02/11/2008
Le vin du dimanche
Chateau Coufran : www.chateau-coufran.com/
"Propriété de la famille Miailhe depuis 1924, le vin du Château COUFRAN est atypique pour le médoc du à son encépagement original de 85% de merlot".
Le Merlot est l'encépagement des Pomerols (ntdrl).
Un trés "honnète" Haut-Médoc au rapport qualité prix exceptionnel. Je recommande, entre autre, le 1999 que je suis en train de déguster.
A votre santé !
14:21 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gastronomie, cuisine, vin, culture
22/09/2008
Château Ramafort
Château Ramafort
Pays : France
Région : Bordeaux
Sous-région : Médoc
Le Château de Ramafort, d 'AOC Médoc classé cru bourgeois en 2003 possède un vignoble de 20 hectares aux sols argilo-calcaires et sous-sols calcaires fissurés sur marne.
L'encépagement est moitié Cabernet Sauvignon, moitié Merlot.
Les Domaines C.G.R., propriétaire, ont su considérablement moderniser l'installation et en confier l'exploitation à la passionnée Magali Guyon.
Le résultat est là : concentration, robe éclatante (vainqueur de la coupe des Crus Bourgeois en 1998).
Vendanges mécaniques
Elevage de 12 mois en barriques neuves renouvelées par moitié.
référence : http://www.75cl.info/domaine_viticole.19.125.14285.htm
Site du château Ramafort : http://www.domaines-cgr.com/
Le millésime 1998 est une pure merveille. Voici le commentaire trouvé sur le site du château :
1998
Le millésime 1998 se pare d’une belle robe dense à reflets violets.
Le nez très expressif marie avec bonheur les petits fruits rouges, le boisé finement vanillé à une touche fumée harmonieuse.
La bouche concentrée dès l’attaque s’épanouit sur des tanins savoureux à grain fin. Les arômes fruités agrémentés d’épices prolongent l’équilibre et le plaisir de la dégustation.
14:35 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : gastronomie, cuisine, loisirs, voyage, vacances
12/08/2008
Petite histoire naturelle du Pineau des Charentes
Trouvé sur : www.jedecouvrelafrance.com/
L’histoire raconte qu’un jour de l’an de grâce 1589, un vigneron charentais versa, par erreur, du jus de raisin dans un fut contenant encore de l'eau de vie de cognac. Comme aucune fermentation n’apparaissait, le tonneau fut oublié au fond du chai. Et quelques années plus tard, le vigneron étourdi découvrit, avec étonnement, en ouvrant son tonneau, un liquide clair au goût doux, sucré et subtil. Le Pineau des Charentes était né.
De nos jours, il existe deux sortes de Pineau, le Pineau Blanc produit avec partir de cépages Ugni Blanc, Sémillon, Folle Blanche, Sauvignon ou Colombard, et le Pineau rouge ou rosé élaboré avec des cépages Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon et Merlot
Cette opération qui stoppe la fermentation par adjonction de marc, s’appelle le mutage. Le mutage est utilisé pour l'obtention des mistelles, vin doux naturel ou liquoreux, dont le pineau.
08:37 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : gastronomie, cuisine, voyage, passion, détente
31/07/2008
Hareng pommes à l'huile façon sangsue

Crédit Photo : http://www.seine-maritime-tourisme.com/fr/saveurs_de_la_m...
Dans une barquette en alu d'un litre et demi (avec couvercle), c'est ma mie qui en a eu l'idée, c'est beaucoup plus pratique, car avant j'utilisais un récipient en verre, donc, dans une barquette en alu, disposer, en couches successives :
une couche d'oignons coupés en lamelles saupoudée de thym et avec du laurier rajouter quelqes grain de poivre.
une couche de filet de hareng que l'on saupoudrera de thym et avec du laurier.
Puis une couche d'oignon avec du thym du laurier quelques grains de poivres.
Terminer par une couche d'oignon avec thym laurier et quelques grains de poivres.
Terminer en recouvrant avec de l'huile moitié huile d'olive moitié huile "nomale" (pas de l'huile d'arachide).
Laiser infuser un jour à température ambiante (surtout pas au réfrigérateur).
Servir avec des pommes de terres bouillies chaudes (pour avoir l'opposition chaud froid) et... un bordeaux blanc, entre deux mer, graves, pessac léognan ou avec... une bonne bièrre, Dorleï...
Un plat authentique de brasserie purement délicieux.
J'ai innové, hier je n'avais pas d'oignons, mais j'avais des oignons nouveaux assez gros, j'en ai profité pour rajouter le vert des pousses. La dégustation est prévue pour ce soir.
Quelque chose me dis qu l'on doit pouvoir récupérer l'huile pour l'assaisonnement, attention, cette huile a du goût.
07:50 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : gastronomie, cuisine
30/07/2008
Le Petit Basque
Le Petit Basque
Le Petit Basque
Le petit Basque : http://www.cailles-lait-brebis.com/
Caillé
La transformation du lait en caillé sous l'action de la présure est appelée « coagulation » ou « caillage ».
Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Caill%C3%A9
Présure
La dénomination "Présure" est exclusivement réservée à l'extrait soit liquide, soit pâteux, soit pulvérisé ou comprimé après dessication provenant de la Macération des caillettes de jeunes bovidés tenus au régime du lait".
Le principe actif de la présure est une enzyme digestive protéolytique, nommée "Chymosine". Elle sert au jeune animal à faire cailler le lait dans son estomac; le fromager va donc l'utiliser à ces fins. La chymosine attaque une fraction spécifique des protéines du lait (caséine Kappa) et les détruit. Ceci déstabilise la structure du lait en provoquant ainsi la coagulation.
Selon les technologies fromagères, le fromager utilisera une présure plus ou moins concentrée en chymosine. Il bénéficie ainsi d'un apport plus ou moins conséquent d'environnement enzymatique riche en acides aminés, petits peptides et autres enzymes. La richesse de cet environnement enzymatique dépend de la durée de macération des caillettes lors de la fabrication de la présure.
Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9sure
07:30 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : gastronomie, cuisine, sciences
28/07/2008
Moules façon Dr Sangsue
A déguster avec un Bordeaux Blanc sec.
site à visiter : http://www.lecapferret.net/2005/06/les_moules_de_m.html
19:41 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : gastronomie, cuisine
23/07/2008
Restaurant L'Escale au Cap Ferret
Crédit Photo : Photo tiré du site web de L'Escale
Le restaurant L'Escale est situé au Cap Ferret 2, avenue de l'Océan, jetée Bélisaire face à la gare du petit train.
Site web à ne pas rater car trés original, allez y, faites-y un tour, cela fait rêver : http://www.lescale-restaurant.com/main.html
22:11 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : gastronomie, vacances, voyage, photographie
15/07/2008
Escapade de fin de semaine, l’envers du décor

Comme je l’avais annoncé dans une précédente note, que j’ai supprimée depuis, vous comprendrez pourquoi, j’ai fais, avec ma mie, une escapade de fin de semaine dans le Périgord.
En effet un « coffret gourmand », une boite magique, nous avait été offert par des amis. Le principe est simple dans une petite boite un fascicule avec des chambres d’hôtes de bon alois avec table et couchage compris, le rêve quoi. Nous pouvions choisir dans la France entière, mais ma mie ne connaissant pas Sarlat, ce fut une occasion.
Pour un coup d’essais ce ne fut pas un coup de maître.
Restauration moyenne pour découvrir à la fin du séjour que vin eau gaz électricité et café n’étaient pas compris. Le cadre était superbe, le service grand style mais, à ce niveau là, plein de fautes.
Avant cette nuitée ratée, passage par le Cingle de Trémolat, site exceptionnel et …pas de monde.
Puis repas, dans le village de Trélmolat dans un restaurant pizzeria, Salade Périgourdine avec cou farci de très bon aloi. Pas trop de monde, intéressant. L’église était décorée avec une jonchée de feuille et de petits bouquets en tête des bancs d’église pour un mariage dans l’après-midi, touchant.
Par contre le passage à Sarlat calamiteux, embouteillages, parkings payants, gens agressifs. au volant.
La visite de la Grotte de Lascaux très bien faite, très intéressante, à voir pour découvrir l’Auroch.
Un beau village gâché : Domme : Les voitures rentrent dans le village qui n’est pas piétonnier, un comble. Naturellement parking payant, embouteillages à l’entrée du village, bien vu les 4x4 ! Agressivité. A fuir ! Dommage, en d’autre temps, je l’avais visité et j’avais bien aimé.
Les Eyzies de Tayac, petite anecdote : un livet de contentement ou de doléance, au hasard, « la carte de pèche à la journée, une arnaque », « la connexion WiFi, à 7 € c’est du vol, tout est payant dans ce pays, c’est fait pour les riches ! »
Point positif : Le Château de Beynac, site exceptionnel, superbe château, visite fascinante.
Moralité : Ne partez jamais visiter le Périgord pendant les vacances, et surtout pas le 14 juillet. Faut-il que je sois bête pour n’y avoir pas songé ! Je n’ais pas envie de quitter la « Grande ville »qui s’est calmée, et ou l’on peut enfin se garer, pour retomber dans un enfer de voiture, d’automobilistes forcenés et où tout est payant.
09:32 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : vacances, voyage, société, humour
06/07/2008
La guinguette au bord de l'eau
A trente kilomètres de la "grande ville" est située cette guinguette au bord de l'eau.
A la guinguette au bord de l'eau on peut déguster les produits authentique et typiques du terroir :
- Bigorneaux, Bulots, Crevettes
- Escargots
- Anguilles en fricassé
- Tourteaux mayonnaise.
Suggestion : Escargots en entrée Anguilles en plat, le tout arrosé d'un pichet de blanc bien frais.
Un endroit idéal pour se ressourcer au calme loin des bruits de la "grande ville", après un journée de forte chaleur.
Crédit Photo : Archives Personnelles
Crédit Photo : Archives Personnelles
19:33 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : gastronomie, voyage, vacances, photographies, photo
La petite histoire du Mojito
Le mojito est un cocktail à base de rhum, de citron vert et de menthe, né à Cuba dans les années 1910.
Origine
Le règne de la mafia cubaine entre 1910 et 1920 a permis de raffiner le rhum. En 1946, « La Bodeguita del Medio » a popularisé le mojito, dont le nom est un amalgame de mojadito (mouillé) et de mojo (sauce culinaire cubaine voulant aussi dire « charme » en Afrique du sud). Nom bien trouvé pour une boisson qui se veut séduisante et tropicale. Peu de temps après, les Cubains le préparèrent partout et au milieu des années 20 le mojito était devenu la boisson nationale de Cuba.
Anecdote
Il a été rendu populaire par l'écrivain américain Ernest Hemingway, qui en était un grand consommateur.
[Ernest Hemingway était atteint d'un Trouble Bipolaire et dans ce type de maladie l'anxiété est présente, l'alcool peut être une solution pour calmer les angoisses, c'est ce que faisait Hemigway. Hemigway s'est suicidé, des suites de sa maladie, lors d'un épisode mélancolique. (l'alcool en chronique, en plus, est source de dépression). C'est grâce au Trouble Bipolaire d'Ernest Hemingway que le mojito fut démocratisé. - Note personnelle]
Dans tous les bars de Cuba le Mojito est préparé exclusivement avec de la Hierba Buena, c'est à dire de la menthe poivrée (Mentha x piperita).
Article remanié d'aprés Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mojito
11:46 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : malade, maladie, médecine, gastronomie, histoire, littérature
Tendrons de veau grillés avec son jeté de piment d'espelette
Disposez les tendrons de veau sur un grill réversible salez poivrez et saupoudrez de piment d'espelette.
Quand la première face est cuite, retournez le grill, salez poivrez et soupoudrez a nouveau de piment d'espelette.
Attention, il ne faut pas que les tendrons de veaux soient trop cuits, sinon ils perdraient de leur moelleux. Un truc de rôtisseurs, quand la viande ressue sortez la du feu.
Bon appétit.
00:55 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : gastronomie, cuisine, voyage, vacances
08/06/2008
Oreilles de cochon en court bouillon façon Dr Sangsue
Entrée, d'après une recette de marmiton.org adaptée et améliorée par le Dr Sangsue !
Voir aussi la recette : "Queues de cochons en court bouillon express à la cocotte minute façon Docteur Sangsue".
Cuisson : 30 mn à la cocote minute
Ingrédients :
- 2 oreilles de porc
- 1 oignon piqué de deux clou de girofle
- 2 pommes de terres coupées en morceaux
- 3 carotte coupée en morceaux
- 2 navets coupés en quatre
- 1 branche de céleri
- 1 branches de persil
- thym saupoudré
- 4 grains de poivre
- sel en poudre
- poivre moulu
- 1 verre de vin blanc
Préparation :
On peut manger les oreilles de cochon chades servies avec la soupe, ou laisser tiédir, retirer les oreilles égouttées. Lorsque c'est froid, découper en morceaux la base des oreilles (conduit auditif) et en fines lamelles pour le bout des oreilles découper (pavillon).
On peut déguster, en soupe, le cout buillon.
Les oreilles de cochon peuvent se servir chaudes avec la soupe ou froides en apéritif ou en entée c'est purement délicieux (à condition de ne pas être un éffarouché de l'oreille).
Certains, une fois faite la préparation au court bouillon, font griller les oreilles.
Chez les bons charcutiers, ou sur les vrai marchés, on en trouve des toutes préparées. Personnellement, j'en ai trouvé sur le marché de Rochefort sur Mer (ville où est née ma moitée).
On en trouve maintenant, aussi, des crues, dans certains super marchés. Celles que j'ai préparés ce soir venaient de Carrefour.
Il es aussi possible remplacer les oreilles de cochon par de la queue de cochon ou de la hure (le groin).
On peut terminer cette recette par l'aphorisme : "tout est bon dans le cochon".
Bon appétit.
20:05 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : société, cuisine, blala de fille, blabla de femme, femme
04/06/2008
Repas de noces
14:11 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : photo, photographie
12/04/2008
Le Chateau Cos d'Estournel en travaux
Photo : archives personnelles
Pour des raisons de ravalement, le chateau de Cos d'Estounel, la Rolls des vignobles de Saint-Estèphe en Bordelais, avec sa célèbre pagode (adornée de l'échafaudage sur la photo) et sa non moins célèbre porte venant du palais de Zanzibar, est en travaux.
Pendant les travaux la vente continue !
Manifestement la crise des vins bordelais ne touche pas les grands chateaux.
Deux remarques in fine :
- Le chateau Cos d'Estournel est situé sur le petit village de Cos, près de celui de Saint Estèphe, d'où l'apellation.
- Ce n'est pas pour rien si le second vin de Cos d'Estournel s'appelle "Les pagodes de Cos".
A consommer avec modération. Quoique vu le prix... Il n'y a pas si longtemps, dix ans, il était aux environ de... 20 Euros la bouteille, soit 100 fois la mise. Qui dis mieux !
P.S. :
Château Cos d'Estournel 2005Saint-estèphe rouge
Le succès est franc, la réussite indiscutable : Cos d'Estournel 2005 est un géant du millésime. Issu d'une composition largement dominée par le Cabernet Sauvignon... Plus d'infos
Notation 1855 :

Notation Parker : 95-97 / 100
source http://www.1855.com/bordeaux
21:55 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blabla de fille, blaba de filles, photo, photos, photographie, voyage, économie
05/04/2008
Lotte poelée au piment d'Espelette et sa salade de pomme de terre
Préparation de la lotte :
Dans une poelle rainurée et anti adhésive, versez de l'huile d'olive. Faites chauffer la poelle. Quand la poelle est chaude, disposez dedans celle-ci la lotte (que vous aurez fait peler par votre poissonnier) coupée en gros tronçons. Saupoudrez de gros sel gris, de poivre au moulin à poivre et répanders un peu de piment d'espellette. Laissez bien dorer à feu moyen bas. Retournez les morceaux de lotte, épicez les avec le sel le poivre et le piment d'espelette, et laissez bien dorer. Comme tous les poissons et les viande, la lotte ne doit pas être trop cuite.
Préparation de la salade de pomme de terre :
Faites bouillir les pommes de terre. Epluchez les, coupez les en gros morceaux. Versez dessus de l'huile d'olive, salez, poivrez, saupoudrer d'un peu de piment d'espelette. Ajouter un jus de citron obtenu en pressant un demi citron sur la préparation. Remuez. Vous pouvez disposer dans les assiettes; Bon appétit.
Vous pouvez, avant de servir la lotte, l'arroser d'un filet d'huile d'olive et presser un peu de citron.
03:04 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : passion, détente
Omelette à l'aillet

Pour deux personnes
6 oeufs
3 têtes d'aillet
sel
poivre

Préparez les aillets, coupez le parties jaunes découpez les en tronçons de 6 cm environ, puis tranchez les dans le sens de la longueur pour obtenir des "allumettes"
Casser les oeufs et battez les , salez poivrez, mettez les à réserver
Faites revenir les aillets dans une poelle avec un peu d'huile.

versez les oeufs battus ; faites cuire de façon à obtenir un omelette baveuse en fonction des goûts de chacun.
Bon appétit.
02:25 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : passion, détente
04/02/2008
Le Bidaou
L’abus de «bidaou» peut nuire à la santé
© 20 minutes
Nom usuel : tricholome équestre
Synonymes : chevalier, jaunet, canari, bidaou
Chapeau : de 5 à 10 cm, hémisphérique puis convexe se creusant parfois, à marge ondulée et parfois striée, de couleur jaune vif à jaune olivacé, se couvrant ensuite de squamules ochracées donnant un aspect fibrilleux au centre ou sur l'ensemble de la surface
Lames : échancrées, larges (environ 1 cm) et serrées, de couleur jaune citron à jaune soufre
Anneau : néant
Pied : ferme et trapu, fibrilleux, s'épaississant souvent vers la base, de même couleur que le chapeau
Exhalaison : nulle à faiblement fongique, parfois terreuse à moisie sous les lames
Période de cueillette : à partir de la fin de l'été mais surtout en automne, jusqu'aux premières gelées
Biotopes : principalement dans les bois de conifères, appréciant la couverture des pins et épicéas, plus rarement sous les feuillus, sur sols acides et sableux
Confusions : possible avec tricholoma auratum de dimensions plus importantes surtout présent dans les pinèdes sableuses mais aussi avec le tricholome soufré, le cortinaire resplendissant le cortinaire triomphant, voire la pholiote remarquable
Famille : tricholomatacées
Nom scientifique : tricholoma equestre
Commentaires
La chair est jaune et les spores sont blanchâtres à jaunâtres. Se développant en groupes de quelques individus, souvent dans les zones moussues, il est plus fréquent près des côtes et se fait plus rare à l'intérieur du pays. Il est parfois caché sous la litière des aiguilles de pin et ne se devine qu'à la bosse qu'il forme sur celle-ci pour en émerger. La confusion est peu probable avec les cortinaires pour peu que l'on remarque l'absence de cortine sur le tricholome. Ce champignon avait par le passé une réputation de très bon comestible mais ces dernières années lui ont valu d'être classé dans les espèces toxiques. Un certain nombre de rapports de toxicité grave, voire mortelle (12 cas d'empoisonnements recensés de 1992 à 2000 dans le Sud-ouest de la France dont 3 cas mortels), lors de dégustations rapprochées ou volumineusement importantes tendent à le considérer désormais comme dangereux et à laisser sur place. En effet, ces notions de volume supportable par l'humain étant sujettes à variations en fonction de sa morphologie et de son état de santé, il est plus prudent de s'abstenir. Le temps de latence de l'empoisonnement (de 24 à 72 heures) peut laisser croire que le nombre d'accidents relevés officiellement est plus important dans le temps que ceux annoncés car la relation de cause à effet est très difficile à affirmer sans examen médical approfondi. Par ailleurs, les symptômes d'intoxication n'étant pas ou peu d'ordre digestif, cette relation est d'autant plus malaisée. Douleurs musculaires, surtout au niveau des hanches et des épaules, fatigue musculaire anormale et sueurs sans fièvre sont des signes qui devront faire l'objet d'une consultation médicale urgente si le patient a ingurgité des tricholomes équestres dans les 3 jours qui précèdent.
14:45 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : médecine, santé
01/02/2008
Les Bugnes
Bugnes - Photo du Blog le-monde-de-didine.mabulle
Bugnes
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les bugnes sont une spécialité culinaire du centre-est de la France (notamment Lyon et Saint-Étienne) s'apparentant aux beignets. Traditionnellement, les charcuteries lyonnaises les proposaient juste avant mardi gras afin de se rappeler au bon souvenir des Lyonnais qui allaient débuter le carême et donc délaisser leurs commerces. Les particuliers avaient également l'habitude d'en faire, afin de ne pas gâcher les matières grasses (huile de cuisson) dont l'usage était interdit par le Carème. De nos jours, les boulangeries les proposent également, mais en respectant tout de même l'époque de mardi gras.
Il existe 2 versions de bugnes :
- les moelleuses ou « bugnes lyonnaises » (huile très chaude, pâte étalée finement nouée 1 à 2 fois)
- les croustillantes ou «Oreillettes» (pâte plus épaisse, rarement nouée)
Lu sur le site : denis.choimet.free.fr
D'après le "Littré de la Grand'Côte" (édition de 2001), la bugne désigne une sorte de pâtisserie en forme de couronne, frite dans l'huile. De nombreuses expressions du parler lyonnais sont dérivées de ce substantif. Par exemple : "Va-t'en donc, grande bugne !" ou encore : "Cetui-là (sic), quand i mourra, il ira au ciel droit comme une bugne !" Le diminutif de bugne est bugnon, du nom de Philibert Bugnon, fort ignoré, conseiller et avocat du Roi en l'élection de Lyon, mort en 1590, et qui fut l'objet d'une docte thèse latine de M.Ferdinand Brunot, chargé de cours à l'Université de Lyon puis maître de conférences à la Sorbonne. M.Brunot n'a point manqué de faire figurer dans son étude monumentale l'observation suivante : "Nec mirum, cum illud vocabulum bugne, a quo Bugnon, aut Bugnyon facile duci potest, in vulgari provinciae lugdunensis lingua usitatissimum sit, atque adhuc ii quorum mens parum acuta habetur, bugnes vel bugnasses haud raro dicantur".
... Précisons, pour les néophytes, que l'on distingue deux sortes de bugnes : la bugne lyonnaise, joufflue et légèrement plantureuse, et l'oreillette, nettement plus légère, comme celle que Xavier est en train de déguster goulûment sur ce document. Une enquête rapide menée auprès de quelques lyonnais tant de souche que d'adoption montre qu'elles sont également appréciées par la populace locale.
02:10 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0)
31/01/2008
La fête du boeuf gras de Bazas
Lu sur L'agenda du routard :
Fête du boeuf gras à Bazas
Le jeudi précédant le mardi gras. Trés grosse fête locale pendant laquelle le boeuf bazdais, fleuron de la gastronomie locale, est mis à l'honneur. Un pan de folkore aquitain.
Quand : le 31 janvier 2008
Site internet : www.ville-bazas.fr
Sur ce lien, une vidéo de l'ina sur le sujet en question (avec une participation de l'écrivain Jean Vautrin, ancien conseiller régional d’Aquitaine) :
http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&a...
08:30 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (2)
28/01/2008
La cruchade bordelaise
Trofylandes propose aujourd’hui, entre octobre et fin mars ses
Cruchades Bordelaises.
Ces Galets de Maïs ont fait leur apparition dans les Landes
au XII siècle et sont devenues aujourd’hui une véritable
spécialité régionale. Les Cruchardes Bordelaises se dégustent
dorées à la poêle, sucrées ou salées. les produits utilisés pour
leur confection sont fidèles à la recette traditionnelle.
01:20 Publié dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0)