12/09/2012
Mushu
Peluche Mushu Dragon Rouge Du Film Mulan Disneyland
Mulan est le 54eme long-métrage d'animation et le 36eme « Classique d'animation » des studios Disney. Sorti en 1998.
Ma fille ainée, est revenue, un jour, alors qu'elle était adolescente, avec une sorte de doudou que je ne connaissais pas : Mushu.
Mushu avait une particularité… Particulière : il parlait, si vous lui donniez un bon coup… Sur les fesses.
Il disait alors, avec un accent inimitable :
"I’m Mushu, I’M the best. The best of de world, it’s me, Mushu. The best, it’s me, Mushu."
Cela peut paraître banal mais cela illustre bien ce que m’avais appris un Professeur de Psychiatrie lors de mon D.U. de Psychologie Médicale. A propos de la timidité, il disait qu’il fallait tenir, à ses enfants, de tels propos, pour leur donner une bonne estime d’eux même.
Les propos de ce prof, n’étaient pas exprimés tout à fait de la même façon. Il disait qu’il fallait dire à ses enfants, "qu’ils étaient les plus beaux les plus forts, les plus intelligents et… les plus poilus!"
C'est une bonne façon d'éviter que ses enfant soufrent plus tard de "Trouble d'Anxiété Sociale", ce que l'on appelle en terme vernaculaire, la timidité.
18:28 Publié dans Anecdote, Film, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Loisirs, Médecine, Mots, Potins, Santé, Shopping, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
17/04/2012
Un enfant de trois ans qui a le bras rouge. Quelques considérations sur le métier de Médecin Généraliste d’une trentaine d’années de Médecine Praticienne
Pour ce qu'il en est de la Médecine générale, la dessinatrice et humoriste de BD, Claire Brétécher, a rendue célèbre la « Bobologie », à travers son personnage « Docteur Ventouse », « Spécialiste en Bobologie ». Bien plus tard, ce trait s’humour involontairement prémonitoire, se vérifia, puisque que l’Etat Français et le Conseil National de l’Ordre des médecins, reconnu, effectivement, le terme de « spécialiste en « médecine Générale » ce qui eut pour conséquence de passer le C de 22 € à 23 € soit une augmentation du C de 22 à 23 €, soit une augmentation de... 0,05 %. Je crois que les spécialiste, eu, n'ount pas eu d'aumentation, alors qu'ils ont 2 à 5 ans sde formation en plus, ils sont donc, euix de véritables Spécialistes, et je suis bien comptent d'avir à faira à eux plutô qu' au CHU, qui, parfois est mal coté par les revue "Le Point et le Nouvel Obs".
Il est de notoriété publique, que quand on n’est bon à tout, on est bon à rien. Pic de La Mirandole -,était multimillionnaire, de par ses parents, ce qui lui permis de beaucoup de voyager, bien qu’à l’époque Easy Get n’existait pas.
En effet, Pic de la Mirandole, a été la dernière personne à pouvoir posséder le savoir toute de son «époque, c’était aux au quinzième siècle, son fantasme : publier 500 Thèses. Cela lui joua des tours avec le Conseil Mondial de l’Ordre Catholique, le Vatican. En effet, ses théories n’étaient pas du tout du goût du pape et de son conseil d’administration, il n’y a pas plus conservateur que ce type d’institution
Pic de la Mirandole, eut "quelques soucis", avec le Pape Innocent VIII. Tout comme Galilée, qui renonça à sa thèse « astronomique », lui aussi,avec un autre PDG de l'Eglise, dont je me souviens plus le nom.
Ces deux intellectuels, sous la pression de l’Église, renoncèrent à leurs découvertes (enfin, politiquement).
L’Église Apostolique et Romaine, à toujours été en retard avec les découvertes scientifiques de l’époque. Cela perdure, encore, actuellement : « Femme, la pilule, tu ne prendras point ».
En effet le Médecin Généraliste est censé tout savoir, tout connaître.
Personnellement, en tant que « Spécialiste en Médecine Générale », j’estime qu’un « bon » MG est capable de connaitre, enfin d'avoir suffisamment entendu parler de 80 % des maladies% de toutes les spécialisées du savoir Médical, qui lui permet suffisamment pour faire un diagnostic. A mon humble avis, un « bons » spécialiste ne doit vraisemblablement, connaitre que 20% des connaissances médicales globales, mais il connaît 99 % des pathologies de sa spécialité. Chacun son métier.
Chaque MG, à un domaine de prédilection pour une Spécialité Médicale. Personnellement, c’est la Psychiatrie (qui m'a été plus que trés mal enseignée, un véritable scandale !). Par contre, je suis le "roi" de la bobologie : Les angines, les Sinusite, les vaccins. A moi, Les Gastro-entérites, qui sont parfois, des appendicites, ou, bien, plus grave, des Grossesses Extra Utérine.
il vaut mieux ne pas passer à côté des "pathologies vraies" sans les voir, cela sent l’erreur médicale et le procès se pointe à grand pas !
Ce qui fait la grande difficulté pour un MG, c’est de trier le bon grain de l’ivraie. Savoir discerner la Bobologie des pathologies sérieuses, nécessitant, parfois, l’Hospitalisation, ou, l’envoi vers le « Bon » spécialiste. Par exemple une consultation.
Ppour ce qui est de l'aspect économique, une angine est « Facturée » , à la sécu, (sans la TVA), 23 € chez le MG et 100€ aux Urgences Hospitalières ; la différence est de taille !
Il faut voir comment sont méprisés les MG, par les « News » internes hospitaliers.
En effet, comme je le disais plus haut, le métier de MG, n’est pas si facile que cela, il faut toujours être aux aguets, pour ne pas laisser passer une « vraie pathologie, ce qui peux, parfois avoir des conséquences grave, voire dramatique.
Un exemple :
C’était, il y a « quelques années, la mère d’un enfant de quatre ans, fait appel à, moi, car son gamin a « un bras rouge ».
J’arrive au domicile et, en examinant l’enfant, je diagnostique, de suite, une Lymphangite, il faut aller vite. Je dirige, tout naturellement, ce petit enfant, aux Urgences du CHU de « Grandville ».
J’écris donc une lettre à l’Interne des Urgences.
En réponse, pas de réponse, pas une lettre du CHU.
Pour plaisanter C’était peut la mère qui avait mis de rouge à lèvre sur le bras de son enfant (c’est ce
que l’on appelle un Syndrome de Münchhausen par procuration).
Le MG aime bien être, entre autre, être confirmé, ou infirmé, dans son diagnostic, pour da formation personnelle.
Ainsi va la vie, je fais de moins en moins de visites et n’écris, pratiquement plus, aux urgences du CHU.
Voila ce que l’on obtient en ne respectant les Médecins.
Eh bien, paradoxalement, cela me simplifie l’existence !
Par contre, j’aime mon métier, presque au dessus de tout, sauf, excepté, ma femme et mes enfants, ainsi que quelques amis d’enfance.
Au fait, quid des délais d'attente de Ophtalmos, Gynécos, Psychiatre, de 4mois à... 1 an !
Quid des déserts médicaux ?
Il ne faut pas oublier que la moyenne d'âge d'un MG est de... 50 ans !
Deux générations !
Quand on joue à l'apprenti sorcier (à ce propos, écoutez "l'apprenti sorcier" de Paul Dukas. La musique adoucis les moeurs, et fait oublier, un temps, les vrais problèmes).
Enfin, bientôt la retraite, je verrai certainement le délabrement, lent et inéluctable, de la médecine générale libérale avec l'apparition de la médecine à deux vitesse.
Un Pays à la médecine qu'il mérite, s'il veut le modèle Américain, il l'aura.
Vive les assurances privées, adieu la médecine "à papa".
Quand à l'Ostéopahtie payée entre 50 € et 100 €, non remboursées, ne fait elle pas partie, dans certainqs cas, de l'exercice illégal de la médecine, je veux, je le répète, parler des "Ostéos" non médecins.
Pour ce qui est de mon activité professionnelle :
Trente ans, déjà, Trente ans d'exercice professionnel,
Dieu que le temps passe vite !
Cela me rappelle l'Horloge.
Parole d'un poème de Charles Baudelaire,
interprété par Mylène Farmer.
15:20 Publié dans Anecdote, Blog, Coup de gueule, Culture, Film, Histoire de la Médecine, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Magie, Médecine, Mots, Musique, Santé, Société, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (6)
30/04/2011
Hot Rod, le début du Tuning automobile dans les années 50
Crédit Photo : http://www.thehotrodshop.net/graffiti.html
Un hot rod est une voiture ancienne (jusque 1949 inclus), largement modifiée, tant au niveau du moteur que de l'aspect extérieur, principalement aux États-Unis.
La base d'un hot rod est donc essentiellement ; une voiture de marque américaine datant d'avant 1949 inclus, le plus souvent de marque Ford, couramment des Ford T, des Ford A, des Ford B datant de 1932 à 1934, quasiment toutes équipées d'origine de moteurs à 4 et 6 cylindres ou de V8 Flathead pour les B'32, '33 et '34, véhicules largement disponibles d'occasion et à des prix très bas après-guerre.
Toutes les parties non essentielles au bon fonctionnement du véhicule étaient démontées ; le toit, le capot, les portières, la banquette arrière, le pare-brise et les essuie-glace, les pare-boue, les phares, les pare-chocs et une bonne partie du pot d'échappement. Ces modifications étaient fréquentes pour diminuer le poids du véhicule, donc pour améliorer le rapport poids/puissance.
On peut dire que c'est, en quelque sorte, le début du tuning automobile.
Les premiers hot rods apparaissent vers 1935, à un moment où l'automobile devient une chose bien plus courante et répandue qu'auparavant. Dès cette époque certains possesseurs d'automobiles, déçus par le manque de puissance et de sportivité de leur voiture, décident d'en modifier les caractéristiques.
Ce phénomène s'amplifie pendant et après la Seconde Guerre mondiale, lorsque les soldats démobilisés rentrent aux États-Unis, avec encore en tête, les petites voitures de sport anglaises MG, qui n'existent pas aux USA. À peine rentrés « au pays », ces jeunes démobilisés reçoivent une formation de leur choix, notamment en mécanique, pour leur permettre de retrouver plus facilement un emploi. Leurs pensions d'anciens militaires ne leur permettent d'acheter que des voitures d'occasions d'avant-guerre. Ils décident donc d'y apporter quelques modifications, principalement en y adaptant des moteurs V8 modernes de l'époque, provenant de voitures récentes et accidentées (ou même parfois volées).
Ce phénomène s'inscrira profondément dans la culture de la jeunesse américaine de l'époque.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hot_rod
Un film illustre trés bien ce sujet : Américan Graffiti
voir la vidéo :
05/02/2011
L'actrice Maria Schneider est décédée
Lu sur www.lexpress.fr/
L'actrice du Dernier Tango à Paris est décédée, à l'âge de 58 ans, le jeudi 3 février 2011 des suites d'un cancer.
L'actrice Maria Schneider est décédée, jeudi 3 février, à l'âge de 58 ans des suites d'un cancer. Révélée par le réalisateur Bernardo Bertolucci, elle est surtout connue pour son rôle au côté de Marlon Brando dans Le dernier Tango à Paris. Dans les années 70, l'actrice avait sombré dans les drogues et avait tenté de se suicider.
...
L'actrice a été inhumée au cimetière du Père-Lachaise après une cérémonie religieuse.
15/01/2011
Noces Blanches
Bande annonce du film de Jean-Claude Brisseau "Noce blanche" (1989)
Synopsis :
"Saint-Étienne, 1989. Mathilde Tessier, jeune fille difficile, tombe amoureuse de son professeur de philosophie, François Hainaut. Ce dernier qui croit profondément aux capacités intellectuelles de la jeune fille, va se démener pour l'aider. Pendant que Mathilde progresse, leur histoire d'amour se tisse et éloigne peu à peu François de sa femme et de son métier..."
Source : Wikipedia
Ce film me fait songer au "post" précédant : lien ICI.
08:02 Publié dans Actualité, Anecdote, Cinéma, Culture, Film, Loisirs, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
17/10/2010
Le galop de Daisy
Eadweard Muybridge, né Edward James Muggeridge, à Kingston upon Thames, dans la banlieue de Londres, le 9 avril 1830, mort le 8 mai 1904 (à 74 ans), est un photographe américain d'origine anglaise, célèbre pour ses décompositions photographiques du mouvement, et son célèbre cliché « le galop de Daisy ».
19:32 Publié dans Anecdote, Art, Cinéma, Culture, Film, Histoire, Loisirs, Photographie, Science, Société, Télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
Blow-Up
Blow-Up est un film britanno-italo-américain de Michelangelo Antonioni, sorti en 1966 et inspiré de la nouvelle Las babas del diablo (Les fils de la Vierge) de Julio Cortázar.
Le film obtient la Palme d'or au festival de Cannes en 1967.
Œuvre d'une grande modernité, Blow-Up questionne les rapports qu'entretiennent le réel et l'illusion, à travers le parcours d'un photographe de mode qui redécouvre, en sortant de son studio, l'épaisseur d'une réalité qui échappe à ses desseins.
Au bout du temps de tournage imparti, il s'entretient avec son producteur (et ami) Carlo Ponti, et lui fait valoir qu'il a besoin d'une rallonge de crédit pour terminer son film : il n'a en effet pas encore tourné la scène centrale notamment, celle du meurtre. Mais l'habitude d'Antonioni (commune à tous les cinéastes « à dépassement ») de ne jamais tourner au début les scènes importantes afin de faire pression sur le producteur le moment venu est bien connue de Carlo Ponti, qui cette fois ne cède pas. Antonioni doit rentrer en Italie, et envisager le montage du film sans certaines des scènes essentielles à la compréhension du spectateur.
Blow-Up peut donc aussi être regardé comme un brillant exercice, réalisé à partir d'une contrainte imposée.
Le film fit scandale à sa sortie en Grande-Bretagne : c'était la première fois qu'on montrait dans un film britannique un corps féminin entièrement dénudé (en l'occurrence, celui de Jane Birkin).
Le film original a subi récemment une censure sur deux scènes lors du passage du support VHS au DVD. Une partie de la scène où Jane (Vanessa Redgrave) se déshabille devant Thomas (le photographe) est tronquée en bas pour cacher la poitrine de l'actrice qui apparaît nue sur la vidéo. Dans la scène dite "d'orgie" où Thomas chahute avec les deux jeunes filles (Jane Birkin et Gillian Hills) qui n'ont pas de sous-vêtements, le pubis est flouté.
Source http://fr.wikipedia.org/wiki/Blow-Up
10:47 Publié dans Art, Cinéma, Culture, Film, Loisirs, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (2)
Publicité KODAK des année cinquante
Ozzie Nelson est un acteur, réalisateur, producteur et scénariste américain né le 20 mars 1906 à Jersey City, New Jersey (États-Unis), décédé le 3 juin 1975 à Hollywood (Californie).
Source : Wikipedia
Une pub des année cinquante par Ozzie Nelson.
10:39 Publié dans Cinéma, Culture, Film, Loisirs, Pub, Shopping, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
10/10/2010
Le Voyage dans la Lune - Georges Méliès - 1902
Georges Méliès (8 décembre 1861 - 21 janvier 1938) — de son nom complet Marie Georges Jean Méliès — est un réalisateur de films français
Il est le père des effets spéciaux, le premier réalisateur et le créateur du premier Studio de cinéma.
Le Voyage dans la Lune est un film français de Georges Méliès, sorti en 1902, adapté du célèbre roman de Jules Verne, De la Terre à la Lune.
10/10/10 Pas de pression pour les euroseptiques
Vu sur www.terra-economica.info/ le sous titrage de ce clip.
Voilà une opération de com réussie. Le clip – gore – des militants britanniques de la campagne 10:10 qui vise à nous faire réduire nos émissions de CO2 a été retiré des écrans. Mais fait beaucoup parler de lui. « Terra eco » vous l'a traduit ICI.
Ce dimanche, c’est le grand jour pour les militants de 10:10, une campagne pour inciter individus et entreprises à réduire de 10% leurs émissions de CO2 en 2010. Car dimanche c’est le 10 octobre 2010, le 10/10/10. Pour célébrer cette date-clé, l’équipe britannique du projet a eu l’idée d’un clip sur la Toile. Confié à Richard Curtis (le scénariste de Coup de foudre à Notting Hill) et Dougal Wilson, star de la pub en Angleterre, il conte la vengeance très « musclée » d’écolo-terroristes sur des citoyens peu engagés. Gore, le spot s’est finalement attiré tant de critiques que l’organisation l’a retiré et présenté ses excuses.
14:56 Publié dans Actualité, Film, Internet, Politique, Santé, Science, Société, Télévision, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
10/10/10
03/10/2010
Le vieil homme et la mer ou la vie d'Ernest Hemigway expliquée par son trouble bipolaire
Ernest Hemingway (Ernest Miller Hemingway) est né le 21 juillet 1899, il est mort par suicide le 2 juillet 1961 car il était atteint d'un trouble bipolaire.
Hemingway a reçu le prix Pulitzer en 1953 et le prix Nobel de littérature en 1954. C'est le vieil homme et la mer qui lui a valut le prix Nobel.
Toute sa vie, Hemmigway, lutta contre sa maladie, un trouble bipolaire ; ce qui explique sa relation excessive avec l'alcool et son décès par suicide.
Une citation du vieil homme et la mer illustre bien la vie d'Hemingway : « Un homme, ça peut-être détruit, mais pas vaincu. »
Une théorie validée montre que la bipolarité est beaucoup plus répandue chez les créatifs (écrivains et musiciens surtout) que dans la population générale (le génie et la folie).
Hemingway s'est vraisemblablement suicidé à cause de son trouble bipolaire (son père était vraissemblablement bipolaire aussi) ce qui explique ses excès d'alcool eux même responsable de sa surcharge pondérale qui lui occasionnat un diabète type II ce qui eu pour conséquence une impuissance qui fut, peut-être, la goutte d'eau qui fit déborder le vase (autopsie psychologique).
Hemingway a habité à Key West, en Floride et à Cuba pendant les années 1930 et 1940 mais, en 1959, il quitta Cuba pour Ketchum, dans l'Idaho, où il se suicida, d'un coup de fusil dans son châlet, au cours de l'été 1961.
C'est à Cuba qu'Hemingway popularisa un cocktail, le Mojito, car il en était grand amateur et consommateur, toujours du fait de sa bipolarité.
Le vieil homme et la mer
envoyé par shamrock. - Court métrage, documentaire et bande annonce.
P.S. : Heureusement, le traitement a bien évolué depuis l'époque d'Ernest Hemingway, qui, lui, a bénéficié d'électrochocs (Lithium, anticonvulsivants antipsychotiques de deuxième génération normothymiques, sans oublier les antidépresseurs sérotoninergiques, ainsi que l'utilisation de bithérapie voire trithérapie normothymique).
A lire : www.republique-des-lettres.fr/
13:57 Publié dans Anecdote, Art, Culture, Film, Maladies des Hommes Célèbres, Médecine, Santé, Vidéo, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
05/06/2010
Les vacances de Monsieur Hulot - Métropolis
Monsieur Hulot est... timide (Phobique social extraverti) ce qui explique bien des gags.
De là a penser que Monsieur Tati l'était aussi...
Jacques Tatischeff, petit-fils d'un comte russe, timide, à la scolarité (un peu) contrariée, sa vie commence au Pecq, près de Saint-Germain-en-Laye, dans une famille bourgeoise prospère classique, dans la discipline et le respect des conventions. Vient ensuite sa passion pour l'équitation et, surtout, déclencheur de son destin, son talent de mime…
Source : Jacques Tati : Sa vie et son art de David Bellos
Les vacances de Monsieur Hulot (1953) - Bande-annonce
16:53 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : film, vidéo, culture, art
04/06/2010
Mon oncle, Jacque Tati, son style cinématographique
Ce qui est fascinant chez Jacques Tati, c'est le fait qu'il soit resté au stade du cinéma muet.
Dans mon oncle, un film attendrissant sur un gamin qui s'amuse bien plus avec son oncle qu'avec ses parents (il faut dire que l'oncle a une âme d'enfant) , il y a une oposition entre le passé, vieilles maison bien françaises et maisons à l'architecture "modernes" (à la Le Corbusier) avec des intérieurs rutilants, à l'américaine, mais cette modernité se paye d'une froideur redoutable, on peut presque dire aseptisé et sans vie.
A "l'écoute" de ce film et de tous ceux de Tati, Il y a une remarque a faire : il n'y a pratiquement pas de dialogues, mais des sons, de la musique, il y a une ambiance Tati, le "son Tati" qui traduit ses films, c'est presque... du cinéma muet.
Tout comme Charlie Chaplin, Tati, qui l'influença beaucoup, considère que l'accompagnement musical fait partie intégrante du film.
Ce qui fait que dans les films de Tati qui sont en noir et blanc, on se croirait, presque, resté au temps du cinéma muet.
Dans mon oncle il y a une opposition saisissante de nostalgie entre le passé qui disparait et modernité qui le détrône.
C'est ce qui fait le "style Tatinien".
09:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : film, vidéo, culture, loisir, loisirs
25/02/2010
Le cinquième élément
Un Film fort bien fait de Luc Besson, costumes de Jean Paul Gaultier avec Bruce Willis et Mila Jovovitch.
Le passage torride du film :
Quelques répliques célèbres :
Korben : Boom, oui ça je comprends, boom.
Leeloo : Badaboom.
Korben : Big, oui, big badaboom.
Leeloo : Big. Badabigboom. Big, boom.
Korben : Oui, big badaboom.
Leeloo : Badaboom.
18:56 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : film, vidéo
15/02/2010
Délivrance - Dueling banjos - Un exemple de communication non verbale
Cette scène est un superbe exemple de communication non verbale :
"Chez l'homme spécifiquement ; la création artistique permet l'expression et/ou l'appropriation d'émotions et de concepts difficilement exprimables par le langage. La peinture, la musique (et le chant non verbal), la danse, les arts martiaux ou encore la sculpture sont des modes de communication non verbale (mais le plus souvent volontaires)."
Délivrance (Deliverance) est un film américain réalisé par John Boorman d'après le roman éponyme de James Dickey en 1972.
Dueling Banjos est un instrumental composé par le musicien Arthur Smith
09:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : film, vidéo, musique, médecine, malade, maladie, santé
21/11/2009
L'arroseur arrosé
L'arroseur arrosé des Frères Lumière, première version :
Dans la deuxième version, le vrai arroseur, le farceur, se fait vraiment arrosé.
10:01 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : film, vidéo, humour
13/11/2009
L'Enfer inachevé d'Henri Georges Clouzot sort 50 ans après
En 1964, Henri Georges CLOUZOT choisit Romy SCHNEIDER, 26 ans, et Serge REGGIANI, 42 ans, pour être les vedettes de L’ENFER. Un projet énigmatique et insolite, un budget illimité, un film qui devait être un «événement» cinématographique à sa sortie. Mais après 3 semaines de tournage, le drame. Le projet est interrompu, et les images que l’on disait «incroyables» ne seront jamais dévoilées.
Ces images, oubliées depuis un demi-siècle, ont été retrouvées et elles sont plus époustouflantes que la légende l’avait prédit.
Elles racontent un film unique, la folie et la jalousie filmées en caméra subjective, l’histoire d’un tournage maudit et celle d’Henri Georges CLOUZOT qui avait laissé libre cours à son génie de cinéaste.
Jamais Romy n’a été aussi belle et hypnotique. Jamais un auteur n’aura été aussi proche et fusionnel avec le héros qu’il a inventé.
Serge Bromberg et Ruxandra Medrea réussissent ici une «recomposition» de l’œuvre disparue, créant un nouveau film qui raconte l’histoire de ce naufrage magnifique et qui permet au projet d'exister enfin.
Le film est présenté en Sélection Officielle, dans le cadre de Cannes Classics.
Le film L'Enfer d'Henri Georges Clouzot sortira en salles le 11 novembre 2009
Source : http://films7.com/
07:11 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : film, vidéo, cinéma
17/06/2009
keep walking - Gobelins L'école de l'image
Gobelins, l'École de l'Image (ou Les Gobelins) est une école parisienne dédiée aux métiers de l'image. Il s'agit d'une école consulaire dépendant de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, dispensant des formations de format et de coût financier divers. Spécialisée au départ dans la photographie de studio, c'est le département Cinéma d'Animation, fondé en 1975 par Pierre Ayma, qui fit la notoriété de l'école. Elle a acquis une réputation internationale, formant des animateurs de talent qui ont trouvé leur place au sein de studios aussi prestigieux que Disney, Universal, Hanna Barbera, Pixar, Dreamworks ou Warner Bros. Pictures.
Beaucoup de ses anciens étudiants sont devenus auteurs de bande dessinée et de réalisateurs de dessins animés, comme Didier Cassegrain, Cromwell, Jean-François Miniac, Riff Reb's ou Jenny. De nombreuses personnalités de renommée internationale sont également intervenues en tant qu'enseignants pour l'école.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gobelins
Il existe aussi une Ecole des Gobelins à Annecy, d'ou viens ce film, site internet :
http://www.gobelins-annecy.com/.
20:39 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : film, culture, vidéo
30/07/2008
Wall E, la bande annonce en espagnol
18:49 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : actualité, film, cinéma