25/07/2012
A quoi pense-tu ? A la mort d’Henri IV
Parfois je suis pensif, quand ma mie s’en rend compte et qu’elle me dit à quoi tu songes ? Il m’arrive, parfois, de lui répondre, à la mort d’Henri IV.
Le 14 mai 1610, à Paris, le Roi Henri IV, le bon roi Henri qui démocratisa la poule au pot, alors en déplacement officiel (il va rendre visite à so ministre Sully), se retrouva bloqué dans une rue étroite de Paris, la rue de la ferronnerie. Soudain jaillit un homme avec un couteau, François Ravaillac, un fanatique catholique, et avant que les gardes du corps ne puissent intervenir, il poignarde le roi, en plein cœur.
Tout de suite le SAMU est appelée, une diligence est affrétée et se dirige à tout allure sur les lieux de l'assassinat, il est bloqué bien avant d’arriver sur site. Les barbiers continuent à pieds, mais à leur arrivée, ils ne peuvent que constater la mort du Roi Henri IV.
De quoi est mort le Roi Henri IV ?
D’une tamponnade cardiaque.
Le couteau a percé l’oreillette droite, le sang s’est répandu dans le péricarde, ce qui a comprimé le muscle cardiaque et causé la mort du Roi Henri.
Henri IV est enterré à la basilique Saint-Denis le 1er juillet 1610.
Il y a longtemps que ma mie sait de quoi est mort Henri IV.
Moi, je l’ai appris dans un livre : ces malades qui, nous gouvernent du Dr Pierre Rentchnick et de Pierre Accoce en 1978.
Un livre passionnant qui explique parfois comment la maladie peut influer sur les grands de ce monde, en les affaiblissants, et avoir un impact sur la chose publique, sur l’histoire. Par exemple à la conférence de Yalta, des trois hommes politiques présents, deux étaient gravement atteints, Churchill d’Hypertension, outre sa Maladie Bipolaire. Franklin D. Roosevelt avait fait un AVC (Accident Vasculaire Cérébral), suite à un Hypertension artérielle. Le seul qui soit en bonne santé était Staline. On comprend le retentissement que cela a put avoir.
22:54 Publié dans Anecdote, Culture, Histoire, Le mot du jour, Maladies des Hommes Célèbres, Médecine, Mots, Paris, Potins, Santé, Société, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (2)
Quand le corps humain tombe en panne : notions de morbidité
La morbidité est le taux de maladie pour une population définie.
On peut parler de maladie quand le corps humain tombe en panne, un peu comme quand une voiture tombe malade, on l’amène, alors, chez le garagiste, le médecin des autos.
Le corps humain tombe en panne aux deux extrémités de la vie, chez le nourrissons (malformations congénitales et maladies génétiques et chez le vieillard.
Chez les femmes, c’est un peu plus compliqué, car il y a une consommation médicale due aux grossesse et aux accouchements.
Cette situation de tomber en panne au début puis à la fin est tout à fait comparable à ma comparaison du corps humain avec une voiture, le corps humain a le cerveau en plus.
Pour en revenir aux pannes du début, ces pannes surviennent au tout début que ce soit pour le corps humain ou un appareil électro ménagé (vice caché), il est donc inutile de payer un supplément pour couvrir les pannes sur trois ans.
17:20 Publié dans La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (7)
21/07/2012
Rognons blancs ou Animelles
Rognons Blancs ou Animelles
On se met à voir, dans les supermarchés un rayon, jusque là inconnu, celui des abats.
Déjà, dans un supermarché de moyenne importance (Simply Market), je trouvais des croustilles (du bon porc pas cher et délicieux, remarquable braisé, un pur régal, avec, par exemple, une salade de lentilles), des langues de bœuf, des oreilles de porc, des pieds de porc.
Hier, pour de grosses courses y compris pour des fournitures pour mon cabinet (ramettes de papier, enveloppes, papier mouchoir, etc.…), je tombe en arrêt, dans un hypermarché Carrefour, sur un nouveau rayon, celui des abats, mon œil aiguisé et curieux tombe en arrêt devant… des Rognons Blancs, encore appelés Animelles, cojones, en español. Une première.
Les Rognons Blancs sont des testicules de taureaux ou de verrats (cochons mâle).
Comment peut-on cuisiner cela ?
Le goût se rapprocherait, d'après ce que j'ai lu, de celui des ris de veau.
Comment les cuisiner, une piste les faire tremper dans l’eau 2 h puis les fariner les faire dorer à la poêle (avec moitié huile, moitié beurre) jusqu’à ce qu’ils deviennent blancs, saler poivrer, ne pas trop faire cuire les animelles, puis saupoudrer, en fin de cuisson, avec une persillade.
J’adore les abats, mais j’ai un problème avec la cervelle et, je pense, avec ce type d’abat, va t en savoir pourquoi ? Alors que j’adore les tricandilles moutardées, les tripes, la tête de veau, les pieds de porc panés aillés, arrosés d’un filet de vinaigre (moitié vinaigre de vin moitié vinaigre balsamique, passé au four, un délice).
Avant, je n’aimais pas les ris de veau jusqu’à ce que j’en mange cuisinés de façon fabuleuse.
Alors, attendons pour les rognons blancs, il faut que je m’y lance.
Cela plaira-t-il à ma mie ?
13:56 Publié dans Anecdote, Cuisine, Culture, Gastronomie, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Potins, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
D’où vient le nom arobase, quelles sont ses principales significations
Ray Tomlinson, l’inventeur de l’arobase informatique.
Le nom arobase viendrait du castillan arroba (portugais arroba, catalan arrova), qui désigne une unité de mesure de poids en usage en Espagne et au Portugal. Ce terme, attesté en Espagne depuis 1088, vient lui-même de l’arabe الربع (ar-rub?), « le quart », un quart de quintal, soit 25 kg.
En 1971, Ray Tomlinson, l’inventeur du courrier électronique, eut en premier l’idée d’utiliser ce signe ne figurant dans aucun nom propre. Il cherchait un séparateur dans une adresse de courriel qui soit absent de tous les alphabets traditionnels.
La « lettre » @ s’obtient, en raccourci clavier, en tapant : AltGr + à.
Source : wikipedia.org/
12:28 Publié dans Anecdote, Culture, Histoire, Informatique, Informatique Médicale, Internet, Le mot du jour, Mots, Potins, Science, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (1)
05/07/2012
Comorbidité* chez une patiente : Maladie Psychiatrique et, aussi, maladie neurologique
Cela fait bientôt six mois que je soigne cette jeune patiente de 32 ans, elle travaille dans une communauté territoriale ; je la soigne pour un État dépressif réactionnaire, elle vient juste d'être plaquée par son mec. Il est à noter que ces la troisième fois que cela lui arrive.
Je l’ai mise sous ZOLOFT*. Avec, aussi, un arrêt de travail de deux mois (2 fois 1 mois).
Assez rapidement, à partir du moment où le ZOLOFT* a montré son efficacité, elle s'est trouvée un nouveau mec.
Incidemment à la dernière consultation elle me révéla qu'elle avait souvent des maux de tête. La description de ces maux de tête ressemblait fort, sémiologiquement** parlant, à des crises de migraine.
En fin de consultation, je lui ai donné donc, à un traitement pour les crises (ALMOGRAN*). Et, en traitement de fond, de l’ALOCARDYL*.
A sa dernière consultation, elle me dit toute contente que ses migraines avaient disparues.
J’aime assez ce mélange de Psychiatrie et de Neurologie.
* Comorbidité : présence à la fois de plusieurs pathologies
* séméiologie : En médecine c'est la description des signes des maladies.
19:53 Publié dans Anecdote, Le mot du jour, Médecine, Mots, Potins, Santé, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (5)
04/07/2012
Une consultation non prévue
Timide : "Blanche Neige et les sept nains"
J’essaye de traiter, depuis assez longtemps, une patiente de 45 ans.
Le traitement se met en place lentement progressivement, mais somme toute efficacement ; par contre, il faut vraiment, pour une fois, que ce sois moi qui sois patient.
Lors de sa dernière consultation, elle n'arrive pas seule, elle est accompagnée d'une de ses filles, la cadette.
Elle amène sa fille pour un examen de « non contre indication » à la pratique de l’équitation. Comme elle ne présente pas de contre-indication, et que ses vaccins sont à jour, je rédige son certificat. Le plus surprenant fut que, pendant tout le temps de sa consultation, elle ne pipa mot. Elle n’ouvrit pas la bouche une seule fois.
Je passais donc à la mère, prolongation d'un travail ordonnance en 100 % : antidépresseurs anxiolytiques hypnotiques, et, en ordonnance simple, un antihypertenseur, un médicament pour le cholestérol et 160 mg d’aspirine.
Il a fallu que je négocie beaucoup pour en arriver à un tel traitement. Elle refuse toujours, cependant, de consulter un psychiatre. Elle présente un état dépressif majeur sur un trouble d'anxiété sociale (T.A.S.), ce que l'on appelle de façon vernaculaire la timidité.
Cependant, je trouvais le comportement de sa fille inquiétant. Je revenais donc sur son cas. J'appris ainsi qu'elle était timide de tout an. Les différents enseignants qui l’avaient eu comme élève avaient, régulièrement, signalés ce comportement à la maman.
Après un assez long moment, encore, de négociations, je rédigeais une lettre à un pédopsychiatre pour cette gamine... De douze ans.
Mieux vaut prévenir que guérir.
17:41 Publié dans Anecdote, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Santé | Lien permanent | Commentaires (0)
16/06/2012
C’est les vacances avant les vacances !
Je serai absent du samedi 16 juin au dimanche 1 juillet, pour une bonne cause :
15 jours de vacances, dans l’île de beauté.
A très bientôt
09:41 Publié dans Le mot du jour, Magie, Potins, Société, Vie pratique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (2)
12/06/2012
Kyste de l'épididyme
Kyste de l'épididyme (tumeur bégnine).
Cet après midi, un homme de 27ans, rentre dans mon cabinet médical.
« Je viens pour quelque chose d’un peu délicat ».
« En quoi puis-je vous être utile ?»
« Voila, c’est un peu délicat à dire, mais j’ai trouvé, récemment, une petite boule sur mon testicule droit ».
« Ce que vous me dites ressemble fort à un kyste de l’épididyme, venez, je vais vous examiner ».
A l’examen clinique, je ne retrouve pas la « boule » en question. Effectivement elle doit être petite, mais s’il l’a trouvée, c’est qu’elle existe. Par contre, pas de gros testicule, apparemment, cela ne ressemble pas à un cancer du testicule.
Autrefois, avant l’utilisation de l’échographie, on utilisait une technique archaïque : la trans
illumination, on éclairait la bourse avec une lampe de poche et on regardait la bourse en transparence, faute de mieux, cette technique pouvait donner quelques résultats.
En général, statistiquement, le cancer du testicule atteint les hommes de 20 ans, lui, a 28 ans, le cancer du testicule, ça le fait pas
Je lui prescris donc une échographie. Et pour le rassurer, je vais sur le Net, pour lui montrer ce qu’est un Kyste de l’épididyme.
Lui aussi, avait été sur le Net et avait trouvé des liens sur le cancer du testicule (qui d’ailleurs est un bon cancer qui se guérit depuis la découverte du CISPLATINE maintenant, on en guéri), d’où son inquiétude.
Quelques petites remarques à propos de ce cas clinique :
- D'abord, on opère le Kyste de l'épididyme, que quand celui-ci est important et gène le patient, ce n'est pas le cas chez ce patient, tout au moins pou l'instant.
- Ensuite, ce qui inquiète le patient, n’inquiète pas, forcément. Dans la plus part des cas, parfois, l’inverse existe aussi, ce qui n’inquiète pas le patient peut inquiéter le médecin. D’où l’intérêt de consulter quant on trouve quelque chose de nouveau, quelque chose qui a changé dans son corps.
- Les techniques médicales et les traitements ont évoluées, trans illumination versus échographie ainsi que la découverte du CYSPLATINE, pour ce qui est du traitement.
- En médecine générale, 80 % du diagnostic se fait lors de l’interrogatoire, 10 % à l’examen clinique, et 10 % en ce qui concerne les examens para clinique : bilan biologique, échographie, scanner, IRM…).
- La notion de probabilité d’avoir une maladie, en fonction de l’âge, n’est pas à négliger, en effet,à chaque âge, mais aussi à chaque sexe, sa pathologie ( par exemple l’appendicite, la pyélonéphrite, la cholécystite...).
- D’autre part, personnellement, je compare souvent le corps humain à une voiture. tant qu’on n’a pas trouvé la panne, la « voiture » (le corps humain ne marche pas, ou pas bien).
Ah, j’oubliais de vous dire, que, pendant que votre médecin traitant vous interroge, où vous examine, il réfléchit, souvent en même temps. C’est, entre autre, l’aspect fascinant de ce métier, laissez réfléchir votre médecin traitant, répondez à ses question, ne parlez pas trop, surtout pendant l’examen clinique.
Voila comment travaille votre médecin traitant.
06:36 Publié dans Anecdote, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Mots, Santé, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
09/06/2012
Une vieille médication : Saltrates Rodell
Cet après midi, après avoir fait une grande marche, une très grande marche dans Grandville, ma tendre et douce me dis, sur le chemin du retour, qu’elle a très mal au pied. Comme toutes les femmes, elle a une fois de plus fait passer l’esthétique avant le fonctionnel, en un mot comme en cent, je dois reconnaître qu’elle a de superbes chaussures ; je ne suis pas un fétichiste du pied, comme certains hommes politiques dont je tairais le nom, mais, j’avoue que j’aime bien regarder les chaussures, c’est une très bonne arme de séduction. Après tout, il y a l'aphorisme "Il faut souffrir pour être belle".
Elle me demande donc un produit miracle pour cette algie pédestre.
Et moi de lui répondre illico : Saltrates Rodell.
Ce produit se prend en bain de pied.
A mon avis c’est surtout le bain de pied chaud qui soulage, mais la composition de ce produit est intéressante:
« Les sels Saltrates Rodell, bain oxygéné contre les maux de pieds, contiennent des extraits de camomille et millepertuis, du carbonate de sodium anhydre, sesquicarbonate de sodium, bicarbonate de sodium, perborate de sodium (tetrahydrate) ». Source : http://ch.oddb.org/.
Ce produit, antédiluvien, il doit dater des années 10 ou 20, à cette époque, les gens marchaient beaucoup plus que maintenant.
Tiens, cela me fait songer aux bains de siège préconisés par la chanteuse Rika Zaraï dans son livre « Ma médecine naturelle », dans les années 80.
Bon, ce n’est pas tout, je vais de ce pas (c’est le cas de le dire), me faire un bon bain de pied suivi d’un bain de siège royal. Je vous laisse, à bientôt.
16:49 Publié dans Anecdote, Culture, Histoire de la Médecine, Humour, Le mot du jour, Médecine, Potins, Santé, Shopping, Société, Sport, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (2)
Geek
"Geek, parfois francisé en « guik » est un terme d'origine américaine anglophone...
L’archétype classique du « geek » est celui du « jeune » (ou de l’adolescent) passionné d'électronique, d'informatique, d'univers fantastiques (comics, science-fiction, heroic fantasy, etc.). Cette passion s’exprime concrètement à travers de nombreuses activités, telles que le jeu de rôle, le cinéma, les séries télévisées, les jeux vidéo ou encore la programmation informatique".
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Geek
14:44 Publié dans Culture, Humour, Informatique, Informatique Médicale, Internet, Jeux, Le mot du jour, Loisirs, Médecine, Mots, Santé, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (0)
La Sténographie tuée par le dictaphone et Microsoft Office
Emile Duployé
La sténographie (du grec stenos, serré et graphê, écriture), ou tachygraphie, est « l'art de se servir de signes conventionnels pour écrire d’une manière aussi rapide que la parole ».
En fait, les premières traces remonteraient à 430 avant J.-C.
Émile Duployé est un ecclésiastique français( 1833 - 1912).qui inventa la méthode de sténographie la plus répandue dans les pays de langue française, au début du XXe siècle. En 1860, il publia un livre : « Sténographie-Duployé, écriture plus facile, plus rapide et plus lisible que toute autre, s'appliquant à toutes les langues ».
En France, jusqu'au début du XXIe siècle, la sténographie fut utilisée pour retranscrire, notamment, les débats parlementaires. À l'Assemblée Nationale.
La sténographie a cessé d'être utilisée par les services des comptes-rendus des assemblées, qui lui préfèrent, désormais, des techniques d'enregistrement audiovisuelles Dans, toutes les entreprises, les secrétaires, ont recours, de nos jours, au service des dictaphones.
Quand aux machines à écrire, elles aussi, furent tuées par les nouvelles méthodes de traitement de texte, grâce à Word de Microsoft.
En mémoire d’Emile Duployé, il y a une rue Emile Duployé à Paris 18ème arrondissement, à la Goutte d'Or, a une Ecole maternelle publique Emile Duployé, une Ecole polyvalente Emile Duployé, Il y a, aussi, une rue Emile Duployé à Lyon, à Bordeaux, à Montpellier, à Toulouse, à Marseille, etc., et une avenue à Montréal.
"o tempora, o mores" (Autre temps autre mœurs).
Exemple de Sténographie
Sources
http://www.stenographie.ch/
13:28 Publié dans Anecdote, Culture, Histoire, Le mot du jour, Mots, Politique, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
05/06/2012
Mixité sociale et écocitoyenneté
Source : http://www.mich.fr/
Voici un effet imprévu de la mixité sociale et de l’écocitoyenneté.
Dans la rue ou je vis, de moins en moins bien, d'ailleurs ; dans le temps, le quartier, plutôt la circonscription était acquise à la droite.
Puis, pour une politique de la ville pour transformer, délibérément, Grandville en Mégalopole, on entassa les gens. Et puis, aussi, se greffa dessus, pour des raisons, louables, de mixité sociale, on rajouta de nouveaux citoyens. Cela accru, encore, le nombre d’habitant, mais, plutôt des habitants de gauche.
Aux dernières législatives, c’est une candidate socialiste qui remporta les élections, un député socialiste, dans la circonscription, du jamais vu.
Ce que n’avais pas prévu le Maire de Grandville c’est que cette circonscription, comptait, désormais, 20 % de RSA, acquis, eux, à la gauche, d’où ce résultat imprévus, mais prévisible.
Une autre décision dans la politique urbaine de la ville irrita, passablement, les citoyens de la circonscription. En effet, sous des prétextes plus ou moins écologique, le Maire de Grandville, décida de pourrir la vie de habitants, faisant en sorte que le simple citoyen ait beaucoup de mal à garer sa voiture, qui je mets de places handicapés, (je n’ai rien contre les handicapés, il est normal de leur faciliter l’accès), mais, visiblement, là, il y a assez souvent abus, qui j’agrandis l’espace au coin des ruses (et hop, une place en moins), qui je crée des emplacements vélos parfois entièrement inoccupés. Ceux qui ont un garage ne s’en servent que pour se garer devant chez eux, sur leur bateau, c’est pratique (pour eux). Tout cela, mélangé, crée, dans ma rue, et dans les autres rues de l’arrondissement, un climat pestilentiel, déclenchant des idées de vote sanction.
Avec l’approche de l’été et, bientôt le début des épreuves du BAC, se précise, aussi, cette année, l’échéance des législatives.
Hier, on sonne à la porte, c’était le candidat UMP, accompagné de sa suppléante, qui faisait du prte à porte. Il me vanta les mérites de l’UMP. Il précisa, avec insistance : "Je démissionnerai, si je suis élu, de tous mes mandats, pour être votre député à plein temps".
C’est la première fois, depuis que j’habite dans cette rue, que je serre la main d’un élu.
Pour en arriver là, à faire du porte à porte, il faut, vraiment, que les affaires aillent mal.
A vouloir jouer au feu, à la fin, on se brûle.
* Je ne peux résister à la tentation de vous donner le niveau d'étude de ce canditat : Une maîtrise en droit de la Fac de Grandville, seulement 4 ans d'études après le BAC, dans une ville de province. Même pas science Po Grandville, quand à Science Po Paris, là, n'en parlons pas, on en est loin, trés loin.
11:06 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Ecologie, Economie, Honte, Humour, La pensée du jour, Le mot du jour, Mots, Politique, Potins, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (8)
02/06/2012
Le papier d’Arménie
Dernièrement, dans une quincaillerie "new style", j’ai découvert quelque chose dont j’avais entendu parler, il y a longtemps, le Papier d’Arménie.
C’est une feuille que l’on laisse se consumer et qui dégage des vapeurs désinfectantes et avec une délicate odeur de benjoin.
On doit cette invention au Docteur Auguste Ponsot, qui avait remarqué que les Arméniens faisaient bruler du benjoin pour désinfecter et parfumer leur intérieur. Il eu l’idée d’utiliser la résine de benjoin dans une feuille de papier.
Le papier d’Arménie était né.
Le papier d’Arménie, en outre est «écologique par rapport aux bombes odoriférantes ; il ne contient pas de gaz propulseur et dégage très peu de benzène et de formaldéhyde comparé à l’encens.
Alors, à vous d’utiliser le papier d’Arménie.
Pour survivre, les quincailleries qui restent, ont été obligées de se mettre au goût du jour et de présenter, à la vente, des produits que l’on ne trouvait pas, autre fois, dans ce commerce : des sacs, des foulards, de bijoux de pacotille, mais il reste, aussi encore les produits classiques des quincailleries d’antan. On y trouve, aussi, et surtout le conseil judicieux, avenant et personnalisé, avec, en plus, un contact chaleureux. On ne trouve pas cela dans les grandes surfaces généralistes type Auchan, Carrefour etc…
Je ne sais pourquoi j'ai toujours aimé flanner dans les quincailleries.
11:49 Publié dans Anecdote, Bricolage, Comfort, Culture, Ecologie, Le mot du jour, Mots, Pub, Santé, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
31/05/2012
Une rue éco citoyenne
A Grandville, j’habite dans une rue, qui est en train, d’années en années, de devenir, de plus en plus, éco citoyenne.
Tous les moyens sont bons pour faire en sorte que le riverain moyen, ne puisse plus, ou très difficilement, garer sa voiture dans sa propre rue, mais, aussi, dans les rues adjacentes.
Dans Grandville, j’habite une rue qui ne compte pas moins de Trois places handicapés et quartes places devant des garages, garages qui ne sont jamais occupés, car des socialistes caviars, s’en servent, uniquement pour se garer devant leur bateau. Sans compter les coins de rues aménagés de façon a perdre une place de parking et sans oublier, non plus, les places perdues car équipées d’un emplacement à vélo, qui… ne sert pas.
En termes juridique, la qualification des faits s’appelle « rupture d’égalité ».
Vive le pseudo prétexte écologique.
Vive le Grenelle de l’Environnement.
Vive l’Ecologie Caviar.
Vive l’écocitoyenneté qui ne touche que le citoyen vulgum pecus.
14:41 Publié dans Actualité, Anecdote, Comfort, Coup de gueule, Honte, La pensée du jour, Le mot du jour, Politique, Shopping, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
17/05/2012
Château de By
Je viens de dégoter un vin de derrière les fagots, pour 12 €, un très bon Médoc : le Château de By.
C’est un cru bourgeois, second vin du Château Greysac.
Jolie robe (couleur), bien extrait, aux couleurs foncées, assez tannique, c’est un 2007 (il a quatre ans).
Un bon vin bien « bien ficelé ».
15:36 Publié dans Cuisine, Gastronomie, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
16/05/2012
La dame de la Sécu
Aujourd’hui,
J’ai reçu
La D.A.M. de la Sécu.
C’était une Déléguée de l’Assurance Maladie. D’ailleurs les DAM peuvent, aussi, être des hommes…
Elle est venue me voir pour m’expliquer que si j’étais sage et que je me serve bien mon gentil ordi, je pourrais,ainsi, gagner des bons points et que, si j’étais bien sage, je pourrai ainsi gagner des bons points et toucher, itou, 1700,00 € sur une année ; LE pactole !
Elle m’a dis, aussi, comment soigner mes patients diabétiques, par contre, rien sur les dépressifs. Le fou n’a plus la cote, de nos jours.
Je lui ai demandé, incidemment l’âge moyen des médecins qu’elle visitait. Comme vous, mon brave docteur : entre 50 et 60 ans. Moi de lui rétorquer : Et cela ne vous fait pas peur ?
Moi, au point ou j’en suis, à 59 ans, ce n’est quand même pas la sécu qui va m’apprendre à soigner.
Ah, au fait, cerise sur le gâteau, elle m’a montrée mon profil, figurez vous il est parfait, cela m’a remonté mon estime de moi.
Etonnant, non ?
06:16 Publié dans Actualité, Anecdote, Coup de gueule, Economie, Informatique, Informatique Médicale, Internet, Le mot du jour, Médecine, Mots, Potins, Société, Vie pratique, Web | Lien permanent | Commentaires (9)
15/05/2012
Une puce qui fait de la résistance
J’ai dans ma patientelle, un monsieur de 70 ans qui est atteint dune Maladie de Vaquez ou Polyglobulie Essentielle encore dénommée Polycythémie. C’est une maladie Orpheline (rare), sa fréquence est de 1 pour 100 000.
Cette maladie se traduit par un nombre de globules rouges en excès, avec les risques de thrombose que ça risque de causer. Outre les antimitotiques (médicaments qui agissent dans la formation des cellules en diminuant la prolifération de celles-ci), il y a en ajonction, une thérapeutique toute bête et trés efficace : la saignée, comme du temps de Molière.
Il se trouve que depuis quelques temps, déjà, la puce de sa Carte Vitale, part, lentement et surement, en morceaux.
A chaque consultation, dans mon Cabinet Médical, un morceau de paillette doré se détache de la puce.
Elle marchait encore, chez moi les deux dernières consultations.
Mais depuis, chez moi, c’est fini, ça passe plus. Curieusement, chez le pharmacien, elle fonctionne encore.
J’en suis moi-même fort surpris ; comment une puce, aussi « malade », puisse encore fonctionner ?
C'est Roland Moréno, l'inventeur de la carte à puce, lui qui était si facécieux, doit bien s'amuser, de ce clin d'oeil, dans sa tombe.
La puce de Moreno voir ICI et LA.
Photo Roland Moreno : l'inventeur de la carte à puce en 1974
09:33 Publié dans Anecdote, Bricolage, Humour, Informatique, Informatique Médicale, Le mot du jour, Médecine, Mots, Potins, Santé, Science, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)
11/05/2012
Docteur, j’oublie, assez souvent, certains de mes médicaments, l’Observance Thérapeutique
Homme 60 ans, Trouble d’Anxiété sociale, et pas cuit, pas mûr pour son âge, une sorte d'adolescent tardif, quoique, ces derniers temps, ça a l’air de changer un peu
La prise du bon vieux PROZAC*, l’a certes, bien amélioré, tant du point de vue anxieux, que duTrouble d’Anxiété Sociale
Ce patient à un taux de mauvais cholestérol (LDL Cholestérol) élevé. Il oublie, assez souvent, son médicament contre le cholestérol.
En effet, il y a deux prises une le matin (PROZAC*), l’autre, le soir, (TAHOR*).
On a démontré que « l’observance » dépend du nombre de prises médicamenteuses : Une ça va, deux ça commence à craindre, trois bonjour les dégâts.
Je dis à ce patient de grouper, le matin, PROZAC* et TAHOR*.
J’attends le résultat.
Les troubles de l’observance médicamenteuse s’observent, aussi, dans d’autres circonstances : les maladies chroniques (Hypertension Artérielle, Diabète…), en début de traitement, car il faut faire le deuil de sa maladie, le fait de prendre des médicaments rappelant, sans cesse, la maladie.
23:28 Publié dans Anecdote, La pensée du jour, Le mot du jour, Médecine, Santé, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (3)
17/04/2012
Un enfant de trois ans qui a le bras rouge. Quelques considérations sur le métier de Médecin Généraliste d’une trentaine d’années de Médecine Praticienne
Pour ce qu'il en est de la Médecine générale, la dessinatrice et humoriste de BD, Claire Brétécher, a rendue célèbre la « Bobologie », à travers son personnage « Docteur Ventouse », « Spécialiste en Bobologie ». Bien plus tard, ce trait s’humour involontairement prémonitoire, se vérifia, puisque que l’Etat Français et le Conseil National de l’Ordre des médecins, reconnu, effectivement, le terme de « spécialiste en « médecine Générale » ce qui eut pour conséquence de passer le C de 22 € à 23 € soit une augmentation du C de 22 à 23 €, soit une augmentation de... 0,05 %. Je crois que les spécialiste, eu, n'ount pas eu d'aumentation, alors qu'ils ont 2 à 5 ans sde formation en plus, ils sont donc, euix de véritables Spécialistes, et je suis bien comptent d'avir à faira à eux plutô qu' au CHU, qui, parfois est mal coté par les revue "Le Point et le Nouvel Obs".
Il est de notoriété publique, que quand on n’est bon à tout, on est bon à rien. Pic de La Mirandole -,était multimillionnaire, de par ses parents, ce qui lui permis de beaucoup de voyager, bien qu’à l’époque Easy Get n’existait pas.
En effet, Pic de la Mirandole, a été la dernière personne à pouvoir posséder le savoir toute de son «époque, c’était aux au quinzième siècle, son fantasme : publier 500 Thèses. Cela lui joua des tours avec le Conseil Mondial de l’Ordre Catholique, le Vatican. En effet, ses théories n’étaient pas du tout du goût du pape et de son conseil d’administration, il n’y a pas plus conservateur que ce type d’institution
Pic de la Mirandole, eut "quelques soucis", avec le Pape Innocent VIII. Tout comme Galilée, qui renonça à sa thèse « astronomique », lui aussi,avec un autre PDG de l'Eglise, dont je me souviens plus le nom.
Ces deux intellectuels, sous la pression de l’Église, renoncèrent à leurs découvertes (enfin, politiquement).
L’Église Apostolique et Romaine, à toujours été en retard avec les découvertes scientifiques de l’époque. Cela perdure, encore, actuellement : « Femme, la pilule, tu ne prendras point ».
En effet le Médecin Généraliste est censé tout savoir, tout connaître.
Personnellement, en tant que « Spécialiste en Médecine Générale », j’estime qu’un « bon » MG est capable de connaitre, enfin d'avoir suffisamment entendu parler de 80 % des maladies% de toutes les spécialisées du savoir Médical, qui lui permet suffisamment pour faire un diagnostic. A mon humble avis, un « bons » spécialiste ne doit vraisemblablement, connaitre que 20% des connaissances médicales globales, mais il connaît 99 % des pathologies de sa spécialité. Chacun son métier.
Chaque MG, à un domaine de prédilection pour une Spécialité Médicale. Personnellement, c’est la Psychiatrie (qui m'a été plus que trés mal enseignée, un véritable scandale !). Par contre, je suis le "roi" de la bobologie : Les angines, les Sinusite, les vaccins. A moi, Les Gastro-entérites, qui sont parfois, des appendicites, ou, bien, plus grave, des Grossesses Extra Utérine.
il vaut mieux ne pas passer à côté des "pathologies vraies" sans les voir, cela sent l’erreur médicale et le procès se pointe à grand pas !
Ce qui fait la grande difficulté pour un MG, c’est de trier le bon grain de l’ivraie. Savoir discerner la Bobologie des pathologies sérieuses, nécessitant, parfois, l’Hospitalisation, ou, l’envoi vers le « Bon » spécialiste. Par exemple une consultation.
Ppour ce qui est de l'aspect économique, une angine est « Facturée » , à la sécu, (sans la TVA), 23 € chez le MG et 100€ aux Urgences Hospitalières ; la différence est de taille !
Il faut voir comment sont méprisés les MG, par les « News » internes hospitaliers.
En effet, comme je le disais plus haut, le métier de MG, n’est pas si facile que cela, il faut toujours être aux aguets, pour ne pas laisser passer une « vraie pathologie, ce qui peux, parfois avoir des conséquences grave, voire dramatique.
Un exemple :
C’était, il y a « quelques années, la mère d’un enfant de quatre ans, fait appel à, moi, car son gamin a « un bras rouge ».
J’arrive au domicile et, en examinant l’enfant, je diagnostique, de suite, une Lymphangite, il faut aller vite. Je dirige, tout naturellement, ce petit enfant, aux Urgences du CHU de « Grandville ».
J’écris donc une lettre à l’Interne des Urgences.
En réponse, pas de réponse, pas une lettre du CHU.
Pour plaisanter C’était peut la mère qui avait mis de rouge à lèvre sur le bras de son enfant (c’est ce
que l’on appelle un Syndrome de Münchhausen par procuration).
Le MG aime bien être, entre autre, être confirmé, ou infirmé, dans son diagnostic, pour da formation personnelle.
Ainsi va la vie, je fais de moins en moins de visites et n’écris, pratiquement plus, aux urgences du CHU.
Voila ce que l’on obtient en ne respectant les Médecins.
Eh bien, paradoxalement, cela me simplifie l’existence !
Par contre, j’aime mon métier, presque au dessus de tout, sauf, excepté, ma femme et mes enfants, ainsi que quelques amis d’enfance.
Au fait, quid des délais d'attente de Ophtalmos, Gynécos, Psychiatre, de 4mois à... 1 an !
Quid des déserts médicaux ?
Il ne faut pas oublier que la moyenne d'âge d'un MG est de... 50 ans !
Deux générations !
Quand on joue à l'apprenti sorcier (à ce propos, écoutez "l'apprenti sorcier" de Paul Dukas. La musique adoucis les moeurs, et fait oublier, un temps, les vrais problèmes).
Enfin, bientôt la retraite, je verrai certainement le délabrement, lent et inéluctable, de la médecine générale libérale avec l'apparition de la médecine à deux vitesse.
Un Pays à la médecine qu'il mérite, s'il veut le modèle Américain, il l'aura.
Vive les assurances privées, adieu la médecine "à papa".
Quand à l'Ostéopahtie payée entre 50 € et 100 €, non remboursées, ne fait elle pas partie, dans certainqs cas, de l'exercice illégal de la médecine, je veux, je le répète, parler des "Ostéos" non médecins.
Pour ce qui est de mon activité professionnelle :
Trente ans, déjà, Trente ans d'exercice professionnel,
Dieu que le temps passe vite !
Cela me rappelle l'Horloge.
Parole d'un poème de Charles Baudelaire,
interprété par Mylène Farmer.
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08/04/2012
Salade de morue façon Docteur Sangsue
Source : http://upload.wikimedia.org/
Pour 4 personnes :
- 500 g de morue dessalée congelée
- 1 Kg de pomme de terre
- Huile d’Olive
- Vinaigre de Vin
- Vinaigre Balsamique
- Ail
- Persil
- Sel
- Poivre au moulin
Préparer l’assaisonnement avec mélanger à parties égales Vinaigre de Vin/Vinaigre Balsamique. Ecraser l’ail avec un presse ail (pour bien extraire les sucs), saler poivrer avec le poivre au moulin. Laisser reposer.
Mettre les morceaux de morue dans l’eau bouillante. Une fois bien décongelé, retirer de l’eau dans un égouttoir et, sans attendre, à chaud, bonjour les doigts, dépiauter la morue ;-), (j’adore la manger : c’est plein d’Oméga 3). Une fois la peau enlevée, émiettez grossièrement les morceaux de morue. Il est a noter que cela est plus facile à dépiauter la morue à chaud.
Faire bouillir les pommes de terre non pelées, c’est important.
Peler les pommes de terre, sans attendre, à chaud, bonjour les doigts, c’est plus facile à chaud, on peut utiliser une fourchette pour tenir la pomme de terre et peler avec un couteau. Couper les pommes de terre en morceaux.
Mélanger morue et pommes de terre dans l’assaisonnement, en ajoutant le persil coupé soit au couteau soit au ciseau (perso, je préfère le couteau, toujours pour les sucs).
En accompagnement, naturellement, un Blanc. Par exemple un Clos Floridène Blanc de Dubourdieu. Frais, mais pas glacé.
Bon App.
Cette recette rentre, avec un peu de retard, dans le cadre du vendredi saint.
22:29 Publié dans Actualité, Cuisine, Gastronomie, Le mot du jour, Loisirs, Mots, Société, Vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0)