09/11/2008
L'ami Ricoré*
20:48 Publié dans Internet | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : internet, informatique, vidéo, bricolage, wifi
08/11/2008
Linux pour les nuls
00:49 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : humour, informatique, internet, linux, windows
07/11/2008
L’arrêt Blanco
Serge Blanco : www.francerugby.fr/
En 1873, un ancêtre du célèbre rugbyman Serge Blanco, rugbyman lui-même, fit un arrêt remarquable : connu sous l’expression mémorable d’arrêt Blanco.
NON, c’est trop beau pour être vrai !
Blanco (Homonymie) Arrêt Blanco, rendu le 8 février 1873 par le Tribunal des conflits, est considéré comme le fondement du droit administratif français. Source : Wikipédia.
Trouvé et pompé littéralement, cluster par cluster, sur le Blog de Maître Eolas : « Journal d’un avocat ».
Wagonnet : www.rail.lu/
Le 3 novembre 1871, une fillette insouciante du haut de ses cinq ans et demi, et totalement ignorante que le destin du droit l'a marquée de son sceau, marche dans les rues de Bordeaux. Mais le malheur va frapper la petite Agnès Blanco, sous forme d'un wagon de la manufacture des tabacs de Bordeaux, poussé sans prudence par Henri Bertrand, Pierre Monet et Jean Vignerie, employés de cette manufacture. Le wagon va renverser Agnès et lui passer sur la cuisse, qui devra être amputée. Le père d'Agnès va assigner en justice devant le tribunal judiciaire les trois employés et l'Etat, en la personne du préfet de la Gironde, Adolphe Jean. Le tribunal se déclare compétent, et le préfet de la Gironde, partie au procès et qui avait soulevé cette incompétence, prend un arrêté de conflit, que diable, on n'est jamais mieux servi que par soi même.
Le 8 février 1873, le tribunal des conflits, avec la voix de départage du Garde des Sceaux Jules Dufaure pour rompre l'égalité, va donner compétence au juge administratif…
…
C'est l'arrêt Blanco.
Le droit administratif est né, il est majeur, et indépendant du droit privé, son père naturel. Désormais, il ne s'agit plus seulement de juger de la légalité des actes de l'administration, mais aussi de condamner l'Etat pour les dommages que cause son action. L'Etat devient responsable.
Aujourd'hui encore, le droit administratif fait partie de la branche du droit public, séparée du droit privé. Les juristes se divisent eux même, en imitation, entre publicistes et privatistes.
Les publicistes étudient et enseignent la Constitution, le droit international public (droit des relations entre Etats), mais plus prosaïquement aussi les contrats administratifs, les marchés publics, l'urbanisme, le droit fiscal, le droit de l'environnement, entre autres. Bref tous les droits où une des parties au moins est l'Etat au sens le plus large. Les privatistes quant à eux se consacrent aux droits où l'Etat n'est pas en cause : droit des contrats, droit du travail, droit de la famille, droit des successions, droit commercial...
La pédagogie de Maître Eolas rend le Droit intelligible, compréhensible, voire… intéressant.
Je ne saurais trop vous conseiller de lire le post de Maître Eolas « Blogueurs et Responsabilité Reloaded ». Qui pourrais vous éviter quelque « petits » ennuis lors de vos rédactions bloguesques.
19:46 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : culture, histoire, justice, droit, blog
02/11/2008
Le vin du dimanche
Chateau Coufran : www.chateau-coufran.com/
"Propriété de la famille Miailhe depuis 1924, le vin du Château COUFRAN est atypique pour le médoc du à son encépagement original de 85% de merlot".
Le Merlot est l'encépagement des Pomerols (ntdrl).
Un trés "honnète" Haut-Médoc au rapport qualité prix exceptionnel. Je recommande, entre autre, le 1999 que je suis en train de déguster.
A votre santé !
14:21 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gastronomie, cuisine, vin, culture
Peut-on soigner ses proches ?
Suite à l'article de Lawrence Passmore sur son Blog Grange Blanche détaillant une prise en charge « familiale » un peu aléatoire, je pense qu'il n'est pas totalement impossible, pour un Médecin Généraliste, de soigner ses proches et même le plus proche de ses proches, je veux dire... soi-même.
Autant, à mon humble avis, un Médecin Généraliste peut recourir à ce type de pratique pour le moins acrobatique, je pense que cela doit être plus difficile pour un Médecin Spécialiste. D'abord parce que le Médecin Généraliste connait « toute » la médecine, alors que le Médecin Spécialiste connaît surtout « toute » sa spécialité, il n'a cependant pas oublié... « toute » sa médecine, et qu'ensuite le Médecin Génélaliste a l'habitude, c'est son métier, de coordonner les soins et de faire, comme en œnologie, un assemblage des divers traitements et des mélanges, parfois détonants, des différentes molécules.
Si vous avez toujours envie de soigner un de vos proches, pour cela, il est absolument impératif de réunir un ensemble de plusieurs critères indispensables pour éviter de courir à la catastrophe :
-
Avoir du recul vis à vis du proche soigné, au point de vue médical, il faut considérer le proche (y compris et surtout pour soi , si l'on montre la moindre velléité à vouloir se soigner) comme un malade et le corps proche comme de la chair du sang et de l'os, bref, il faut être... inhumain.
-
Se faire payer avec feuille de sécurité sociale ou télé transmission (sauf pour soi-même), un malade « normal » paye en contrepartie de la prestation des actes médicaux, ainsi il ne se sent pas redevable.
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Garder une certaine discrétion vis à vis de l'entourage, je ne parlerai pas ici de secret médical, quoique, mais plutôt de respect du proche et surtout de prudence... vis à vis de... l'entourage.
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De ne surtout pas s'attendre à une quelconque reconnaissance, vis à vis de l'entourage, le proche étant, lui, le plus souvent, reconnaissant.
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Passer la main au spécialiste, comme on le ferait vis à vis d'un quelconque patient, avec, bien entendu, un courrier de « recommandation » : «Monsieur et cher confrère, je vous envoie ma tante qui aurait pu être mon oncle si... ».
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Si la maladie s'avère chronique, ouvrir un dossier médical tant papier qu'électronique, tout comme on le ferait pour un patient lambda.
-
Si la situation dérape, savoir, dans ce cas, tout en assurant de façon responsable, la continuité des soins, adresser le proche à un autre confrère Médecin Généraliste, avec une copie du dossier médical et en gardant surtout toutes les pièces originales du dossier médical et cela en respectant le délai légal (trente ans pour un adulte et trente ans plus l'âge à la majorité pour un enfant). On n'est jamais assez prudent...
Cela m'arrive de me soigner, mais je recours au spécialiste dès que nécessaire (à chaque fois, avec moi, la sécurité sociale fait des économies).
J'ai soigné mes deux filles, mais pareillement, je les ai adressées, dans les délais, aux bons spécialistes, rassurez-vous, je n'allais pas opérer de l'appendicite une de mes filles sur la table de la cuisine.
J'ai accompagné « jusqu'à la fin » mon beau-père ainsi que la grand-mère de ma femme, mais c'était au début de ma carrière ; je sais que j'ai fait du bon boulot, mai je ne pense pas que je le referais maintenant, car c'est une pratique « un peu » stressante.
Si je me suis comporté comme cela, c'est que toutes les règles, je dis bien toutes les règle citées plus haut était respectées, TOUTES sans exception.
Maintenant, si l'envie vous en prend, bon courage !
La mouette, mascotte d'OpenOfice.
Texte rédigé grâce à OpenOffice 2.4.1*.
* Cette suite bureautique de qualité professionnelle comporte tous les outils nécessaires à la plupart des utilisateurs : traitement de texte, tableur, présentation, base de données.
La migration vers OpenOffice.org est totalement transparente puisque les documents créés avec la suite de Microsoft sont entièrement compatibles avec cette solution gratuite, même les fichiers les plus anciens. Lorsque cela est nécessaire, il est possible d'enregistrer vos documents dans un format Microsoft Office lisibles par vos collaborateurs qui n'auraient pas encore franchi le pas.
12:47 Publié dans Médecine | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : médecine, malade, maladie, santé, humour, société
28/10/2008
Zona
Zona thoracique Crédit Photo : Wikipédia
Un patient, militaire, gradé, retraité, dont la femme est institutrice, elle aussi retraitée, viens me voir à la consultation, me disant :
-Regardez ce que j’ai, qu’es ce que c’est ?
-Moi de répondre : mais, c’est un zona !
Il existe maintenant un traitement du zona et surtout préventif des, parfois, terribles douleurs post zostériennes (surtout après cinquante ans), c’est un antiviral. Le plus récent est le VLALCICLOVIR (ZELITREX*). C’est aussi un traitement très efficace du zona ophtalmique et de ses redoutables atteintes de la cornée.
Ce patient, ayant plus de cinquante ans, je lui prescris du ZELITREX*.
Je le revois quelques temps plus tard :
-Alors, comment ça va ce Zona ?
-Je suis guéri.
-Moi (flatté) : c’est beau la Médecine !
-Le patient de répondre : J’ai été voir un guérisseur.
-Vous avez pris votre traitement au moins ?
-Oui.
Qui de nous deux, le guérisseur ou moi, avons guéri ce patient ?
Pour plus de renseignements : http://fr.wikipedia.org/wiki/Zona
un site surprenant que je ne saurait trop vous déconseiller surtout en cas de Zona ophtalmique :
http://www.guerisseur-magnetiseur.fr/zona.php
14:06 Publié dans Médecine | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : médecine, malade, maladie, santé, humour, société
14/10/2008
Informatique : mes débuts, mes joies, mes emmerdes*
« Patients, médecins, qu’est ce que les nouvelles technologies ont changé pour vous ? »
Cet article rentre dans le cadre du Troisième Carnaval des Blogs Médicaux.
La fée informatique a débarquée dans mon Cabinet Médical en 1998, avec Windows 9x (plus communément appelé Windows 98), lors de l'instauration de la télé-transmission.
Il faut dire, en l'espèce, que si la télé-transmission a marché, comparé au flop du dossier médical papier, c'est que le Patient, tout comme le Médecin Généraliste y trouvait son compte, je veux dire, par là, le remboursement du Patient et des CMU (Couverture Médicale Universelle) pour le Médecin, en quatre jours, par la télé-transmission, au lieu d'un mois pour le Patient et quatre mois concernant le Médecin, pour les feuilles de soins papier (FSP). On peut raisonnablement extrapoler que le Dossier Médical Personnalisé (DMP) risque, lui aussi, de faire flop...
Ce qu'a changé l'arrivée de l'informatique dans mon exercice professionnel ? Des tas de choses :
Cela me soulage des tâches répétitives pour ce qui est des ordonnances (renouvellements d'ordonnances). Le traitement de texte permet de faire un courrier propre avec insertion du traitement médical du patient dans la lettre au correspondant par... copier collé.
Un effet surprenant de l'informatisation est le fait que je ne commande plus d'ordonnance (sauf pour les ordonnances sécurisées), puisque je les fais moi même grâce au traitement de texte inclus dans mon Logiciel Médical Hello DOC.
Un autre effet surprenant de l'informatique concerne les erreurs, il serait logique de penser que l'informatique met à l'abri des erreurs, eh bien c'est faux !
Avant l'informatisation, je me souviens avoir confondu, une fois du SOLACY (souffre + Vitamine A) avec du SOLUCETYL (aspirine), je remercie le pharmacien de m'avoir appelé.
Cette erreur 404 n'est pas sans rappeller la campagne de communication des Lanboratoires Pfizer sur le Tahor* ICI.
Après l'informatisation l'erreur est maintenant de se tromper de ligne dans le choix de la médication, ce qui a pour conséquence de multiplier ou diviser par deux la posologie ou... de se tromper carrément de médicament.
L'arrivée de l'informatique, avec la peur de ce que cela pouvait représenter, m'a poussé à « m'initier » à la micro informatique :
-
apprendre à manipuler la Bête qu'était Windows 98 et sa fabuleuse disquette de démarrage de 1,44 Mo qui utilisait une RAM-Disk de 2 Mo (utilisant la mémoire vive des barrettes de mémoire) où étaient décompressés les fichiers de démarrage.
-
Apprendre quelques notions de DOS pour, entre autre, intégrer le pilote du lecteur de CD Rom à la disquette de démarrage (sans pilote, pas de de démarrage !).
Du coup, Il était facile de dériver sur quelques notions de programmation en Qbasic et d'apprendre un peu d'HTML.
Il faut dire que mon intérêt pour la micro informatique est venu du fait que, ayant acheté mon premier ordinateur à Carrefour, (c'était un ACER, un ordinateur portable avec 2 Go de Disque Dur, 32 Mo de RAM que j'avais porté à 64 Mo, et un Pentium cadencé à 133 MHz), ayant eu quelques « petits soucis », l'appel à la hot line se transforma en... un conseil de formatage. La cata fut qu'il me fallut déployer une fabuleuse énergie pour que je finisse par comprendre comment réinstaller Windows 98. C'est depuis ce temps là que je suis devenu le roi du « formatage – réinstallation ».
C'est cet « incident » qui m'a rendu totalement autonome au niveau informatique.
Puis ce fut la découverte du logiciel libre avec le système d'exploitation Linux et ses nombreuses distributions aux noms exotiques (à l'époque Mandrake devenue Mandriva, Red Hat...), autrefois très difficiles à installer, maintenant Mandriva, Ubuntu, SUSE, Fedora...
Pour l'instant je ne suis pas, encore, tombé sous les sirènes du Mac, bien que parfois...
Une petite anecdote pour terminer cette partie informatique un peu technique. A l'époque, je me penchais sur le DOS, pour comprendre la notion de RAM-Disk. Il est possible de créer ainsi un disque virtuel pris sur la mémoire vive (mémoire RAM représentée par les barrettes de mémoires). Avec un esprit pervers je fixais délibérément un RAM-Disk supérieur à la quantité de mémoire vive (les barrettes de mémoire = la RAM) de l'ordinateur ; naturellement au redémarrage de celui-ci, j'ai eu droit a un message sibyllin du style « je n'ai plus de mémoire ».
L'informatique, c'est comme la médecine, quand on a saisi comment fonctionne un mécanisme, on peut utilement intervenir sur lui pour le réparer ou pour le... bloquer.
L'ouverture de mon blog après la lecture d'un article du Quotidien du Médecin sur Grange Blanche et Zeclarr, ne viendra que bien plus tard.
En à peu près dix ans d'aventure informatique, j'aurai donc connu, et utilisé, pour l'instant, à mon cabinet, trois systèmes d'exploitation : Windows 98, Windows XP et Windows Vista, qui tourne actuellement depuis 3 mois. En attendant le futur Windows Seven... pour 2010.
Sans compter quelques virus, uniquement chez moi en ADSL. Il faut dire qu'a mon cabinet je suis en RTC (bas débit), sans antivirus (comment pourrais-je le mettre à jour sans l'ADSL ?) et sans autre connexion Internet que celle servant à la télé-transmission.
Pour ce qui est des patients, certains me parlent de « choses » lues sur le Net, cela ne me gène pas, parfois, le débat est relancé intelligemment. Plus souvent, c'est moi qui conseille la lecture d'articles sur le Net, et je dois bien reconnaître que, assez souvent, à mon grand dam, je ne suis pas écouté...
Au début, je pensait que Monsieur l'Ordinateur allait me gêner dans l'intimité de la relation Médecin Malade. Dans la mesure ou l'écran de l'ordinateur est sur le côté, ce n'était pas trop gênant, et très rapidement j'ai trouvé mes repaires.
Très rapidement, aussi, les patients ont pris goût à la télé-transmission. Tant et si bien que quand je suis en panne informatique, ils me tendent quand même la carte vitale. Fait amusant, devant le nombre de cartes à leurs disposition, certains se trompent de carte, et me tendent... la carte bleue, un patient d'origine espagnole , mais naturalisé, me tendis même, un jour, sa carte d'identité.
En fin de compte, j'y songe maintenant, si je suis informatisé, je le dois à Roland Moréno le génial inventeur de la carte à puce, je l'appelle avec respect : la puce à Moreno.
Version 2.0
Hippocrate
Aprèrs l'intervention de Marion et la lecture de sa participation au carnaval dans son blog cris-et-chuchotements , son trés bon article m'amène, moi aussi, surtout pour le généraliste que je suis, à confirmer que pour le diagnostic médical pur, je travaille... à l'ancienne ; je ne dispose, comme outils, que d'un stétoscope, un appareil à tension, une lampe et un otoscope.
Je fais mon diagnostic de généraliste
- grâce à l'interrogatoire à 80%, pour les consultations psychiatriques c'est du 100%
- grâce à l'examen clinique à 10%
- grâce aux examens para-clinique à 10%
Il est donc exact que dans ce cas, l'informatique, bien que fascinante... n'intervient pas beaucoup.
Dommage.
* Mon titre est inspiré de la chanson de Charles Aznavour - Mes emmerdes.
14:46 Publié dans Médecine | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : médecine, malade, maladie, santé, humour, société, informatique
L'enfant et la toute puissance
14:32 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour, informatique, internet
13/10/2008
Un vaccin contre la connerie !
C'est la saison, le vaccin antigrippal nouveau viens d'arriver.
Cette année, une nouveauté, on a changé d'imprimé ! Car les hommes qui nous gouvernent ont mijotés quelque chose de REVOLUTIONNAIRE.
Cette année, c'est les infirmières qui s'y colleront pour les vaccinations.
Résultat des courses, ce matin une patiente viens me voir, il faut renouveler son ordonnance pour sa trithérapie... antihypertensive, et tout naturellement, elle demande au « personnel de santé » que je suis, de lui faire sa vaccination. C'est mon premier vaccin de la saison. Mais elle vient avec le vaccin, car avec cette mesure à la noix, elle est passé directement par la case pharmacien. Celui-ci, ne pratiquant pas de vaccinations, lui a refilé une seringue que je n'aime pas, et, oh stupéfaction, en ouvrant la boite... je tords l'aiguille ! L'aiguille est en plus vraiment grande. Je la détors et me débrouille pour faire le moins mal possible à cette patiente.
Habituellement, cela va certainement vous surprendre, vacciner est un « plaisir » pour moi, là ça tiens du supplice. Le plaisir d'un vaccin bien fait me comble de satisfaction. De temps en temps un acte manuel cela change du travail intellectuel, cela permet une pause dans l'enchainement des consultations.
Tout cela pour un vaccin compris dans la consultation, ça ne coûte même pas un cent d'euro à la Sécu.
C'est vraiment du n'importe quoi !
20:08 Publié dans Médecine | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : médecine, malade, maladie, santé
12/10/2008
Un Train Peut en Cacher un Autre
19:52 Publié dans Photographie | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : photographie, photo, humour
04/10/2008
Secret médical... Même avec son conjoint !
Lu dans Le Concours Médical Tome 130 N° 12 page 631, une petite histoire qui prête à réfléchir.
Une Généraliste avait emporté à son domicile le dossier médical de l'une de ses patientes, suivie pour une exogénose (alcoolisme). En son absence, le mari de ce médecin a pris connaissance de ce dossier et a eu, à plusieurs reprises, des contacts téléphoniques avec cette patiente au cours desquels il a notamment informé cette dernière de la volonté de sa mère de la faire interner et lui a offert son aide pour qu'elle s'y oppose, ajoutant que si elle buvait un petit peu, ce n'était pas grave.
Devant ces faits, une plainte a été déposée devant le Conseil de l'Ordre des Médecins.
Celui ci a infligé, à ce médecin généraliste, la peine de l'interdiction temporaire d'exercer la médecine, avec sursis, pendant une durée d'un mois.
10:01 Publié dans Médecine | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : médecine, malade, maladie, santé
30/09/2008
sfc /scannow
Trouvé sur pcentraide.com
Suite à l'installation ou à la désinstallation de programmes, des fichiers systèmes peuvent se trouver modifiés. Le logiciel en question les a peut-être écrasés avec ses propres fichiers, moins récents, ou les a supprimés en se désinstallant. Une dll manquante par exemple peut causer de nombreux disfonctionnements, et trouver une dll dans sa version d'origine n'est pas toujours évident.
L’utilitaire SFC (System File Checker) s'occupe de vérifier les fichiers systèmes modifiés de Windows et de les remplacer.
Le programme est déjà installé dans Windows.
Démarrer / Exécuter puis taper cmd :
Dans la fenêtre d'invite, utiliser la commande sfc /scannow pour débuter la vérification immédiatement
Voilà un exemple sous Windows Vista
Cliquer pour aggrandir l'image
22:04 Publié dans Informatique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : informatique
22/09/2008
Château Ramafort
Château Ramafort
Pays : France
Région : Bordeaux
Sous-région : Médoc
Le Château de Ramafort, d 'AOC Médoc classé cru bourgeois en 2003 possède un vignoble de 20 hectares aux sols argilo-calcaires et sous-sols calcaires fissurés sur marne.
L'encépagement est moitié Cabernet Sauvignon, moitié Merlot.
Les Domaines C.G.R., propriétaire, ont su considérablement moderniser l'installation et en confier l'exploitation à la passionnée Magali Guyon.
Le résultat est là : concentration, robe éclatante (vainqueur de la coupe des Crus Bourgeois en 1998).
Vendanges mécaniques
Elevage de 12 mois en barriques neuves renouvelées par moitié.
référence : http://www.75cl.info/domaine_viticole.19.125.14285.htm
Site du château Ramafort : http://www.domaines-cgr.com/
Le millésime 1998 est une pure merveille. Voici le commentaire trouvé sur le site du château :
1998
Le millésime 1998 se pare d’une belle robe dense à reflets violets.
Le nez très expressif marie avec bonheur les petits fruits rouges, le boisé finement vanillé à une touche fumée harmonieuse.
La bouche concentrée dès l’attaque s’épanouit sur des tanins savoureux à grain fin. Les arômes fruités agrémentés d’épices prolongent l’équilibre et le plaisir de la dégustation.
14:35 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : gastronomie, cuisine, loisirs, voyage, vacances
21/09/2008
Piercing et labret
Piercing et labret Nous n’avons rien inventé entre Tatoo Piercing et Labret. Il est amusant de constater que notre civilisation « évoluée » copie les rites des sociétés « sauvages ».
23:31 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : société, photographie, photo, sociologie
20/09/2008
Matriochkas
Cette histoire naturelle d'une maladie me fait songer aux matriochkas, ces poupées russes emboitées les unes dans les autres, Une pathologie succédant et s'ajoutant à une autre pour, à la fin, en bouquet final d'un long feu d'artifice, faire un cocktail détonnant.
Je suis, pratiquement depuis le début de mon installation, un patient, qui a, maintenant, la cinquantaine. Ce patient est marié et a un fils. Il a, comme bagage une maîtrise en mathématiques et, à cause de sa première pathologie, il rata de très peu sa titularisation comme professeur certifié.
Au début de son cursus pathologique, il n'était atteint que d'un Trouble Bipolaire type I. Le TERALITHE* (Lithium) le stabilisa de façon spectaculaire. Mais, un des effets secondaire de ce médicament, est, souvent, une soif gênante qu'il compensa, malheureusement, en buvant... du lait, d'où une prise de poids non négligeable.
Du fait de cette prise de poids, il se lésa un ménisque qui fut traité avec succès par une méniscectomie sous arthroscopie, et tout... rentra dans l'ordre.
Très rapidement apparut un autre effet secondaire, classique, mais rare, un psoriasis lithio induit. Ce psoriasis se généralisa à tout le corps, c'est un effet secondaire catastrophique. Il ne lui fut proposé que de se tartiner tout avec des pommades à base de corticoïdes et de vitamine D, ce qui est humainement irréalisable, tout ne rentra pas dans l'ordre cette fois.
une une hypothyroïdie sous la forme d'une thyroïdite lithio induite qui se compliqua, ce qui est classique, par un Etat Dépressif Majeur déclenché par son hypothyroïdie. L'hypothyroïdie traitée par opothérapie, (hormone thyroïdienne sous la forme de LEVOTHYROX*), et tout ...rentra dans l'ordre.
Sa prise de poids déstabilisa, probablement, une HTA (hypertension artérielle) que je traitait d'abord par MICARDIS* puis, devant la persistance de cette HTA, par MICARDIS PLUS* tout en surveillant la Lithiémie, car ces médicaments (ARA-II et Diurétiques), ont une fâcheuse tendance à augmenter la Lithièmie. Une fois de plus... tout rentra dans l'ordre.
Malheureusement, l'introduction du deuxième médicament, qui contient un diurétique, déclencha chez ce patient une crise de goutte, qui fut traitée, guérie. En prévention et pour faire baisser son acide urique, je lui prescrit du ZYLORIC* et tout... rentra dans l'ordre.
La peau est une barrière pour les infections, quand la barrière cutanée est lésée, le psoriasis de ce patient est important et généralisé, c'est une porte ouverte aux bactéries (streptocoques et staphylocoques). Ce patient développa donc un érésipèle de jambe qui fut traité, en hospitalisation, par antibiothérapie à forte dose (vu le poids). Tout rentra dans l'ordre, mais cet érésipèle récidiva plusieurs fois, ce qui amena à reconsidérer le traitement du Trouble Bipolaire par Lithium.
Il existe, maintenant, plusieurs médicaments normothymiques (qui régulent l'humeur) : le chef de file est le THERALITHE, il y a aussi des anticonvulsivants et apparentés (TEGRETOL, DEPAMIDE, DEPAKOTE, LAMICTAL) et un AP2G (antipsychotique de deuxième génération) le ZYPREXA). Le Psychiatre chimiothérapeute de ce patient, la main forcée par les infectiologues, fit un switch TERALITHE – DEPAKOTE. Il faut noter cependant que ce patient ne fut pas vu pas un dermatologue hospitalier car il aurait peut être pu bénéficier de l'Anti TNF alpha (à moins que je dise une grosse bétise), ce qui aurait pu éviter, si cela eut été possible, l'épisode suivant.
Dernier épisode, à ce jour, ce patient, très rapidement décompensa un état maniaque, qui, après un temps certain, avec les catastrophes sociales qu'entrainent un tel état, l'amena à être hospitalisé en « milieu spécialisé ».
Le Médecin a, parfois, l'impression de jouer, un peu, avec la nature, mais surtout avec les patients, aux apprentis sorciers.
Il faut noter cependant que ce patient en dépit de sa (ses) pathologie(s) est bien inséré socialement, il est marié, a un fils et travaille mais malheureusement pour lui à un niveau inférieur à ce qu'il aurait pu prétendre du fait de ses études.
09:46 Publié dans Médecine | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : médecine, malade, maladie, santé
16/09/2008
Restez couverts
09:53 Publié dans Photographie | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : photographie, photo, loisir, voyage, vacances, humour
14/09/2008
Horloge cadurcienne
Crédit Photo : Archives Personnelles
J'ai photographié cette horloge électrique à Cahors, lors de mon escapade dans le Quercy. Elle fonctionne avec un système de billes qui roulent régulée par un mouvement électrique. On voit les billes en haut à droite et à gauche.
C'est la première fois que je vois une horloge de ce type.
12:59 Publié dans Photographie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie, photo, loisir, voyage, vacances
13/09/2008
Entre Cajarc et Saint Cirq Lapopie
12:59 Publié dans Photographie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie, photo, loisir, voyage, vacances
Jardinage
01:47 Publié dans Photographie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : photographie, photo, loisir, voyage, vacances
12/09/2008
Le pont Valenté
Souvenir d'une fin de semaine dans le Quercy.
Crédit Photo : Archives Personnelles
La légende du pont Valentré
La construction en s'éternisant sur plus d'un demi-siècle, fit naître la légende que chaque cadurcien se plaît à raconter. Exaspéré par la lenteur des travaux, le maître d’œuvre signe un pacte avec Satan. Le diable mettra tout son savoir-faire au service de la construction et s'il exécute tous ses ordres, il lui abandonnera son âme en paiement. Le pont s'élève avec rapidité, les travaux s'achèvent, le contrat arrive à son terme. Pour sauver son âme, car il ne tient pas à finir ses jours en enfer, il demande au diable d’aller chercher de l’eau à la source des Chartreux, pour ses ouvriers, avec un crible...
Bien sûr Satan revint naturellement bredouille et perdit son marché. Décidé à se venger, le diable vient chaque nuit desceller la dernière pierre de la tour centrale, dite Tour du diable, remise en place la veille par les maçons.
En 1879, lors de la restauration du pont, l’architecte Paul Gout fait apposer dans l'emplacement vide, une pierre sculptée à l'effigie du démon qui depuis, reste désespérément accroché, les griffes prisonnières du ciment.
Source Wikipédia.
20:27 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : voyage, vacances, loisirs, photographie, photo