui concerne l’hygiène.
Mais, il y a des gens qui ont une personnalité ne supportant pas la saleté ; ils veulent, à tout prix, être propres. Ce sont, en général, des gens méticuleux et perfectionnistes qui sont, de part ce trait de caractère, très appréciés dans leur travail.
08:18 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, La pensée du jour, Potins, Santé, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
30/03/2016
Hommage à Jean-Pierre Coffe

"Jean-Pierre Coffe était un animateur de radio et de télévision, critique gastronomique, écrivain, cuisinier et comédien français, né le 24 mars 1938 à Lunéville et mort le 29 mars 2016, à l'âge de 78 ans, à Lanneray". Source Wikipédia.
C'était un remarquable défenseur de la cuisine authentique Française. Il défendait les produits frais, locaux et de saison privilégiant les petits producteurs et les commerces de proximité.
Un autre de ses conseils : Cuisiner des plats simples , des plats maison, plutôt que de consommer des plats industriels.
Il préconisait de cuisiner les restes du repas précédant, comme on le faisait dans l’ancien temps, pour ne pas gaspiller la nourriture, c’est l’art d‘utiliser les restes.
J’ai d’ailleurs écrit des articles sur ce sujet, voir mon article de 2015 : « L’art d’accommoder les restes de nourriture, une interprétation écologique du Docteur Sangsue » .
Il se battait, avec véhémence, contre la malbouffe.
Il écrivit plusieurs livres, notamment des livres de cuisines où il se fixait comme but d'atteindre des pris très abordables.
Dans cette même problématique, il s'associa, démarche fort décriée à l'époque, à Leader Price, une enseigne de hard-discount française.
Il était connu pour ses coup de gueules, son leitmotiv : "c'est de la merde", sa verve et ses tenues excentriques.
En 1976, il ouvrit un restaurant "La ciboulette", rue Saint-honoré, puis Le Modeste où se pressait le tout Paris. Mais il fit faillite, escroqué par un homme d’affaires Libanais.
Il raconte, dans cette vidéo, avec sa truculence habituelle, quelques anecdotes croustillantes concernant cette période.
Jean-Pierre Coffe avait réalisé une série de 52 émissions pour enfants appelées "Comment c'est fait ?".
Ces émissions étaient de véritables cours "d'histoire naturelle" comme on le disait, il y a bien longtemps, dans les écoles primaires.
Chaque émission, cerise sur le gâteau, se terminait, toujours, par une recette de cuisine très simple à réaliser et à la portée des enfants.
En hommage à ce personnage hors du commun, je vous invite à voir une vidéo où, avec sa verve habituelle, il pousse un cri d'alarme en ce qui concerne nos enfants.
Deux vidéos de son émission pour les enfants : "Comment c'est fait ?". La première sur le chocolat.
La seconde sur le sel.
Site Web officiel de Jean-Pierre Coffe : Jean-pierre Coffe.
13:05 Publié dans Actualité, Coup de gueule, Cuisine, Economie, Gastronomie, Histoire, La pensée du jour, Le site du jour, Livre, Potins, Santé, Science, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
24/03/2016
Est ce la mort annoncée des blogs ? Le blues du Docteur Sangsue

Je constate, progressivement, mais inexorablement, une certaine désaffection en ce qui concerne les Blogs.
Cela est-il dû à l’apparition de Facebook et autres Twitter ?
je ne sais si les Blogs souffrent, aussi, de cette désaffection pour la lecture au profit d’articles courts et faciles à lire, car demandant peu d'efforts.
En effet, j’ai connu la brillante époque de la naissance puis de la croissance exponentielle de la catégorie de Blog où je me situais : « Les Blogs Médicaux ».
Mon Blog était atypique avec, certes des articles médicaux, mais des articles totalement étrangers comme une rubrique gastronomique ou des hautes considérations sur la vie de tous les jours. Où, parfois, des articles farfelus et un peu déjantés.
Puis Progressivement, après, cependant, une longue période de suivi intense, les commentaires se raréfient.
Dans la foulée mon hébergeur, Hautetfort, cessa de tenir les statistiques de mon Blog me faisant perdre, ainsi, mes repères. Cela accentua le phénomène.
Puis les Blogs Médicaux perdirent de leur prégnance A tel point que certains Blogs fermèrent leur porte ou bien faillirent le faire. Je vous renvoie à mon article de 2014 : "Je vous annonce la mort d'un Blog".
Heureusement, j’ai un petit outil que j’ai installé sur mon Blog : « Géovisite » qui me permet de localiser mes lecteurs partout dans le monde.
Sans cela, je me sentirais bien isolé, et je pense que j’aurais cessé toute activité bloguesque.
Les temps deviennent durs pour le modeste blogueur que je suis.
Une certaine lassitude, parfois, m’envahis.
Dans ce contexte morose, je me pose, parfois, la question : et si l’inspiration ne venait plus ?
Nous verrons bien.
Advienne que pourra.
11:27 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Histoire de l'informatique, Informatique, Informatique Médicale, Internet, La pensée du jour, Loisirs, Médecine, Potins, Santé, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (4)
16/03/2016
Ce qui a bien faillit être la mort du Blog du Docteur Sangsue

Cela fait bien, maintenant, une dizaine de jours, treize jours pour être plus précis, que je n'ai scribouillé sur mon Blog.
Pourquoi une si longue absence ?
Parce que j'ai bien failli passer l'arme à gauche.
Oui, j'ai, vraiment, failli tout simplement claquer.
Tout simplement mourir de ma bêtise, voire de ma connerie tout simplement.
Il suffit de se reporter à mon article précédant : "Une colique tenace".
Eh bien non ! Ce n'était pas une sévère Gastro Entérite Aiguë (GEA), mais bien d'une appendicite abcédée dont il s'agissait.
Une appendicite négligée par un Médecin, un comble !
Pour les connaisseurs, au bilan sanguin j'avais une CRP à 350 (normale < 5) les globules blancs à 13700 (normale = 6000)
Au Scanner : "appendicite aigüe avec une collection en cours dans de formation et un épanchement du douglas".
Dans les suite la malchance se poursuit : A près un deuxième Scanner (et de deux) "lâchage de suture compliqué de deux abcès dans la fosse iliaque droite et pelvienne" heureusement drainés par échographie radioguidée.
A la pose du drain, j'entendis un crac quand le frocard franchit le péritoine, alors, une odeur putride envahis instantanément la pièce. Le drain retira, aussitôt, un tiers de litre d'un liquide rougeâtre.
Ainsi, je me retrouvais avec trois fil à la patte : une perfusion, une sonde urinaire et un drain.
Sur ce coup là, j'ai été lamentable, j'aurais pu me... T U E R !
Les troubles, ma fameuse Gastro Entérite, ont commencés le jeudi dans l'après-midi et je ne me décidais d'aller aux urgences du C.H.U que le... samedi à minuit, alors qu'en toute logique, devant la persistance de la douleur, j'aurais dû me faire hospitaliser le vendredi matin. Ce qu'aurait fait tout médecin tant soit peu raisonnable.
Il faut dire, à ma décharge, qu'il s'agissait d'une appendicite rétro cæcale, celles les plus difficiles à diagnostiquer, car les plus vicieuse. Elles ne donnent que des douleurs "modérées" et un peu atypiques, comparées aux formes normales qui, elles, donnent des douleurs violentes dans la F.I.D (Fosse Iliaque Droite).
Résultat des courses DIX jours d'hospitalisation, avec des douleurs atroces cotées, parfois, à dix, sur l'échelle EVA, pour une appendicite négligée. Pour traiter ces douleurs, j'étais devenu une véritable usine à médicaments ! De nos jours, correctement diagnostiquée et traitée, le traitement se traduit par un à deux jours d'hospitalisation. Une appendicectomie sous Céliochirurgie, et ce, qui plus est, sans souffrance particulièrement notable.
Inutile de vous dire que pour ce qui est de manger, l'appétit n'y était plus du tout.
Un seul mot pour qualifier tout ce qui précède :
L. A M.E. N T.A.B.L.E !
Pour les plus curieux (les professionnels... Ou autres), de très belles images de scanner abdomino-pelvien :
Scanner - Appendicite - Complications
Cœliochirurgie
10:02 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Maladies des Hommes Célèbres, Médecine, Mots, Potins, Santé, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (6)
15/02/2016
Un lecteur presbyte

Ce matin, grosse cata au cabinet médical.
Je ne puis accéder à mon lecteur de CPS (Carte Professionnel de Santé).
Et me voilà revenu aux bonnes vieilles feuilles de soins papier.
Il faut dire que, depuis une semaine, le lecteur avait besoin de lunettes. Avec l’âge, il était, brusquement, devenu presbyte.
Puis, ce matin, plus rien.
Je contacte ma boite de logiciel, et un technicien arriva dans les trois heures.
Avant de devenir presbyte, ce lecteur me fut resté fidèle depuis son achat en 1999, dix sept ans déjà.
Il me fit faux bon une fois, le changement de pile me le fit vivre jusqu’à aujourd’hui.
Dire qu’en téléphonant à ma boite de logiciel, ce matin, il me fut répondu qu’un lecteur devait être changé tous les cinq ans !
Les lecteurs seraient-ils presbytes bien plus tôt de nos jours.
Mazette, cinq ans au lieu de dix sept ans, cela fait quand même une sacrée différence !
16:43 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, Humour, Informatique Médicale, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Musique, Santé, Shopping, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (7)
08/02/2016
Une jeune patiente médicalement inintéressante mais au papa irritant

A la consultation, le père, diplômé en ethnologie mais à la CMU (la sociologie ne nourrit pas son homme) m’amène sa fillette de 11 ans car elle a mal à l’épaule droite.
Cela pourait faire penser à une tendinite de la coiffe des rotateurs, mais à son âge, cela parait fort peu probable. En effet, cette pathologie survient chez la femme de plus de 50 ans. Les tendons viellistes.
Et elle, elle a onze ans. Un peu tôt quand même pour ce type de pathologie.
Bon, va pour une échographie.
Mais, je ne sais pourquoi, j’examine son dos en lui disant de faire le dos rond. Une gibbosité évidente me saute aux yeux.
Bon, va pour une radio du rachis dans son entier.
La grand-mère, que je vois régulièrement pour le renouvellement de son ordonnance (tous les trois mois) m’amènent le bilan radiologique qui confirme mes deux diagnostics.
A savoir une tendinite de la coiffe des rotateurs (les sacs d’écoliers sont lourds de nos jours), mais aussi, une angulation du rachis de 10°.
Ce que je n’ai pas apprécié, c’est que le papa de la fillette ne me la ramène pas, pourtant, il est à la CMU.
Mais, papa est coutumier du fait. Il m‘a déjà fait des coups pendables. Disons qu’il ment « un peu » et va voir des spécialistes dans mon dos.
Lors des consultations, qui sont bien rares, il me flatte d’un ton mielleux.
Je me souviens plus particulièrement, quand je fis le brillant diagnostic d’un Osgood Schlateur sur le parking de la résidence, alors que la pédiatre qui la suivait, n’avait pas posé le diagnostic et avait dit d’aller consulter un Médecin du Sport, ce que je suis.
Je lui fais une lettre pour un orthopédiste, qui confirma le diagnostic, enfin presque, car comme elle était trop jeune pour cela, c’était un Sinding Larsen.
Puis pas de nouvelles.
C’est fou ce que certaines personnes peuvent être irritantes.
Mais après tout quand je vois Papa et Fifille, j’encaisse, un point c’est tout.
Vous avez dit un métier de dévouement ?
10:20 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Médecine, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
02/02/2016
Économie de bout d’aiguilles ?

Brève de comptoir
Sauf erreur ou omission, cette année, la Caisse d’Assurance Maladie, ne m’a pas envoyée le bon me permettant de bénéficier, gratuitement, du vaccin antigrippal.
Cela ne représenterait, si je ne suis l’exception, que des économies de bouts d’aiguilles.
BLACK NADIA - VACCINATION
11:34 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Economie, Honte, La pensée du jour, Médecine, Potins, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
27/01/2016
La boulange

Comme tous les matins, en prenant le tram pour aller bosser, je passe devant une « Boulangerie ».
Vous le savez, une de ces boulangeries modernes qui n’ont de boulangerie que de nom et, qui sont, en général, des chaines. Elles proposent, aussi, viennoiseries et pâtisseries.
Ces boulangeries vendent un « assez » grand nombre de pains avec ou sans graines. Actuellement, le sésame est à la mode mais le pavot, aussi, est mis en valeur Il est proposé plusieurs types de farines l’épeautre, cette vieille farine, se vend bien.
Il et de bon ton si l’on veut un pain à peu prêt correct (et encore) de demander du « pain traditionnel ».
Ce matin, en passant devant cette boulangerie, je vis garé un camion livrant, non pas de la farine, mais des viennoiseries et autres petits toasts tout prêt à l’emploi et des gâteaux, naturellement.
Cela me rappela une émission à la télé précisant que le terme de « boulanger artisan » était réservé aux boulangeries qui fabriquaient, sur place, leurs propres pains. Mais, leurs viennoiseries et gâteaux, étaient, purement et simplement, livrées par une entreprise.
C’était une démonstration évidente, dans ce cas, de la véracité de cette émission de télé.
Comme quoi, on ne voit pas que des jeux à la télé.
Pour mémoire, quand je rentre du tram, à la station où je descends pour me rendre chez moi, sont situées, côte à côte, ce type d’ « artisan boulanger » et un petit supermarché de quartier. Eh bien, vous allez me croirez si vous vous voulez, le meilleur pain est vendu… à la supérette.
Étonnant, non ?
10:08 Publié dans Actualité, Anecdote, Ce soir à la Télé, Coup de gueule, Cuisine, Culture, Ecologie, Economie, Gastronomie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Potins, Shopping, Société, Télévision, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)
20/01/2016
Une Pub surprenante : L'interprétation du Docteur Sangsue
Vous devez être surpris par cette pub qui passe actuellement à la télé vantant un dispositif ingénieux contre les petites fuites urinaires.
Le plus surprenant, c'est que l'"héroïne" est une femme jeune : la femme de 35 ans.
Ces jeunes femme qui ont ces fuites urinaires l'on eues après un accouchement difficile. Pourtant les femmes ont moins d'enfant qu'avant (deux en moyenne). Le nombre de grosses étant, autrefois pourvoyeuse de ce type de problème. Sans tenir compte des progrès de l'obstétrique.
Si l'on voit ce dispositif astucieux, c'est qu'il doit y avoir beaucoup de femmes jeunes dans ce cas.
Alors pourquoi ce nombre important me dire- vous ?
J'ai une explication qui vaut ce qu'elle vaut, bien qu'elle soit purement personnelle.
La mode actuelle est de faire des péridurales à tour de bras.
Je sais, Je m'attends a un tonnerre de critiques fulminantes. Ce l'on va me dire sera un peu comme cela :"Tu n'est pas une femme, on te verrait bien souffrir comme une femme qui accouche".
Je n'aime pas du tout la souffrance chez les patients et je comprend bien cet argument, mais il faut bien savoir que tout acte médical est dangereux en lui même. Et c'est bête d'avoir des fuites urinaire à vie après une péridurale trop "forcée" où le produit anesthésiant a été trop fortement dosé ce qui fait que la femme n'a plus aucune sensation et ne peut donc accoucher normalement. Cela nécessite, alors, l'utilisation des spatules qui sont la cause de tout les maux dans un certain nombre de cas. Ces cas sont rares en pourcentage pour une grossesse, mais vu le nombre de péridurales, ceci explique le nombre important de femmes jeunes ayant des fuites urinaires. Cela explique, à mon avis, l'intérêt des entreprise à s'intéresser à ce problème et à inventer un produit juteux, si j'ose m'exprimer ainsi.
D'où cette Pub surprenante.
19:23 Publié dans Actualité, Anecdote, Comfort, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Histoire de la Médecine, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Pub, Santé, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
19/01/2016
Un patient informaticien en herbe : le pire cauchemar du Docteur Sangsue

Pas plus tard qu’hier, il m’est arrivé trois pannes informatiques dans... la même journée pratiquement... coup sur coup !
La première était assez simple : je ne pouvais plus utiliser mon clavier. Il faut dire que c’était un vieux clavier branché en PS2.
Comme j’avais un clavier tout neuf en USB, et que, prudemment, j’en avais acheté un en prévision, je le changeais et tout rentra dans l’ordre.
Beaucoup plus préoccupant, un plus tard, je ne pus accéder à ma carte CPS (Carte Professionnel de Santé) sans laquelle je ne peux accéder à mon logiciel médical, et ceci en présence d’un patient informaticien en herbe qui était tout fier de travailler, sur sa bécane, avec Linux*.
Je téléphonais à la Hot Line, toujours en présence de ce patient « informaticien », pour explorer mon lecteur de carte verte. Le dépannage tourna court quand mon ordinateur s’éteint et que la Hot Line qui pouvais accéder à mon ordinateur à distance, me dit au bout du fil, "je n’accède plus à votre ordinateur". Et pour cause, l’écran était tout noir. J’avais beau avoir dit à l’ « informaticien » : « ne touchez à rien ».
Il me dit, alors, vous avez, ici, un interrupteur. Cet abruti avait trouvé le moyen de m’éteindre l'ordi.
On ne se méfiera jamais assez des « informaticiens » en herbe.
Du coup, il ne toucha plus rien, et, comme par hasard, je trouvais, enfin, la panne.
Puis une autre panne, la troisième : je n’accédais pratiquement plus au clic droit, jusque à ce que je comprenne que c’était une clé USB fichue qui était cause de mon malheur.
Une fois retirée, je pus enfin me servir de mon ordinateur professionnel en toute sérénité.
Moralité : On n’est jamais si bien servi que par soi même.
*Linux est un Système d’exploitation (en anglais Opérating System ou OS, en abréviation) tout comme Windows, mais, lui, étant totalement gratuit et qui, cerise sur le gâteux, est muni, toujours gratuitement, d’une suite bureautique complète.
16:22 Publié dans Anecdote, Bricolage, Coup de gueule, Humour, Informatique, Informatique Médicale, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Potins, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
12/01/2016
Vers une disparition de l’obligation vaccinale : Une analyse du Docteur Sangsue

J’ai appris, ce matin, en écoutant, la radio, sur France Info, une nouvelle pitoyable : notre Ministre de la santé Madame Marisol Touraine, la volonté de ne plus rendre obligatoire le vaccin Diphtérie Tétanos Polio (vaccin DTP).
Certes, la Poliomyélite a disparue des pays développés grâce à l’hygiène due aux progrès de l'assainissement, mais ce risque persiste toujours lors de voyages à l’étranger vers les pays du tiers monde.
Le risque de la Poliomyélite, lui aussi, existe toujours lors d’une blessure par effraction cutanée.
Cette mesure frise totalement l’inconscience.
Je me souviens, lors de mon stage de FFI (Faisant Fonction d’Interne) au SAMU avoir vu, dans une salle du service de réanimation, l’un des derniers poumons d’acier, le précurseur des appareils de réanimation pour la respiration lors des opérations. Mise à part que le poumon d’acier était, lui, à vie.
Le Tétanos peut se soigner grâce aux progrès de la réanimation après, parfois, pour une durée d’un mois avec des risques d’ankyloses articulaires résiduelles.
A l’époque, une façon intelligente pour obliger les parents à faire vacciner leurs enfants avait été d’être à jours de leurs vaccinations les enfants dont les parents inscrivaient leurs enfants en, colonie de vacances.
C’est le Professeur Robert Debré, dont un hôpital Parisien porte son nom, le créateur du carnet de santé (le père de Michel Debré, le célèbre homme politique ancien premier ministre sous la cinquième) qui doit se retourner dans sa tombe.
Je ne vois qu’une seule explication à cette mesure, c’est qu’au cas rarissime d’accident vaccinal l’état soit retenu responsable et soit obligé d’indemniser les familles.
Cette mesure est à cours terme économique et purement démagogique comme le tiers payant généralisé ce qui déconsidèrera encore une fois de plus le respect du patient envers le Médecin Traitant.
Mais c’est, aussi, une mesure purement démagogique visant à diminuer l’influence du médecin renforçant, aussi cette autre meure qu’est le tiers payant généralisé.
A force de tirer sur la corde, celle-ci finira par péter. Jusqu’à ce qu’un autre gouvernement revienne, éventuellement, en arrière.

Poumon d’acier
P. S. : Le président des États Unis Franklin Roosevelt avait contracté la poliomyélite et se déplaçait en fauteuil roulant.
17:38 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Histoire, Histoire de la Médecine, Honte, La pensée du jour, Maladies des Hommes Célèbres, Médecine, Politique, Santé, Science, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
11/01/2016
« Avec moi vous ne devez pas gagner votre vie

Pas plus tard que ce matin, cette réflexion me fut faite par un patient bénéficiaire de la CMU (Couverture Maladie Universelle. Elle ouvre le droit pour tous d'accéder à une prise en charge de ses soins).
Ce patient dont je vous parlai dans mon article : « Docteur, « ça me troue le cul » : Une Proctalgie Fugace ».
Et dans mon article : « Un patient brut de décoffrage ».
Moi de lui répondre naïvement : « mais je suis payé par la sécu et je suis donc payé comme un patient lambda ».
Sur ce, il sort fièrement le dernier smartphone à la mode : « Le » Iphone 6 et de rajouter : « Avec ça, on peut tout faire »*.
Et moi qui ai un vieux smartphone ! (oui, mais un Samsung).
*Oui, mais cela n’empêche pas de dire des c... Pardon, de grosses bêtises.

17:03 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Honte, Musique, Potins, Shopping, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
05/01/2016
Les meilleurs vœux, de l’argent gâché : une constatation du Docteur Sangsue

En ce début d’année, c’est la période des vœux.
En ces temps d’économie, en rejoignant mon cabinet, il y a quel que chose qui a attire mon attention, et qui me choque profondément, ce son les affiches où l’on voit fleurir, sur les panneaux publicitaires, des «publicités» nous souhaitant la bonne année.
Ces vœux venant de la part d’organismes publics ou semi publics.
En plus, en cette époque où l’on parle d’écologie, cette démarche est vraiment absurde et inutile.
Que d’argent gâché que l’on aurait pu utiliser à des fins plus utiles.
Que d’arbres abattus pour cette démarche inutile.
Décidément, nous vivons une époque surprenante, où passe avant tout la « communication », mot pudique pour désigner la publicité.
Cela me fait songer à la série qui passait à la télé «Ma sorcière bien aimée», où le mari (Jean-Pierre Stephens) de l’héroïne (Samantha), est publiciste.
Et ce, dans les années soixante.
10:21 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Magie, Mots, Musique, Politique, Potins, Pub, Shopping, Société, Télévision, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
04/01/2016
Une malade bien contrariante

Je suis, depuis peu, une patiente qui va être licenciée de son travail, mais me dit-elle : "je suis une battante et j'ai un projet en vue".
Elle précise : "hier, dans la nuit j'ai ressentie une douleur sur le côté de la poitrine. J'ai failli faire venir SOS médecins".
Visiblement, il s'agissait d'une attaque de panique.
Elle m'a déjà racontée qu'elle avait fait deux crises d'"épilepsie" qui aurait été "avérée".
Une "évidence", pour elle,. La première, au volant de sa voiture, à l'arrêt, et qui, aurait cédée spontanément, mais sans s'être mordue la langue, ni s'être fait pipi dessus.
Lors de la deuxième, un médecin généraliste lui aurait fait passer un scanner qui était normal.
Je mets tout ceci au conditionnel. Car elle ne le m'a pas amenée.
Devant ce tableau atypique, je lui fis une lettre pour mon correspondant cardiologue et, toujours pour la rassurer, à un neurologue.
Lors de sa dernière visite, elle me parla donc de sa douleur dans la poitrine. Je lui demandais où en était la prise de ses rendez-vous. Elle me répondit qu'elle ne l'avait pas encore fait, et elle sortit les deux lettres froissées de son sac.
Je me posais alors la question, à quoi joue-t-elle ?
22:52 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Médecine, Santé | Lien permanent | Commentaires (0)
30/12/2015
« Plus un chien est grand, plus il fait de grosses grosses crottes » : proverbe chinois. Une des citations préférée du Docteur Sangsue

Pardonnez moi d’aborder ce sujet particulièrement délicat qui peu adapté en cette période festive de l’année, période située entre la Noël et le premier de l’an, surnommée trêve des confiseurs.
Cette trêve, ayant, en fait, pour but inavoué, de faire consommer beaucoup pour relancer l’économie.
Cette période de l’année représentant un chiffre très important qui remplit les caisses allant des petits commerçants, mais, aussi, et surtout, des grandes surfaces ; sans oublier, maintenant, celles faîtes sur Internet.
Je vous ai présenté ce long préambule pour m’excuser des propos qui vont suivre.
Ces propos sont apurements de propos écologiques et basés sur, la, si décriée, théorie malthusianisme.
J'ai déjà abordé ce sujet dans mon article "L’évolution écologique de Grandville, sa mutation cosmopolite. Une analyse personnelle du Docteur Sangsue".
La théorie malthusienne repose sur le fait que si une population augmente, cela pose des problèmes sur son alimentation. Ceci ne visant, uniquement, au départ, que l’aspect démographique.
Les détracteurs de cette théorie ont pour argument que l’homme s’adapte toujours à cette croissance (agriculture intensive et découvertes de nouvelles ressources énergétiques). Mais, à mon avis, celle-ci a des limites qui sont, maintenant, atteintes au niveau de la population.
Des propos qui vont à l’encontre de la théorie de la croissance de la population, et, de fait, à la théorie de la décroissance économique.
La théorie de la décroissance économique, nous explique, schématiquement, que cette croissance est, davantage, une source de nuisances que de bienfaits pour l'Homme.
Pur moi, cela retentit directement au niveau écologique.
Le « trou de la couche d’ozone » est directement lié à la croissance de la population qui joue directement sur la croissance économique, bien que celle-ci soit basée, surtout, sur le profit des multinationales.
Si l’on appliquait la théorie de la décroissance, de population, mais, aussi, au niveau économique, on améliorerait assez rapidement la catastrophe écologique qui nous attend immanquablement.
La déflation économique n’aura des effets à cours terme.
La décroissance de population, elle, n’aura d’effets qu’à long terme et ne sera effective, au minimum, qu’à partir d’une génération, soit vingt cinq ans.
Pour ce qui concerne ce dernier cas, les chinois l’ont bien compris en pénalisant la naissance d’un deuxième enfant. Cette relève a demandée plus de temps pour relever l’économie de ce pays, ceci est très schématique car il intervient, surtout, un coût de la main d’œuvre très bas et un nombre d’heures de travail très élevé.
Ma théorie est simple, bien que très schématique : plus une population est importante et à une démographie importante, plus elle pollue, d’autant que la planète terre, elle est inextensible.
Et, pire que cela, avec les méthodes de contraception moderne, nous avons une arme redoutablement efficace pour lutter contre la croissance démographique.
D’où ce proverbe chinois : « Plus un chien est grand, plus il fait de grosses grosses crottes ».
12:01 Publié dans Actualité, Citation, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Fête, Gastronomie, Histoire, Honte, Internet, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Politique, Potins, Santé, Science, Shopping, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (0)
25/12/2015
Piles non fournies

C'est le lendemain de Noël. Le père Noël est passé dans la nuit.
Les enfants, se lèvent et, impatients, courent au pied du sapin pour ouvrir leur nombreux cadeaux.
Les enfants sont émerveillés par leurs nouveaux jouets électroniques dernier cris dont la télé, avec sa pub, leur en avait donné l'envie.
Les parents, eux, sont beaucoup moins émerveillés.
Premier cadeau, les parents lisent sur la notice : "Piles non fournies" !
Pire, si les parents prévoyants se sont munis de piles "adaptées", cela devient un peu plus difficile car il faut prévoir entre les piles moyennes où les pile fines, sans compter le nombre!
Le cauchemar continue.
Il faut utiliser un petit tournevis cruciforme pour ouvrir le boitier et insérer les piles.
Ils n'en ont pas.
Résultat : les enfants ont des superbes jouets... avec lesquels ils ne peuvent jouer.
Heureusement, un cadeau antédiluvien trône, là, parmi ces jouets électroniques.
Les grands parents on songé à offrir....
Un livre.

19:33 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Honte, Informatique, La pensée du jour, Politique, Potins, Pub, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (4)
18/12/2015
Vers la disparition des crèches

Non, je ne parlerai pas, dans cet article, de la disparition des crèches collectives au profit des Nounous privés.
Non, je parle de la disparition inexorable des crèches de Noël dans les églises.
Je n'en veux pour preuve l’anecdote, enfin, si l'on peut parler d’anecdote. Pour moi, je l'ai vécu comme une épouvantable catastrophe.
Pas plus tard que cette après midi, à la sortie de l'école, à la veille des vacances de Noël, j'amène ma fillette voir les crèches de Noël dans une église et la cathédrale de Grandville. L'église est face à l'hôpital central de Grandville l'ancien, hôpital de Grand ville (toujours en activité) complété par un plus nouveau, ce grand tripode comme les architectes savaient les construire dans les années 70.
Cette église est fort pratique lors des enterrements, car il n'y a que la rue à traverser pour passer du Médecin au Curé lors du décès défunt.
J'en reviens à mes moutons. Habituellement, dans l'église s'y trouvait une grande crèche magnifique, un rêve pour les enfants.
J'entre dans cette église elle est sombre, trop sombre. Vous me croirez si vous le voulez... Pas de crèche !
Affreuse déception.
J'amène alors mon bout de chou vers la Cathédrale de Grandville.
Nous entrons, le bout de chou respecte le lieux sacrés en chuchotant., comme je lui en avais fait la recommandation.
Certes, il y a, là, une crèche, mais c'est loin de la crèche d'avant...
Elle est... toute petite.
Cela présage bien de la morosité de l’époque actuelle.
On est même pas capable de remonter le moral des Grandvilliens en apportant un peu de bonheur par un spectacle gratuit et magnifique respectant, de plus, les traditions et permettant à ces malheureux Grandvilliens d'oublier les soucis de la vie quotidienne, mais, et surtout, aussi, de ne plus émerveiller les enfants et les faire rêver.
France ton pays fout le camp !
Il n'y en a plus que pour ce père Noël qui ne sert qu'à faire ventre et ruiner les parents, avec des jouets qui s'accumulent pour, parfois, en plus, n'être que très peu utilisés.
Rien ne compte, de nos jours, que la consommation.
Le fric.
On a tué le rêve au profit de l'argent.
Argent que se font les vendeurs de jouets à grand renfort de "Pub" à la télé.
Et ce père Noël frelaté de 1931 tout rouge avec sa barbe blanche. Il est rouge, le savez vous, tout simplement, car il a été crée de toute pièce, aux Êtats Unis, par la célèbre marque,.. Coca Cola, la bouteille au logo rouge.
06:04 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Culture, Ecologie, Economie, Histoire, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Potins, Rève, Société | Lien permanent | Commentaires (7)
10/12/2015
Monsieur tous les cinq mois

J’ai, dans ma patientèle, un client dont je n’arrive pas à mémoriser son nom.
Vous allez comprendre pourquoi.
Pas plus tard qu’hier, un fantôme revint, un grand-gros baraqué que je soigne pour hypertension. Ou plutôt qui se soigne lui-même à sa façon.
La dernière fois qu’il a consulté, il me demanda le renouvellement de son traitement, soit un traitement de trois mois.
Mais il rajouta : « pourriez-vous me rajouter deux boites que m’a avancé le pharmacien ? ».
Eh oui, cela faisait… cinq mois que je ne l’avais vu (trois mois et deux fois une boite cela fait cinq mois).
Voila pourquoi je croyais ne plus le revoir et avais mis son dossier dans le classeur des clients que je ne reverrai plus.
09:33 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Economie, Honte, La pensée du jour, Médecine, Santé, Shopping, Société, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
09/12/2015
Accident vélo versus piéton

Çà y est, depuis le temps que je l’attendais, c’est enfin arrivé.
L’autre jour, en rentrant du travail, j’ai assisté à un accident.
Un accident vélo contre piéton.
Je marchais tranquillement, quand, derrière moi, j’entendais un drôle de bruit ; comme une chute de vélo. Effectivement, en me retournant, un vélo et son propriétaire étaient par terre.
Mais il était, visiblement, entré en collision avec un piéton.
Le vélo fou, naturellement, roulait en sens interdit dans une rue où il n’avait rien à faire.
Effectivement, les cyclistes, en ville, ont tous les droits et ne respectent pas le code de la route. Le plus patent étant de cramer les feux rouges. Je passe sous silence quand il circulent sur les trottoirs.
Tenez-vous bien, le piéton demanda au cycliste, « ça va ? ».
Le monde à l’envers vous-dit-je.
Le monde à l’envers.
11:36 Publié dans Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Honte, La pensée du jour, Musique, Pari, Politique, Potins, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (1)
01/12/2015
Enfin, le Docteur Sangsue rempli sa première demande d’entente préalable pour la prescription hypolipémiant

Cela y est, j’ai rempli mon premier formulaire CERFA de demande d’entente préalable pour la rescription d’un hypolipémiant (un médicament qui fait baisser le taux de cholestérol).
Ce médicament, l’EZETIMIDE (EZETROL*), je ne l’ai prescrit, jusqu’à présent, qu’une seule fois, et ce en deuxième intention pour intolérance aux statines.
Devant la prescription très importante, en première intention, par certains de mes confrères, la Sécurité Sociale, a eu, il faut bien le reconnaitre, raison de n’autoriser la prescription qu’après accord du Médecin Conseil.
En présence de cette malade, je commande, par internet, sur le site de la sécu, quelques formulaires idoines.
Deux jours après, je reçois les imprimés par retour du courrier.
Quelle célérité !
Heureusement, cas exceptionnel, le lendemain de la réception des dits formulaires, une autre patiente se présente pour le même motif.
Je pourrai donc effectuer mon travail, dés réception de l’accord du Médecin Conseil.
Fabuleux, tout marche bien et en plus à une vitesse comme l’éclair.
Catastrophe, le formulaire me revient, avec refus d’acceptation, car j’ai omis de cocher la bonne case.
Jusqu’à présent, tout marchait comme sur des roulettes.
Un grain de sable, une simple case mal cochée…
Et patatras tout s’effondre.
Suite et fin :
Après un coup de fil au Médecin Conseil de la Sécu, celui-ci me dit primo, qu’elle est la bonne case à cocher.Deuzio, l’information suivante : en cas de refus il m’enverra ce refus dans la quinzaine, par contre, en cas d’acceptation, il ne me reverra aucun feuillet, bien que ce formulaire soit un triptyque comprenant un feuillet pour le Médecin Conseil, un feuillet pour moi et un pour le patient.
Cela illustre bien le bon vieil adage : « Qui ne dis mot consent ».
11:19 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Honte, Le mot du jour, Mots, Potins, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)

